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abrugiere

Des entreprises sans chefs et sans bureaux - LeTemps.ch - 1 views

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    "Un nombre croissant d'entrepreneurs et de start-up s'affranchissent des structures managériales archaïques. Le nomadisme numérique et l'holacratie émergent. Toujours plus de sociétés mais également de services publics cherchent de nouvelles façons de travailler. Découverte en cinq épisodes"
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    Ghost.org plateforme de publication open source. récits de voyages de plusieurs free-lance. Tous sont des nomades numériques. Ce mode de vie professionnelle affranchie des contraintes habituelles un nombre croissant de start-up innove en proposant une nouvelle structure de gestion du pouvoir qui remplace le système pyramidal: c'est l'holacratie. Comme le nomadisme, ce modèle radical et ambitieux dématérialise le travail et responsabilise les employés. Il remet en cause l'organisation même de l'entreprise et non seulement les méthodes de travail. Né en 2007 de l'imaginaire de trois dirigeants d'un éditeur de logiciels américains, Ternary Software, l'holacratie supprime la hiérarchie et les organigrammes traditionnels. Les rôles sont définis en fonction des actions à entreprendre, et partagés selon les compétences de chacun. En d'autres termes, les postes évoluent au gré des actions. En janvier 2014, le pionnier américain de la vente de chaussures en ligne Zappos annonçait avec fracas la suppression de tous les postes de managers. Dix-huit mois plus tard, des dizaines d'employés ont claqué la porte après la transition, estimant le modèle holacratique trop rigide et formaté. Ce qui n'a pas empêché plusieurs centaines d'entreprises américaines de se lancer, comme Medium, fondée par l'ancien directeur général de Twitter, Evan Williams.
hubert guillaud

Du sexisme de la Silicon Valley - WSJ - 0 views

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    Pour Vivek Wadhwa, en surface, la Silicon Valley semble une méritocratie parfaite. La moitié des start-ups y ont été fondées par des émigrés. Vous y voyez des gens du monde entier qui collabore ou se concurrencent. La race et la religion ne semblent pas des barrières au succès. A une exception près, la totale absence de femmes. Et Vivek Wadhwa de prendre l'exemple du Conseil d'administration de Twitter, exclusivement masculin, soit disant parce que son président, n'aurait pas trouvé de femmes digne d'y entrer ! Mauvais argument lui a répondu Vivek Wadhwa. Sheryl Sandberg a écrit récemment un livre sur le sexisme de la Valley et des Médias "Lean In"... Le mythe du mâle, blanc et nerdy a la vie longue dans la valley. La Silicon Valley est un club de garçons et il est temps que cela cesse, surtout quand on sait que les fortes proportions de femmes dans les conseils d'administration sont bénéfiques aux affaires - http://www.catalyst.org/media/companies-more-women-board-directors-experience-higher-financial-performance-according-latest
Aurialie Jublin

The Laborers Who Keep Dick Pics and Beheadings Out of Your Facebook Feed | WIRED - 0 views

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    "So companies like Facebook and Twitter rely on an army of workers employed to soak up the worst of humanity in order to protect the rest of us. And there are legions of them-a vast, invisible pool of human labor. Hemanshu Nigam, the former chief security officer of MySpace who now runs online safety consultancy SSP Blue, estimates that the number of content moderators scrubbing the world's social media sites, mobile apps, and cloud storage services runs to "well over 100,000"-that is, about twice the total head count of Google and nearly 14 times that of Facebook."
Aurialie Jublin

Les salariés menacés d'extinction par les distractions quotidiennes ? - Entre... - 0 views

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    Les dérives de notre quotidien professionnel (réunionite, infobésité…) sont d'autant plus graves qu'elles sont reconnues et tolérées. Pire, dans certains pays (La France en particulier), elles sont aggravées par une aberration culturelle : nous avons tendance à récompenser ceux qui sont les plus occupés, ou qui le semblent, car ils donnent l'illusion d'être plus productifs, d'abattre plus de travail (The Paradox of Organizational Time). Or, nous devrions faire l'inverse : récompenser ceux qui savent correctement s'organiser, déléguer et gérer leur charge de travail. Pourtant il n'en est rien, et nous ne pouvons que constater les ravages du présentéisme. 3 solutions proposées par l'auteur : - Lutter activement contre l'email et les réunions intempestives - Adopter de nouveaux réflexes et réprimander les comportements toxiques - Revoir l'environnement de travail
Aurialie Jublin

Revaloriser le travail - La Vie des idées - 0 views

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    Si l'on ne parle plus aujourd'hui, comme dans les années quatre-vingt-dix, de la « fin du travail », une inquiétude demeure sur le rôle qui doit être le sien dans la création de valeur, dans l'économie, dans les parcours individuels. Le dossier « Revaloriser le travail » revient sur différents aspects du travail, support de droits, d'une réalisation de soi, moyen de production, et question essentielle pour les équilibres sociaux et économiques des États modernes.
anonymous

"La fabrique des imposteurs" de Roland Gori - 2 views

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    "Et puis, de temps en temps, un extra-terrestre passe entre les mailles du filet. Un cadre différent entre dans la place. Mais il veut progresser, comme tout le monde. Il la veut cette promo, ce fauteuil au codir, comme ses collègues. Alors il fait comme tout le monde, il s'adapte, il se coule dans le moule. Il devient un imposteur. "
Aurialie Jublin

Travail : quand le miroir numérique se substitue au réel - Union europeenne C... - 0 views

  • Je prêche donc, après en avoir été un apôtre et un acteur, pour limiter la projection numérique, en particulier en ce qui concerne le temps réel. Cela ne veut pas dire qu'il faut renoncer aux bénéfices apportés par la numérisation, mais simplement qu'il faut savoir s'arrêter pour laisser la part de jeu indispensable au bon fonctionnement. Un peu de numérisation est bénéfique, beaucoup peut être efficace, mais la numérisation totale est contre-productive parce qu'elle enlève au système la flexibilité et la capacité de jugement apportées par l'humain.
  • L'expertise tend à se sédimenter dans les systèmes informatiques et les progiciels ; le professionnalisme consiste de plus en plus à bien savoir utiliser ces dispositifs. Seul ou en collaboration, le travail consiste à nourrir ces dispositifs, à les enrichir avec des données de qualité, à les maintenir aux conditions opérationnelles et à les faire évoluer. La tendance est déjà à la mise à jour automatique de cette image. Bientôt, partout, la position et l'état de ces objets seront actualisés en temps réel.
  • Avant, les données numériques étaient le miroir de la réalité, elles suivaient son évolution. Avec ce retournement, c'est la réalité qui doit suivre et se conformer aux prévisions et aux simulations réalisées dans l'image numérique de l'entreprise. C'est bien l'image numérique qui devient l'instrument de travail, de prévision, de décision, de pilotage du réel : on doit atteindre les objectifs calculés par le tableur..., et d'ailleurs on en rend compte sur le même tableur.
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    "D'ici une dizaine d'années au plus, presque tous les « objets » d'une organisation (les hommes, les machines, les transactions...) auront leur image dans le système d'information (SI), en temps réel. C'est déjà le cas pour la plupart des objets : chaque agent, chaque objet important « existe » dans nos SI sous forme de fichier ou dans une base de données."
Aurialie Jublin

Comment twittent les patrons ? - Les clés de demain - 1 views

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    L'article a peu d'intérêt en fait, mais ça peut servir un jour...
Aurialie Jublin

Matthieu ou la chronique de la disparition du travail - Metis - 1 views

  • C'est « le mécanisme de production de la valeur économique (qui) a ainsi été inversé : ce n'est plus le travail qui produit un profit pour alimenter le patrimoine des rentiers, c'est la promesse faite aux rentiers qui fait pression sur les profits des entreprises, qui elles-mêmes, ajustent le travail à la réalisation de cette exigence »
  • C'est entendu, la rente est l'avenir, le travail est damnation. Mais avec le travail, disparaît le sujet, le projet, le sens. Ils ne restent alors que des opérateurs, des « ressources » fussent-elles humaines, des ETP (équivalents temps pleins), par exemple mis sous pression d'indicateurs objectifs du type « nombre de contrats signés en 100 heures de travail ». Qu'importe les heures, les contrats et la manière de les signer...
  • Il n'y a que le travail qui produit de la valeur, sous estimant peut-être qu'une part de l'invisibilité du travail vient aussi, à la même période, de sa mutation. Ce travail est devenu intellectuel au profit d'une production ni mesurable, ni dénombrable, une production servicielle et de plus en plus immatérielle. Il reste que, « dans la vraie vie, le travail est vivant. (...), il est une triple expérience : expérience subjective valorisée par la reconnaissance, expérience objective par la performance et expérience collective par la solidarité »
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    "Matthieu expérimente l'emploi en même temps que l'invisibilité de son travail. Le travail a disparu. Comme dans la publicité, les tâches qui lui sont demandées en ont la forme, la couleur mais n'en sont pas. Il en a les obligations, les allers retours quotidiens, les horaires, la subordination, l'ambiance morose, mais il n'en a pas les opportunités. Il n'en rencontre pas les dimensions expressives que revendiquent même des salariés plus modestes des caisses de grande distribution (Isabelle Ferreras, Gouverner le capitalisme, PUF 2012). Il n'arrive pas à se sentir utile, il ne participe pas à un collectif, il n'est pas autonome et il ne voit rien d'intéressant dans ce qu'il a à faire."
Aurialie Jublin

L'adoption des RSE et plateformes collaboratives progresse lentement - Entreprise20.fr - 1 views

    • Aurialie Jublin
       
      Résultat de l'étude "évolution de la networked enterprise" : Si l'adoption de certaines technologies et fonctionnalités liées à la networked enterprise sont en hausse régulière, la tendance générale est plutôt à la stagnation ;  - Les bénéfices ressentis au sujet de ces nouveaux outils ou nouvelles pratiques sont plutôt mitigés (surtout liés à la réduction des coûts de communication ou de voyage) ; - Des préoccupations qui se déportent vers des sujets très techniques (accès mobile, sécurisation des données dans les nuages, big data…).
  • Même son de cloche avec l’étude 2013 sur la Social Collaboration en Allemagne, en France et au Royaume-Uni de PA Consultants. On y apprend que les entreprises allemandes et anglaises ont une approche pragmatique centrée sur l’efficacité ou la recherche de rapidité, alors que les entreprises françaises cherchent à améliorer la motivation, l’implication… mais comme ces derniers bénéficient d’un faible niveau d’autonomie, les résultats ne sont pas forcément au rendez-vous
  • Le principal enseignement de cette étude est que des solutions sont déployées, probablement dû à un bon travail d’évangélisation des éditeurs, mais que l’intégration aux outils du quotidien reste à faire. En d’autres termes : on colle des rustines pour faire bonne figure, mais les habitudes ne changent pas forcément à cause d’un déficit de volonté de changement.
  • ...1 more annotation...
  • Comme pour les études précédentes, si les entreprises se targuent d’un déploiement de solutions modernes (RSE, accès mobile…), elles sont beaucoup moins volontaires pour initier une mutation en profondeur des habitudes de travail. Ce qui manque le plus, comme le démontre ces études, est la mise en place d’une réelle dynamique de changement où la direction et le middle management expliquent, stimulent et participent de façon active à la transformation des outils et processus métiers.
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    Un article de synthèse de quatre études sur l'adoption des RSE et plateformes collaboratives parues récemment.
Aurialie Jublin

How Technology Is Destroying Jobs | MIT Technology Review - 1 views

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    Résumé IA C'est l'un des sales secrets de l'économie : les progrès technologiques font croître l'économie et créent de la richesse, mais il n'y a pas de loi économique qui dise que tout le monde en bénéficiera." En d'autres termes, dans la course contre les machines, certains vont gagner alors que d'autres vont perdre.
Aurialie Jublin

Isaac Getz : « L'organisation où les salariés sont libres vaincra toujours le... - 1 views

  • 1/ Pensez-vous que les pratiques managériales actuelles soient un frein à l’innovation et à la croissance en entreprise ?Isaac Getz : C'est une évidence, car toute innovation commence par une idée partagée. Or l'entreprise traditionnelle n'encourage pas ce partage, voire l'empêche. Quant à la croissance organique, elle ne provient que par l'innovation. C'est justement parce que les entreprises traditionnelles ne parviennent pas à être innovante durablement qu'elles recourent tant à la croissance externe par l'acquisition.
  • la libération de l'entreprise est une transformation radicale et elle commence par l'abandon de l'égo par le N+1. Quant aux managers, certes, une partie ne sera pas très enthousiaste par la transformation qui leur ôte du pouvoir et les invite à devenir des leaders au service de leurs équipes. Ces managers, il faut les former, coacher, voire inviter ceux qui ne s’accommodent pas de ce changement à évoluer vers d’autres missions dans l’entreprise, tout en gardant leur salaire, bien sûr.
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    Professeur à l'ESCP et co-auteur de « Liberté & Cie, Quand la liberté des salariés fait le bonheur des entreprises », Isaac Getz est spécialiste de l'innovation et du leadership libérateur. Il propose aux entreprises et à leurs dirigeants une méthode pour repenser et transformer leur modèle managérial en levier de croissance.
Aurialie Jublin

Miroir Social - Peut-on utiliser la biométrie pour contrôler les horaires de ... - 0 views

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    L'utilisation de la biométrie dans le milieu du travail est strictement encadrée par la CNIL.
Aurialie Jublin

Pay with a Tweet - A social payment system - 0 views

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    "Dans le monde d'aujourd'hui la valeur d'avoir des gens parler de votre produit est parfois plus importante que l'argent que vous obtenez pour ce produit. ˜Pay with a Tweet"™ est le premier système de paiement social où les gens paient avec la valeur de leur réseau social. C'est simple, à chaque fois que quelqu'un paie avec un tweet ou un message, il (elle) informe tous ses amis de l'existence du produit."
Aurialie Jublin

Billet : Que signifie manager en 2013 ? | Expectra - 0 views

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    "Dans ce cadre, le manager doit revisiter son rôle et assurer quatre missions : - Donner du sens à l'action collective, en permettant à chacun d'insérer ses activités dans une stratégie globale. Selon la parabole des maçons, chacun d'entre nous peut tailler des pierres, construire un mur ou bâtir une cathédrale. Tout dépend de la communication de celui qui détient les plans. - Faire converger les enjeux stratégiques de l'entreprise avec les compétences et aspirations de ses collaborateurs, en positionnant les bonnes personnes sur les bons projets au bon moment. Sachant qu'un développeur informatique est deux fois plus efficace lorsqu'il est motivé, autant lui confier un projet qui l'intéresse, parce qu'il lui permet de renforcer une compétence ou de découvrir une nouvelle technologie, - Proposer un environnement de travail, combinant attentes individuelles et valeurs collectives, permettant à chacun de donner le meilleur de lui-même. On pense immédiatement au télétravail dans le cas de personnes habitant loin de leur lieu de travail. Le manager doit néanmoins veiller au fait que répondre aux attentes (légitimes) individuelles ne crée pas une organisation bancale, ou une culture ne répondant plus aux valeurs de l'entreprise, - Arbitrer une décision quand - et seulement quand - cela est nécessaire. Par exemple, le choix de recruter ou non une personne supplémentaire au sein de l'équipe nécessite de croiser a minima des informations financières organisationnelles et stratégiques. Le manager est parfois le seul à détenir toutes ces informations."
Aurialie Jublin

Mutation du travail : la preuve par la tranche de jambon ! - Metis - 1 views

  • Contrairement à la part instrumentale et subordonnée du travail que prend en compte la pensée industrialiste, un travail mesurable en joules pour l'obtention des calories via le sacrifice des cochons par exemple, le travail intellectuel et serviciel n'exige pas l'épuisement des ressources nécessaires (naturelle, animale ou humaine). Au contraire, quand le travail est œuvre, quand il est de qualité, il est espace de déploiement de ses dimensions expressives. Le travail est alors ressource et occasion de développement personnel. Il est même opérateur de santé. Il est alors permis d'imaginer que le travail subordonné pourrait un jour faire une place à un travail « de qualité » et contribuer a une démocratisation des entreprises. On touche ici la limite de l'illustration de notre propos par la tranche de jambon. Par différence avec le stake holder qu'est le cochon, pas seulement concerné mais très impliqué comme chacun le sait, il n'est pas encore question de participation de sa part aux décisions le concernant.
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    "Il n'y a pas de produit ou de service intellectuel qui n'exige des supports matériels. Il n'y a pas plus de produits tangibles qui ne soient l'objet d'un investissement en conception intellectuelle. Pour autant, l'accroissement de l'immatérialité de la production et de l'intellectualisation du travail (dont l'accroissement informationnel et la servicialisation sont deux des expressions majeures) nous confronte à un problème. Comment organiser un travail invisible au profit d'une production qui n'est ni mesurable, ni dénombrable ? La pensée industrialiste est clairement en défaut. Par habitude, on pense spontanément aux cadres, aux informaticiens, aux experts... Ce n'est qu'une dimension du sujet. Le phénomène est bien plus vaste. La tranche de jambon, par sa matérialité banale, peut nous aider à appréhender ce que nos sens ne perçoivent pas spontanément (1) s'agissant de la mutation du travail en cours."
Aurialie Jublin

Le travail oublié des managers - Metis - 0 views

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    Une des définitions du métier des managers affirme qu'ils sont là pour faire travailler les autres. Du coup, le travail propre de ces salariés intermédiaires, ni cadres dirigeants, ni opérateurs, est souvent oublié. Travailler et faire travailler seraient antinomiques et par un étrange effet de déshumanisation, il semble possible d'analyser, de critiquer ou de vouloir réformer « le management » sans chercher à connaître mieux les évolutions et les difficultés vécues par ceux qui en ont la charge, cadres fonctionnels et opérationnels.
Aurialie Jublin

Alain Griset : pourquoi les cadres se rêvent artisans - 0 views

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    "Alain Griset est président de l'Assemblée permanente des Chambres de métiers et de l'artisanat. Il nous explique pourquoi de plus en plus de cols blancs plaquent le bureau pour devenir restaurateur, caviste ou ébéniste..." A cela trois raisons principales, explique Alain Griset : d'abord, la quête de sens perdue dans l'entreprise classique ; ensuite, la possibilité d'être autonome avec le statut d'artisan ; enfin, le chômage qui oblige les cadres à reconsidérer leur vision de l'artisanat.
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