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Aurialie Jublin

Julien Damon - La démobilité : travailler, vivre autrement | Fondapol - 1 views

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    "Cette note intitulée La démobilité : travailler, vivre autrement, se fonde sur la congestion des transports urbains, thème qui ne manquera pas de structurer le débat politique des semaines à venir. En effet, la création et l'organisation de métropoles est au cœur du projet de loi de modernisation de l'action publique territoriale, récemment déposé au Sénat. Julien Damon, professeur associé au master Urbanisme de Sciences Po, nous propose ici de saisir la démobilité comme une opportunité pour faire émerger le télétravail et un agencement écologique et urbain plus cohérent. L'optimisation des métropoles modernes constitue un levier majeur pour l'innovation."
Aurialie Jublin

Trois questions à Nathanaël Mathieu, co-fondateur de Neo-Nomade et LBMG Worklabs - 1 views

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    Entretien avec le co-fondateur d'une start-up ayant pour objectif de mettre en relation l'offre et la demande de lieux de travail "à distance" de l'entreprise. Il propose un "diagnostic e-travail" à l'image du "bilan carbone" prenant en considération 4 paramètres : - immobilier (taux d'occupation conjugué avec le prix du mètre carré) - technologies (technologies utilisées, politique, outils, cloud computing) - ressources humaines (potentiel de télétravail pour les différents métiers de l'entreprise) - développement durable (accessibilité du siège, impact environnemental de transport de salariés)
Aurialie Jublin

Avis sur le reportage "Un monde sans humains" - 0 views

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    "Un monde sans humains ? est un documentaire où se croisent technosciences, philosophie et politique. Il nous emmène dans les laboratoires où se fabriquent les prothèses bioniques; près de ces chercheurs qui, pour assister l'armée, travaillent la commande des machines par la simple pensée; assiste aussi à un entretien d'embauche où un robot analyse les émotions d'un candidat répondant aux questions de son recruteur, ce même type de robot que l'on retrouve dans une maison de retraite, en train de surveiller le régime alimentaire d'une pensionnaire. Un monde où la science se mettrait au service de l'homme pour en adoucir la vie, pour le prévenir de ses erreurs, ou pour l'aider dans son quotidien. A l'heure actuelle au stade de prémisses, ce monde vise à totalement changer l'homme." Commentaires : revoir la séquence sur l'entretien d'embauche par le robot
Aurialie Jublin

Le travail est mort, vive le travail ! - 0 views

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    Une vision politique du travail dans la division droite/gauche; notion d'émancipation, rémunération des acivités au sens large et pas que du travail salariale, ect.
abrugiere

Economie de la pollinisation, Yann Moulier Boutang - 0 views

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    Entretien de Yann Moulier-Boutang : plus de 2 heures limpides d'économie politique, pollinisation, abeilles, capitalisme cognitif, revenu de pollenisation, taxe sur les transactions marchandes, etc. 
Aurialie Jublin

Fiche de lecture de "Le travail, une valeur en voie de disparition" D.Meda - 1 views

  • Le mobile du profit personnel n’est pas naturel pour l’homme primitif et le gain ne joue jamais le rôle de stimulant du travail. La distribution des biens matériels est régie par des mobiles non économiques et le travail est traité comme une obligation qui n’exige pas d’être indemnisé mais fait partie des contraintes sociales.
  • Les philosophes grecs assimilent le travail à des tâches dégradantes et n’est nullement valorisé. Les activités humaines valorisées sont la pensée, la science, et les activités éthiques et politiques. Enfin le travail n’est en aucune manière au fondement du lien social.
  • A la fin du XVIII siècle avec Adam Smith, le travail humain envahit la scène de l’économie politique. Le travail est cette puissance humaine et ou "machinique" qui permet de créer de la valeur. La logique de la valeur et de la productivité est fondée.
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  • Marx construit une vaste opposition entre le vrai travail qui est l’essence de l’homme et la réalité du travail qui n’est qu’une forme aliénée. L’homme ne doit avoir de cesse d’humaniser le monde, de le modeler à son image, de réduire le naturel, y compris en lui-même. Non seulement le travail est la plus haute manifestation de mon individualité, mais il constitue également ce milieu au sein duquel se réalise la véritable sociabilité.
  • Le travail apparaît tout à la fois comme contribution de chacun au progrès de la société, fondement du lien social, et source d’épanouissement et d’équilibre personnels.
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    Pour D. Méda, le statut du travail est en lui-même une question centrale pour nos sociétés occidentales, parce qu'il constitue l'une des leurs dimensions essentielles, l'un de leurs fondements, et qu'il s'agit aujourd'hui, de connaître la nature de la crise que nous traversons, mais également de choisir le type de société dans lequel nous voulons vivre.
Aurialie Jublin

40 ans d'évolution des conditions de travail - Vidéo Dailymotion - 1 views

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    "A l'occasion de son 40ème anniversaire, l'Anact revient en vidéo sur des évènements qui ont jalonné l'évolution des conditions de travail ces 4 dernières décennies : apparition de nouvelles formes d'organisation du travail, poids des politiques publiques et enrichissement du dispositif réglementaire, implication des acteurs dans le dialogue social (prise en compte du point de vue des salariés, rôle du CHSCT) et apparition de nouveaux thèmes telle que la qualité de vie au travail."
abrugiere

RH, People Analytics et servitude volontaire: et si on parlait management ? | McGulfin - 0 views

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    Google Analytics  Depuis 2011, la firme de Mountain View innove et fonde toute sa politique en Ressources Humaines sur des statistiques, ce qui donne naissance à un département: le « People Analytics ». Un schisme quant à la fonction RH telle que pratiquée au 20iéme siècles. Selon l'entreprise de Mountain View, l'innovation dépends du cumul de trois facteurs: l'apprentissage, la collaboration et le « fun ». Aussi, dans le cadre de son projet « Oxygen », qui a ensuite donné naissance au fameux département « People Analytics », Google a mis en lumière les comportements vertueux qui doivent animer ses managers, et qui sont transposables dans toutes les entreprises (source The New York Times): Des RH prédictives. De même, Google a élaboré un algorithme qui peut prédire « le moment où un collaborateur sera tenté d'aller voir ailleurs, et donc d'agir en amont pour éviter la fuite de talents. » En d'autres termes, en perpétuelle évolution et remise en question:« Le management est le plus vieux des métiers et la plus récente des professions. »(Lawrence Lowell).
Aurialie Jublin

Compétences des employés : pourquoi la France est avant-dernière - Le nouvel ... - 1 views

  • L’étude mesure la compréhension du monde qui nous entoure. Classée avant dernière, les Français apparaissent donc comme des employés peu débrouillards – cela entre dans la suite logique d’un classement Pisa assez moyen (la France est en milieu de tableau). Les Japonais sont en première position de l’étude Piacc.
  • Cet indicateur, qui me semble très fiable, montre que les gens sortent du système éducatif sans avoir les bases fondamentales. On empile les années d’université sur des jeunes sans bases. J’enseigne en master d’économie à la Sorbonne : la grande majorité des copies sont sans structure. Les étudiants écrivent des discours gluants sans conclusion ni idée forte. Deux pages de texte et je suis incapable de savoir ce que mon étudiant a voulu dire. »
  •  Ce que je pense, sans l’avoir démontré, c’est que tout part de là : la France n’investit pas dans du capital sophistiqué, elle n’achète pas de robots parce qu’elle n’a pas les compétences pour les utiliser. Une bonne vieille machine outils, oui. Mais pas plus, les Français ne sauraient pas s’en servir. Cela explique pourquoi la France achète six fois moins de robots que l’Allemagne et pourquoi elle investit dans des biens d’équipement simples. Et tout part de là, c’est le début de la chaîne : cela empêche les entreprises françaises de faire des marges importantes et de rendre l’investissement attractif. Quand une multinationale va mettre en compétition ses filiales pour un appel d’offre (ces flux représentent une grande partie du commerce extérieur), la France ne sera pas choisie. »
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  • Piacc révèle deux autres choses inquiétantes : il y a en France deux énormes fractures. Une générationnelle (les jeunes ont des résultats bien meilleurs que les plus vieux) et une autre socio-économique (les inégalités sont bien plus importantes qu’ailleurs). Les plus vieux et les plus défavorisés font lourdement chuter la France dans le classement.
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    "« Contrairement à ce que l'on pense, la France ne dispose pas d'une main-d'œuvre particulièrement compétente. Peu connu, le classement Piacc de l'OCDE [Programme pour l'évaluation internationale des compétences des adultes], qui évalue la compétence des personnes en activité âgées de 30 à 50 ans, place la France avant-dernière sur 34 pays. Lorsque les multinationales doivent arbitrer entre leurs différentes filiales pour localiser de nouvelles activités, soit l'essentiel des implantations aujourd'hui, cela ne plaide pas pour la France. »"
Aurialie Jublin

Frustrée, la jeunesse française rêve d'en découdre - 1 views

  • « Les 18-25 ans qui ont participé font voler en éclats le mythe d'une société méritocratique » : voilà le second enseignement majeur de l'enquête, à entendre les deux sociologues. Près des trois quarts (70 %) d'entre eux ont le sentiment que la société française ne leur donne pas les moyens de montrer ce dont ils sont capables. « C'est massif, et en forte progression. En 2006, ils étaient 53 % dans ce cas. »
  • D'autant que dans la sphère professionnelle non plus, les jeunes n'ont pas l'impression que leurs mérites et efforts soient récompensés. 60 % des répondants ne se croient pas payés, par exemple, à la hauteur de leurs qualifications.
  • Les jeunes valorisent d'autant plus le travail qu'il leur échappe, un quart d'entre eux connaissant le chômage. Seule une toute petite frange le rejette, envisageant de vivoter en marge du système. 81 % des répondants disent que le travail est important dans leur vie. Et pas seulement pour gagner de l'argent. La moitié déclare que travailler sert avant tout à s'épanouir. « Qu'ils soient soucieux de l'équilibre vie privée-vie professionnelle ne veut pas dire que la valeur travail se perd », commente Camille Peugny, pour qui rien n'est plus faux que les clichés sur une « génération feignasse » : « Impossible de faire une conférence sur les jeunes sans qu'un manager assure qu'à peine arrivés en entreprise, les jeunes ne s'intéressent qu'à leurs RTT. Platon déjà évoquait la décadence de la jeunesse, c'est un discours vieux comme le monde, lié au cycle de l'âge, à la difficulté à concevoir le changement apporté par les jeunes. »
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  • L'enquête Génération quoi ? fournit le plus grand échantillon d'intérimaires jamais réuni (8 000 répondants dans cette situation), et leur « souffrance » saute aux yeux des sociologues. « Il faut sortir du discours sur l'intérim choisi. Ces jeunes veulent travailler davantage, ils ont le sentiment insupportable que leur destin est aux mains des autres, que leur sort dépend d'un coup de téléphone, ce qui interdit toute projection dans l'avenir. »
  • Autre ambivalence, chez les jeunes cette fois : ils ne sont pas en conflit avec la génération parentale parce que les relations sont souples, les solidarités fortes. Mais cela ne les empêche pas d'en vouloir à leurs aînés de ne pas leur faire de place dans la société. Pour un jeune sur deux, les générations précédentes sont responsables de leurs difficultés. « C'est assez nouveau en France, et l'on peut penser que cela monte, surtout chez les étudiants, observe Cécile Van de Velde. Le problème d'équité entre générations se conscientise, sans doute du fait de la politique d'austérité, de la réforme des retraites et des débats sur le poids de la dette. Les jeunes pensent qu'ils font les frais de tout cela. »
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    "L'autoportrait est sombre. Amenés à définir leur génération, ce sont les mots « sacrifiée » ou « perdue » qui leur viennent le plus souvent à l'esprit. A l'automne 2013, les jeunes de 18 à 34 ans étaient conviés par France Télévisions à répondre à un long questionnaire en ligne sur eux-mêmes et leur génération. 210 000 se sont pris au jeu de cette opération « Génération quoi ? ». Leurs 21 millions de réponses fournissent un matériau de recherche exceptionnel pour les deux sociologues de la jeunesse Cécile Van de Velde et Camille Peugny, maîtres de conférences respectivement à l'EHESS et à l'université Paris-VIII, qui ont contribué à concevoir le questionnaire. Ils en tirent aujourd'hui pour Le Monde les principaux enseignements, en se focalisant sur la tranche d'âge des 18-25 ans, centrale pour l'analyse."
abrugiere

Au revoir, Dilbert: l'émergence de l'économie nue - 2 views

    • abrugiere
       
      Nouveau rapport à l'espace de travail La principale mission de NextSpace est de fournir à ses membres une infrastructure souple qui leur permet de travailler individuellement et en équipe, mais aussi encourage « les heureux hasards » qui mettent en contact des personnes aux compétences différentes mais complémentaires. L'un des succès de NextSpace a ainsi été le développement d'une nouvelle application pour Smartphone appelée Fuel4Humans, née du travail commun d'un nutritionniste, d'un informaticien et d'un graphiste.
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    Cet article a été publié en janvier 2014 par Knowledge@Wharton, sous le titre "Goodbye, Dilbert: 'The Rise of the Naked Economy'". Dans les pays développés, près de 30% des actifs sont aujourd'hui indépendants ou employés à temps partiel. Ces changements s'accompagnent de préoccupations légitimes quant à la sécurité de l'emploi et aux avantages sociaux qui lui sont liés. Mais dans leur dernier ouvrage, The Rise of the Naked Economy: How to Benefit from the Changing Workplace, Ryan Coonerty et Jeremy Neuner montrent que la nouvelle réalité présente aussi des avantages incontestables. Bien compris et maîtrisés, les changements à l'œuvre pourraient donner des existences plus productives, plus heureuses, plus pérennes.
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    Article sur le dernier ouvrage de Ryan Coonerty et Jeremy Neuner The Rise of the Naked Economy: How to Benefit from the Changing Workplace En 2010, le Bureau of Labor Statistics américain annonçait qu'un individu passait en moyenne quatre ans et demi à un poste En outre, les salariés ne sont plus aussi nombreux que par le passé à n'avoir à faire qu'à un seul employeur à temps plein. Près de 30% des actifs sont aujourd'hui indépendants ou employés à temps partiel, et les plus grandes entreprises du pays estiment que 30% de leur budget de recrutement est destiné à du personnel à temps partiel. En question : la sécurité de l'emploi et les avantages sociaux qui lui sont liés, comme l'assurance maladie « Sous nos yeux, le petit fermier indépendant cher à Jefferson se réaffirme, mais il n'est plus un agriculteur. Les champs à labourer, en vertu des nouveaux contrats sociaux, sont virtuels, globaux et démocratiques. » Les auteurs insistent sur le fait qu'il ne faut pas déplorer outre mesure la disparition de l'ancien contrat qui, s'il avait des mérites, n'était pas non plus exempt de défauts. La manière de faire jusqu'ici s'est accomplie sans tenir compte des coûts environnementaux ou l'épuisement des ressources naturelles. Le consumérisme et l'influence excessive des entreprises ont parfois nui à la culture et la politique. Le monde des entreprises américaines a toujours sous-évalué le travail des femmes.
abrugiere

Entre l'homme et la machine, une lutte vieille de deux siècles | Le Cercle Le... - 1 views

  • Aujourd'hui, l'accélération des connaissances crée une rupture radicale : on prend conscience qu'avec la convergence des trois « technosciences » - technologies de l'information, biotechnologies, nanotechnologies - le mythe de Frankenstein créé en 1818 par Mary Shelley peut tenter les apprentis sorciers, et la notion de « risque » supplante celle de « progrès ».
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    "Chronique du livre "Technocritiques. Du refus des machines à la contestation des technosciences" par François Jarrige (La Découverte, 422 pages,28 euros). Une pénétrante histoire du « refus des techniques » né outre-Manche au tournant du XIXe siècle. Une contestation plus actuelle que jamais."
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    l'histoire technologique, comme l'histoire politique, est toujours écrite par les vainqueurs 3 types de critiques récurrentes dans le temps : 1) les plaintes des victimes directes des nouvelles techniques, 2) la dénonciation des dégâts qu'elles produisent, 3) et enfin les dangers de « déshumanisation » qu'elles présentent.
Chamila Puylaurent

Rapport - Les territoires numériques de la France de demain - 0 views

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    "parmi les 22 propositions qui concluent ce rapport, l'urgence de développer massivement le télétravail, la signature de conventions numériques au sein des collectivités territoriales pour le développement des services et des pratiques numériques, la création de Conseils locaux du numérique ou encore la nomination de coordinateurs des politiques publiques du numérique à l'échelle des bassins de vie."
hubert guillaud

Sur la route des utopies concrètes | Le tour de France des alternatives - 3 views

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    Intéressant tour de France d'initiatives concrètes dans le domaine de l'économie, de l'écologie, de l'éducation, de la politique et de la culture par Emmanuel Daniel.
Aurialie Jublin

Tous Talent : le réservoir de productivité des prochaines années | Le Cercle ... - 1 views

  • L’envie et la motivation intrinsèque des femmes et des hommes de ce capital est un facteur majeur de surperformance. En effet, considérons un collaborateur au 35h, son travail ne l‘occupe que 33% de son temps disponible chaque semaine. Ses capacités à s’épanouir et à s’investir peuvent alors aisément être portées par des activités hors de son temps professionnel. En revanche, si l’entreprise oriente cette capacité en fournissant à ce collaborateur tout l’espace et les moyens nécessaires pour s’investir et s’épanouir, la productivité de son temps professionnel s’en ressentira grandement. En partant de ce constat, deux options diamétralement opposées s’offrent aux entreprises pour augmenter les sources de motivation de leurs collaborateurs.
  • elle en proposant une somme de services, d’avantages et d’activités extra-professionnels réservés à leurs collaborateurs (crèches, salles de sport, activités financées, mécénat d’entreprise, journées créatives…). La seconde option tente de rendre, par une politique RH performante, le temps consacré au travail le plus motivant possible. Les populations qui passent le plus de temps au travail – les agriculteurs et les professionnels de santé – ont généralement le taux de suicide le plus important !
  • La plupart des études consacrées au capital humain montrent régulièrement que les principaux facteurs de motivation sont l’intérêt du travail, la mobilité fonctionnelle et la mise en œuvre de nouvelles compétences, l’autonomie et la responsabilisation et les perspectives d’évolution. L’ambiance au travail, des objectifs individuels motivants et le soutien du manager dans des situations difficiles sont dans le top 5 des facteurs du bien-être au travail. Par ailleurs, le premier facteur de démotivation est le manque de reconnaissance. Au regard de ces éléments, les gisements de productivité et d’innovation sont clairs : mettre en œuvre une politique RH permettant à l’ensemble des collaborateurs d’être reconnu et de se reconnaître comme des « talents » capables d’évoluer, de se développer et de s’épanouir dans leur travail.
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    "Après la productivité par l'industrialisation des processus de l'entreprise et l'intégration des TIC, l'efficience du capital humain devient le principal levier de productivité pour les dix prochaines années."
Aurialie Jublin

Les machines feront de nous tous des intermittents - France Culture - 0 views

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    "Ce qu'on craignait depuis la fin du 19ème siècle est en train de se produire, dit Lanier, des machines et des programmes occupent une partie des emplois qui étaient ceux de la classe moyenne, accroissant le fossé entre un prolétariat toujours nécessaire à l'économie numérique et l'élite de cette même économie. La solution de Lanier est intéressante : que le simple fait d'être internaute soit rémunéré, car après tout, en fournissant des données à des entreprises qui ensuite les monnaient, nous créons de la valeur. La solution est très différente du revenu de base inconditionnel mais le constat n'est pas éloigné : le travail change, il faut imaginer de nouvelles formes de rémunération. Ne retrouve-t-on là une question qui est centrale dans l'intermittence : comment rémunérer ce qui est échappe aux vieilles définitions du travail ? Comment penser et caractériser qui est entre le travail ? Est-ce que le chômage est toujours de l'inactivité ? Parfois, on regrette (mais comme on le regrette à d'autres moments de la vie politique, quand on parle des retraites par exemple), que ces discussions ne soient pas l'occasion d'un vrai débat sur le travail, sa nature et son avenir. Car par bien des aspects, l'intermittence pourrait être un laboratoire permettant d'anticiper les mutations que va nous imposer la technologie, plutôt qu'un statut dont on a l'impression que beaucoup aimerait voir le disparaître."
Aurialie Jublin

La Renaissance des Artisans … en col blanc? - 1 views

  • Et si les Managers devenaient des  Artisans du Savoir? Les environnements complexes sont la nouvelle norme.Il  est essentiel de développer son relationnel, car pour avancer dans le  savoir complexe, il faut partager.. et ça prend du temps de partager le savoir implicite, alors il faut réserver du temps pour donner du sens, réfléchir, et converser. Tout cela représente un changement significatif de la manière de travailler , mais ça peut être maîtrisé avec un socle stable de « PKM » pratiqué par des artisans de la connaissance interdépendants et autonomes. Quand tout le monde est engagé dans la quête de sens, toute l’organisation peut beaucoup mieux sentir où elle doit se diriger.
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    "Aujourd'hui, la plupart des organisations s'interrogent sur l'impact des bouleversements technologiques sur la nature du "travail". Il est d'autant plus difficile d'y voir clair que, dans le contexte actuel de transformations économiques et politiques et de raréfaction des ressources naturelles, tout devient plus  complexe." Il faudrait : - promouvoir la créativité et l'initiative - structurer le développement des réseaux personnels et organiser les sources d'informations - maîtriser le nouveau langage des réseaux et communautés numériques
hubert guillaud

Google : comment les gens travaillent - Quartz - 3 views

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    Si beaucoup a été dit sur l'organisation du travail chez Google, le grand changement récent repose sur l'utilisation de données pour la politique d'embauche et le management. S'inspirant de l'étude longitudinale Framingham Heart - http://www.framinghamheartstudy.org , qui depuis 1948 suit quelques 5000 Américains pour comprendre sur le long terme leur santé et leur bonheur - Google a lancé le gDNA, une étude sur deux ans pour comprendre comment les gens travaillent, estime Laszlo Bock, le responsable des ressources humaines de Google : http://blogs.hbr.org/2014/03/googles-scientific-approach-to-work-life-balance-and-much-more/ En se basant sur une enquête concernant quelques 4000 employés qui vient compléter le dispositif de management piloté par les Big Data de l'entreprise : à savoir le projet d'analyse des recrutements - http://qz.com/180247/why-google-doesnt-care-about-hiring-top-college-graduates/ - et le projet Oxygen : http://www.theatlantic.com/business/archive/2013/10/how-google-uses-data-to-build-a-better-worker/280347/ L'étude de Google a permis d'identifier 2 approches concurrentes pour équilibrer sa vie personnelle et sa vie professionnelle. Il y a les "Segmentors", ceux qui tracent une ligne stricte entre les deux. 31% des employés de Google seraient de ce type. Et les "Integrators", ceux qui confondent les deux... 69% des employés de Google seraient dans ce cas et la moitié d'entre eux voudraient être "Segmentors". Pour résoudre cela, Google envisage de lancer un programme empêchant ses employés d'emmener leurs appareils chez eux...
Aurialie Jublin

"Time-to-competence" : former moins longtemps… pour former mieux ? - 4 views

  • Et pour optimiser au mieux les investissements de l’entreprise, le fabricant de pneumatiques s’est avant tout appuyé sur une révision approfondie des compétences véritablement nécessaires pour chaque poste. Il a également développé un mix de méthodes pour notamment “apprendre en créant” alliant ainsi campus, tutorat et self-learning, l’apprentissage par soi-même. Enfin, choix a été fait de renforcer le dispositif de validation et de qualification. Concrètement, 400 000 heures de gains ont été identifiées. Et 240 000 ont déjà été concrétisées en 2013.
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    "Faire évoluer les compétences des collaborateurs plus rapidement. Depuis 2010, c'est l'un des principaux objectifs de Michelin, qui a réorienté sa politique de formation des salariés. En cause ? Un temps d'apprentissage qui n'était plus en adéquation avec le rythme exigé par l'activité. Face au défi de la nécessaire "adaptabilité des compétences", le groupe a mis en place « Time to Competence » (T2C), une démarche qui vise à réduire le temps nécessaire à l'acquisition des compétences pour, entre autres, positionner dans un délai plus pertinent la main d'œuvre disponible aux postes-clés de l'entreprise."
Aurialie Jublin

La Finlande sera le premier pays européen à introduire un revenu de ba... - 3 views

  • Le Premier Sipilä considère que le revenu de base est un instrument approprié pour lutter contre la pauvreté. « Même pour les gens qui perdent leur emploi, le système leur permettrait de percevoir un revenu suffisant pour satisfaire leurs besoins fondamentaux », fait-il remarquer.
  • L’introduction d’un revenu de base permettrait de supprimer toutes les aides sociales existantes, y compris les pensions de retraite. Par conséquent, la fonction publique pourrait être sensiblement réduite, ce qui permettrait au pays de faire de substantielles économies. Le Premier Sipilä envisage de  débuter cette expérience dans des régions confrontées à un fort taux de chômage.
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    "Le gouvernement finlandais a l'intention d'implémenter un projet pilote de versement d'un revenu de base. Ce projet figure dans la déclaration de politique générale du nouveau gouvernement de centre droit dirigé par le Premier ministre Juha Sipilä, qui a pris les commandes du pays le mois dernier. La Finlande serait ainsi le premier pays européen à introduire un revenu de base inconditionnel."
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