Who drives product innovation? The answer is small, entrepreneurial development teams - better known as "agile teams" in the high-tech industry.
These types of teams are obviously essential for startups, but many large companies approach team-building in the same way, especially those that lead the industry in terms of product revenue. This is not to say the corporation doesn't play a crucial role - it most certainly does - but mostly by creating an environment for success, by removing obstacles, setting a clear vision and providing essential tools and training.
What are the essential elements - the genetic structure, if you will - of a high-performance team? After poring through 60 years of industry research and talking to dozens of companies, I've identified 10 core innovation strategies of new product leaders.
oilà une annonce qui a de quoi intriguer... Quel constructeur a donc décidé d'introduire cette technologie ? En vérité, aucun. Mais, il n'en demeure pas moins que la ville de Belfort va bien accueillir en mars 2013 une démo (on appelle ça un showcase dans le jargon) de véhicules qui roulent en convoi et sans conducteur. L'expérimentation aura lieu dans le cadre du projet SafePlatoon, financé par l'ANR (Agence Nationale de la Recherche) et qui a débuté en mars 2011 pour une période de 36 mois. Il est piloté par l'Université de Technologie Belfort-Montbéliard (UTBM) et soutenu par le Pôle Véhicule du Futur. L'objectif est de développer d'ici 2014 des algorithmes assez fiables, de façon à ce que des véhicules puissent s'insérer dans le trafic, détecter les obstacles (autres véhicules, piétons) et quitter la voirie pour venir se garer. Les applications pourraient concerner l'auto partage en libre-service, les militaires mais aussi le monde de l'agriculture.
Les nouvelles solutions de maintien à domicile sont nombreuses et développées en grande majorité par des start-up ou des PME. Pour le moment, à part celles qui se sont orientées vers le marché des maisons de retraite (et hôpitaux) ou des conseils généraux, certaines peinent à trouver véritablement leur marché et à se développer.
De nombreuses raisons ont été avancées pour expliquer cette situation comme le manque de politiques publiques, les moyens financiers faibles, la complexité des solutions techniques… Toutes expliquent en partie les difficultés.
Mais même si l'ensemble de ces obstacles étaient levés, de nombreuses « géronsolutions » auraient encore des difficultés à se développer… probablement pour une raison essentielle :
Certaines sont en avance de 10 ans par rapport au « time to market ».
"Au cours de mon enseignement, notamment en sciences et en géométrie dans l'espace, je me suis aperçue que pour certains élèves ces notions étaient plus qu'abstraites. Le recours à des objets réels a permis de dépasser certains obstacles mais pas dans leur globalité.
Depuis toujours attirée par la réalité augmentée, je me suis penchée sur sa possible utilisation en classe pour que l'ensemble des élèves accède à la pleine compréhension des compétences à acquérir."
""Je ne pense pas que la médecine 2.0 viendra des médecins. Il y a trop en jeu, et ils ne sont même pas les seuls à avoir des 'billes' à protéger. Je crois aux pressions des patients ... à condition que ceux-ci ne soient pas, à leur tour, manipulés par des vendeurs de mirages. Malheureusement, il est difficile de faire obstacle à l'obscurantisme, quand on sait qu'on est un peu tous 'programmés' pour croire aux contes de fées ..." Docteur Martin Winckler, médecin écrivain (propos recueillis le 08/09/2012)."
"However, looking at the state of technology and medical science today, we at HealthStartup Europe do imagine a radically different and vastly improved healthcare experience, especially from a consumer-patient perspective. It is a healthcare experience that should, in principle, be possible today if we found a way to deal with the various obstacles more rapidly-core of which is health data integration, the theme of our next conference in London.
Let's call this vision of a better healthcare experience a digital health manifesto (feel free to contribute to the manifesto - comment below or via Twitter and Facebook and we'll update the text)."
HydroQuébec travaille actuellement sur un projet ambitieux, susceptible de révolutionner le fonctionnement des bornes de recharge pour voitures électriques.
Temps de recharge : un obstacle près d'être surmonté ?
Depuis le lancement des premiers véhicules électriques, médias, critiques automobiles et sceptiques n'ont cessé de critiquer la durée de recharge des batteries au lithium-ion. En moyenne, les accumulateurs équipant les modèles actuellement commercialisés prennent entre 5 heures et 8 heures à retrouver leur pleine capacité sur une borne classique, et jusqu'à 30 minutes sur un chargeur rapide. Face à ce dilemme, de nombreux constructeurs ont essayé d'apporter une solution viable, à l'instar des points de recharges et d'échanges de batteries gérés par Better Place en Israël et prévus prochainement en Australie et au Danemark. Le projet développé par Hydro-Québec risque toutefois de modifier la donne sur le marché plein d'avenir des voitures électriques. Les deux groupes annoncent en effet dévoiler prochainement un dispositif de recharge ultra-rapide, compatible avec toutes les batteries de cars électriques au lithium-ion.
HydroQuébec travaille actuellement sur un projet ambitieux, susceptible de révolutionner le fonctionnement des bornes de recharge pour voitures électriques.
We have had some big successes with digital medicine. In my field about six years ago, device companies started putting antennas into implanted devices. We now analyze data from those devices in more than 200,000 patients. We've collected information on 20 million device downloads, recorded 150,000 life-saving interventions, and collected millions of pieces of valuable additional data. The numbers were clear. Here is what we've learned:
If you open up this implanted device to the network, people live longer.
We live longer and healthier lives when our health is continuously monitored by a device and exceptions to normal health are reported by the device to our caregivers. The technology exists and is often very inexpensive. It keeps people out of hospitals; saving money and lives. We've proven that.
So why aren't we doing more monitoring? It's not a regulatory problem or a lack-of-vision problem in the medical and technology companies; it's that there's too much perceived risk in changing the medical structure.