"la loi Blanquer aggrave la loi Debré
200 millions d'euros à payer en plus pour nos communes : la loi Blanquer aggrave la loi Debré
L'enseignement catholique (95 % des écoles privées) est aux anges."
"Au-delà des polémiques sur le voile, que reste-t-il de la loi de 1905 dans les salles de classe ? La parole aux enseignants, chefs d'établissement, CPE..."
QUAND LES PARENTS NOTENT L'ECOLE… BAROMÈTRE AUPRÈS DES PARENTS D'ÉLÈVES DU PRIMAIRE ET DU SECONDAIRE
Réalisé auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 parents d'élèves du primaire et du secondaire, ce dispositif d'envergure, qui a vocation à prendre chaque année le pouls de l'opinion des parents sur le système éducatif, s'avère riche en enseignements :
Une défiance personnelle à l'égard du ministre de l'Éducation nationale, dont la popularité en berne est probablement lestée par une gestion de la grève du Bac sur laquelle les avis sont mitigés.
Les Français portent un jugement sévère sur le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse : à peine 43 % des parents d'élèves ont actuellement une bonne opinion de Jean-Michel Blanquer, soit un niveau nettement inférieur à la cote de popularité mesurée l'an dernier chez l'ensemble des Français (62 % février 2018[1]).
Il est probable que sa gestion de la grève du Baccalauréat ait impacté l'opinion que les parents d'élèves ont à son égard, ces derniers ayant un avis très mitigé sur la pertinence de sa décision de prendre en compte les notes du contrôle continu (52 % approuvent sa décision, 48 % la désapprouvent).
Une défiance à l'égard de la capacité du ministère à s'atteler aux grands enjeux de l'École tels que la lutte contre le mal-être des enseignants, la violence scolaire ou l'amélioration du niveau des élèves.
Alors que les récents suicides d'une directrice d'école et d'un enseignant de lycée professionnel ont encore montré l'ampleur du malaise du personnel de l'Education nationale, une large majorité des parents exprime leur défiance à l'égard du ministère pour résoudre le mal-être des enseignants (68 %).
De même, alors que la détérioration de l'autorité des enseignants (86 % le constatant) et des conditions de sécurité (68 %, soit une hausse de 7 point
"Jacqueline Eustache-Brinio (LR) à l'origine de la proposition d'une proposition de loi débattue ce mardi échange avec Esther Benbassa (EELV) qui y est radicalement opposée."
QUAND LES PARENTS NOTENT L'ECOLE… BAROMÈTRE AUPRÈS DES PARENTS D'ÉLÈVES DU PRIMAIRE ET DU SECONDAIRE
Réalisé auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 parents d'élèves du primaire et du secondaire, ce dispositif d'envergure, qui a vocation à prendre chaque année le pouls de l'opinion des parents sur le système éducatif, s'avère riche en enseignements :
Une défiance personnelle à l'égard du ministre de l'Éducation nationale, dont la popularité en berne est probablement lestée par une gestion de la grève du Bac sur laquelle les avis sont mitigés.
Les Français portent un jugement sévère sur le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse : à peine 43 % des parents d'élèves ont actuellement une bonne opinion de Jean-Michel Blanquer, soit un niveau nettement inférieur à la cote de popularité mesurée l'an dernier chez l'ensemble des Français (62 % février 2018[1]).
Il est probable que sa gestion de la grève du Baccalauréat ait impacté l'opinion que les parents d'élèves ont à son égard, ces derniers ayant un avis très mitigé sur la pertinence de sa décision de prendre en compte les notes du contrôle continu (52 % approuvent sa décision, 48 % la désapprouvent).
Une défiance à l'égard de la capacité du ministère à s'atteler aux grands enjeux de l'École tels que la lutte contre le mal-être des enseignants, la violence scolaire ou l'amélioration du niveau des élèves.
Alors que les récents suicides d'une directrice d'école et d'un enseignant de lycée professionnel ont encore montré l'ampleur du malaise du personnel de l'Education nationale, une large majorité des parents exprime leur défiance à l'égard du ministère pour résoudre le mal-être des enseignants (68 %).
De même, alors que la détérioration de l'autorité des enseignants (86 % le constatant) et des conditions de sécurité (68 %, soit une hausse de 7 point
"Le débat au sein du gouvernement sur le port du foulard a ravivé, chez les directeurs d'école, des questionnements que certains pensaient « dépassés »."