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Marjolaine Grisard

Transit City - 0 views

  • UNE AMBITION Transit-City est un programme de réflexions prospectives sur la ville et les modes de vie. Le programme Transit-City a pour ambition de jeter des passerelles entre des domaines aussi divers que l'urbanisme et le marketing, la grande distribution et la sociologie, la promotion immobilière et le transport. Ce programme est né de la volonté de décloisonner la réflexion prospective en réunissant régulièrement des acteurs de la ville venant d'horizons très différents (immobilier, transport, commerce, architecture, design, histoire de l'art...) qui n'ont bien souvent pas l'occasion de se rencontrer pour échanger. Le programme Transit-City est animé par François Bellanger qui, à la tête de TRANSIT Consulting, conduit depuis plusieurs années déjà, des chantiers de réflexion prospective pour de grandes entreprises, et dont une partie des travaux a été publiée chez différents éditeurs. DES ATELIERS-DÉBATS Le programme de recherche s'articule, notamment, autour d'Ateliers organisés tous les mois. La saison 2008/2009 sera placée sous le signe des Ruptures et des opportunités de mutations. La prochaine réunion aura lieu le vendredi 28 novembre 2008 de 8h45 à 11h00. Thème : ET CELA RESSEMBLERA A QUOI LE VOYAGE DANS 25 ANS ? Et si demain les trains transcontinentaux à grande vitesse remplaçaient l'avion ? Et si demain l'avion redevenait un produit réservé aux hyper-riches ? Et si le train trouvait là une occasion de se réinventer ? Et si demain nous assistions au retour des dirigeables et de la marine à voile ? Et si entre énergie cher et réchauffement climatique, il fallait totalement repenser nos façons de voyager ? Et si voyager au XXIème siècle était une tout autre histoire que celle développée depuis un siècle ? C'est pour tenter de répondre à ces questions - et à de nombreuses autres - que nous avons invité : Claude VILLERS, grand reporter et grand voyageur, mais aussi très fin connaisseur des trains et des paquebots, sur lesquels il a écrit plusieurs ouvrages. Nous verrons notamment, avec lui, si l'histoire de certains transports peuvent permettre de réinventer et de réenchanter le voyage au XXIème siècle. Ces analyses seront confrontées aux points de vues et aux analyses d'un certain nombre d'acteurs du transport aujourd'hui. L'Atelier sera animé par François BELLANGER. La réunion aura lieu au Pavillon de l'Arsenal, de 8h45 à 11h00, 21 Bd. Morland 75004 PARIS. Métro : Sully Morland. L'inscription est absolument obligatoire : francois@transit-city.com DES OBSERVATOIRES "Transit(s) - l'Observatoire des Nomades", cellule de veille socio-marketing destinée à évaluer l'influence de la mobilité sur nos modes de vie, et la création de nouveaux produits et de nouveaux services. "Escale(s) - l'Observatoire de la Distribution", cellule de veille et de prospective sur les évolutions du commerce. Dans ce cadre, F. Bellanger conduit régulièrement des voyages d'études à l'étranger. "Habitat(s) - l'Observatoire de l'Habitat", cellule de veille et de prospective sur les évolutions de l'habitat et des modes d'habiter. "Historic Cities", centre de ressources sur l'histoire urbaine tournant autour des thématiques traitées lors des ateliers-débats. "Fiction Cities", centre de ressources sur le rôle de la fiction dans la construction des imaginaires urbains. "Catastrophic Cities", programme de réflexions sur les conséquences possibles des catastrophes naturelles ou non sur la façon de penser et de concevoir les villes, leurs bâtiments et la gestion de leurs mobilités. le blog Transit-City
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    prospective sur la ville, trasport... (+blog associé) et organisation d'ateliers
François Bertrand

"Les innovations majeures se développent dans les grandes villes" - ETAT-COLL... - 0 views

  • Les innovations majeures se développent dans les grandes villes
  • Michel Destot
  • Il faut arrêter de stigmatiser ainsi les grandes villes et de les accuser de tous les maux.
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  • Bien sûr, étant donné leur poids démographique, c'est dans les villes que se concentrent les problématiques sociales. Mais c'est là aussi que se développent les innovations, de tous ordres, techniques, culturelles, sociales, et les institutions qui les portent, comme les universités et les pôles de compétitivité, et c'est là que s'expérimentent les politiques de solidarité.
  • Les pôles de compétitivité pourraient constituer une intéressante remise en ordre de la politique d'aménagement du territoire. Mais leur longue liste, qui comporte 72 pôles, alors qu'il aurait fallu favoriser l'émergence d'une petite dizaine, risque de perpétuer cette inefficacité propre à tout saupoudrage.
  • Si l'on concentre les moyens sur les agglomérations les plus prometteuses, sur des activités stratégiques données, alors on les met en mesure de faire ensuite retomber les bienfaits de leur croissance sur l'ensemble de la région et de ses entreprises. A cet égard, le maillon manquant dans notre tissu d'entreprises est celui des entreprises moyennes. Or précisément, c'est l'échelon régional qui peut le régénérer, sous l'effet d'entraînement des agglomérations. Je dis qu'il faut concentrer les moyens là où on a les meilleures chances de provoquer des effets bénéfiques sur le maillage économique.
  • Il ne s'agit pas de faire de la densité, terme qui d'ailleurs peut faire inutilement peur, mais de rechercher la compacité. On peut avoir une ville compacte, bien adossée à ses réseaux de transports, avec des espaces verts et des espaces publics de convivialité.
Fred L

Opération campus : dernier oral avant financement pour les 6 premiers projets - 0 views

  • Opération campus : dernier oral avant financement pour les 6 premiers projets
  • Qui demande combien ? Quels sont les points clés des projets ? Voici une synthèse des réponses à ces questions, projet par projet.
  • Université de Bordeaux Coût du projet : 538 millions d’euros (hors collectivités). Porteur du projet : le PRES de Bordeaux et ses huit membres fondateurs (quatre universités, trois écoles d’ingénieurs, l’IEP de Bordeaux). Objectif : « Construire une université nouvelle, avec une forte lisibilité et attractivité nationale et internationale ». Points clés du projet : - Réorganisation de l’offre de formation (par exemple, mise en place d’une licence et d’un doctorat uniques de l’université de Bordeaux et création des collèges thématiques « graduate schools »). - Structuration de la recherche en trois départements (sciences et technologies, biologie santé et sciences humaines et sociales) divisés en 11 pôles thématiques d’excellence (par exemple, pôle neurosciences ou pôle technologies de l’information). - Développement d’un esprit de campus. Cela passe par exemple par la création de « maisons de campus » sur les domaines.  
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  • Grenoble Université de l’Innovation Coût du projet : 1,2 milliard d’euros au total dont 563 millions d’euros demandés au titre de l’opération Campus.  Porteurs du projet : le collège universitaire (universités, Grenoble INP, IEP de Grenoble) et le collège d’autres organismes (CEA, CNRS, CHU, Grenoble Ecole de Management, etc.). Objectif : le projet « vise un rayonnement international et un prolongement économique basé sur l’innovation dans toutes ses dimensions ». Points clés du projet : - Créer un campus unique (unité de lieu) à partir des deux sites (polygone scientifique et domaine universitaire de Saint-Martin-d’Hères), situés à moins de 25 minutes l’un de l’autre grâce au développement du tramway, des pistes cyclables et d’une rocade Nord. - Se concentrer sur quatre enjeux sociétaux : l’innovation, l’information, la planète et la santé. - Développer la vie de campus grâce à la création de pôles (restauration, logement, sportif, etc.) le long de la ligne de tramway qui relie les deux sites en traversant le centre-ville. 
  • Lyon Cité Campus Coût du projet : 1,2 milliard d’euros dont 700 millions d’euros demandés au titre de l’opération Campus.  Porteurs du projet : l’Université de Lyon au titre de l’ensemble des établissements membres du PRES impliqués dans l’opération (universités, ENS, INSA, IEP, etc.). Objectif : « Lancer la dynamique d’une nouvelle université » Points clés du projet : - Revisiter les campus pour avoir une logique thématique autour des pôles d’excellence (sciences et technologies, santé, sciences de la vie et sciences humaines et sociales). C’est-à-dire créer des quartiers « chimie », « physique », « sciences de l’information », etc. et tisser des liens entre les établissements pour favoriser leur complémentarité et leur lisibilité. - Créer une « Maison de l’innovation et de la compétitivité » et développer une zone privilégiée pour l’accueil d’entreprises sur le campus LyonTech. - Développer une vie de campus. Cela passe par exemple par la création de quatre restaurants universitaires et de 2000 logements. - Créer la Maison des langues et des cultures.  
  • Université Montpellier Sud de France Coût du projet : 440 millions d’euros dont deux tiers pour l’Etat et un tiers pour le conseil régional. Porteurs du projet : Montpellier 1, Montpellier 2, Montpellier 3, Montpellier SupAgro en partenariat avec l’ENSCM, le CROUS, les organismes de recherche et les principales entreprises de la région. Objectif : « Faire de l’Université de Montpellier une des cent premières mondiales » Points clés du projet : - Construction et renforcement de six pôles d’excellence : agronomie-environnement, biologie-santé, chimie, mathématique-informatique-physique-systèmes et structures, eau sciences de l’homme et de la société. Cela passe notamment par la rénovation et la réhabilitation de bâtiments dédiés à l’enseignement et la recherche ou la création de « Valeur-Sud » pour favoriser la valorisation de la recherche - Développement de la vie de campus avec, par exemple, la création de l’Atrium, un espace de vie étudiante, ou la restructuration du réseau des bibliothèques universitaires (amplitudes horaires plus larges, etc.).  
  • Université de Strasbourg Coût du projet : 288 millions d’euros auxquels s'ajoutent 240 millions d’euros des collectivités locales. Porteurs du projet : l’université de Strasbourg (résultat de la fusion des trois universités strasbourgeoises) et les établissements associés (CROUS, CNRS, INSA, ENGEES). Objectifs : « Faire de l’université de Strasbourg un campus de réputation mondiale, développer les interfaces et les synergies entre disciplines, favoriser les coopérations scientifiques nationales, internationales et transfrontalières ».  Points clés du projet : - Parachèvement des fondements de l’université de Strasbourg. - Développement de structures comme la maison des arts et sciences, la maison de l’étudiant ou la maison de l’accueil international. - Réaménagement de la tour de chimie, la rénovation du centre sportif, restructuration de l’INSA, etc.  
  • Toulouse Campus Coût du projet : 1,4 milliard d’euros dont 500 millions au titre de l'opération Campus. Porteurs du projet : le PRES « Université de Toulouse » en association avec des établissements publics à caractère scientifique et technologique et les établissements membres associés (CNRS, INRA, INSERM) ou rattachés au PRES (IEP, ENIT, ENAC, etc.). Objectifs : « Recherche, formation, vie étudiante ; Ouverture sur le monde économique et la société ; Refondation de l’Université de Toulouse sur une base fédérale ». Points clés du projet : - Renforcement et valorisation de trois pôles d’excellence (aéronautique et espace, économie et mathématiques) et développement de la transdisciplinarité autour de thématiques de recherche (nanotechnologies, vivant, etc.). Cela passe notamment par l’installation du PRES dans des locaux rénovés en centre-ville et la création d’une cité internationale des chercheurs dans le nouveau « quartier des sciences » - Réintégrer le campus dans la ville en créant une cité internationale étudiante, des installations sportives de haut niveau, une bibliothèque numérique mutualisée de 1500 places…  
Fred L

Business Ile de France » Collectivités Locales : 1 milliard pour l'innovation... - 0 views

  • Collectivités Locales : 1 milliard pour l’innovation consacrée par la Mairie de Paris
  • La mairie de Paris communiquera un certain nombre de mesures en faveur de l’innovation, le lundi 26 mai.
  • Cet engagement, « deuxième priorité de la mandature derrière le logement », selon l’expression de Jean-Louis Missika, adjoint chargé de l’innovation, de la recherche et des universités, sera l’objet de la communication du Maire lors du prochain Conseil de Paris, lundi et mardi 26 et 27 mai (à suivre en direct et en vidéo sur Paris.fr). Un engagement bien au-delà des compétences institutionnelles et des limites territoriales parisiennes.
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  • Création d’un nouveau campus, Paris Nord-Est
  • 4000 logements étudiants supplémentaires
  • 55 000 mètres carrés pour les jeunes pousses
  • La politique de l’innovation apporte une contribution importante à la politique générale de l’emploi. C’est pourquoi la Ville entend stimuler l’implantation des entreprises innovantes en adossant de nouveaux incubateurs à des universités et des établissements universitaires parisiens. Avec 55000 m² supplémentaires d’incubateurs et de pépinières, il y aura au total près de 100.000 m² carrés pour l’hébergement et l’accompagnement des jeunes entreprises innovantes parisiennes.
  • D’autre part, la Ville soutiendra la création de deux nouveaux clusters de dimension mondiale, l’un consacré au design et aux métiers de la création, l’autre aux innovations urbaines et au développement durable.
  • Création de l’Agence parisienne de l’innovation Moteur de la réussite de la ville, l’Agence sera le levier fondamental de la politique d’innovation à Paris. Elle est investie de deux missions: identifier les produits et les services innovants pour les expérimenter, et contribuer à la protection de la propriété intellectuelle et à la notoriété des projets qu’elle aura labellisés. 
François Bertrand

Vers l'omniprésence des technologies de l'information - Corean Paradox : La C... - 0 views

  •     Les U-villes actuellement en cours de construction sont Sangam-dong (Séoul) et Hwaseong Dongtan (Province de Gyeonggi) tandis que plusieurs autres comme Busan ou la zone économique d'Incheon sont en cours d'élaboration.
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    Les U-villes actuellement en cours de construction sont Sangam-dong (Séoul) et Hwaseong Dongtan (Province de Gyeonggi) tandis que plusieurs autres comme Busan ou la zone économique d'Incheon sont en cours d'élaboration.
François Bertrand

Le Temps - économie - 0 views

  • Le conseiller national radical Rüdi Noser veut construire un parc d'innovation baptisé Swiss Innovation Park sur l'ancienne base militaire de Dübendorf (ZH).
    • François Bertrand
       
      Cela pourrait faire une recommandation. Bon, nos bases militaires ne sont pas tout à fait accessible en tramway, à l'inverse de celle-ci : http://maps.google.fr/maps?f=q&hl=fr&geocode=&q=dubendorf&ie=UTF8&ll=47.397071,8.639116&spn=0.029399,0.067806&t=h&z=14
  • Son initiative vise à attirer les entreprises internationales à développer leur pôle de recherche et de développement sur ce grand site. La fondation Recherche Suisse devra être créée pour gérer le parc. Entretien avec Rüdi Noser, initiateur du projet.
  • Le Temps: Pourquoi avez-vous choisi Dübendorf? Rüdi Noser: Dübendorf est idéalement placée. La ville est située à une dizaine de minutes du centre de Zurich, tout comme de l'aéroport. Elle est proche de différents pôles de recherche, comme l'EPFZ, le Technopark de Zurich et l'Empa à Saint-Gall. Notre projet constitue un investissement sur le long terme sur un grand terrain de 800000 m2. C'est une incroyable opportunité, car aucun site aussi grand n'existe en Europe. Nous avons une carte à jouer pour assurer que la Suisse reste l'un des pays les plus innovants du monde au cours des trente prochaines années. Notre projet inclut la construction d'une petite ville de 12000 habitants dans laquelle 4000 à 6000 emplois seront créés. Elle comportera des centres commerciaux, des écoles internationales et des bureaux. Aujourd'hui, si une grande entreprise veut établir son centre de recherche avec 1000 employés en Suisse, elle ne trouvera pas de surfaces disponibles. Nous voulons combler cette lacune.
  • ...6 more annotations...
  • Avez-vous déjà reçu un soutien? - Oui, la fondation devrait voir le jour début 2009. Swissmem (Association suisse de l'industrie des machines, des équipements électriques et des métaux), l'Association suisse des banquiers, la Chambre américano-suisse de commerce, le Technopark de Zurich, l'Université de Zurich, l'EPFZ et l'Empa soutiennent le projet. Tout comme le canton et la Ville de Zurich, ainsi que les communes avoisinantes de Dübendorf. Dans le rapport du 15 mars dernier, le Conseil fédéral a estimé qu'un parc national de recherche renforcerait la Suisse. Il soutient notre projet à Dübendorf. Il devrait désormais clairement soutenir la création de notre fondation et l'apport du secteur privé.
  • Combien coûterait la construction de ce parc en Suisse? - Pas grand-chose, car c'est un projet de création de valeur sur un terrain dont les 90% sont considérés comme une parcelle agricole peu onéreuse. Au départ, nous devrions trouver cinq millions de francs pour créer la fondation et engager les ressources nécessaires pour réaliser ce projet. Nous avons déjà commencé à contacter 4000 entreprises, petites, moyennes et grandes, dans toutes les régions de Suisse, pour récolter des dons de 3000 à 100000 francs. Avec les communes, les cantons et la Confédération, elles devraient s'engager comme donateurs pour un partenariat public-privé. Les investissements seraient très vite rentabilisés. Les bénéfices pourraient être investis dans le Fonds national suisse de la recherche scientifique.
  • Quelle place auraient les universités sur ce parc? - Mon rêve serait d'attirer des universités de renommée internationale. Pourquoi l'EPFZ devrait se diriger vers Shanghai, Singapour ou Boston? Il s'agirait au contraire de proposer au Massachusetts Institute of Technology, à Harvard, des surfaces pour s'installer à Zurich. Au final, les multinationales pourraient trouver un nombre important de doctorants dans les universités suisses et internationales, des étudiants dans les hautes ecoles spécialisées intéressés à des projets de recherche. Cela ferait aussi augmenter fortement la valeur du terrain.
  • - Avez-vous des projets en Suisse romande? - Nous y cherchons un terrain de 100000 à 200000 m2, mais nous n'avons rien trouvé entre Neuchâtel et Genève. Nous espérons que les cantons nous proposerons des terrains qui leur appartiennent. La solution pourrait venir du Valais.
  • - Google a installé son centre de recherche pour l'Europe à Zurich. Quel avantage aurait un tel groupe à venir à Dübendorf? - Il existe de nombreuses sociétés plus petites que Google qui sont actives dans le même domaine. Le géant américain pourrait être intéressé à collaborer avec un réseau de start-up situées sur le nouveau parc d'innovation. Nous ne voulons pas attirer que des grandes entreprises, mais aussi les futures Google ou des fabricants de puces électroniques. Ce parc ne devrait pas cibler que les biotechs et les medtechs mais inclure autant que possible un grand nombre de secteurs.
  • - Quand pensez-vous que ce projet pourra démarrer? - Le premier coup de pioche pourrait être donné en 2015.
Marjolaine Grisard

Diagrams - SkyscraperPage.com - 0 views

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    Les grattes-ciels du monde entier existants et en construction! Avec des diagrammes de la skyline par ville, étonnant! Il ne manque que la tour mégalo de Songdu.
Fred L

L'Etat dévoile (en partie) son projet de "Silicon Valley" - 0 views

  • L'Etat dévoile (en partie) son projet de "Silicon Valley"
  • 1. Triangle Sud
  • Le secrétaire d'Etat chargé du développement de la Région capitale, Christian Blanc, a dévoilé jeudi son projet d'aménagement du plateau de Saclay, à une vingtaine de kilomètres au sud de Paris. LEXPRESS.FR vous propose d'en découvrir les principales lignes.
  • ...16 more annotations...
  • Ce territoire, grand comme deux fois la ville de Paris, est destiné à devenir un pôle de recherche scientifique de rang mondial.
  • Une sorte de "Silicon Valley à la française".
  • Pour concrétiser cette vieille ambition nationale, qui n'a jamais véritablement aboutie, l'Etat compte prendre le leadership sur la région Ile-de-France au travers d'un arsenal juridique.
  • Un établissement public spécifique, qui associera tous les protagonistes (Etat, collectivités locales, représentants du monde scientifique et économique), doit être créé par une loi au cours du premier trimestre de l'année prochaine.
  • Le préfet de région disposera en outre de la haute main sur la délivrance des permis de construire, grâce à la création d'une opération d'intérêt national (OIN) annoncée pour janvier 2009. 
  • les zones d'ombre demeurent importantes -notamment sur la façon de financer un investissement global de 2,5 à 3 milliards d'euros-
  • Cette première zone scientifique et technologique sera le coeur du dispositif. Elle aura pour vocation les sciences dures (physique, chimie, mathématiques...).
  • y implanter l'université Paris XI
  • De prestigieuses écoles d'ingénieurs (Centrale, Mines...) mais aussi l'Ecole Normale Supérieure de Cachan ou Agro Paris Tech sont également pressentis pour rejoindre ce site. Avec les organismes déjà présents (CEA, CNRS, SupElec, Polytechnique...), l'ensemble pourrait atteindre la taille critique indispensable afin d'être crédible à l'échelle internationale.
  • 2. Satory La Minière La vocation de cette deuxième zone scientifique et technologique doit encore être confirmée. L'idée serait de la spécialiser sur le véhicule du futur
  • 3. Espaces verts
  • "sanctuariser" 1800 hectares de surfaces agricoles utiles.
  • 4. Transport Le secrétaire d'Etat souhaite de longue date relier le plateau de Saclay d'est en ouest par un métro automatique rapide (comparable au Orlyval) partiellement souterrain.
  • pas du tout au goût de la région Ile-de-France
  • élargir la vocation de l'aérodrome de Toussu-le-Noble au tourisme d'affaires (à l'image de l'aéroport du Bourget au nord de Paris).
François Bertrand

BiTWiiN : Bricolage, repassage, cours particuliers, baby sitting et garde d'enfants dan... - 0 views

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    Et pourquoi ne pas mettre aussi les vieux au travil pour l'innovation
Fred L

[S&D-5] Libre-accès aux publications scientifiques | Mediapart - 0 views

  • [S&D-5] Libre-accès aux publications scientifiques 15 Janvier 2009 Par HerveLeCrosnier
  • Le mouvement pour le libre-accès aux publications scientifiques est né de ces contradictions. Comment valoriser la recherche en la diffusant le plus largement, et ce faisant augmenter le potentiel global de la «société de la connaissance» ?
  • La publication dans les revues, surtout dites «de haut niveau», est une nécessité pour le chercheur. C'est le syndrome «publish or perish». Les publications permettent de faire évoluer la carrière de chaque chercheur, de valoriser le laboratoire ou l'université, et donc lui permettre d'obtenir de meilleures conditions de recherche. Mais pour une large fraction des chercheurs, la dissémination des résultats apparaît aussi comme un débouché normal de la recherche.
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  • À l'inverse de cette démarche de partage, l'édition de revues scientifiques est devenu un business très bénéfique, appuyé sur des achats publics (bibliothèques) et la fourniture gratuite de la matière intellectuelle par la recherche... publique.
  • «Au cours des cinquante dernières années, les éditeurs sont parvenus à transformer les revues scientifiques - traditionnellement, une forme de publication considérée comme secondaire et peu profitable - en un commerce lucratif.» souligne Jean-Claude Guédon.
  • Ce système s'étend maintenant des publications imprimées vers la diffusion (payante) en ligne des articles. Pour accéder aux services électroniques des éditeurs les chercheurs doivent se décrire, ce qui induit un profilage des chercheurs. Officiellement, ceci est destiné à leur servir les articles les plus susceptibles de les intéresser. En réalité, l'éditeur obtient des informations sur les recherches en cours (les équations de recherche documentaire, les commandes d'articles) qui ont un double intérêt: anticiper sur les secteurs à venir (veille technologique) et produire les journaux qui pourraient devenir leader de ces nouveaux secteurs revendre les listings à des annonceurs ciblant les secteurs de la recherche en fonction de ces profils. C'est cyniquement le justificatif donné par Elsevier pour ouvrir en septembre 2007 OncologySTAT, le premier site d'articles médicaux en accès gratuit financé par la publicité.
  • L'Appel de Budapest a défini deux voies pour obtenir un libre-accès le plus large possible aux publications scientifiques : «L'accès libre à la littérature des revues à comités de lecture est le but. L'auto-archivage (BOAI - I) et une nouvelle génération de revues alternatives en libre accès (BOAI - II) sont les moyens d'atteindre cet objectif. Ils ne constituent pas seulement les moyens directs et efficaces à cette fin, ils sont à la portée des savants eux-mêmes, immédiatement, et ne nécessitent pas d'attendre des changements quelconques apportés par les marchés ou la législation.»   On retrouve la volonté des nouveaux mouvements sociaux du numérique d'agir dès maintenant et par eux-mêmes pour développer des solutions praticables, inventives et ouvertes.
  • Pour Stevan Harnad, principal promoteur de BOAI-1, l'archivage est une décision individuelle qui doit être poussée par les institutions. Celles-ci doivent rendre obligatoire le dépôt en archive ouverte pour les recherches qu'elles financent. Ce faisant, l'archivage ne change rien au circuit traditionnel, ce qui rend cette stratégie opérationnelle. Inlassable débatteur, Stevan Harnad a su donner une vision globale à cette stratégie et la voir adopter, même si au passage elle fut affaiblie par une trop longue durée avant la libre-publication. Les grands organismes nationaux de recherche (NIH aux États-Unis, RCUK en Grande-Bretagne, CNRS, INSERM et INRIA en France... ) et les trusts finançant les recherches (Wellcome Trust par exemple) exigent dorénavant la mise à disposition dans des archives ouvertes.
  • Dans le même temps, bénéficiant de financements importants et s'appuyant sur de nouveaux modèles économiques comme le paiement à la source, la deuxième voie, dite BOAI-2, a décollé avec la création de nouveaux journaux respectant d'emblée la définition du libre-accès. Alors qu'il dirigeait le NIH (National Institute of Health), le prix Nobel Harold Varmus a proposé en 1999 l'ouverture d'une vaste archive pour les publications bio-médicales. Or l'opposition des éditeurs des revues existantes est devenue manifeste, notamment en obtenant du Congrès un délai de 12 mois avant la mise en accès libre. C'est donc sur leur terrain que Harold Varmus est allé remettre en cause le système des revues. Avec Michael Eisen et Patrick Brown, il crée PloS (Public Library of Science) qui va rapidement lancer des revues en libre-accès (PloS Biology, PloS medecine, ...) qui sont devenues des revues de référence majeures.
  • C'est un moment important pour le mouvement pour le libre-accès à la recherche qui se joue actuellement. Car la cible de l'affrontement, et les éditeurs ne s'y trompent pas, est déplacée dans l'univers politique. Au fond, c'est la relation de la recherche à la société qui se discute. On trouve deux logiques contradictoires, mais qui aboutissent à cette même re-politisation de la question des publications scientifiques : le refus de l'intervention publique de la part des éditeurs le désir d'ouverture des recherches à la société civile pour mieux comprendre ce qui se joue dans les laboratoires et l'impact de la science sur la société.
  • Car avec les publications en libre-accès, les chercheurs ont non seulement modifié l'équilibre interne de leur profession, ouvert des débats politiques sur le financement de la recherche, mais aussi et peut être surtout pour ce qui nous intéresse ici, ouvert la porte à un nouvel usage par un public élargi.
  • Il se profile une autre relation du «public» à la science. Les groupes concernés veulent accéder à l'information de plus haut niveau pour évaluer les enjeux scientifiques avant même qu'ils ne deviennent «technoscience». Une des première manifestation de ce phénomène a été l'implication des groupes de malades dans la recherche médicale, pour faire pression, analyser les avancées, ou diffuser les résultats des recherches. Les malades du SIDA sont souvent devenu des co-experts de leur maladie, en égalité avec l'équipe médicale.
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    [S&D-5] Libre-accès aux publications scientifiques 15 Janvier 2009 Par HerveLeCrosnier
François Bertrand

Ville métropolitaine de Séoul - 0 views

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    Chang Dong-ryun, président de l'International Council of Graphic Design Associations (Icograda).
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