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Huit scénarios extrêmes pour imaginer comment nous travaillerons demain - 1 views

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    "L'expédition DigiWork a fait émerger une vingtaine de scénarios extrêmes. Huit ont été sélectionnés par les internautes : congés illimités ou intermittence pour tous, ces nouveaux modèles ne vont pas sans poser certains problèmes... "
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L'intelligence collective dans les entreprises: Repenser l'approche managériale - 1 views

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    "L'intelligence collective reçoit désormais un écho favorable au sein d'un nombre de plus en plus important d'entreprises qui voit en elle la clef de voûte de leur compétitivité. Seulement voilà, si cette prise de conscience est positive en termes de dynamique humaine, force est de constater que peu d'entre elles ont réellement pris le temps de réfléchir et de repenser l'approche culturelle, organisationnelle, communicationnelle et managériales qu'il serait nécessaire d' y associer."
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Publication l'Entreprise 2020 à l'ère numérique, enjeux et défis | CIGREF - 1 views

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    Que sera « l'Entreprise 2020 à l'ère numérique, ses enjeux et défis » ? Pour ouvrir la voie à cette réflexion, le Cigref publie un ouvrage… Cet ouvrage se structure en deux parties. La première présente l'Entreprise 2020 à l'ère du numérique. Elle est nourrie par l'expérience acquise depuis 44 ans, par les études menées au sein de la Fondation CIGREF, et par les travaux conduits sur l'Entreprise Numérique". La seconde partie est consacrée à la contribution de la Fonction SI à la transformation numérique de l'entreprise.
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France : d'ici à 2025, les robots pourraient tuer trois millions d'emplois - 0 views

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    "L'ère des robots approche. Une étude exclusive du cabinet Roland Berger, relayée par Le Journal du dimanche, révèle que les automates pourraient supprimer trois millions d'emplois en France d'ici les dix prochaines années. Près de 20 % des tâches seraient en effet automatisées d'ici à 2025. "
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Why These Coworking Spaces In Train Stations Let You Pay In "Social Capital" | Fast Co... - 0 views

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    Is the free coworking space that's giving 80,000 people desks in vacant areas of schools, hospitals, and train stations the future of work?
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Non-Technologists Agree: It's the Technology - 0 views

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    Two papers came out last year that examined important issues around jobs and wages. Both are in top journals. Both were written by first-rate researchers, none of whom specialize in studying the impact of technology. And both came to the same conclusion: that digital technologies were largely responsible for the phenomena they examined. Paper 1 Equally admirable are the graphs the authors draw to illustrate their main findings. Here's the one for jobs (the one for wages has a pretty similar shape). It gives the changes in employment share - which you can think of as changes in the the 'market share' of jobs - between 1980 and 2005. And it shows vividly that low-skill and high-skill jobs gained market share over that period, which those in the middle of the skill range lost. Paper 2 We document, however, that the global labor share has significantly declined since the early 1980s, with the decline occurring within the large majority of countries and industries. We show that the decrease in the relative price of investment goods, often attributed to advances in information technology and the computer age, induced firms to shift away from labor and toward capital.
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Travail - Comment Michelin «libère» ses cols bleus - Liaisons Sociales Magazi... - 1 views

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    "Polyvalence, responsabilisation, délégations… Les ouvriers de l'usine Michelin du Puy-en-Velay gèrent eux-mêmes des missions hier dévolues aux managers. Une démarche innovante et source de compétitivité, mais faiblement reconnue."
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Antonio Casilli -- Digital labor studies : Antécédents théoriques et nouvelle... - 0 views

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    Intervention d'Antonio Casilli (Télécom ParisTech/EHESS) dans le cadre du séminaire EHESS "Etudier les cultures du numérique", 2 nov. 2015. slides
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Bank of England: half of British jobs at risk from robots (Wired UK) - 0 views

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    Robots could replace 15 million British workers in the "third machine age", according to the Bank of England's chief economist. That's almost half of the 30.8 million people currently employed in the UK. The figure comes from a Bank of England study into the potential impact of widespread automation in different industries.
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Uber Is Not the Future of Work -- The Atlantic - 0 views

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    Gig-enabling apps are a distraction from the uncertainties that affect far more people: Will workers get paid enough and are their jobs safe?
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Even your boss may be threatened by robots: Study - CNBC - 0 views

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    For years, workers have feared how automation may threaten their jobs in the future. Now, their bosses may be feeling those same jitters. Consulting firm Accenture recently surveyed a wide group of managers about their attitudes on cognitive computing and the future of the workforce.
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There Is No Excuse for How Universities Treat Adjuncts -- The Atlantic - 0 views

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    In 1969, almost 80 percent of college faculty members were tenure or tenure track. Today, the numbers have essentially flipped, with two-thirds of faculty now non-tenure and half of those working only part-time, often with several different teaching jobs. But apart from feeling sorry for the underpaid faculty, why should we care that college professors have the same job conditions as day laborers, fast-food workers, cashiers, taxi drivers, or home-care aides? They did, after all, choose to pursue a career in higher ed. Administrators at these institutions of higher learning argue that they need to use adjuncts because it is the only way to keep tuition from rising even faster than it has. And isn't access to education the higher good?
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The Robots Are Coming for Wall Street -- NYT - 1 views

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    Hundreds of financial analysts are being replaced with software. What office jobs are next?
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Ile-de-France : 3ème métropole du coworking - 0 views

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    "Début 2016, La Fonderie a souhaité faire un point d'étape de la révolution mondiale du coworking. Voici ce qu'il ressort de l'enquête qui a été menée :"
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Financer l'allocation universelle, par Baptiste Mylondo (Le Monde diplomatique, mai 2013) - 1 views

  • Si l’on se fie à son produit intérieur brut (PIB), la France est aujourd’hui le cinquième pays le plus riche du monde. En 2010, le revenu disponible (après versement des prestations sociales et prélèvement des impôts directs) s’y élevait à 1 276 euros par mois et par personne, adultes et enfants confondus. Nous disposons donc de ressources suffisantes pour garantir à chaque individu 1 276 euros si l’on décidait d’opérer un partage strictement égalitaire. C’est nettement plus que le seuil de pauvreté actuel, fixé en France à 60 % du revenu médian (1), soit 960 euros par adulte.
  • En plus de participer d’une logique de réduction des inégalités, les modalités de financement doivent aussi respecter des principes de prudence, de pérennité, d’adéquation, de cohérence et de pertinence. Elles doivent permettre une amélioration des conditions de vie, et, pour cela, il faut commencer par veiller à ce qu’elles n’entraînent pas une dégradation de la situation des plus démunis ni ne remettent en question les acquis sociaux. Cette considération est essentielle, et explique en partie les réserves, voire l’hostilité, exprimées par les syndicats. Le revenu inconditionnel n’impliquerait-il pas un recul de la protection sociale ?
  • on peut considérer que des fragments du revenu garanti sont déjà versés aujourd’hui, partiellement et sous condition, sous la forme de prestations sociales, de subventions diverses ou de bourses. Un revenu inconditionnel pourrait donc remplacer certains de ces dispositifs. Certains, peut-être, mais certainement pas tous, sauf à tomber dans la logique des propositions libérales
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  • Il convient par exemple de distinguer les prestations contributives relevant du régime assurantiel, financées par la cotisation — retraites, Sécurité sociale —, et les prestations non contributives — les aides sociales —, qui relèvent du régime de solidarité nationale et sont financées par l’impôt. Le revenu inconditionnel ne saurait remplacer le système assurantiel, dont les prestations ne visent pas simplement à protéger de la pauvreté, mais aussi à garantir le maintien du niveau de vie. En revanche, il peut remplacer les aides sociales auxquelles il viendrait se substituer parfaitement et avantageusement.
  • Par contre, pas question de supprimer la couverture-maladie universelle ou l’allocation aux adultes handicapés (AAH), qui ont des objets bien spécifiques.
  • Mais il faut encore trouver d’autres ressources. Plusieurs options peuvent être envisagées : l’introduction de nouvelles taxes ciblées, une hausse de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), ou des impôts sur le revenu ou le patrimoine.
  • Certains impôts ont pour but d’orienter les comportements individuels grâce à des dispositifs incitatifs ou pénalisants. Ainsi, les écotaxes, la taxe Tobin sur les transactions financières, la taxe Keynes sur les transactions boursières, le plafonnement des rémunérations et des revenus (salaire et revenu maximums) sont parfois avancés comme des pistes de financement du revenu inconditionnel. Ils présentent en effet deux avantages notables. D’une part, l’écrasante majorité des contribuables n’y seraient pas ou peu assujettis. D’autre part, ils sanctionnent des comportements que l’opinion réprouve : nuisances écologiques, spéculation boursière, rémunérations obscènes et inégalitaires. Toutefois, il serait hasardeux de miser sur des comportements que l’on souhaite voir disparaître.
  • Il doit y avoir une adéquation entre la mesure financée et son mode de financement : la prévention routière peut être payée par les recettes des contraventions, par exemple. Il ne s’agit pas de renoncer aux taxes ciblées ; mais leur usage pour la mise en place d’un revenu inconditionnel ne pourrait qu’être transitoire — ou, du moins, il faudrait l’espérer.
  • le financement par une hausse de la TVA est une autre option.
  • Cette possibilité présente plusieurs avantages. D’abord, puisque tout le monde est consommateur, tout le monde s’acquitte de cette taxe. Or plus l’assiette est large, plus les taux appliqués peuvent être modérés. Ensuite, la TVA, directement intégrée dans les prix, est moins perçue par les contribuables que des taxes ciblées ou des prélèvements opérés après avis d’imposition. Par ailleurs, dans l’optique d’un impôt unique sur la consommation, le risque de fraude fiscale serait limité et ne concernerait que le marché noir. Enfin, la combinaison d’une taxe proportionnelle — la TVA — et d’une prestation forfaitaire — le revenu de base — équivaudrait selon Häni et Schmidt à la mise en place d’un impôt progressif, donc redistributif. Alors que l’on reproche souvent à la TVA son caractère inégalitaire et régressif, l’argument est important.
  • D’un point de vue technique, on peut craindre qu’une hausse de la TVA ne vienne compliquer la lutte contre la pauvreté en entraînant une augmentation des prix. Le revenu inconditionnel sera-t-il encore suffisant une fois que les prix auront augmenté ? Et, si les prix n’augmentent pas, les entreprises pourraient essayer de compenser la hausse de la TVA par une baisse équivalente des salaires.
  • Mais c’est surtout une question de cohérence qui doit être soulevée, notamment si le revenu inconditionnel est porté par une gauche antiproductiviste. Après avoir misé sur l’appât du gain des spéculateurs (taxes Tobin et Keynes) et sur l’inconscience écologique des citoyens (écotaxes), peut-on vraiment compter sur l’ardeur des consommateurs pour financer le revenu inconditionnel, et reconnaître ainsi une utilité sociale à la consommation ?
  • Remettant en question, à juste titre, la propriété privée lucrative, Friot propose de réaffecter presque intégralement la richesse produite par les entreprises — qui deviendraient alors « sans but lucratif » — à des caisses de cotisations permettant de financer, d’une part, un salaire à vie et, d’autre part, de l’investissement mutualisé.
  • Une dernière possibilité — dans cette liste non exhaustive de solutions sans doute appelées à se combiner — consisterait à s’appuyer sur l’impôt sur le revenu. L’avantage est que cela apporterait une réponse évidente à la question de la progressivité des prélèvements, mais aussi à celle de la hausse des prix, en faisant porter le financement sur les revenus des personnes physiques — ce qui ne signifie évidemment pas l’abandon par ailleurs de toute imposition des personnes morales. L’inconvénient est qu’un financement par l’impôt implique une profonde réforme fiscale et une forte hausse des taux d’imposition. Sur ce dernier point, les simulations de Marc de Basquiat (7) laissent présager une augmentation de l’ordre de 30 à 50 % du taux moyen de l’impôt sur le revenu si l’on souhaite financer un revenu inconditionnel de gauche.
  • Parallèlement, et pour limiter la hausse des taux d’imposition sur les premières tranches, il conviendrait de taxer davantage le patrimoine. D’ailleurs, si les inégalités de revenu sont flagrantes en France, les inégalités de patrimoine sont encore plus criantes, et justifient parfaitement cette réponse fiscale.
  • Compte tenu des défauts du système actuel, on pourrait sans doute s’accommoder d’un recul de l’activité économique ; mais, si la capacité de la société à répondre à ses besoins était remise en question, chaque actif, confronté à la baisse de son revenu inconditionnel, serait amené à travailler pour compléter ce revenu, contribuant ainsi à répondre aux besoins de tous…
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La transformation digitale : on en parle mais qui la fait ? - 1 views

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    "Certains réveils vont être difficiles, si l'on en croît les résultats publiés par l'Electronic Business Group (EBG), recueillis dans Conversations avec le Cac 40. En effet, la transformation numérique est plus longue à se mettre en place dans les 40 plus grosses capitalisations boursières de France que ne l'indique l'omniprésence médiatique du sujet. "
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The Real Reason On-Demand Startups Are Reclassifying Workers -- techcrunch - 0 views

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    When examining each business that has reclassified, we tend to discover a mix of three distinct operational characteristics: - the ability to scale service with a high customer-to-worker ratio; - build a specialized workforce required for high-quality service; - and deliver services to the customer with a greater focus on convenience than timeliness.
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Pourquoi sommes-nous opposés au concept de « l'entreprise libérée » ? » Géomé... - 0 views

  • D’autre part, l’entreprise libérée ne se présente pas seulement comme une innovation managériale; c’est un engagement social du chef d’entreprise. Oui, les salariés ont leurs mots à dire. Oui les salariés doivent prendre part aux projets d’entreprises pour se sentir impliqués. Donnons-leur la possibilité de contribuer davantage… en leur donnant davantage de responsabilités… et que fait-on de la notion de compétences ? D’aptitude ? De reconnaissance ? De salaire ? Avoir des responsabilités, ce n’est pas seulement pouvoir porter des projets… mais c’est également les assumer. Tâche très compliquée, qui peut être ingrate, qui fait partie du « jeu ». Jeu délimité par un contrat de travail, une fiche de fonction, un salaire. L’entreprise libérée, paradoxalement, contraint ses collaborateurs à assumer des responsabilités pour lesquelles ils ne mesurent pas toujours les conséquences sur le long terme et pour lesquelles ils ne sont pas reconnus contractuellement.
  • En bref, le concept d’entreprise libérée, poussée à son paroxysme, ne nous séduit pas, et nous inquiète. Nous privilégions une approche davantage basée sur la collaboration, la mutualisation, et l’échanges de pratiques. Pour nous l’entreprise réellement libérée est une entreprise qui sécurise autant l’employeur que le salarié, sécurisation qui passe par un corpus de règles organisationnelles, partagé et appliqué par tous. Et qui est le mieux placé pour être le vecteur de ce corpus ? Le manager opérationnel.
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    "Deux points de vus sont cependant négligés par cette approche : - Le management est présenté comme une problématique. Ne faisons pas l'amalgame entre le management et sa pratique. Quand vous voyez jouer Lionel Messi ou votre collègue Patrick, vous jugez leurs pratiques du football respectives, leurs différences de « niveau », et non le football en soi. Idem pour le management. - Résoudre un problème en l'excluant ne le fait pas disparaitre, bien au contraire. N'oubliez pas que la nature a horreur du vide; supprimer officiellement le management intermédiaire et/ou transverse renforcera la légitimité et les pratiques de certains… officieusement. Mêmes problèmes donc, sauf que les solutions (légales) ne sont plus à votre portée. A quand l'entreprise libérée face aux conflits ?"
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'My father had one job in his life, I've had six in mine, my kids will have six at the ... - 1 views

  • “My reading of the evidence so far,” he says, “is that there will be less job creating and ever-greater labour saving. If we look at the creation of new occupations by decade, they accounted for 8.2% of new jobs in the 1980s, 4.4% in the 1990s, and 0.5% in 2000s. It is not necessarily true that we will have a jobless future. But I struggle to use my imagination to see which industries will emerge to balance the loss of jobs.”
  • A lot of the change, he suggests, has to do with a transformed idea of freedom. When the older generation thinks of freedom it imagines it as autonomy, self-sufficiency, personal choice. “Freedom is exclusivity.” When the younger generation thinks of freedom, he suggests, it is no longer about exclusivity, it is about inclusivity. “For them the more networks they are in, the more social capital they establish, the more free they feel,” he says. “It is about expanding the network. This is the sharing economy.”
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    "In the 'gig' or 'sharing' economy, say the experts, we will do lots of different jobs as technology releases us from the nine to five. But it may also bring anxiety, insecurity and low wages "
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