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DREES - 216 700 interruptions volontaires de grossesse en 2017 - 0 views

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    En 2017, 216 700 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, dont 202 900 auprès de femmes résidant en Métropole. Le taux de recours s'élève à 14,4 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en Métropole et à 26,1 dans les départements et régions d'outremer (DROM). Les jeunes femmes (20 à 24 ans) restent les plus concernées, avec un taux de 26,7 IVG pour 1 000 femmes pour la France entière. L'indice conjoncturel d'avortement se maintient à 0,53 IVG par femme en 2017. Les écarts régionaux perdurent, les taux de recours allant du simple au double selon les régions. En Métropole, ils varient de 10,2 IVG pour 1 000 femmes en Pays de la Loire à 21,4 IVG en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ils sont souvent plus élevés dans les DROM et atteignent 33,6 en Guadeloupe. 48 100 IVG ont été réalisées hors d'une structure hospitalière, soit 22 % du total des IVG. À l'hôpital, la part des IVG instrumentales continue de décroître et s'élève à 41 %, soit 32 % du total des IVG.
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DREES - Le choix de la crèche comme mode d'accueil, entre bénéfices pour l'en... - 0 views

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    Fin 2013, en France métropolitaine, 23 % des enfants de moins de 3 ans sont confiés au moins une fois dans la semaine à un établissement d'accueil du jeune enfant (EAJE), c'est-à-dire à une crèche ou à une halte-garderie. Pour plus de la moitié d'entre eux, l'EAJE est le mode d'accueil principal : ils y passent la majeure partie de leur temps du lundi au vendredi, de 8 heures à 19 heures. Dans ce cas, neuf fois sur dix, l'EAJE était le premier choix des parents au moment de la recherche d'une solution d'accueil. Plus d'une fois sur deux, ce choix était motivé par les bénéfices supposés pour l'épanouissement et la socialisation de l'enfant. Un quart des enfants confiés à titre principal à un·e assistant·e maternel·le le sont à défaut d'avoir eu accès à un EAJE, en raison du manque de place disponible ou d'horaires incompatibles. Parmi les enfants confiés à un mode d'accueil formel payant, ceux dont au moins un parent ne travaille pas, ceux issus des ménages modestes et ceux qui résident en zone urbaine ont plus de chances d'être confiés à un EAJE qu'à un·e assistant·e maternel·le ou à un·e garde à domicile.Les enfants passent en moyenne 28 heures et demie par semaine dans l'EAJE, soit 4 heures et demie de plus qu'en 2007.
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Drees - En 2015, les enfants de moins de 3 ans sont en majorité accueillis ch... - 0 views

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    in 2015, près de 14 200 établissements accueillent des jeunes enfants sur l'ensemble du territoire français, hors Mayotte. Ils proposent 431 000 places, soit environ 7 600 de plus qu'en 2014. Les établissements d'accueil collectif (crèches, haltes-garderies, jardins d'enfants et établissements multiaccueil) regroupent 89 % de l'ensemble des places, les services d'accueil familial (crèches familiales) 11 %. La part des établissements multiaccueil (69 %) continue de progresser. Les microcrèches poursuivent également leur implantation et représentent 14 % des établissements et 5 % des places en accueil collectif. Parmi l'ensemble des modes d'accueil, l'offre la plus importante provient des assistant·e·s maternel·le·s employés directement par les parents (plus de 977 000 places, soit 69 % de l'offre globale). Par ailleurs, les maisons d'assistants maternels, dont la part dans l'offre d'accueil reste faible, sont en plein essor depuis leur institutionnalisation en 2010. Les départements de la région parisienne et du sud de la France disposent d'un nombre de places d'accueil collectif et familial supérieur à la moyenne nationale en proportion de la population des enfants de moins de 3 ans, mais l'accueil chez les assistant·e·s maternel·le·s y est moins développé.
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The Conversation - Et si la France repensait le congé paternité et offrait (e... - 0 views

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    "La France augmentera-t-elle la durée du congé paternité ? D'après les dernières données du baromètre de la Direction de la recherche des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) plus de six Français sur dix de 18 à 24 ans seraient favorables à l'allongement de ce congé, actuellement de onze jours et mis en place en janvier 2002. Si ce souhait devenait réalité, il pourrait améliorer de façon considérable la vie des femmes. Dans la conception traditionnelle de la spécialisation, de la séparation et de la complémentarité des tâches entre les femmes et les hommes, les hommes se voient assigner les activités dites de production (participation rémunérée au marché du travail), alors que les femmes sont destinées aux tâches dites de reproduction (tâches domestiques et de soins aux personnes proches - que l'on nomme aussi le « care », exercées à titre gratuit). Cette conception définit aujourd'hui encore des stéréotypes, des attentes, une organisation sociale (le temps, l'espace), des institutions qui façonnent les « rôles de genre » dévolus aux hommes et aux femmes."
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Drees - Travail le week-end : comment s'organisent les parents de jeunes enfants ? - 0 views

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    En France métropolitaine, plus de 3,5 millions de parents d'enfants mineurs - autant de pères que de mères - travaillent au moins un week-end sur deux. À caractéristiques équivalentes, les mères travaillent moins souvent le week-end que les femmes sans enfant. En revanche, les pères et les hommes sans enfant ont la même probabilité d'être dans ce cas. Les parents actifs le week-end bénéficient généralement d'un emploi du temps allégé en semaine. Cependant, ils sont confrontés à d'autres types de contraintes horaires, notamment lorsqu'ils travaillent le dimanche. 1,6 million d'enfants de moins de 6 ans (soit 39 % d'entre eux) ont un de leurs parents qui travaille le samedi ou le dimanche. Le week-end, ils sont alors, plus souvent que les enfants dont les parents travaillent uniquement du lundi au vendredi, gardés par l'autre parent ou confiés à leurs grands-parents. En contrepartie, en semaine, ils passent plus de temps avec leurs parents et moins de temps dans un mode d'accueil formel, surtout s'ils ne sont pas scolarisés. Enfin, les pères, au sein des couples qui travaillent le week-end, s'impliquent davantage que les autres pères actifs dans le partage des tâches de parentalité.
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DREES - Le quotidien des familles après une séparation : Etat de la recherche... - 0 views

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    Cette revue de littérature recense des résultats de recherche principalement sociologiques mais aussi d'études statistiques, en France et à l'étranger, sur les processus à l'oeuvre à la suite des séparations conjugales des couples ayant des enfants mineurs. Le dossier traite des définitions de la famille et des concepts les plus opérationnels dans les cas de familles séparées. Il présente ensuite les études existantes sur les pratiques de coparentalité d'une part, et l'importance de l'entourage familial et de la fratrie d'autre part après une séparation. Il se concentre par la suite sur les modalités d'exercice de l'autorité parentale, avant de décrire les modalités d'organisation résidentielle et financière des familles séparées, telles qu'elles apparaissent dans la littérature explorée. La position sociale des parents, le temps et l'espace ainsi que les normes sociales expliquent pour l'essentiel ces pratiques. Le dossier conclut sur les enjeux méthodologiques propres aux enquêtes sociologiques qualitatives et quantitatives sur ces thématiques et en particulier l'intérêt de considérer le réseau familial élargi ou d'observer des trajectoires de vie.
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DREES - 211 900 interruptions volontaires de grossesse en 2016 - 0 views

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    En 2016, 211 900 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, dont 197 800 en Métropole. Leur nombre est en légère baisse pour la troisième année consécutive. Le taux de recours est de 13,9 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en Métropole et de 25,2 dans les départements et régions d'outre-mer (DROM). Les femmes de 20 à 24 ans restent les plus concernées, avec un taux de 26,0 IVG pour 1 000 femmes. Les taux continuent de décroître chez les moins de 20 ans, atteignant 6,7 recours pour 1 000 femmes parmi les 15-17 ans et 17,8 parmi les 18-19 ans. L'indice conjoncturel d'avortement s'établit à 0,52 IVG par femme en 2016. Les écarts régionaux perdurent, les recours allant du simple au double selon les régions : de 10,3 IVG pour 1 000 femmes en Pays de la Loire à 20,1 IVG en Provence-Alpes-Côte d'Azur et plus de 25 IVG dans les DROM. 34 700 IVG ont été réalisées hors d'une structure hospitalière en Métropole, et 3 500 dans les DROM, soit 18 % du total des IVG, comme en 2015. À l'hôpital, la part des IVG instrumentales continue de décroître et s'élève à 44 %.
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Drees - Grandir en territoire rural : quelles différences de conditions de vi... - 0 views

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    En 2018, en France métropolitaine, un enfant sur trois vit en territoire rural. Ces enfants résident plus souvent avec leurs deux parents dans une famille « traditionnelle » que ceux des espaces urbains. Ils vivent moins souvent que les enfants urbains dans des familles pauvres (13 % contre 23 %) ou très aisées. Il y a en effet, dans les territoires ruraux, moins de familles monoparentales ou nombreuses, des parents plus souvent en emploi mais moins fréquemment dans les catégories sociales les plus favorisées, et moins de logements sociaux. Les enfants ruraux ont des conditions de logement plus favorables : neuf sur dix ont leur propre chambre et vivent dans une maison avec un espace extérieur (jardin, terrain, cour), contre respectivement sept sur dix et cinq sur dix en milieu urbain. En revanche, ils vivent plus loin des services et des équipements. Ils disposent, par exemple, en moyenne de huit places en crèche à moins de 15 minutes pour cent enfants de moins de 3 ans, contre vingt-six en milieu urbain. Leur temps d'accès aux professionnels de santé, en particulier aux spécialistes, est également plus long que celui des enfants urbains. Ils résident en moyenne à 25 minutes en voiture d'un pédiatre, contre 7 minutes en milieu urbain. Ils sont aussi plus éloignés de certains équipements culturels (cinémas, musées) et sportifs.
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Drees - Interruptions volontaires de grossesse : une hausse confirmée en 2019 - 0 views

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    En 2019, 232 200 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été enregistrées en France, dont 217 500 concernent des femmes résidant en métropole. Le taux de recours est à son niveau le plus élevé depuis 1990 et atteint 15,6 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en métropole et 28,2 dans les départements et régions d'outre-mer (DROM). Ce sont les jeunes femmes de 20 à 29 ans qui restent les plus concernées, leur taux de recours étant de 27,9 IVG pour 1 000 femmes en France entière. Les écarts régionaux perdurent, les taux de recours allant du simple au triple selon les régions. En métropole, ils varient de 11,8 IVG pour 1 000 femmes en Pays de la Loire à 22,9 IVG en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Plus élevés dans les DROM, ils dépassent 39 pour 1 000 femmes en Guadeloupe et en Guyane. 61 500 IVG ont été réalisées hors d'une structure hospitalière, soit 25,4 % du total des IVG en métropole et 41,6 % dans les DROM. À l'hôpital, la part des IVG instrumentales continue de décroître : elle est de 41 %, soit 30 % du total des IVG. Pour la première fois, les données sur les IVG ont été appariées avec des données fiscales pour l'année 2016. Elles montrent une corrélation nette entre niveau de vie et IVG ; les femmes les plus précaires y recourent sensiblement plus que les plus aisées.
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Drees - Aider un proche âgé à domicile : Résultat des post-enquêtes qualitati... - 0 views

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    Ce dossier présente les résultats des post-enquêtes qualitatives de l'enquête CARE-Ménages, qui a interrogé en 2015 des seniors et leurs aidants sur des thématiques diverses comme leur état de santé, les aides dont ils bénéficient au quotidien, le financement d'une dépendance éventuelle ou la répartition des efforts entre proches et professionnels. Les post-enquêtes avaient pour but de détailler des configurations d'aide en réinterrogeant des personnes ayant répondu à l'enquête quantitative et, selon les cas, de comprendre les formes d'investissement dans l'aide ou d'articulation entre l'aide et les autres activités des aidants. Nous présentons ici une synthèse des résultats des quatre projets retenus : « Poids et effet de genre dans l'aide aux seniors » (Maks Banens, CMW, CNRS) ; « Articulation travail-famille et gestion des temps sociaux » (Vincent Caradec, CeRIES, Université de Lille) ; « Analyse compréhensive de l'intensité de l'aide » (Isabelle Mallon, CMW, CNRS et ARENES, EHESP) ; « Vieillir à deux. Aides et entraide dans le couple » (Sylvie Renaut, URV, CNAV). Après l'exposé de réflexions communes aux quatre projets, nous présentons une synthèse de chacun d'entre eux, illustrée par quelques cas tirés des investigations détaillées des différents chercheurs y ayant participé. Les résultats transversaux qui émergent de ces quatre recherches, pourtant diverses, sont nombreux. Toutes soulignent l'ambivalence que l'aide peut recouvrir, pour les aidants comme pour les aidés. Entre fardeau et plaisir, sentiment d'utilité et de perte de temps, l'aide est souvent vécue comme un investissement intense qui peut être source tantôt de reconnaissance et de passion, tantôt de souffrance et de déception. Pour bien saisir cette aide multiforme, les post-enquêtes montrent qu'il est nécessaire de l'inscrire dans une écologie familiale, rendant difficile d'étudier les rapports à
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Drees - Communiqué - Un adutle sur sept vit chez ses parents, son conjoint ou... - 0 views

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    En France, d'après l'enquête Logement de l'Insee , 7,3 millions d'adultes habitent chez leurs parents, leur conjoint ou chez une autre personne. Ces adultes, qui ne figurent ni sur l'acte de propriété ni sur le bail de location, vivent pour la plupart chez leurs parents (65 %) ou chez leur conjoint (28 %). De façon plus marginale, certains résident chez leur enfant (2 %), chez un autre membre de leur famille (4 %) ou encore chez un tiers sans lien familial (1 %). Des incidents de la vie sont parfois à l'origine de ces situations.
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Drees - Parents d'enfant handicapé : davantage de familles monoparentales, un... - 2 views

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    En moyenne en 2016 et 2017, 292 000 ménages bénéficient de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) en France métropolitaine. Cette allocation, destinée aux parents d'enfant handicapé, vise à compenser les frais engendrés en matière d'éducation et de soins. Les parents qui en sont bénéficiaires sont plus âgés que les autres parents d'enfant de moins de 20 ans, reflet sans doute du temps nécessaire à la mise en place d'un diagnostic et à la reconnaissance administrative du handicap de leur enfant. Ils sont moins souvent diplômés de l'enseignement supérieur. Ils vivent plus souvent en famille nombreuse ou en famille monoparentale. Il est également beaucoup plus fréquent qu'au moins l'un des parents ne travaille pas, le plus souvent la mère. Ainsi, les mères d'enfant handicapé déclarent 2,5 fois plus souvent que les autres mères être inactives pour s'occuper d'un enfant ou d'une personne dépendante. Par ailleurs, quand elles travaillent, elles sont plus souvent à temps partiel (42 % contre 31 %). La situation moins favorable des parents d'enfant handicapé sur le marché du travail s'accompagne d'une plus grande fragilité économique : leur niveau de vie mensuel moyen est de 1 567 euros, soit 272 euros de moins que les autres ménages avec enfant de moins de 20 ans. Les ménages bénéficiaires de l'AEEH vivent sous le seuil de pauvreté dans 24 % des cas, contre 17 % pour les autres ménages avec enfants.
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les IVG en 2010 document pdf de la DREES - 0 views

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    Les IVG en 2010
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Les interruptions volontaires de grossesse en 2010 - Drees - Ministère des Af... - 0 views

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    Institution DRESS - Ministère des affaires sociales et de la santé Document - Etude statistique : les interruptions volontaires de grossesse en 2010 CS - Vu le 03/07/2012
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N'publiez pas l'avortement ! Pierre-Olivier Arduin sur lanef.net - Culture de mort - 0 views

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    "Dans une indifférence quasi générale, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) a rendu publics cet été les derniers chiffres sur l'« interruption volontaire de grossesse » en France (1). Sans surprise, on y apprend que le nombre d'avortements reste l'un des plus élevés des États européens avec 222 500 IVG réalisées en 2011. Les auteurs peinent une nouvelle fois à interpréter ces statistiques : « Le nombre d'IVG, y compris chez les plus jeunes, ne s'explique pas par un défaut de couverture contraceptive » (p. 3). Et pour cause, selon le dernier Baromètre Santé du ministère de la santé, 91 % des Françaises « sexuellement actives » utilisent une méthode contraceptive tandis que plus d'un million de pilules du lendemain et du surlendemain - dont le mécanisme antinidatoire équivaut à un avortement précoce de l'embryon - ont été vendues en 2011. "
Sophie Chergui

Combien coûte l'éducation des enfants - 0 views

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    "La Drees vient de publier un dossier sur le coût des enfants pour les familles. De nettes différences apparaissent entre les familles monoparentales et les couples. Surprise : les familles de trois enfants dépensent moins que celles avec deux enfants."
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DRESS - L'offre d'accueil collectif des enfants de mons de trois ans en 2015 - 0 views

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    À la fin de l'année 2015, 14 200 établissements accueillent des jeunes enfants de moins de 3 ans. Ils offrent globalement 430 700 places, soit près de 7 600 places de plus qu'en 2014 et 149 300 de plus que 20 ans plus tôt. Les établissements d'accueil collectif proposent aux familles 89 % de l'ensemble des places (crèches collectives, haltes-garderies, jardins d'enfants et établissements multi-accueil), contre 11 % dans les services d'accueil familial (dits « crèches familiales »). À eux seuls, les établissements multi-accueil offrent 69 % des places dans les structures d'accueil collectif, une part qui a fortement progressé en vingt ans puisqu'elle n'était que de 15 % en 1995. Les disparités de taux d'équipements entre départements persistent. Ceux de la région parisienne et ceux du sud de la France disposent d'un nombre de places d'accueil collectif et familial, supérieur à la moyenne nationale, les départements de la moitié nord de la France étant moins bien dotés. L'offre des assistants maternels, directement employés par des particuliers, est évaluée à 977 000 places potentielles et représente 69 % de l'offre totale d'accueil. Ces places ne se répartissent pas géographiquement de la même manière que celles de l'accueil collectif. La physionomie de la répartition territoriale de l'offre d'accueil globale (accueil collectif, accueil familial, assistants maternels et scolarisation des enfants de moins de 3 ans) est ainsi différente. C'est autour d'un axe allant des départements de la Loire-Atlantique à ceux de la Bourgogne-Franche Comté que se situent les départements les mieux dotés.
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Telos - Politiques familiales: qu'attendent les Français? - 2 views

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    "Deux enquêtes barométriques d'opinion, produites par la DREES et par le CREDOC, portent pour partie sur les sujets de politiques familiales."
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