Parmi ces fondamentaux, il existe une «règle» qui consiste à concevoir que seule (ou presque) l’industrie du luxe doit s’attacher à mieux connaître pour mieux servir ses (plus rares) clients, le reste faisant l’objet d’un traitement de masse, anonymisé, “inconsidéré”, et mécanisé, dans les «data centers» et exploité par les stratèges du marketing
Il faut reconnaître qu’à défaut d’autre choix, cela a plutôt bien fonctionné jusqu’alors !
Mais, n’a-t-on pas oublié la personne, l’individu dans sa singularité ?
Plus que de la connaissance, un besoin de reconnaissance, de considération !