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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 0 views

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    Rapport 2016 - Document Complet Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'
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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 1 views

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    Rapport 2016 - Synthèse Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'obligati
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OCDE - Rapport complet - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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OCDE - Résumé - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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OCDE - Fiche France - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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ZENIT - Restaurer le pacte éducatif entre familles, éducateurs et Etats - 0 views

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    "Le pape François a évoqué le travail du Saint-Siège pour un « Pacte éducatif mondial » en recevant un troisième groupe (en fait 4e en comptant le 1er groupe de mars 2020) d'évêques français en visite ad limina, ce vendredi 1er octobre 2021, au Vatican, pendant quelque deux heures. Le pape, ont expliqué les évêques lors de la rencontre avec la presse, au séminaire pontifical français de Rome, a senti que pour un grand nombre le pacte éducatif entre la famille, les éducateurs et l'Etat était rompu et qu'il y avait certainement grand travail à faire pour restaurer ce pacte ». Ce même 1er octobre, la Congrégation pour l'Education catholique annonce une rencontre au Vatican, mardi prochain, 5 octobre, entre les représentants des religions, sur le thème : « Religions et éducation: vers un Pacte mondial pour l'éducation », avec pour objectif de « raviver l'engagement pour et avec les jeunes générations, en renouvelant la passion pour une éducation plus ouverte et plus inclusive, capable d'une écoute patiente, d'un dialogue constructif et d'une compréhension mutuelle »."
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Lille - Prière pour la rentrée - 0 views

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    "Merci, Seigneur, Pour les semaines d'été, Pour les découvertes et les rencontres, Pour la beauté contemplée, Pour le silence et l'amitié. Merci pour ce trésor : Je le garde dans mon cœur. Maintenant, c'est la rentrée. L'année scolaire s'ouvre à moi. Avec des activités nouvelles, de grands changements. Me voici, Seigneur, mon année, je veux la vivre avec Toi. J'ai retrouvé des camarades, je vais en accueillir de nouveaux. Béni sois-tu, Seigneur, pour toutes les rencontres que je vais faire. Rends-moi attentif à chacun. Et si je me sens seul, aide-moi à me tourner vers les autres. Donne-moi d'ouvrir mon esprit et mon cœur. Donne-moi ton Esprit Saint pour que je vive dans ton amour. Amen !"
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France Stratégie - Quelle finalité pour l'école ? - Dossier de présentation - 0 views

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    La crise de sens qui traverse l'École interroge le nombre et la nature des missions qui lui sont confiées. Quelle école voulons-nous ? Question éminemment politique qui exige de disposer en amont d'une vision globale de l'École et de ses finalités possibles. Rapport - Quelle finalité pour quelle École ? (PDF - 1.09 Mo ) Dossier de presse - Quelle finalité pour quelle École ? (PDF - 2.91 Mo ) Auteur(s) Son Thierry Ly De la logique « méritocratique » Notre école va mal. On en attend trop, or elle ne peut pas tout faire. C'est en somme le constat dont est parti le groupe de travail à l'origine de ce rapport. L'École est aujourd'hui prise en tenaille entre plusieurs objectifs, parfois contradictoires. Elle se doit avant tout d'être garante de l'égalité des chances en offrant à tous les élèves le même enseignement. C'est la logique méritocratique à la base de notre contrat social. Assurer une compétition scolaire (formellement) équitable légitime une distribution des places dans la société, déterminée ensuite, plus qu'ailleurs en France, par le diplôme. Mais il lui est aussi demandé de faire de tous les élèves des citoyens éclairés et des adultes employables, d'assurer la mixité sociale, de sensibiliser à l'écologie… La force et le nombre de ces attentes, légitimes, questionnent la primauté accordée à la mission de sélection méritocratique des élites par l'École. Cette priorité implicite rend en effet toute autre finalité, au mieux secondaire, au pire impraticable, notamment parce qu'elle suppose un enseignement uniforme. La contradiction justifie de poser clairement la question des finalités que nous souhaitons assigner au système scolaire. Quelle école voulons-nous ? Que serait-elle surtout si l'objectif de sélection était retardé et que le système pouvait être organisé autrement que par et pour la compétition ? Bref, si « tout ne s'y jouait plus » ? Des alternatives p
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Vers le Haut - Education : Comment éviter le "retour à l'anormal" ? : 5 leçon... - 0 views

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    La fermeture générale de tous les établissements scolaires, des établissements de petite enfance et de toutes les activités éducatives extrascolaires pendant plusieurs semaines est un fait historique sans précédent hors période de vacances. Il a et aura un impact majeur sur l'éducation de millions de jeunes. A travers ce rapport, découvrez les grandes tendances que ce confinement a amplifiées ou révélées ; les réponses apportées par les acteurs éducatifs et 23 propositions tirées de ces actions pour améliorer durablement notre système éducatif. 5 leçons du confinement pour inspirer un changement durable Le confinement a joué le rôle de révélateur ou d'accélérateur de grandes tendances qui existaient déjà : > Le décrochage d'une partie des jeunes et des enfants, touchés par des inégalités, des violences et une pauvreté encore plus aiguës ; > La nécessité de réinventer la relation éducative, notamment à l'école ; > Le rôle incontournable des familles au cœur de l'éducation ; > La transformation des conditions de l'éducation par le numérique, un outil à apprivoiser pour le mettre vraiment au service des jeunes générations. > A ces défis s'ajoutent ceux de l'aide sociale à l'enfance, qui a continué à prendre en charge les jeunes placés avec un engagement particulièrement fort des éducateurs, dans des circonstances extrêmement exigeantes. Pour limiter les dégâts éducatifs, dans l'urgence, les acteurs de terrain ont imaginé des réponses afin de s'adapter aux enjeux immédiats. Jeunes et familles, enseignants, professionnels de la petite enfance, acteurs de l'aide sociale à l'enfance… ont déployés des trésors d'imagination, de réactivité, d'engagement lors de ce confinement. On a aussi perçu en creux les graves carences de notre système éducatif et l'insuffisance de certains acteurs qui n'ont pas pris la mesure de la crise. Les réponses à cette crise, source d'i
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Vers le Haut - Etats Généraux de l'Education - Appel aux candidats - 0 views

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    22 acteurs de l'éducation appellent les candidats à lancer les États Généraux de l'Éducation Au jour du premier débat télévisé entre les principaux candidats, 22 acteurs de l'éducation de tous horizons déplorent le manque de place accordée à l'éducation dans la campagne et demandent le lancement d'États Généraux de l'Éducation. A l'initiative de Vers Le Haut, think tank dédié aux jeunes et à l'éducation, 22 organismes interpellent les candidats à la présidentielle à partir de ce lundi pour leur demander d'organiser des Etats Généraux de l'Éducation en cas de victoire en mai 2017. Sur le modèle du Grenelle de l'Environnement, dont les conclusions avaient permis d'obtenir des avancées majeures sur des grands défis environnementaux, les Etats Généraux de l'Education permettront de définir une feuille de route des réformes éducatives à entreprendre pour la prochaine décennie. « Il grand temps de sortir des carcans idéologiques, des pesanteurs institutionnelles, du poids des habitudes pour relancer tous ensemble un pacte éducatif », déclare Marc Vannesson, délégué général de Vers le Haut. Le think tank propose d'associer à cette démarche pour la première fois ensemble, État, collectivités locales, mouvements de jeunesse et associations familiales, acteurs de l'éducation, syndicats de salariés et représentants des entreprises, non pas pour une énième concertation, mais pour prendre les décisions indispensables face à l'urgence éducative. « C'est la meilleure garantie pour lever les blocages qui pénalisent aujourd'hui les jeunes générations » conclut son délégué général. Soutien notamment de : Apprentis d'Auteuil, Secours catholique, Coexister, AFC, Collège des Bernardins
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ANNECY _ Réenchanter l'École - 0 views

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    "En cette rentrée, l'Enseignement catholique invite à inventer de nouvelles façons de vivre ensemble et de porter de façon solidaire la responsabilité en articulant l'esprit d'initiative et la volonté de renouveler nos modes de réflexion et de décision. « Vivre la Responsabilité en partage », c'est à cet enjeu qu'invite l'Enseignement catholique depuis 2016. En effet, tenter de vivre de façon effective en communauté éducative, c'est penser qu'élèves, enseignants, éducateurs, parents, personnel éducatifs et administratifs, bénévoles et animateurs de la vie pastorale, chefs d'établissement occupent chacun au quotidien un espace d'engagement et de confiance dans lequel ils peuvent vivre leur fonction de façon autonome et responsable. Nous sommes convaincus que nous avons beaucoup à gagner à relire notre quotidien en permettant à chacun d'avoir une parole écoutée et entendue. Dans le cadre d'une mobilisation nationale de l'Enseignement catholique, tous les établissements sont invités à 5 jours de réflexion et d'échange au sein des communautés éducatives du 4 au 9 février 2019. Les établissements sont invités à la réflexion, au débat, à l'exploration : il s'agit d'oser penser autrement une culture de la Responsabilité. En Haute Savoie cette semaine sera articulée autour d'un rassemblement des communautés éducatives qui aura lieu le mercredi 6 février. Vidéo : interview de Pascal Balmand, secrétaire général de l'Enseignement catholique, sur le réenchantement de l'école. Le réenchantement pour l'Enseignement catholique en Haute-Savoie Depuis septembre 2016, des membres des communautés éducatives se réunissant avec l'équipe de la Direction diocésaine ont formé le Conseil du réenchantement de l'Enseignement catholique de Haute-Savoie. Ce travail a permis la réalisation d'un important dossier d'animation qui a été remis à chaque chef d'établissement le
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France Stratégie - Document de travail - Quand la scolarisation à 2 ans n'a p... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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France Stratégie - Synthèse - Quand la scolarisation à 2 ans n'a pas les effe... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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L'enseignement catholique se couche devant le lobby LGBT - 0 views

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    "L'enseignement catholique se couche devant le lobby LGBT Hier et le coq chanta 3 fois ! Sabine de Villeroché C'est peut-être ça « l'effet Toubon »… Coïncidence ? Hier, c'était la « Journée des droits de l'enfant » avec son inévitable publication du rapport du défenseur des droits, Mr Jacques Toubon, et c'était aussi le jour qu'a choisi le diocèse catholique de Rodez pour tomber dans les bras du lobby LGBT. Dans l'Aveyron, l'affaire avait fait un peu de bruit ces derniers jours : des parents des très privés collèges Saint Joseph de Rodez et Sainte-Marie de Cassagnes-Begonhès se sont émus de la programmation du spectacle débat « X, Y et Moi ? » destiné aux élèves. Pas de quoi fouetter un chat, selon les responsables diocésains qui se sont excusés bien bas auprès de la troupe… du « trouble » occasionné par certains réfractaires entraînant « un climat de défiance auprès de nombreuses familles »…Un vrai baiser de Judas ! Les chefs d'établissement concernés, conjointement avec la direction diocésaine et l'évêque de Rodez se justifient « des qualités de ce spectacle qui a le mérite d'inviter (les élèves) à réfléchir sur l'égalité et la complémentarité hommes / femmes. »… et le coq chanta 3 fois ! La dite troupe théâtrale Cie L'An 01 qui anime des « Festivals des fiertés promet « du lourd »: « Sous le prétexte d'une fausse conférence autour de la couleur rose et de son histoire au fil des siècles, nous souhaitons, avec humour et provocation, proposer une redistribution des rôles et des codes masculins et féminins au-delà d'une classification imposée par certains outils d'expression de notre société. Il s'agit d'ouvrir notre esprit critique et de se repenser en tant qu'individu (…) D'où viennent ces inégalités ? Elles perdurent depuis des siècles et sont d'origines religieuse ou socioculturelle. Outre ces origines, la sociabilisation des
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IFOP - Les Français et l'école : état des lieux et perspectives d'évolution - 0 views

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    "A quelques jours de la rentrée scolaire, Ifop-Fiducial a mené un état des lieux et des perspectives d'évolutions de l'école auprès des Français. Les personnes interrogées voient comme priorités de l'école la transmission à chacun des connaissances et des savoirs (à 89%, en hausse de 14 points en 5 ans) ainsi que la favorisation de l'intégration et la réduction des inégalités (36%, baisse d'un point en 5 ans). Seuls 4% des Français imaginent que l'école doit permettre la sélection des meilleurs (en particulier les électeurs d'Éric Zemmour, à 11%). Les Français montrent des opinions très variées sur le fonctionnement de l'enseignement selon le niveau. Ainsi, 77% déclarent que l'école maternelle fonctionne bien, 65% pour le primaire, 52% pour l'enseignement supérieur, mais seulement 41% pour le collège et le lycée. Les électeurs d'Emmanuel Macron se distinguent en étant les seuls à juger que cela fonctionne bien pour tous les niveaux de façon nettement supérieure à l'ensemble de la population. De plus, la dynamique ne semble pas aller dans le bon sens pour l'évolution de la situation dans les milieux où cela fonctionne le moins bien. Pour 71% des Français, la situation se dégrade dans les collèges, 69% dans les lycées, 59% dans l'enseignement supérieur, 52% à l'école primaire et 36% à l'école maternelle. Pour endiguer cette dégradation de l'enseignement en France, les personnes interrogées suggèrent avant tout de mieux former et mieux évaluer les enseignants (61%, moins 5 points en 9 ans), de recruter davantage d'enseignants (56%, plus 24 points) ou bien encore de mieux répartir les moyens entre territoires favorisés et territoires défavorisés (28%, moins 10 points), au même niveau que la nécessité d'accorder plus d'autonomie aux chefs établissements scolaires, notamment en matière de recrutement des enseignants."
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France Stratégie - Quelle finalité pour l'école ? - Rapport complet - 0 views

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    La crise de sens qui traverse l'École interroge le nombre et la nature des missions qui lui sont confiées. Quelle école voulons-nous ? Question éminemment politique qui exige de disposer en amont d'une vision globale de l'École et de ses finalités possibles. De la logique « méritocratique » Notre école va mal. On en attend trop, or elle ne peut pas tout faire. C'est en somme le constat dont est parti le groupe de travail à l'origine de ce rapport. L'École est aujourd'hui prise en tenaille entre plusieurs objectifs, parfois contradictoires. Elle se doit avant tout d'être garante de l'égalité des chances en offrant à tous les élèves le même enseignement. C'est la logique méritocratique à la base de notre contrat social. Assurer une compétition scolaire (formellement) équitable légitime une distribution des places dans la société, déterminée ensuite, plus qu'ailleurs en France, par le diplôme. Mais il lui est aussi demandé de faire de tous les élèves des citoyens éclairés et des adultes employables, d'assurer la mixité sociale, de sensibiliser à l'écologie… La force et le nombre de ces attentes, légitimes, questionnent la primauté accordée à la mission de sélection méritocratique des élites par l'École. Cette priorité implicite rend en effet toute autre finalité, au mieux secondaire, au pire impraticable, notamment parce qu'elle suppose un enseignement uniforme. La contradiction justifie de poser clairement la question des finalités que nous souhaitons assigner au système scolaire. Quelle école voulons-nous ? Que serait-elle surtout si l'objectif de sélection était retardé et que le système pouvait être organisé autrement que par et pour la compétition ? Bref, si « tout ne s'y jouait plus » ? Des alternatives possibles C'est à cette question que répond le rapport en examinant trois modèles idéaux d'école répondant, chacun, à une finalité alternative : prépare
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Fondation Copernic - La stratégie du choc pour casser les lycées, museler la ... - 0 views

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    "Le gouvernement projette une réforme en profondeur de l'enseignement secondaire. Il faut en apercevoir les enjeux, souvent dissimulés mais nombreux et dramatiques, pour les familles d'origine populaire, pour la qualité des enseignements dispensés, pour le travail des enseignants…et au-delà, pour la formation même de l'esprit critique. Le texte de Philippe Boursier, professeur de sciences économiques et sociales, syndicaliste et membre du conseil d'administration de la Fondation Copernic, éclaire de façon limpide les dégâts qui s'annoncent. Lesquels vont se conjuguer aux régressions sur l'apprentissage et aux discriminations mises en place avec la sélection sociale imposée via le dispositif Parcoursup, pour entrer à l'université."
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IFOP / Fondation pour l'école - Les Français et l'égalité des chances à l'école - 0 views

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    Le sondage réalisé par l'Ifop pour la Fondation pour l'Ecole révèle un regard particulièrement pessimiste des Français sur la question de l'égalité des chances dans le système scolaire. Ainsi pour 65% des personnes interrogées le système scolaire français n'assure pas les mêmes chances de réussite à chaque enfant. Un constat tout aussi sévère parmi les parents d'enfants scolarisés, puisque 62% d'entre eux partagent cette opinion. L'enquête souligne également un niveau de confiance plus élevé dans les établissements privés que publics : 50% des Français considèrent que les enfants qui ne sont pas aidés chez eux pour leurs devoirs ont plus de chances de réussite s'ils sont scolarisés dans une école privée, alors que seulement 6% partagent la même opinion concernant le public. Les établissements scolaires de pédagogie et de styles éducatifs alternatifs (type Montessori) rencontrent par ailleurs une forte adhésion : pour 79% des répondants et 79% des parents d'enfants scolarisés, les chances de réussite de chaque enfant seraient augmentées si ces établissements étaient financièrement accessibles à tous.
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Vatican - Demeurer dans le Seigneur (1er avril 2020) - 0 views

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    "Aujourd'hui, je voudrais que nous priions pour tous ceux qui travaillent dans les médias, qui travaillent pour communiquer, actuellement, pour que les gens ne soient pas trop isolés; pour l'éducation des enfants, pour l'information, pour aider à supporter ce temps de fermeture. "
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IFOP - Résultats - Baromètre auprès des parnets d'élèves du primaire et du se... - 0 views

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    QUAND LES PARENTS NOTENT L'ECOLE… BAROMÈTRE AUPRÈS DES PARENTS D'ÉLÈVES DU PRIMAIRE ET DU SECONDAIRE Réalisé auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 parents d'élèves du primaire et du secondaire, ce dispositif d'envergure, qui a vocation à prendre chaque année le pouls de l'opinion des parents sur le système éducatif, s'avère riche en enseignements : Une défiance personnelle à l'égard du ministre de l'Éducation nationale, dont la popularité en berne est probablement lestée par une gestion de la grève du Bac sur laquelle les avis sont mitigés. Les Français portent un jugement sévère sur le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse : à peine 43 % des parents d'élèves ont actuellement une bonne opinion de Jean-Michel Blanquer, soit un niveau nettement inférieur à la cote de popularité mesurée l'an dernier chez l'ensemble des Français (62 % février 2018[1]). Il est probable que sa gestion de la grève du Baccalauréat ait impacté l'opinion que les parents d'élèves ont à son égard, ces derniers ayant un avis très mitigé sur la pertinence de sa décision de prendre en compte les notes du contrôle continu (52 % approuvent sa décision, 48 % la désapprouvent). Une défiance à l'égard de la capacité du ministère à s'atteler aux grands enjeux de l'École tels que la lutte contre le mal-être des enseignants, la violence scolaire ou l'amélioration du niveau des élèves. Alors que les récents suicides d'une directrice d'école et d'un enseignant de lycée professionnel ont encore montré l'ampleur du malaise du personnel de l'Education nationale, une large majorité des parents exprime leur défiance à l'égard du ministère pour résoudre le mal-être des enseignants (68 %). De même, alors que la détérioration de l'autorité des enseignants (86 % le constatant) et des conditions de sécurité (68 %, soit une hausse de 7 point
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