Skip to main content

Home/ Famille/ Group items tagged IVG

Rss Feed Group items tagged

Veille & Documentation

Drees - Interruptions volontaires de grossesse : une hausse confirmée en 2019 - 0 views

  •  
    En 2019, 232 200 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été enregistrées en France, dont 217 500 concernent des femmes résidant en métropole. Le taux de recours est à son niveau le plus élevé depuis 1990 et atteint 15,6 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en métropole et 28,2 dans les départements et régions d'outre-mer (DROM). Ce sont les jeunes femmes de 20 à 29 ans qui restent les plus concernées, leur taux de recours étant de 27,9 IVG pour 1 000 femmes en France entière. Les écarts régionaux perdurent, les taux de recours allant du simple au triple selon les régions. En métropole, ils varient de 11,8 IVG pour 1 000 femmes en Pays de la Loire à 22,9 IVG en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Plus élevés dans les DROM, ils dépassent 39 pour 1 000 femmes en Guadeloupe et en Guyane. 61 500 IVG ont été réalisées hors d'une structure hospitalière, soit 25,4 % du total des IVG en métropole et 41,6 % dans les DROM. À l'hôpital, la part des IVG instrumentales continue de décroître : elle est de 41 %, soit 30 % du total des IVG. Pour la première fois, les données sur les IVG ont été appariées avec des données fiscales pour l'année 2016. Elles montrent une corrélation nette entre niveau de vie et IVG ; les femmes les plus précaires y recourent sensiblement plus que les plus aisées.
Veille & Documentation

DREES - 216 700 interruptions volontaires de grossesse en 2017 - 0 views

  •  
    En 2017, 216 700 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, dont 202 900 auprès de femmes résidant en Métropole. Le taux de recours s'élève à 14,4 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en Métropole et à 26,1 dans les départements et régions d'outremer (DROM). Les jeunes femmes (20 à 24 ans) restent les plus concernées, avec un taux de 26,7 IVG pour 1 000 femmes pour la France entière. L'indice conjoncturel d'avortement se maintient à 0,53 IVG par femme en 2017. Les écarts régionaux perdurent, les taux de recours allant du simple au double selon les régions. En Métropole, ils varient de 10,2 IVG pour 1 000 femmes en Pays de la Loire à 21,4 IVG en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ils sont souvent plus élevés dans les DROM et atteignent 33,6 en Guadeloupe. 48 100 IVG ont été réalisées hors d'une structure hospitalière, soit 22 % du total des IVG. À l'hôpital, la part des IVG instrumentales continue de décroître et s'élève à 41 %, soit 32 % du total des IVG.
Veille & Documentation

DREES - 211 900 interruptions volontaires de grossesse en 2016 - 0 views

  •  
    En 2016, 211 900 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, dont 197 800 en Métropole. Leur nombre est en légère baisse pour la troisième année consécutive. Le taux de recours est de 13,9 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en Métropole et de 25,2 dans les départements et régions d'outre-mer (DROM). Les femmes de 20 à 24 ans restent les plus concernées, avec un taux de 26,0 IVG pour 1 000 femmes. Les taux continuent de décroître chez les moins de 20 ans, atteignant 6,7 recours pour 1 000 femmes parmi les 15-17 ans et 17,8 parmi les 18-19 ans. L'indice conjoncturel d'avortement s'établit à 0,52 IVG par femme en 2016. Les écarts régionaux perdurent, les recours allant du simple au double selon les régions : de 10,3 IVG pour 1 000 femmes en Pays de la Loire à 20,1 IVG en Provence-Alpes-Côte d'Azur et plus de 25 IVG dans les DROM. 34 700 IVG ont été réalisées hors d'une structure hospitalière en Métropole, et 3 500 dans les DROM, soit 18 % du total des IVG, comme en 2015. À l'hôpital, la part des IVG instrumentales continue de décroître et s'élève à 44 %.
Veille & Documentation

Assemblée nationale - Délégation aux droits des femmes - Rapport d'informatio... - 0 views

  •  
    SYNTHÈSE DES PROPOSITIONS Recommandation n° 1 : mettre en place une exonération généralisée d'avance de frais pour les femmes souhaitant recourir à une IVG. Recommandation n° 2 : clarifier la réglementation afin de garantir le droit à l'anonymat et à la confidentialité de l'IVG pour toutes les femmes en établissant des procédures spécifiques, que ce soit en établissement de santé ou en ville. Recommandation n° 3 : aménager un cadre réglementaire clair, précisant le rôle et les prérogatives du directeur d'établissement scolaire lorsqu'une élève mineure souhaite avorter sans en informer ses parents. Cette disposition devrait faire l'objet d'une circulaire du ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse adressée à l'ensemble des chefs d'établissement de l'enseignement secondaire (collèges et lycées). Elle pourrait utilement figurer dans le Guide du chef d'établissement édicté en février 2009 par le ministère, dans la fiche 34 relative à la surveillance, au sein du paragraphe consacré à la gestion des absences. Recommandation n° 4 : aménager un cadre réglementaire permettant aux infirmiers scolaires d'endosser le rôle de majeur accompagnant une mineure souhaitant avoir recours à une IVG dans le cadre de leur service et sans engager leur responsabilité personnelle. Recommandation n° 5 : imposer à l'ensemble des hôpitaux publics d'assurer une prise en charge des IVG et de ne pas refuser les patientes dont la grossesse se situe en fin de délai légal, celles-ci constituant une urgence absolue, afin d'assurer une offre de soins équitable sur l'ensemble du territoire. Recommandation n° 6 : pérenniser l'allongement du délai de recours à l'IVG médicamenteuse en ville de cinq à sept semaines de grossesse, conformément à ce qui est déjà autorisé pour l'IVG médicamenteuse réalisée en milieu hospitalier. Recommandation n° 7 : lutter contre la désinformation sur internet en p
Veille & Documentation

D'une loi à l'autre, l'IVG continue de se banaliser - Bioéthique - Société | ... - 0 views

  •  
    "Le projet de loi Santé discuté en séance publique à partir du 31 mars jusqu'au 10 avril contient de façon éparse plusieurs dispositions visant à poursuivre la banalisation de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) en France. Hormis la suppression du délai de réflexion qui a d'ores et déjà suscité de nombreuses réactions, d'autres articles et amendements s'inscrivent dans la logique d'assouplissement de la procédure d'IVG afin de rendre l'avortement toujours plus « accessible ». Alors que de plus en plus de médecins répugnent à pratiquer des avortements, en particulier parmi la nouvelle génération, le gouvernement opte pour l'élargissement du personnel médical autorisé à pratiquer des IVG. Ainsi, l'article 31 du projet de loi Santé prévoit que les sages-femmes pourront réaliser l'IVG médicamenteuse. La question de maintenir ou non l'objection de conscience sur l'acte est également venue alimenter les débats. Si un amendement en ce sens a été retiré en commission des Affaires sociales, il ne serait pas surprenant de voir le sujet à nouveau abordé dans l'hémicycle. Enfin, Marisol Touraine avait elle-même annoncé, lors de la présentation de son plan IVG à la mi-janvier, son intention de présenter un amendement gouvernemental au projet de loi Santé. Celui-ci permettrait à des médecins de pratiquer des IVG chirurgicales dans des centres de santé, structures médicales de proximité. Toutes les dispositions relatives à l'IVG présentes dans le projet de loi Santé ont été répertoriées dans une infographie réalisée par le site d'actualité www.genethique.org."
Veille & Documentation

DREES - Etudes et Résultats - Les interruptions volontaires de grossesse en 2015 - 0 views

  •  
    En 2015, 218 100 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, dont 203 500 en Métropole. Leur nombre est relativement stable depuis 2006, avec un taux de recours de 14,4 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans dans la Métropole et de 26,5 dans les DOM. Les femmes de 20 à 24 ans restent les plus concernées, avec un taux de 27 IVG pour 1 000 femmes, tandis que les taux continuent à décroître chez les femmes de moins de 20 ans, atteignant 7,6 recours pour 1 000 femmes parmi les 15-17 ans et 19,5 parmi les 18-19 ans. L'indice conjoncturel d'avortement est stable depuis 2006 et correspond à 0,54 IVG par femme.
Veille & Documentation

DRESS - Synthèse - IVG État des lieux et perspectives d'évolution du système ... - 0 views

  •  
    La Commission sur les données et la connaissance de l'interruption volontaire de grossesse (IVG), mise en place en 2015 par Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, dans le cadre du programme national d'action pour améliorer l'accès à l'IVG en France, publie aujourd'hui son rapport. Ce rapport, intitulé « IVG : état des lieux et perspectives d'évolution du système d'information », synthétise les travaux menés pendant un an par la Commission. Il rappelle que le nombre d'IVG en France est stable depuis une dizaine d'années, avec 218 100 IVG réalisées en 2015, et marqué par d'importantes disparités régionales. Il montre que si les conditions d'accès à l'IVG sont globalement satisfaisantes, des difficultés persistent, en particulier chez les femmes les plus jeunes ou connaissant une situation socio-économique précaire. Il souligne le besoin d'améliorer les connaissances concernant d'une part l'adéquation de l'offre aux attentes des femmes (accessibilité géographique, délais de prise en charge, méthodes proposées et accompagnement), et d'autre part leur parcours compris au sens large, englobant la contraception avant et après l'IVG. Parmi les recommandations de la Commission, l'élaboration d'un tableau de bord régional, à la demande des Agences régionales de santé, est déjà engagée, dans la perspective des plans d'actions régionaux d'accès à l'IVG. Faisant l'objet de la mesure 8 du programme national d'action présenté par Marisol Touraine le 16 janvier 2015 et chargée d'établir un état des lieux partagé de la pratique de l'IVG en France et du parcours des femmes, la commission sur les données et la connaissance de l'IVG a réuni les producteurs de données, des représentants des professionnels de santé, des chercheurs et des institutions et associations concernées par l'IVG. Elle a été pilotée par la Direction de la recherche, des Ã
Veille & Documentation

DREES - Rapport complet - IVG Etat des lieux et perspectives d'évolution du ... - 0 views

  •  
    La Commission sur les données et la connaissance de l'interruption volontaire de grossesse (IVG), mise en place en 2015 par Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, dans le cadre du programme national d'action pour améliorer l'accès à l'IVG en France, publie aujourd'hui son rapport. Ce rapport, intitulé « IVG : état des lieux et perspectives d'évolution du système d'information », synthétise les travaux menés pendant un an par la Commission. Il rappelle que le nombre d'IVG en France est stable depuis une dizaine d'années, avec 218 100 IVG réalisées en 2015, et marqué par d'importantes disparités régionales. Il montre que si les conditions d'accès à l'IVG sont globalement satisfaisantes, des difficultés persistent, en particulier chez les femmes les plus jeunes ou connaissant une situation socio-économique précaire. Il souligne le besoin d'améliorer les connaissances concernant d'une part l'adéquation de l'offre aux attentes des femmes (accessibilité géographique, délais de prise en charge, méthodes proposées et accompagnement), et d'autre part leur parcours compris au sens large, englobant la contraception avant et après l'IVG. Parmi les recommandations de la Commission, l'élaboration d'un tableau de bord régional, à la demande des Agences régionales de santé, est déjà engagée, dans la perspective des plans d'actions régionaux d'accès à l'IVG. Faisant l'objet de la mesure 8 du programme national d'action présenté par Marisol Touraine le 16 janvier 2015 et chargée d'établir un état des lieux partagé de la pratique de l'IVG en France et du parcours des femmes, la commission sur les données et la connaissance de l'IVG a réuni les producteurs de données, des représentants des professionnels de santé, des chercheurs et des institutions et associations concernées par l'IVG. Elle a été pilotée par la Direction de la recherche, des Ã
Veille & Documentation

Les anti-IVG pratiquent la désinformation sur le Web - 0 views

  •  
    "Tapez "IVG" ou "avortement" sur un moteur de recherche, et vous trouverez, parmi les premiers liens, des sites comme "ecouteivg.org" ou encore "ivg.net". En apparence, ce sont des sites d'information ou d'aide pour des femmes confrontées à la question de l'avortement. Pour certains c'est bel et bien le cas, et l'information, plus ou moins abondante, est fournie de manière neutre. Mais, comme l'a découvert l'AFP, qui a enquêté longuement sur le sujet, relayée par LeFigaro.fr, ce n'est pas le cas de tous, loin de là. Derrière l'apparence de l'information se cache en fait une manipulation."
Veille & Documentation

IVG : le futur combat pas très net de Vallaud-Belkacem - Nouvelles de France ... - 0 views

  •  
    "D'autre part, on peut se demander pourquoi de l'argent public devrait être mobilisé pour contrer des sites qui n'ont rien coûté au contribuable. Pourquoi ne trouve-t-on pas, symétriquement aux associations anti-IVG, des associations pro-IVG, financées avec l'argent de leurs membres (et pas des subventions publiques, merci) dont les fonds pourraient servir à une optimisation SEO un peu moins branquignole que celles des sites gouvernementaux actuels ? Qu'est-ce qui empêche les personnes qui se sentent concernées de lancer, à bon droit, une souscription, par exemple avec une émission télé pour récolter des dons (on pourrait l'appeler Avorthon, tiens) ? La loi autorise actuellement l'avortement pour les femmes qui le désirent. La loi autorise"
Veille & Documentation

IVG: fallait-il supprimer le délai de réflexion pour les femmes? - 0 views

  •  
    "es députés ont supprimé en commission dans la nuit de mercredi à jeudi le délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant une interruption volontaire de grossesse (IVG) dans un amendement au projet de loi Santé. IVG: fallait-il supprimer le délai de réflexion pour les femmes? "
Veille & Documentation

Le délai de réflexion pour une IVG supprimé par les députés - 0 views

  •  
    "ANTÉ - Les députés ont supprimé en commission dans la nuit de mercredi à jeudi 19 mars le délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant une interruption volontaire de grossesse (IVG) dans un amendement au projet de loi Santé. Actuellement, deux consultations médicales sont obligatoires avant l'IVG, avec un délai de réflexion d'une semaine entre les deux. Il peut cependant être réduit à 48 heures en cas d'urgence, c'est-à-dire lorsque le délai légal de 12 semaines de grossesse approche. La clause de conscience maintenue Un autre amendement de la présidente de la délégation aux Droits des femmes Catherine Coutelle (PS) proposait de supprimer la clause de conscience permettant aux médecins de refuser de pratiquer une IVG. Elle estimait en effet cette disposition spécifique à l'avortement redondante avec la clause de conscience générale, s'appliquant à tous les actes médicaux et inscrite dans le Code de la santé publique"
Veille & Documentation

Délai de réflexion et IVG | Net-iris 2015 - 0 views

  •  
    "Le délai de réflexion d'une semaine avant de pratiquer une IVG, pouvant ne pas être respecté en cas d'urgence, pourrait être supprimé par la loi Santé. Le projet de loi Santé (1) en cours d'examen par l'Assemblée Nationale prévoit de modifier le régime juridique applicable à l'IVG (2). Un amendement a en effet été adopté selon lequel le délai de réflexion actuellement imposé aux femmes d'une durée de 7 jours, sauf en cas d'urgence (lorsque la femme enceinte risque de dépasser le délai légal de 12 semaines lui permettant d'interrompre se grossesse), serait supprimé. Rappelons en effet qu'actuellement, la loi autorise qu'il soit mis fin à une grossesse avant la fin de la 14ème semaine après le début des dernières règles (12 semaines de grossesse). Notons également que la femme majeure dispose du droit d'apprécier elle-même la situation sans que son conjoint ou le père de l'enfant ait à être consulté (3). La patiente, lors d'un premier entretien avec le médecin, est informée des méthodes médicales et chirurgicales utilisées, et des risques présentés par une telle intervention (4). La femme majeure se voit alors proposer une seconde consultation au cours de laquelle des conseils et une assistance peuvent lui être apportés, et peut choisir de l'accepter ou non. La femme mineure, en revanche, ne peut pas refuser d'en bénéficier. A l'issue du premier entretien, un délai de réflexion (5) d'une semaine est accordé avant de recueillir une conformation écrite de sa volonté de recourir à l'IVG. Ce délai de réflexion peut ne pas être respecté si l'urgence de la situation l'impose (c'est à dire si la femme risque de dépasser le délai légal pour pratiquer l'IVG). En outre, si la seconde consultation a eu lieu, un délai de 2 jours doit être respecté à son issue (ce délai de 2 jours pouvant être compris dans le délai de 7 jours susvisé). Ce délai d'une semaine, ne paraissant toutefois pas déraisonnable com
Veille & Documentation

IVG : supprimer le délai de réflexion, c'est supprimer le libre-choix - 0 views

  •  
    "Un rapport de la Délégation aux Droits des Femmes, présenté le 18 février dernier, propose la suppression des 7 jours de réflexion obligatoire jusque-là en vigueur pour les femmes demandant une Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). Les AFC sont consternées par cette volonté mortifère qui prévaut dans notre pays, qui, avec 210 000 avortements annuels et des mesures répétées pour favoriser les IVG, se montre incapable de protéger la vie des plus faibles de ses membres."
Veille & Documentation

IVG : supprimer le délai de réflexion, c'est supprimer le libre-choix - 0 views

  •  
    "e 19 mars dernier, les députés ont voté l'amendement au projet de loi santé qui demande la suppression des 7 jours de réflexion obligatoire jusque-là en vigueur pour les femmes demandant une Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). Après le remboursement à 100% de l'IVG en 2013, la suppression de la condition de détresse et la prétendue reconnaissance d'un « droit fondamental » en 2014, ce rapport encourage à faire de l'IVG une réponse impulsive à une situation imprévue sans laisser aux femmes le temps de la réflexion et donc du libre choix. Il est plus que paradoxal, voire inquiétant, que la Loi Hamon de mars 2014 ait porté à 14 jours le délai de réflexion minimum pour des montants bien plus faibles qu'un achat immobilier, et que pour le devenir de l'être humain (celui de la mère comme celui de l'enfant), on veuille retirer cette prérogative... L'éthique et les droits de l'homme n'auraient-ils plus cours en France ? Par ailleurs, une fois encore, cet amendement a fait l'objet d'un vote nocturne. Est-ce le meilleur moment pour débattre, lorsque la vie d'êtres humains est en jeu ? Ou bien est-ce encore une stratégie gouvernementale pour faire passer « de force » une loi dont il sait qu'elle suscitera polémique et désapprobation ? Le procédé et les méthodes employées sont, une fois de plus, mesquins et condamnables. Ce vote reflète cette volonté mortifère qui prévaut dans notre pays, qui, avec 210 000 avortements annuels et des mesures répétées pour favoriser les IVG, se montre incapable de protéger la vie des plus faibles de ses membres et d'éviter le recours systématique à l'IVG. Les AFC appellent une nouvelle fois et avec insistance à une action politique qui mette tout en œuvre pour chercher des solutions de prévention, et proposer aussi des alternatives et d'aides efficaces afin de résoudre le drame de l'avortement, qui arrête la vie d'un enfant à naître et blesse profondément la femme. Elles inter
Veille & Documentation

FAIT-RELIGIEUX | fr | Manifestation de militants anti-avortement à Paris | Pa... - 0 views

  •  
    "Plusieurs milliers de militants anti-avortement, 16.000 selon la préfecture, 40.000 selon les organisateurs, ont manifesté dimanche 19 janvier à Paris, à la veille de l'examen à l'Assemblée nationale du projet de loi pour l'égalité hommes-femmes, dont deux amendements prévoient d'assouplir le recours à l'interruption volontaire de grossesse (IVG) en France : l'un supprime la notion de « situation de détresse » dans le recours à l'avortement, l'autre sanctionne le « délit d'entrave » à l'IVG. En réponse aux anti-IVG, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées place d'Italie, toujours à Paris, pour défendre le droit à l'avortement."
Veille & Documentation

INED - Un recours moindre à l'IVG, mais plus souvent répété - 1 views

  •  
    Il y a quarante ans, le 17 janvier 1975, la loi relative à l'interruption volontaire de grossesse (IVG), dite loi Veil, dépénalisait le recours à l'avortement. Confirmée en 1979, la dépénalisation de l'IVG a été complétée par des aménagements législatifs rendant le recours moins difficile : remboursement par la sécurité sociale fin 1982, assouplissement de l'accès et allongement du délai légal en 2001. L'analyse des bulletins statistiques remplis à l'occasion des IVG permet de retracer l'évolution des comportements en France.
Veille & Documentation

Vallaud-Belkacem appelle les associations pro-IVG à se déployer sur internet ... - 0 views

  •  
    Par Delphine Legouté | 17/01/13 - 18:37 Najat Vallaud-Belkacem appelle les associations qui aident les femmes souhaitant avoir recours à une IVG à "lancer une contre-offensive sur internet" contre les sites pro-vie. A l'occasion d'une table ronde dans la maternité des Lilas (Seine-Saint-Denis) ce 17 janvier, pour célébrer le 38e anniversaire de la loi Veil sur l'interruption volontaire de grossesse, la ministre des Droits des femmes s'est inquiétée de l'influence des sites pro-vie "très bien référencés sur Google" :
Veille & Documentation

IVG médicamenteuses par les sages-femmes : Le SYNGOF pointe des risques | All... - 0 views

  •  
    "Dans un communiqué de presse du 13 juin 2016, le Syndicat national des gynécologues obstétriciens français (SYNGOF) dénonce les risques du décret publié le 2 juin, élargissant le champ d'action des sages-femmes aux interruptions médicamenteuses de grossesse et à la prescription des arrêts de travail post IVG."
Veille & Documentation

Le Figaro - Flash Présidentielle : Hollande veut plus de centres IVG - 0 views

  •  
    Presse Figaro Hollande veut plus de centres IVG ACY - vu le 12/03/2012
1 - 20 of 169 Next › Last »
Showing 20 items per page