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Aurialie Jublin

Espaces de coworking : le trop-plein - 1 views

  • Il n’existe pas d’étude nationale plus récente sur la viabilité économique des espaces de coworking, qu’ils soient d’initiative publique ou privée. Mais une enquête réalisée par le magazine Deskmag, en 2016, à l’échelle mondiale, révèle que 60 % des espaces de coworking sont déficitaires. L’étude constate que les tiers-lieux situés dans les grandes villes sont plus facilement rentables – à ­condition que le terrain ne soit pas déjà surpeuplé : « Dans les villes où il y a plus d’une cinquantaine d’espaces, la profitabilité chute », note l’enquête.
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    "Depuis 2012, leur nombre a été multiplié par dix. Au risque dene pas toujours trouver leur public."
Aurialie Jublin

Le centre commercial du XXIe siècle, un enjeu majeur pour l'emploi - LesEchos.fr - 0 views

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    "La crise économique accélère le rythme de transformation et toutes les parties prenantes doivent s'adapter pour compenser les pertes d'emplois. Les enseignes, d'abord, qui doivent se réinventer et développer des « expériences client » toujours plus riches et singulières, et intégrer le numérique à l'intérieur même des espaces physiques. Les salariés de ces filières, aussi, qui doivent anticiper et se former, d'abord par eux-mêmes, à ces nouveaux modes de pensée. Car les emplois de demain dans les boutiques et les centres commerciaux seront à plus forte valeur ajoutée qu'aujourd'hui et constituent en soi des opportunités. Les pouvoirs publics, enfin, doivent entamer une révolution copernicienne en prenant conscience de quelques principes de réalité."
Aurialie Jublin

Transformer l'entreprise, ou donner envie et moyens aux employés de reprendre... - 0 views

  • La première des pistes que j’explore est le pouvoir de conviction du « faire ». Il s’agit de trouver des moyens tangibles de faire vivre, d’incarner les grands principes sur lesquels on souhaite bâtir le nouveau modèle d’entreprise et de faire en sorte que chaque acteur s’auto-convainque / s’auto-engage en découvrant et percevant la valeur ajoutée en question dans l’action, dans le « faire ».
  • La seconde des pistes que j’explore est la puissance de la foule, un concept vieux comme le monde qui semble trouver une seconde jeunesse aujourd’hui avec de nombreuses initiatives qui bousculent les secteurs traditionnels qu’elles viennent concurrencer. Par exemple, le CrowdFunding qui permet à des porteurs de projets d’être financé par la communauté sans passer par la case banque (cette approche est d’ailleurs en réflexion dans certaines villes pour les services publics) ou le CrowdSolving qui consiste à mobiliser des acteurs venant de tout bord pour trouver une réponse adaptée à une problématique donnée, domaine jusqu’à présent réservé aux cabinets de conseil ou de design thinking
  • La dernière piste que j’explore est la pollinisation. Plutôt que de chercher à convaincre en touchant un maximum de personnes par une communication ou une action large et transverse puis chercher à les embarquer dans le mouvement, je préfère viser un objectif bien plus petit mais beaucoup plus durable.
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  • Sans surprise, ces trois pistes sont intimement liées et parfaitement complémentaires. Sans surprise, on retrouve dans ces trois pistes un peu de l’esprit du LEAN et du design thinking / design de service.
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    Questions : Si l'entreprise a besoin d'être transformée, vers un modèle collaboratif, qui est le plus légitime pour dessiner les contours de cette transformation et le comment de sa mise en oeuvre ? Est ce une petite poignée de personnes disposant d'un fort pouvoir décisionnel qui doit imposer à la majorité silencieuse cette nouvelle vision (même sous couvert d'une approche vertueuse) ? Ou est ce plutôt la majorité silencieuse qui devrait avoir les moyens d'exprimer et dessiner le futur de son cadre organisationnel et opérationnel ? 
Aurialie Jublin

A Network Of Transparent Futuristic Offices Created For The Mobile, Urban Workforce | C... - 0 views

  • The design is basically an updated and more stylish version of an internet cafe, intended to encourage more interaction. The structure is a simple glass wall or cube, so everyone is visible while they work, like in a miniature version of the Apple store on Fifth Avenue in New York City, "As opposed to being tucked away by yourself at Starbucks, WW offers the opportunity to connect with fellow entrepreneurs while being 'out there' and seen by the public doing business," Berdou explains
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    "U.K. design student Julie Berdou has an idea for how to create even more options for mobile work: A network of tiny offices, called WW, that would be spread across a city, offering a spot to stop in for a few minutes and work while you're on-the-go. Her design won a recent RSA Student Design Award."
Aurialie Jublin

Après les «wash bars» et les «coffices», voici les espaces en temps partagé - 0 views

  • A la demande de plusieurs propriétaires, son cabinet a défini un indice d'usage d'un bâtiment, ratio obtenu en rapportant le nombre de fonctions exercées par ce dernier et son poids. Plus ce rapport est mauvais, plus est élevé le potentiel de cet immeuble de proposer d'autres usages en son sein lorsqu'il est inutilisé.
  • Après le Comptoir général qui a ouvert ses portes en 2011, le Pavillon des Canaux, charmante maison donnant sur le canal de l'Ourcq, a fait l'objet d'un appel à projets de la part de la ville de Paris. C'est désormais un «coffice» où chacun peut venir travailler à sa guise dans l'une des pièces de la maison, très cosy, salon, chambre ou la salle de bains - où la baignoire a été aménagée en bureau - tout en consommant au bar.
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    Après l'autopartage, le couchsurfing, le streaming, le cloud ou les espaces de travail collectifs, voici que les architectes et urbanistes s'emparent à leur tour du concept d'économie collaborative pour développer de nouveaux espaces urbains en temps partagé.
Aurialie Jublin

Bob Emploi - impact et métriques - 0 views

  • Axes de progressionSe concentrer sur les publics en milieu rural : l'usage de Bob reste concentré dans les villes, mais nous pensons que l'autonomisation via le numérique est d'autant plus pertinente dans les zones moins desservies en services publics.Rendre Bob plus accessible au regard de la fracture numérique : nous ne sommes pas encore capables de mesurer plus finement l'utilisation de Bob par rapport aux différentes dimensions de la fracture numérique (aisance avec l'informatique, connectivité à internet, etc.). Nous envisageons notamment de nous rapprocher d'acteurs associatifs tels que les missions locales ou associations.
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    Quelques chiffres sur l'utilisation et les utilisateurs de Bob l'emploi en 1 an.
Aurialie Jublin

Alternative à l'uberisation: des livreurs à vélo lancent leurs coopératives - 0 views

  • Leur but est de montrer que les coopératives peuvent gérer le marché que les plateformes ont créé. À l’opposé du modèle pyramidal des entreprises classiques, Arthur Hay et ses amis aspirent à créer une entreprise démocratique où ils sont tous propriétaires et décisionnaires. Pour cela, l’entrée dans la coopérative implique d’être coopérateurs. S’ils tendent à privilégier le statut de salarié plutôt que celui d’autoentrepreneur, ils n’en font pas une règle indépassable.
  • L’envie de regrouper les initiatives fait son chemin. Une réunion est programmée le 16 décembre pour essayer de coucher sur le papier « une unité de vue entre différentes coopératives souhaitant se fédérer » annonce Arthur Hay. Mais aussi, dans l’objectif de grouper des achats, d’être en meilleure position pour négocier des contrats et d’aider de nouvelles villes à démarrer.
  • « Dans la Foodtech, vous n’avez pas de patron, vous ne voyez personne en face de vous, vous subissez juste un système », constate Christophe, un des six membres des Coursiers Nantais. Structurés en association pour l’heure, ils aspirent à se salarier et à décider ensemble autant que possible.
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  • Outre les difficultés inhérentes à la diversité des niveaux de développement de chaque projet, la volonté de fédérer bute sur une équation difficile à résoudre. Celle de faire coexister l’aspiration à des protections collectives d’un côté et de l’autre la volonté individuelle d’indépendance, voire de flexibilité des horaires. Air du temps oblige, « 80 % des livreurs souhaitent garder leur statut d’autoentrepreneur », selon Florent Fournier, un des trois créateurs d’Applicolis à Toulouse. Un statut pourtant en décalage avec la philosophie du monde coopératif où le modèle est généralement celui du salarié coopérateur, propriétaire de l’entreprise.
  • « Le problème n’est pas le statut, mais les conditions de rémunération et de stabilité. », affirme Florent Fournier d’Applicolis « Nous travaillons à une solution avec la Confédération générale des Scop pour trouver un compromis entre la flexibilité que souhaitent avoir les livreurs et le statut de salarié avec les avantages qu’il comporte ». La coopérative veut proposer une expérimentation à l’État à l’occasion des Assises de la mobilité, initiées par la ministre des Transports afin d’élaborer la loi d’orientation des mobilités début 2018.
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    "Uberisés, précarisés, exploités, et si l'avenir des livreurs à vélo passait par des coopératives. À Bordeaux, Nantes, Lille, ou Paris, des projets d'entreprises collectives ont émergé ces derniers mois, parallèlement à la lutte des coursiers contre la plateforme Deliveroo l'été dernier. D'autres projets plus anciens poursuivent leur développement sur le marché de la Foodtech ou de la livraison du dernier kilomètre."
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