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Home/ Groups/ Mission FNEP 2008
Fred L

Ecosysteme-croissance.com - Pour un écosystème de la croissance - 0 views

  • os dirigeants comme de nombreux chefs d’entreprises se demandent comment rester compétitifs face à la concurrence des pays à bas coûts de main d’œuvre. Quand le salaire d’un ouvrier français est quarante fois celui de son homologue chinois, que peut-il rester à nos PME pour éviter la disparition ou la délocalisation, notamment dans les secteurs dits « traditionnels » ?   Des éléments de réponses sont fournis par un benchmark des pays ou des régions développés qui, contrairement à la France, parviennent depuis dix ans à croître à un rythme annuel de 3% par an contre 2% pour notre pays : Suède, Finlande, Catalogne ou Bavière, parmi d’autres. Malgré un coût du travail comparable voire supérieur au nôtre, ces pays sont devenus parmi les plus compétitifs au monde en investissant massivement dans la recherche, en soutenant leur enseignement supérieur et en s’organisant autour de pôles de compétitivité.
François Bertrand

Research@Intel · About this Blog - 0 views

  • Here you will meet Intel visionaries and scientists poised at the very cutting-edge of technology, blazing new trails into the untamed jungle of the future. These research leaders will share their insights into where computing and communication technology is headed in the next decade and how innovations visible on the horizon today could change the game, and your life, in 5-10 years.
François Bertrand

Pôles de compétitivité : une politique rénovée... mais pas question de "conda... - 0 views

  • Le gouvernement compte aussi faire évoluer les missions de la Caisse des Dépôts pour en faire "le fonds souverain de la France".
François Bertrand

Insee Première n°1188 - Mondialisation et compétitivité des entreprises franç... - 0 views

  • Pour la moitié d'entre eux, en effet, les infrastructures de télécommunication et de transport influencent favorablement le développement des entreprises. Il en va de même pour la qualification de l’encadrement (graphique 2). Les infrastructures de transport apparaissent particulièrement importantes pour les entreprises du secteur automobile.
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    Une enquète qui montre que la R&D n'est pas vraiment la première préoccupation des dirigeants de PME industrielles françaises exportatrices
François Bertrand

En France, Microsoft place la barre très haut - Enquête - Calixte Laurent - 0 views

    • François Bertrand
       
      un titre pour un de nos chapitres ?
  • Si Microsoft France est aujourd'hui la cinquième «région» dans l'organisation du groupe, c'est sans doute parce que cette filiale concentre tous les défi s auxquels est confrontée la multinationale et tous les atouts qui peuvent assurer son avenir.
  • En 2004, en effet, Bertrand Delanoë lâche une bombe : la mairie de Paris va abandonner Windows pour Linux.
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  • En sortiront deux grands programmes : Idées (un plan d'aide aux start-up) et un partenariat de recherche fondamentale avec l'Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria). Le but ? Modifier la perception de Microsoft par la presse et les élites politiques.
  • Comment garder l'esprit start-up quand on étouffe sous le cash ?
  • «Aujourd'hui, on nous motive à la schlague : les deux phrases préférées de la direction sont «c'est inacceptable !» et «c'est inadmissible !». Et traiter en public des ingénieurs commerciaux de «chicken» (poules mouillées), c'est humiliant mais surtout contre-productif : comment garder l'envie de se défoncer après avoir été traité comme ça devant ses pairs ?» soupire un cadre avec amertume.
  • ce qui allait permettre à Microsoft France de gagner ses galons de «fi lle aînée de l'église Microsoft»
  • De fait, le bilan social indique que le nombre de licenciements à Microsoft France a augmenté de 80% entre 2002 et 2007 et que celui des démissions a été multiplié par trois dans la même période. Au premier trimestre 2008, il y a eu 33 démissions, c'est-à-dire autant que sur tout 2006. Et, entre 2002 et 2008, Microsoft a dégringolé de la première à la cinquième place au classement français des «entreprises où il fait bon travailler», qui faisait sa fierté.
  • Exportation d'idéesSeul problème avec ce système des score cards : il rend difficile l'évaluation de qualités spécifiques, comme l'innovation ou la créativité. Or ce sont justement ces deux critères où excellent les Français, deux critères qui sont des atouts pour le siège.
  • C'est en France qu'a été développé Messenger pour mobile, lancé en première mondiale avec Bouygues Telecom en 2005; c'est la France qui va mener le projet de refonte de la page d'accueil de MSN au niveau mondial; la France, surtout, qui a inventé le programme Idées, né du fameux «plan image». L'initiative a d'ailleurs été «exportée» au siège, où son auteur, Julien Codorniou, va la déployer à l'échelle mondiale. Même la score card est née dans l'Hexagone : «C'est moi qui l'avais mise en place à Microsoft France il y a trois ans, raconte Eric Boustouller; un jour, je l'ai montrée à Kevin Turner (directeur opérationnel) qui a décidé de la déployer dans tout le groupe !»
François Bertrand

Les deux volets de la compétitivité - CONJONCTURE ECONOMIQUE POLITIQUE ECONOM... - 0 views

  • celui de la Commission pour la libération de la croissance française, présidée par Jacques Attali, et le rapport d'étape de la mission L'Europe dans la mondialisation, que Christine Lagarde et Xavier Bertrand m'ont chargé de conduire
  • Il n'en reste pas moins qu'en ce qui concerne la France, les analyses convergent. Une bonne part des prescriptions de la commission Attali - notamment celles portant sur l'éducation, l'enseignement supérieur, la recherche, l'innovation, la mobilité du capital humain, l'accompagnement social des mutations... - relèvent de la stratégie européenne lancée à Lisbonne en mars 2000.
  • Le rapport d'étape sur le prochain cycle 2008-2010 de la stratégie de Lisbonne qui vient d'être remis aux pouvoirs publics (www.minefe.gouv.fr) analyse ce retard français par rapport aux objectifs de Lisbonne et aux performances européennes, et recommande son rattrapage en sélectionnant quelques axes prioritaires de réforme plus amplement développés et complétés par la commission Attali.
Fred L

Internationalisation de la R&D des entreprises et attractivité de la France -... - 0 views

  • DOCUMENT RESUMÉ
  • DOCUMENT RESUMÉ
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  • Internationalisation de la R&D des entreprises et attractivité de la France
  • juin 2007
  • Cette analyse appréhende l’importance et les caractéristiques du processus d’internationalisation de la recherche et développement (R&D) des entreprises. Elle mesure l’attractivité de la France en matière de R&D, comparée aux autres pays de l’OCDE.
  • RESUMÉ
Fred L

Stratégie de Lisbonne 2 : Innovation, concurrence et ouverture des marchés : ... - 0 views

  • Stratégie de Lisbonne 2 : Innovation, concurrence et ouverture des marchés : quelles complémentarités entre ces politiques publiques ? novembre 2006 Le Centre d’analyse stratégique a organisé le 20 novembre dernier un deuxième séminaire sur la Stratégie de Lisbonne sur le thème "Marché intérieur, concurrence et innovation".   Consulter la Note "Concurrence, réglementation des marchés et innovation en Europe" : Les liens entre politique de la concurrence et politique de l’innovation   Consulter les Actes du séminaire
Marjolaine Grisard

Techinnov Orly - Rencontres innovation et développement Paris Sud - Orly - Je... - 0 views

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    ex d'action organisée par les CCI et CCIP
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    Techinnov 2009 3e édition des Rencontres Innovation & Développement Paris-Sud Le plus court chemin vers les affaires... Jeudi 12 février 2009 - Aéroport Paris-Orly
Fred L

Gilles Le Blanc - 0 views

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    Probablement un chercheur qu'il faudrait que nous rencontrions
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    effectivement. Je n'ai lu que son article du figaro sur Beffa qui est assez amusant.
Fred L

minefe.gouv.fr : Communiqués de presse Économie, finances - 0 views

  • 07 février 2008 - Discours d'Hervé Novelli : conférence de presse du 7 février 2008 - Le commerce extérieur de la France en 2007 et ses défis
  • Pour faire croître nos entreprises, nous avons : - levé les freins à leur développement : simplification, dématérialisation, suppression des effets de seuils, rescrit fiscal et social. - amélioré la structure financière des entreprises : réduction des délais de paiement, suivi des encours PME des banques, réduction d’ISF pour l’investissement dans les PME, développement des business-angels - obtenu la mise en place d’un Small Business Act européen, annoncée par M. Barroso en décembre dernier.
  • 3e partie : Diagnostic des faiblesses structurelles dont souffrent nos entreprises
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  • Première faiblesse  : Notre compétitivité-coût vis-à-vis des pays de l’OCDE s’est détériorée au cours des 5 dernières années. Cette dégradation est générale au sein des pays européens, sauf l’Allemagne.
  • Deuxième faiblesse : notre position en termes de dépenses de R&D est honorable certes, mais doit encore progresser, en particulier la R&D des entreprises. Ces progrès sont nécessaires pour améliorer notre productivité et notre croissance, mais aussi pour renforcer la présence française à l’international Les dépenses consacrées à la R&D rapportées au PIB s’élevaient en France en 2005, dernies chiffres disponibles, à près de 37 milliards d’euros, soit 2,13 % du PIB. L’effort de R&D de nos entreprises est clairement insuffisant (1,12 % du PIB), notamment en comparaison de l’Allemagne (1,68 %), les Etats-Unis (1,68 %) ou le Japon (2,53 %). En particulier, les dépenses consacrées à la R&D et à l’innovation dans nos PME est nettement en retrait.
  • Slide 18 : Troisième faiblesse , relative à la structure de notre tissu d’entreprises : Premier constat : le nombre d’entreprises exportatrices baisse. Après avoir crû continument jusqu’en 2001, le nombre d’entreprises exportatrices a sensiblement baissé ces dernières années. Il se stabilise depuis 2006 à environ 98 000 entreprises mais pourrait à nouveau baisser. Pour l’essentiel, les entreprises qui ont disparu sont des PME indépendantes, de petite taille et qui ne parviennent pas à pérenniser leur activité d’exportation. Deuxième constat : l’essentiel de nos exportations est réalisé par une très faible proportion de nos exportateurs. Il est symptomatique de constater que les 100 premières entreprises exportatrices représentent 40% de nos exportations, ou encore que 1% des quelque 100 000 entreprises exportatrices concentrent 70% de la valeur de nos exportations. Or l’on sait que la croissance de nos exportations repose sur les entreprises aptes à exporter de façon régulière.
  • la cause principale de cette fragilité réside dans le nombre insuffisant de nos entreprises moyennes. Nous manquons de PME suffisamment grosses et innovantes pour profiter à plein des marchés à l’exportation. La différence avec l’Allemagne est nette : le Mittelstand allemand est parfaitement adapté à la conquête des marchés à l’exportation, y compris quand ceux-ci sont lointains. Il nous faut bâtir un « Mittelstand à la française ».
  • Conclusion intermédiaire : Certes, notre problème d’exportation ne vient pas que des PME : les grands groupes exportent moins et c’est aussi une difficulté. Toutefois, la baisse de nos entreprises exportatrices doit appeler une réaction politique. Car des travaux récents du CEPII en France et de Bruegel au niveau européen montrent que ces problèmes de démographie des entreprises exportatrices sont importants : pour augmenter nos exportations, il est plus efficace d’essayer d’augmenter le nombre d’exportateurs que la valeur moyenne exportée par chaque entreprise.
  • Slide 24 : 1re mesure : nous réformons les procédures de la Coface en les simplifiant et en favorisant leur utilisation par les PME et les entreprises innovantes
  • Pour répondre à ces défis, nous avons décidé de nombreuses mesures structurelles.
  • Pour inciter nos entreprises à innover davantage, nous avons réformé le CIR en le triplant, fusionné OSEO et l’AII, lancé un audit des pôles de compétitivité afin de mieux les soutenir et adopté une loi-phare en matière de propriété industrielle. Nous avons mis en place l’autonomie des Universités.
  • Enfin, pour améliorer la compétitivité-coût de nos entreprises, nous avons entamé une réforme : - de la fiscalité (suppression de l’IFA, révision générale des prélèvements obligatoires - du coût du travail, par l’exonération des heures supplémentaires Nous avons enfin obtenu la mise en place d’un Small Business Act européen, annoncée par M. Barroso en décembre dernier et sur lequel j’ai récemment remis des propositions au Commissaire Verheugen. Je proposerai avec Christine Lagarde au printemps, au sein de la Loi de modernisation de l’économie, une série de mesures structurelles pour l’entrepreneur : transmission, financement, simplification…
  • 5e partie : Une mobilisation générale pour l’exportation
  • Slide 23 : deux grands principes animent ces 10 mesures j’ai souhaité tout d’abord que la France se hisse au niveau des meilleurs dispositifs d’aides européens. J’ai demandé une étude précise des dispositifs de nos concurrents allemand, italien, britannique, espagnol, voire même japonais sur certains aspects. J’en ai tiré des enseignements qui inspirent certaines de ces mesures. deuxième principe : recentrer nos efforts sur les PME et entreprises moyennes, dont l’analyse qui précède montre bien qu’elles doivent constituer le socle de nos exportations et de nos emplois.
  • J’y vois un encouragement à renforcer notre action et une justification aux mesures que je vais maintenant vous présenter.   4e partie : Une politique structurelle pour restaurer la compétitivité des entreprises françaises
  • Slide 27 : 4e mesure : nous mobilisons les grands groupes pour soutenir les PME à l’export. les grands groupes peuvent servir de tremplin à nos PME sur les marchés étrangers, de multiples façons, dès lors qu’ils peuvent y trouver un intérêt. J’ai perçu une réelle volonté de mobilisation de la part des dirigeants de grands groupes exportateurs que j’ai rencontrés et je réunirai donc les 15 premiers d’entre eux à Bercy le 3 mars pour prendre des engagements réciproques sur des objectifs de portage de PME.
  • 6e mesure  : Nous renforçons l’approche sectorielle, en lien avec les pôles de compétitivité. Les plans d’actions sectoriels ont connu un réel succès en termes de nombre d’opérations mais aussi par leur capacité à fédérer des actions collectives Nous en conservons le principe, mais je souhaite en renforcer le pilotage et lancer de nouveaux plans, dans d’autres secteurs : l’ingénierie, le ferroviaire, l’automobile, l’architecture, notamment, qui sont autant de secteurs porteurs à l’étranger et où le savoir-faire de nos entreprises n’est plus à démontrer.
François Bertrand

International Conference on Concurrent Enterprising, Lisbon, Portugal - 0 views

  • http://www.ice-conference.org/
  • co-creation, co-innovation and open innovation
  • 'A new wave of innovation in collaborative networks'.
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    dommage, c'est pendant la Suisse... --- The 14th International Conference on Concurrent Enterprising (ICE 2008) will be held in Lisbon, Portugal, from 23 to 25 June. This year's event is entitled 'A new wave of innovation in collaborative networks'. ICE 2008 will bring together researchers and practitioners from around the world to present the latest findings from their research and share their hands-on experience from industry. Conference topics include, for example, ambient assisted environments, real-time location and identification, co-creation, co-innovation and open innovation, concurrent engineering methods and processes as well as issues of product data and product lifecycle management and many more. The term 'concurrent enterprising' is an amalgam which brings together the paradigms of concurrent engineering and extended/virtual enterprising. The concurrent enterprise is a distributed, temporary alliance of independent, co-operating manufacturers, customers and suppliers using systematic approaches, methods and advanced technologies for increasing efficiency in the design and manufacturing of products and services. Contact person: For further information, please visit: http://www.ice-conference.org/
Marjolaine Grisard

Transit City - 0 views

  • UNE AMBITION Transit-City est un programme de réflexions prospectives sur la ville et les modes de vie. Le programme Transit-City a pour ambition de jeter des passerelles entre des domaines aussi divers que l'urbanisme et le marketing, la grande distribution et la sociologie, la promotion immobilière et le transport. Ce programme est né de la volonté de décloisonner la réflexion prospective en réunissant régulièrement des acteurs de la ville venant d'horizons très différents (immobilier, transport, commerce, architecture, design, histoire de l'art...) qui n'ont bien souvent pas l'occasion de se rencontrer pour échanger. Le programme Transit-City est animé par François Bellanger qui, à la tête de TRANSIT Consulting, conduit depuis plusieurs années déjà, des chantiers de réflexion prospective pour de grandes entreprises, et dont une partie des travaux a été publiée chez différents éditeurs. DES ATELIERS-DÉBATS Le programme de recherche s'articule, notamment, autour d'Ateliers organisés tous les mois. La saison 2008/2009 sera placée sous le signe des Ruptures et des opportunités de mutations. La prochaine réunion aura lieu le vendredi 28 novembre 2008 de 8h45 à 11h00. Thème : ET CELA RESSEMBLERA A QUOI LE VOYAGE DANS 25 ANS ? Et si demain les trains transcontinentaux à grande vitesse remplaçaient l'avion ? Et si demain l'avion redevenait un produit réservé aux hyper-riches ? Et si le train trouvait là une occasion de se réinventer ? Et si demain nous assistions au retour des dirigeables et de la marine à voile ? Et si entre énergie cher et réchauffement climatique, il fallait totalement repenser nos façons de voyager ? Et si voyager au XXIème siècle était une tout autre histoire que celle développée depuis un siècle ? C'est pour tenter de répondre à ces questions - et à de nombreuses autres - que nous avons invité : Claude VILLERS, grand reporter et grand voyageur, mais aussi très fin connaisseur des trains et des paquebots, sur lesquels il a écrit plusieurs ouvrages. Nous verrons notamment, avec lui, si l'histoire de certains transports peuvent permettre de réinventer et de réenchanter le voyage au XXIème siècle. Ces analyses seront confrontées aux points de vues et aux analyses d'un certain nombre d'acteurs du transport aujourd'hui. L'Atelier sera animé par François BELLANGER. La réunion aura lieu au Pavillon de l'Arsenal, de 8h45 à 11h00, 21 Bd. Morland 75004 PARIS. Métro : Sully Morland. L'inscription est absolument obligatoire : francois@transit-city.com DES OBSERVATOIRES "Transit(s) - l'Observatoire des Nomades", cellule de veille socio-marketing destinée à évaluer l'influence de la mobilité sur nos modes de vie, et la création de nouveaux produits et de nouveaux services. "Escale(s) - l'Observatoire de la Distribution", cellule de veille et de prospective sur les évolutions du commerce. Dans ce cadre, F. Bellanger conduit régulièrement des voyages d'études à l'étranger. "Habitat(s) - l'Observatoire de l'Habitat", cellule de veille et de prospective sur les évolutions de l'habitat et des modes d'habiter. "Historic Cities", centre de ressources sur l'histoire urbaine tournant autour des thématiques traitées lors des ateliers-débats. "Fiction Cities", centre de ressources sur le rôle de la fiction dans la construction des imaginaires urbains. "Catastrophic Cities", programme de réflexions sur les conséquences possibles des catastrophes naturelles ou non sur la façon de penser et de concevoir les villes, leurs bâtiments et la gestion de leurs mobilités. le blog Transit-City
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    prospective sur la ville, trasport... (+blog associé) et organisation d'ateliers
Fred L

L'Ecosse crée un modèle original de transfert de technologie - BIOTECHNOLOGIE... - 0 views

shared by Fred L on 25 May 08 - Cached
  • L'Ecosse crée un modèle original de transfert de technologie
  • ITI Life Sciences veut susciter des projets de recherche capables de générer une activité économique.
  • uand on est situé dans une petite région aux confins de l'Europe, qui dispose de bonnes universités mais de moyens financiers limités pour stimuler le développement économique, il faut cibler ses interventions. C'est ce que fait ITI Life Sciences, le fonds public écossais de soutien à l'innovation dans les sciences de la vie, à travers le financement de projets bien spécifiques dans des disciplines en émergence. Il vient de lancer un appel d'offres international dans le domaine de la biologie dite « de synthèse ».
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  • Grâce à son réseau d'experts dans l'industrie et dans la recherche publique, ITI Life Sciences a identifié la biologie de synthèse comme l'un des domaines émergents dans les sciences de la vie », confirme Jim Greaves, directeur du marketing et de la communication d'ITI Life Sciences.
  • Une cinquantaine de brevetsIl est encore un peu tôt pour dresser un bilan de l'activité d'ITI Life Sciences, puisque la plupart des programmes financés sont en cours de réalisation ou viennent juste de s'achever. Mais l'enveloppe complémentaire de 2 millions de livres sur quatorze mois (lire ci-dessous) qui vient d'être accordée au programme souris transgéniques, initialement prévu sur trois ans avec une dotation de 5,4 millions de livres, parle en sa faveur. « Ce programme a permis de générer davantage de lignées de souris que nous n'en attendions et elles suscitent beaucoup d'intérêt, tant chez les groupes pharmaceutiques qu'auprès de la Food and Drug Administration. Ces perspectives commerciales encourageantes nous ont incités à prolonger notre soutien », explique Jim Greaves. Par ailleurs, les différents programmes financés par ITI Life Sciences ont donné lieu au dépôt d'une cinquantaine de brevets.
  • « le processus de choix des domaines scientifiques d'intervention, qui s'était alourdi et complexifié, a été ramené à quatre étapes », observe Jim Greaves. Et les consultants externes sont largement mis à contribution pour épauler la cellule de veille technologique, qui compte cinq ou six personnes. Reste la question de la propriété industrielle. Qu'ITI Life Sciences se la réserve apparaît comme un obstacle à la participation des laboratoires académiques, auxquels elle revient habituellement lorsqu'ils collaborent avec les entreprises. ITI Life Sciences mène actuellement une réflexion pour en tenir compte.
Fred L

L'Inpi part en campagne pour réconcilier PME et brevets - SCIENCES ET TECHNOL... - 0 views

shared by Fred L on 25 May 08 - Cached
  • Info & Secteurs > Innovation > Actualité SCIENCES ET TECHNOLOGIES -  L'Inpi part en campagne pour réconcilier PME et brevets[ 21/05/08  ] L'institut mise sur la communication et sur une réduction de ses tarifs.
  • Quelque 11 % des dirigeants auraient déjà été confrontés à un problème de propriété intellectuelle ou industrielle. Et, au-delà des traditionnels articles de luxe, un éventail de produits disparates sont aujourd'hui victimes de contrefaçons. A l'instar des médicaments ou des... pièces détachées pour l'automobile ! Pourtant, dans l'industrie, seul un patron français sur quatre a déjàdéposé un brevet. Telles sont les conclusions d'une étude, réalisée auprès de 506 chefs d'entreprise, publiée hier par l'Ifop à la demande de l'Institut national de la propriété industrielle (Inpi).
  • « Il y a un double clivage, commente Frédéric Dabi, directeur du département d'opinion publique de l'Ifop. L'industrie détient le plus fort taux de dépôts. Et plus l'entreprise est grande, plus elle dépose de brevets. » En 2006, 40 % des PME françaises renonçaient à déposer un brevet. Pour les inciter à franchir le pas, l'Inpi redouble d'efforts. « Les demandes de brevets en France ont continué à progresser de 3,3 % en 2007. Mais encore trop peu d'entreprises passent à l'acte », regrette Benoît Battistelli, directeur général de l'Inpi.
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  • Tarif réduit Sur le sol français, le coût d'un dépôt de brevet est estimé à 5.000 euros. Cependant, depuis le 1er mai, l'Inpi applique des réductions tarifaires, en diminuant de moitié les 600 euros de redevance liée aux dépôts qui lui sont versées par les PME. En prime, la mesure s'étend désormais aux sociétés employant jusqu'à 1.000 salariés. Pour l'institut, le manque à gagner se chiffre à 3 millions d'euros. L'institut vient, par ailleurs, de lancer une campagne de communication pour la coquette somme de 2,5 millions d'euros, avec comme slogan : « On gagne tous à innover ».
  • Le contexte européen devient aussi plus favorable. Entré en vigueur le 1er mai, l'accord de Londres sur le brevet européen réduit de 25 % à 30 % les coûts, en épargnant aux entreprises la traduction de leurs inventions dans de multiples langues.
  • Toutefois, des progrès restent à faire. « L'Europe des brevets existe, assure Benoît Battistelli. Mais nous n'avons parcouru que la moitié du chemin. Les entreprises peuvent déposer un brevet valable dans l'Europe entière, mais, s'il est contrefait dans dix pays, il faudra dix procès avec parfois des décisions contradictoires. »
  • De son côté, la France a quelques atouts, parmi lesquels sa procédure de saisie-contrefaçon. En outre, la création d'un pôle de propriété intellectuelle au tribunal de grande instance de Paris est en projet. Mais les décrets d'application, en cours d'examen au Conseil d'Etat, ne sont toujours pas sortis.
Fred L

L'art de la gestion de l'innovation selon Google - Détail article - Expert - 0 views

  • L’art de la gestion de l’innovation selon Google
  • Nous connaissons tous le moteur de recherche Google pour l’avoir utilisé. Nous nous en faisons une idée d’une machine révolutionnaire basée sur un coup de génie qui a vu le jour au moment opportun. Si telle est votre idée, je vous invite à lire «Une Révolution du management – le modèle Google», de Bernard Girard, un consultant en management. Votre vision en sera peut-être changée, car si Google est toujours leader sur le marché de la recherche sur Internet, ce n’est pas grâce à son coup de génie initial, mais plutôt à sa gestion de l’innovation.
  • Selon M. Girard, il y a eu trois révolutions dans l’ère industrielle : - la première avec Ford pour l’automatisation de la production, - la deuxième avec Toyota pour la gestion de la qualité, - la troisième avec Google pour la gestion de l’innovation que toute entreprise est maintenant amenée à faire pour gagner (ou conserver) des parts de marché.
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  • En résumé, voici quelques aspects du management version Google.
Fred L

2008/05/23 > BE Japon 482 > Nouveau rapport disponible au téléchargement : "L... - 0 views

  • Nouveau rapport disponible au téléchargement : "La gouvernance de la recherche publique au Japon en 2008"
  • Les autorités japonaises ont fait dans les années 1990 le constat que la connaissance, et non plus le couple capital-travail, était devenue le moteur de la croissance de l'économie mondiale et que sa maîtrise était un facteur crucial de compétitivité. Elles se sont engagées, en partenariat avec le secteur privé, dans une course de longue haleine visant à faire de l'Archipel une grande puissance en matière de recherche et développement.
  • Les dépenses publiques et privées en R&D sont en croissance continue depuis 1994 et ont atteint 3,62% du PIB en 2006 (avec une répartition de 18% pour les dépenses publiques et 82% pour les dépenses privées) : c'est le troisième taux le plus élevé au monde (après la Suède et la Finlande), dans un pays qui représente la deuxième économie mondiale.
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  • Ce rapport rappelle brièvement l'organisation du système de recherche au Japon.
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Les pôles de compétitivité reconduits pour trois ans - 0 views

  • «Les pôles sont de bons vecteurs, car ils mettent entrepreneurs et chercheurs au sein d'une structure juridique et financière stable», a estimé Gilles Schnepp,
Fred L

JDLE - Journal de l'environnement - 0 views

  • Nanotechs et ENR: la France peut mieux faire
  • Globalement, le rapport conclut: «Dans le domaine de l’énergie et de l’environnement, où la France est économiquement très présente, la France gagnerait à aligner ses efforts sur ceux du leader japonais qui présente des roadmaps (feuilles de route) plus matures sur de nombreuses applications des nanomatériaux dédiés à ce domaine.»
François Bertrand

ECEE: Lego's participative army marches on .. by Michel Bauwens - 0 views

  • Lego’s participative army marches on .. by Michel Bauwens
  • One of the highlights was Mark Hansen, director of Business Development at Lego, who has been focusing his life’s work on spurring co-creation processes between Lego as a corporate community and the legions of fans that are normally operating independently of the company.
  • Mark’s instinct go into the opposite direction of learning to tap further and further into it, and to develop mutually beneficial relationships.
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  • I would like to recall my own Three Laws of Co-Creation. Law 1 states that any for-profit company that uses closed proprietary content, and excludes participation, will tend to loose from competing for-benefit institutions that can count on a community of voluntary contributors and uses open proprietary formats. Law 2 states that, when two for-profit companies are competing, the one opting for open and participatory strategies will outcompete those who do not adopt such practices. Law 3 states that communities of peer producers which successfully can ally themselves with an ecology of business practicing benefit-sharing with the commons they are deriving value from, will be more successful that those that remain isolated.
  • If LEGO pulls this off, it will really have established itself as the paradigmatic example of business adaptation to the challenges and opportunities presented by the emergence of peer production.
  • Because LEGO is very much a physical product, it gives us an early indication of the interplay between design by open communities, and the physical production processes undertaken by companies.
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