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Aurialie Jublin

Les concepts de « Mad Skills » et « Mental Outlook » débarquent en France., Le Cercle - 1 views

  • Le concept américain des « Mad skills » va au-delà de la définition de "talent", uniquement basé sur les compétences, car celui-ci en englobe non seulement  plusieurs variables, que ce soit les connaissances, les réseaux, les relations interpersonnelles, la mobilité, les valeurs, la motivation ou le potentiel mais y ajoute, la singularité de la personne, l’aspect extraordinaire ou hors du commun d'une aptitude ou d'un trait de caractère individuel et personnel. Ainsi, avec le concept de "Mad Skills", le talent n’est pas nécessairement associé aux postes les plus élevés dans la hiérarchie d’une organisation. Il peut aussi bien s’agir de l’informaticien geek que du livreur dans un sushi-shop.
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    "Le terme « Mad skills » qui peut être traduit par « compétences folles » se définit par une expertise multidimensionnelle, ou des compétences singulières ou hors du commun. L'ouverture d'esprit , une attitude positive, collective et collaborative définissent le terme « Mental Outlook ». "
Aurialie Jublin

A New Approach to Aid: How a Basic Income Program Saved a Namibian Village - SPIEGEL ONLINE - 0 views

  • The idea is simple: The payment of a basic monthly income, funded with tax revenues, of 100 Namibia dollars, or about €9 ($13), for each citizen. There are no conditions, and nothing is expected in return. The money comes from various organizations, including AIDS foundations, the Friedrich Ebert Foundation and Protestant churches in Germany's Rhineland and Westphalia regions. The organizers of the trial want to know what their subjects will do with the 100 Namibian dollars, whether they will invest the money or waste it on drink, and whether it will deter them from working or motivate them to work harder. Most of all, they want to know if it alleviates poverty.
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    "It sounds like a communist utopia, but a basic income program pioneered by German aid workers has helped alleviate poverty in a Nambian village. Crime is down and children can finally attend school. Only the local white farmers are unhappy."
Aurialie Jublin

11 Things To Know About Abstract Labor - 0 views

  • Living labor can be understood as identity-making effort (in the absence of traditional prescriptions); it is the productivity of open-ended potentiality. You can be whatever you want (and you will have to work to become it!) Abstract labor is the quantification of that effort, conforming it to pre-existing measuring tools that allow for its commodification. It’s a matter of having oneself fitted to the yardstick. All the work of being someone can be converted to dollars.
  • A fundamental problem for capitalism: how to maintain a supply of workers who are (a) flexible, creative, and motivated to be social (work cooperatively with others to produce value) at the same time they are (b) manageable, controllable, and predictable. It must be able to extract “living labor” — the work of belonging socially — as “abstract labor” amenable to rationalization, measurement, and control and freely deployable on whatever opportunity will yield the most profit.
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    "To recap: Social media are ways to contain and recapture the productive and potentially disruptive energy of the cooperation engendered by the capitalist production process, which depends on bringing workers together, dividing labor among them, and generating/capturing the surplus that emerges from their effort to work together. Cooperative efforts - sociality - are captured by social media and made into data: that is, they are made fungible, abstract, countable. This data then sets cooperative workers back into competition with one another, now competing over and in terms of measurable influence, attention, contribution, network links and so on. The struggle comes to seem like the very struggle for personal identity, but it's just the opposite; it's the struggle to render what is personal about oneself into something that is generally exploitable to whatever company wants it."
Aurialie Jublin

Entreprise et "quantified work" : au secours, Taylor revient (plus fort) ? - 0 views

  • L’enjeu est de taille car, au-delà de la question du “fliquage” (“l’employeur a le droit de contrôler et de surveiller ses salariés, mais seulement dans le cadre d’un contrôle de leur activité et à la condition de les avoir informés préalablement”, peut-on résumer à ce sujet), c’est la nature même du travail, de l’évaluation de la productivité à, en fait, toute la gestion d’un ensemble de données des salariés dans l’entreprise, qui est amenée à se réinventer. Et avec elle, de nouvelles politiques RH, “data-centrées”.
  • Initialement, le taylorisme a en effet été salué comme une force qui “libèrerait les salariés des penchants autocratiques de leurs supérieurs”, rappelle Peter Cappelli, qui insiste pour que le quantified work, ce travail où les salariés mesurent eux-mêmes diverses facettes de leur activité, ne reste pas aux mains des économistes, ingénieurs IT et autres data miners. À la manière des outils d’évaluation dont les conséquences éthiques sont un sujet pris en compte à l’heure de leur élaboration, notamment en y associant la psychologie du travail, la workforce science ne peut se prémunir d’un équilibre entre “l’intérêt des employeurs à prendre des décisions [plus efficaces] et des préoccupations plus vastes sur l’équité et les conséquences inattendues [en matière de motivation, notamment]“.
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    La workforce science, discipline mettant les données des employés au coeur du management, promet une vie en entreprise conjuguant bien-être et productivité. Au prix de la surveillance généralisée ?
Aurialie Jublin

La MAIF instaure le droit à l'erreur - Les Echos Business - 0 views

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    Afin de tranquilliser les esprits, l'accord conclu en 2012 pour accompagner le nouveau schéma directeur opérationnel admettait donc la possibilité de commettre des erreurs, le temps de se faire à sa nouvelle réalité professionnelle. Dans la foulée, il a paru évident d'intégrer le principe de la tolérance à l'erreur dans la renégociation d'un accord de prévention des risques psychosociaux. « La nouvelle organisation a contribué à individualiser les postures, et les remontées du réseau ont fait part de problèmes, avec une tendance à un management trop strict et à une infantilisation des gens. Cela a été un déclencheur pour la direction, qui a décidé de faire quelque chose d'innovant », analyse-t-il. Olivier Ruthardt voit en effet dans la tolérance à l'erreur un élément fondamental : « Vous redonnez aux gens qui agissent, et donc se trompent, la possibilité de découvrir d'autres champs d'expérimentation. » Le DRH va même plus loin : « Quand tout le monde fait la même erreur, c'est là qu'est la norme. » Encore faut-il repérer la mutation, ce qui veut dire dialoguer sans avoir peur de dire ses échecs.
Aurialie Jublin

L'entreprise libérée, réalité ou imposture ? - 1 views

  • Première critique : l’entreprise libérée propose d’abattre un système qui n’existe presque plus ! Frederick Taylor est mort il y a un siècle (en 1915). Son modèle d’organisation scientifique du travail, fondé sur la division à l’extrême des tâches, le chronométrage, le salaire à la pièce, a fait l’objet de fortes critiques (dont par exemple, Le Travail en miettes de Georges Friedman, 1956). Dans le même temps, les relations humaines, les motivations et l’autonomie des employés commençaient à être prises en compte tant dans la théorie, comme le modèle Y de Douglas McGregor que dans la pratique.
  • Une nouvelle bureaucratie est apparue au cours des deux dernières décennies, liée à l’essor des modes de contrôle de gestion, des normes de qualité, des outils informatiques (5), mais ces nouvelles normes et directives sont imposées en large partie par des contraintes institutionnelles, comme les normes de qualité et les normes comptables. Leur suppression ne dépend pas de la seule bonne volonté de « leaders libérateurs ».
  • L’autre critique vient de François Geuze, directeur du master management des RH de Lille. Pour lui, l’entreprise libérée se situe à mi-chemin entre la « stratégie de communication et l’imposture (6) ». Il récuse l’idée que l’on puisse se débarrasser aussi aisément des « fonctions supports » comme les RH, envisagées par les hérauts de l’entreprise libérée comme de purs parasites. (« Les RH sont des parasites à l’état pur (…), ils font partie de ces sorciers devins qui sont autogénérés », affirme Jean-François Zobrist, ex-dirigeant de FAVI (7)). Mais si on supprime les DRH, jugés inutiles, qui va s’occuper de la gestion des carrières, de la formation, des conditions de travail ? Les chefs d’équipe sont-ils à même de traiter eux-mêmes les questions de formation ou d’évolution de carrière ? Pour F. Geuze, la vision caricaturale d’un encadrement qui ne sert « qu’à la prescription et au contrôle » est une façon de renforcer le pouvoir du leader « petit père des peuples ».
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  • Car la suppression du contrôleur ne veut pas dire suppression du contrôle. « La logique pernicieuse de l’entreprise libérée est qu’elle prône l’autocontrôle (…). Mais celle-ci peut bien vite glisser vers le contrôle de tout le monde par tout le monde, chacun des membres d’une équipe étant en permanence sous le contrôle de l’ensemble de ses membres. »
  • L’autre visage de FAVI Mais il existe aussi une autre version de l’histoire. Certes, les ouvriers ne pointent plus ; ils règlent eux-mêmes leur machine. Mais est-ce vraiment aussi révolutionnaire ? J.F. Zobrist n’a fait qu’introduire un type de management à la japonaise des années 1970, très largement importé dans de nombreux secteurs, avec les équipes semi-autonomes. Mais la loyauté des salariés repose aussi sur l’existence d’une norme de groupe très forte, fondée sur l’autocontrôle des salariés entre eux. Tout dissident est mis au ban, et l’omniprésence du « leader libérateur » fait songer au gourou d’une secte…
  • Quand l’automobile a connu la crise de 2008, l’entreprise s’est réorganisée et est passée de 600 salariés à moins de 400 aujourd’hui. J.F. Zobrist a donc dû se séparer de 200 personnes. Dans le même temps, la productivité a progressé au rythme de 3 % l’an, ce qui impose un rythme de travail soutenu. Les ouvriers de chez Favi doivent façonner 1 800 pièces dans la journée, ce qui est un objectif très élevé dans le secteur. La peur du chômage aurait-elle remplacé la pointeuse ? Les récits stéréotypés du leader Favi ne le disent pas.
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    "Devant tant d'enthousiasme, il n'apparaît pas inutile d'écouter quelques voix discordantes. Dans Faut-il libérer l'entreprise ? (2016), Gilles Verrier et Nicolas Bourgeois, tout en partageant les buts et méthodes (on n'interroge que les dirigeants !), prennent un peu de distance et tentent une approche un peu plus mesurée de l'entreprise libérée. D'autres sont franchement plus critiques (4). On peut résumer les critiques à trois grandes catégories."
Aurialie Jublin

CFDT - Travailleurs des plateformes : beaucoup de bruit pour rien ? - 0 views

  • Devant la cour d’appel, son contrat, dénommé « contrat de prestations de services », a été passé au peigne fin. Il en est ressorti que, si le livreur pouvait choisir ses plages horaires (« shifts ») pour effectuer des livraisons, il ne pouvait, sans pénalité, se désengager moins de 72 heures avant leur commencement. Qui plus est, la société Take eat easy se réservait le pouvoir de résiliation du contrat dans certains cas. Aussi, la société avait-elle édicté un « petit guide du coursier », instaurant un système de bonus-malus, les malus étant plus couramment appelés strike. 3 strikes en 1 mois conduisait à une convocation à un entretien avec la société sur les motivations du coursier et 4 strikes à la rupture des relations contractuelles. A la suite du rejet de ses prétentions par le conseil de prud’hommes de Paris, le livreur a interjeté appel. Par une décision du 20 avril 2017, la cour d’appel de Paris a refusé de reconnaître l’existence d’un contrat de travail. Selon les juges du fond, bien que le système de bonus/malus mis en place évoque un pouvoir de sanction, les pénalités sanctionnent des manquements à des obligations contractuelles, ce qui ne caractérise pas un pouvoir de sanction de type salarial. De plus, la cour relève que ces stipulations ne remettent pas en cause la liberté du coursier de choisir ses horaires, le moment de ses congés, tout comme sa durée de travail. Les juges du fond en déduisent que la société Take eat easy « ne détermine pas unilatéralement les conditions d’exécution du travail ».
  • Selon la Cour, le système de la géolocalisation du livreur permettant son suivi en temps réel, ainsi que le système de sanctions auraient dû conduire les juges du fond à reconnaitre l’existence d’un pouvoir de direction et de contrôle et celle d’un pouvoir de sanction. Toutes choses caractérisant l’existence un contrat de travail.
  • Dans sa décision très attendue, la Haute juridiction contredit la solution retenue en appel. La Cour de cassation considère que le livreur était bien lié à la plateforme par un contrat de travail. A cette fin, elle applique les principes classiques en matière de reconnaissance de la qualité de salarié.
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  • La cour relève également que le livreur n’est lié par aucune clause d’exclusivité. Régisseur dans un petit théâtre parisien, celui-ci exerce même une seconde activité professionnelle. Aux yeux des juges d’appel, « cette liberté totale de travailler ou non (…) est exclusive d’une relation salariale ».
  • En tout cas, les décisions semblaient autant se fonder sur le degré d’autonomie du travailleur que sur les principes classiques de qualification d’un contrat de travail, qu’elles rappelaient malgré tout. Manière sans doute de prendre en compte la nouveauté de ces situations… La Cour de cassation ne l’entend pas ainsi. Pour elle, dès lors que les indices classiques de l’existence d’un lien de subordination sont présents, l’autonomie (réelle ou supposée selon les cas) des travailleurs du numérique n’est pas déterminante. Ce qui compte c’est l’existence, ou non, d’un pouvoir de direction et de contrôle, sur lequel s’appuie le pouvoir de sanction.
  • En tout cas, il n’est sans doute pas anodin que, dans la note explicative de l’arrêt, la Haute juridiction indique que les textes actuellement existants concernant les travailleurs des plateformes (pas applicables en l’espèce) ne comportent aucune réponse à la question. La Cour de cassation prend ainsi explicitement position pour dire que la loi Travail (9) ne pose pas de présomption d’indépendance vis-à-vis de ces travailleurs, mais seulement l’esquisse d’une responsabilité sociale des plateformes.
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    "Grande première : la Cour cassation vient d'analyser la relation liant un livreur à une plateforme ! Appliquant des principes très classiques à cette situation pourtant spécifique, la Haute juridiction a considéré que le livreur était bien lié à la plateforme par un contrat de travail. Selon la Cour de cassation, la plateforme disposait d'un pouvoir de direction, de contrôle et de sanction sur le livreur. Cass.soc.28.11.18, n°17-20079."
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