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Sophie Point

Cahier du commun 1 : agir en commun, agir le commun - 0 views

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    Un même questionnement émerge aujourd'hui, avec une forte acuité politique, dans les champs du social, de l'art, de la recherche (en sciences sociales), du soin ou encore de l'urbain, et il concerne de nombreux collectifs militants et/ou professionnels engagés dans une critique des formes dominantes de vie et d'activité. Cette question est celle d'un travail du commun, à savoir la capacité d'un collectif d'artistes, de militants, d'intervenants sociaux ou de soignants à agir sur le commun, sur la vie en commun, sur les ressources dont nous disposons en commun.
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Internet, portail des lieux du commun - Libération - 0 views

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    "Un «commun», explique Valérie Peugeot, chercheuse à Orange Labs et présidente de Vecam, c'est «une ressource partagée, ni privée ni publique, matérielle ou immatérielle, gérée par une communauté qui met en place des règles de gouvernance». Et qui «se caractérise par un agencement différent des attributs de la propriété», la trilogie usus (le droit d'usage), fructus (le droit de recueillir les fruits d'un bien) et abusus (le droit de disposer d'un bien), poursuit l'informaticien Philippe Aigrain, cofondateur de l'association la Quadrature du Net et auteur, en 2005, de Cause commune (Fayard)."
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La Déclaration de Lyon sur l'accès à l'information et le développement : Un d... - 0 views

  • Sur le terrain et au plan national, elle vise à soutenir les professionnels qui pourront décrire leur engagement et leur travail en matière d’informations communautaires, gouvernementales, d’alphabétisation, de services aux enfants, de TIC, etc. et à défendre le rôle crucial des services des bibliothèques pour le développement en faisant la promotion des principes de la Déclaration.
  • Elle plaide aussi en faveur d’une meilleure infrastructure en matière de technologie de l’information et de la communication pour que les avantages du développement puissent profiter à tous.  Sur cette base, la Déclaration pose :
  • la Déclaration n’est pas ancrée dans la réalité des défis actuels, elle parle d’un autre temps sans offrir un véritable projet adapté au monde des réseaux qui soit politiquement courageux, orienté sur le savoir, le partage, la créativité, les biens communs, l’innovation, tourné vers les citoyens et les communautés en action qui se ré-approprient leurs projets territoriaux en même temps que leur avenir avec les bibliothèques comme facilitatrices.
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  • Et si l’on faisait valoir que l’« information » est utilisée au sens technique désignant, d’une façon générique, le véhicule et le message, qui recouvre aussi bien les données, les codes, les contenus, les oeuvres, éditées, publiées ou non, les ressources, libres ou non, le domaine public, les biens communs, l’open access, etc. ? Seuls les spécialistes de l’information comprendront ce langage. Le parti pris pour l’« information », dans l’usage et pour les fins politiques qu’on lui destine, subira plutôt un effet de raccourci qui prêtera les services à ceux de fournisseurs d’informations gouvernementales/communautaires sans le reste, c’est-à-dire, la diversité des contenus, les oeuvres, les ressources, les biens communs informationnels, l’open access, etc., en réduisant la portée de la Déclaration.
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Economie collaborative: un programme politique pour la jeunesse rebelle? - Telos - 0 views

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    "Le projet politique ? Une sorte d'autogestion des réseaux conçus comme des biens collectifs. Pour cela, la mouvance OuiShare parie sur la capacité humaine de gestion décentralisée des biens communs au bénéfice de tous à partir d'arrangements institutionnels : cette vision s'inspire des travaux du prix Nobel d'économie, Elinor Ostroem. Ensuite, elle fait la part belle à l'idée selon laquelle les humains seraient avant tout motivés par la recherche de liens de réciprocité. Certaines études vont dans ce sens. Ainsi, une enquête sur Wikipedia montre que pour les contributeurs occasionnels de ce site collaboratif, la participation s'explique par la recherche d'une dynamique de réciprocité, un gage que l'action de l'un engagera celle de l'autre, une émulation positive au bénéfice de chaque personne de la communauté."
Documentation CD63

Une nouvelle stratégie numérique pour transformer l'Etat et les services publics - 0 views

  • création d'un système d'information commun à l'ensemble des ministères et administrations centrales, nouveau système d'authentification en ligne des usagers, place de marché de services, open data (base nationale d'adresses, nouvelles fonctions pour data.gouv.fr...), marché public simplifié, saisie de l'administration par simple courriel...
  • Performance en interne et services publics en ligne
  • La donnée, un bien commun à partager
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  • le passage de l'état "solide" initial (fonctionnement en silo) à l'état "liquide", avec un outil partagé par tous, risque de faire grimacer plus d'un directeur de l'administration centrale. En effet, le premier principe promu marque bien un changement : "Les administrations doivent accepter que leurs données relèvent du bien commun, dans le respect des règles de sécurité adaptées."
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    - Localtis.info, 17 sept 2014
gaviolig

Les enjeux juridiques de la transition numérique , Le Cercle - 0 views

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    Les Echos.fr, fév 2015
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    "Un accompagnement vers la transition numérique Depuis longtemps, le droit français reconnaît plusieurs modes de dématérialisation, comme la signature électronique, l'échange de données informatisées (EDI) et surtout la reconnaissance de l'écrit électronique, mais uniquement cela. Ce droit commun a de nombreuses déclinaisons. Sont bien vite venues des dispositions relatives à l'horodatage, la lettre recommandée électronique et les contrats conclus par voie électronique. Depuis 2005, c'est le secteur public qui s'est mis à accentuer fortement cette transition numérique en rendant obligatoire la dématérialisation. La dématérialisation en droit français tire son origine de la Directive européenne datant du 13 décembre 1999, avec pour objectif de faciliter l'utilisation des signatures électroniques, elle institue un premier cadre juridique certains services de certification afin de garantir le bon fonctionnement du marché intérieur. Mais la disparité des législations nationales nécessitait de standardiser et sécuriser la transition vers le numérique. Ainsi, le règlement sur l'identification électronique et les services de confiance pour les transactions électroniques au sein du marché intérieur du 23 juillet 2014 est entré en vigueur en septembre 2014. Certaines de ses dispositions ne seront applicables qu'à compter de juillet 2016 ou attendent des textes d'application, fixant des standards technologiques. Ce règlement fixe également le cadre européen commun pour la signature électronique, le cachet électronique, l'horodatage électronique, les services d'envoi recommandé électronique, l'authentification de sites internet et les services de confiance dans les transactions électroniques."
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La participation, outil de modernisation du fonctionnement interne | Cap'Com - 0 views

  • Comment mobilisez-vous autour de la démarche ?E. G. : On a fait la promotion du dispositif à travers tous les outils : newsletter, affichage, flyers, site et réseaux sociaux. L’affichage dans les lieux publics est un levier extrêmement important : les gens sont réceptifs au message de la consultation quand il est porté sur le lieu du quotidien : une  école ou un conservatoire par exemple, parce que ça concerne directement ce qu’ils sont en train de faire. Sur les retours, je suis surpris par la convergence des analyses : à 90 % on partage les mêmes diagnostics sur les dysfonctionnements. Il faut qu’on travaille sur la restitution de tout cela. Les agents nous disent souvent qu’ils ne comprennent pas pourquoi on leur demande de faire telle ou telle action, même si l’organisation a bien été réfléchie et qu’elle est pertinente. C’est important d’expliquer les choses. On doit avoir un gros travail avec la communication interne pour rendre compte aux agents des résultats.
  • Si la règle est bien posée, la démarche transparente, les syndicats acceptent la relation directe entre  les politiques et les agents. Et on les repositionne sur leurs missions premières autour des risques psycho-sociaux, des rémunérations, des statuts… La participation des agents, c’est pas bien de le faire, c’est essentiel.
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Les collectivités investissent le financement participatif | Cap'Com - 0 views

  • Le financement participatif est un moyen de mobilisation locale mais aussi une source de financements complémentaires. Certaines collectivités créent leur propre dispositif pour contribuer à des projets locaux, d’autres utilisent des plateformes existantes pour financer leurs projets. Découvrons le crowdfunding dont la réussite dépend de la communication qui l’accompagne.
  • Le financement participatif commence à intéresser les collectivités locales. Ce mode de financement, connu aussi sous le terme anglo-saxon de crowdfunding, permettrait de soutenir, toutes initiatives confondues, plus de 60 000 projets et de récolter près de 150 millions d’euros par an.
  • En juin dernier, l’Autorité des marchés financiers et l’Autorité de contrôle prudentiel ont édité un guide du financement participatif en France. L’ordonnance 2014-559 publiée au Journal Officiel du 31 mai 2014 est venue conforter ce nouveau mode de financement en protégeant les épargnants.
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  • Mécanisme de financement innovant, il permet de récolter des fonds auprès d’un large public en vue de financer un projet via Internet. Il existe trois grandes catégories de plateformes de financement selon que celles-ci sont basées sur des dons, des prêts ou des investissements en fonds propres.
  • Un moyen de soutenir les porteurs de projets, d’animer le territoire et de renvoyer une image valorisante de la collectivité. Dès lors, la communication de la collectivité doit assurer la promotion du dispositif, faire connaître les projets et valoriser les résultats dus à l’investissement des habitants.
  • Le financement participatif se propage aussi dans le domaine de l’aménagement urbain. De nombreuses initiatives originales ont vu le jour à travers le monde. Le phénomène s’est développé en lien avec la crise économique, apparaissant comme un moyen de pallier le manque de financements publics.
  • Aider au financement d’initiatives locales en mobilisant les habitants
  • Le crowdfunding ouvre en effet des perspectives intéressantes même si les collectivités ne peuvent pas directement en profiter du fait des règles de la comptabilité publique.
  • Le financement participatif est possible dans le domaine du patrimoine où il s’apparente à une nouvelle forme de mécénat. Si les montants collectés restent modestes avec moins de 100 euros par don et environ 1 500 euros par projet en moyenne selon l’étude de Clic France, ce système permet de démocratiser le mécénat à un spectre beaucoup plus large de biens culturels
  • Faire financer les projets de la collectivité par les habitants
  • Les collectivités peuvent s’appuyer sur les plates-formes dédiées aux projets urbains qui existent dans leur pays, à l’image d’Urbankit au Chili ou de Spacehive au Royaume-Uni. Mais c’est souvent sur les plates- formes traditionnelles que se retrouvent les projets urbains.
  • Bien évidemment, l’implication des citoyens dans le financement d’un projet ne fonctionne que si la collectivité sait mobiliser sa communication. D’autant plus que la finalité de l’appel à la foule n’est pas seulement de trouver des financements complémentaires, mais c’est aussi de valoriser le dynamisme du territoire.
gaviolig

Villes : de la connexion à l'intermodalité « InternetActu.net - 0 views

  • Evoquer les villes intelligentes, les villes durables ou les villes écologiques dessine à chaque fois une nouvelle palette d’avenir… et influe sur la manière dont elles sont conçues, construites et aménagées (le rapport est d’ailleurs le dernier d’une série de 4 : un autre s’intéresse à comment la ville est appelée à changer d’ici 50 ans, en explorant 4 scénarios : la ville de la haute technologie, la ville numérique, la ville vivable et la ville-forteresse ; un autre à l’évolution démographique des villes ; et le dernier à l’évolution architecturale des villes).
  • la ville intelligente ne peut pas être une installation clé en main, c’est-à-dire un ensemble de technologies qui, une fois déployées, fonctionneront de manière cohérente et uniforme (PlanIT prévoit même de développer son propre réseau social, indépendant de tous les réseaux sociaux existants), alors que les villes sont des produits culturels, économiques, politiques et sociaux spécifiques. Pour lui, l’individu doit être l’unité atomique des données urbaines,
  • l’enjeu repose sur le smartphone, le terminal ultime de la mobilité.
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  • En échouant à prendre une position de leader sur les applications de mobilité, les villes cèdent le terrain et les données à des entreprises privées qui ne défendent pas les mêmes intérêts qu’elles. Les conséquences ne portent pas que sur l’information de transport, estime Eric Goldwyn. Le résultat risque surtout de passer à côté d’une occasion d’améliorer le réseau de transport en le rendant plus homogène, plus unifié. Le risque est que le transport public se fragmente, que l’intermodalité, si célébrée demeure un voeu pieu, et que les villes perdent des informations précieuses sur le déplacement et donc sur l’amélioration potentielle du réseau. Eric Goldwyn fait référence aux cartes d’abonnement et aux tickets uniques qui ont beaucoup fait pour l’unification du système de transit de New York. Il suggère qu’une application intégrée permettrait à tous d’accéder bien plus simplement à un réseau de transport en commun bien plus vaste… Une application unique permettrait une meilleure gestion de l’ensemble du réseau, de mieux s’adapter aux évolutions du trafic, de mieux répondre à la demande.
  • “Les applications de transports telles qu’Uber montrent les possibilités, et elles sont grandes, mais maintenant, nous avons besoin que l’entrepreneuriat public intègre ces nouvelles technologies pour améliorer le transport public, et pas seulement le transport privé”
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DirComs : la révolution digitale ne passera pas deux fois , Le Cercle - 0 views

  • Il y a également un rôle d’animateur numérique au sein de l’entreprise, dans cette logique de co-working en phase avec ce Nouveau Monde émergent. Travailler "avec" et non plus "seul". Travailler "pour" et non plus "contre". Le digital est une formidable opportunité pour les Directions de la communication d’animer, de collaborer, de partager avec les autres fonctions de l’entreprise comme la DRH, la Direction marketing ou encore la DSI, pour un bien commun : la marque et sa réputation.
gaviolig

« Les jeunes lisent toujours, mais pas des livres » - 0 views

  • Le numérique aussi a changé notre façon de lire : les séquences de lecture des jeunes sont plus courtes, souvent liées à leurs échanges écrits sur Internet, et donc sont très liées à la sociabilité. Les choix de lecture se font en interaction avec les autres, de plus en plus par des recommandations des pairs. Or lire un livre est, par nature, une activité plutôt longue et solitaire. A l'ère du numérique, la façon dont les jeunes construisent leur approche culturelle ne va pas naturellement vers la lecture. Pourtant, certains jeunes, statistiquement plutôt les filles, se tournent de nouveau vers la lecture comme activité à contretemps et déconnectée, comme pour stopper le flux d'informations continu qui leur parvient.
  • Les 15-29 ans lisent des textos, Wikipédia, des blogs… Il y a bien des façons de lire. En réalité, on n'a jamais tant lu : des textes, des publicités, des articles, etc. Mais le goût pour la lecture de littérature baisse. Ces deux types de lectures sont différents. La lecture HTML est « additive », les liens et les articles se superposent les uns aux autres. Pour ne pas se perdre dans le flot d'informations, il faut construire une séquence de lecture. Il faut faire le tri, ne pas se perdre pour éviter la saturation informationnelle, le moment où l'on ne comprend plus rien à ce qu'on lit et où l'on tourne en rond. Ce sont des compétences très difficiles à acquérir.
  • Le smartphone est devenu le premier terminal culturel des adolescents et jeunes adultes. Les jeunes regardent toujours la télévision, mais sur leur ordinateur ou leur téléphone. Les blogs, forums et chaînes musicales remplacent les radios, qui s'écoutent en podcast. La presse également est consommée essentiellement sur Internet. Seuls les magazines spécialisés ou thématiques résistent à cette tendance, comme ceux consacrés au sport ou à un chanteur. Aujourd'hui, les premiers pourvoyeurs d'info sont les réseaux sociaux. Un adolescent que j'ai rencontré lors d'une enquête m'a dit, très justement : « S'il y avait la guerre, je l'apprendrais sur Facebook. »
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  • Comment réduire la fracture numérique d'un côté et la fracture générationnelle de l'autre ? Mettre dans les mains des plus jeunes les textes anciens qui transitent à travers les générations, mais aussi, dans l'autre sens, former les personnes âgées aux nouvelles technologies, cela permet de créer du commun, de créer du lien intergénérationnel. C'est là tout l'enjeu des nouvelles politiques culturelles.
Sophie Point

L'innovation, ce n'est pas que de la technique ! - Lagazette.fr - 0 views

  • Cette entité fait partie des quelques “pôles” en charge de l’innovation qui éclosent dans les collectivités. Leur fonctionnement variable témoigne du caractère récent de ce travail mais aussi de l’essence de l’innovation, plurielle. Toutefois elles ont un point commun : sortir d’une vision techno-centrée du terme. Et “l’approche transversale est essentielle, souligne Benoît Ferrandon, sinon on reste en milieu clos”.
  • Petit à petit, la palette d’outil se dessine, et le premier de ses outils consiste… à voir les pratiques extérieures : “Je fais beaucoup de veille sur Internet, sur Twitter, je lis des études en anglais”, illustre Anthony Clavery, qui souligne que son très bon niveau en anglais est un atout car beaucoup d’expériences sont relatées dans cette langue. La 27ème région, “le laboratoire de transformation publique” à l’initiative du programme Re-acteur public, alimente bien son fil Twitter et organise régulièrement des retours sur expérience, y compris avec des intervenants étrangers. Impliquer les usagers dans le “design de service public” est aussi un classique, qui implique de “sortir de la réflexion en chambre”, synthétise Benoît Ferrandon. Avec le service PMI, ils ont travaillé sur un guide pour et avec les très jeunes parents, afin de les aider dans les démarches envers les différents interlocuteurs (voir encadré). De ses expérimentations, le département a même tiré un ouvrage, sorti cette année, « Design de service public en collectivité locale, Le passage à l’acte ».
Documentation CD63

Loi NOTRe et Open data : une opportunité, pas une contrainte - 0 views

  • Le Parlement a notamment entériné l’obligation pour les communes de plus de 3 500 habitants, et leurs EPCI, de rendre accessibles en ligne les informations publiques qu’ils détiennent, lorsque celles-ci se rapportent à leur territoire et sont disponibles sous forme électronique.
  • Tout d’abord, il n’est pas prévu de décret d’application qui viendrait préciser la formulation somme toute générique retenue par le législateur. Quid, dès lors, du caractère obligatoire ou non de la publication, du périmètre exact des informations concernées, du planning de mise en œuvre, du caractère contraignant ou non permettant de s’assurer de l’effectivité de cette disposition ?
  • Il faudra donc s’en remettre à une simple circulaire préfectorale prévue dans les mois à venir.
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  • Ce qui semble certain, c’est que cette dynamique n’a pas vocation à s’essouffler. Bien au contraire, le portage gouvernemental et parlementaire semble pérenne sur le sujet. Tout concourt aujourd’hui à graver dans le marbre la libération des données par défaut.
  • un vade-mecum recensant les données minimales à libérer pour répondre idéalement aux exigences de la loi, assorti d’une grille d’évaluation sur la complexité de la démarche selon la catégorie de data visée.
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    - Lagazette.fr, 21 septembre 2015
Documentation CD63

OpenStreetMap, le "hors-bord de l'information géographique", fête ses dix ans - 0 views

  • la gendarmerie nationale, la police nationale, des SDIS, des SAMU utilisent des données OSM
  • les “données de référence” sont le fruit d’un processus long pour que les données rentrent dans le tuyau et en ressortent
  • Il faut trouver un juste équilibre entre une mise à jour beaucoup plus rapide et peut-être un peu moins contrôlée et une mise à jour de données hypercontrôlées mais avec des cycles incompatibles avec les usages.
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  • Il y a beaucoup d’usages pour lesquels il est plus important d’avoir des données très fraîches, quitte à ce qu’il y ait quelques erreurs, plutôt que des données vérifiées qui ont trois ans.
  • On observe aussi une prise de conscience générale par rapport à l’hégémonie de Google qui joue en notre faveur.
  • Quand une collectivité entre dans une démarche open data, c’est qu’elle a compris l’intérêt des biens communs, du partage, du collaboratif, etc. Du coup, aller vers OSM est un pas facile et naturel.
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     - Lagazette.fr, 5 sept 2014
gaviolig

Tiers Lieux dispositif d'incubation à ciel ouvert - 1 views

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    Une étude qui présente les Tiers-Lieux comme des dispositifs permettant le partage de savoirs, la mutualisation de ressources et la création collective de biens communs pour favoriser la résolution de problèmes de société. Il interroge en filigrane la transférabilité des systèmes de partage et de co-création propres au monde du logiciel libre pour la conception, la création et la production de nouveaux produits ou services à valeur ajoutée.
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