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Aurialie Jublin

Working Dads : un père sur deux est tenté par le télétravail - Terrafemina - 0 views

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    Les pères actifs se verraient bien passer plus de temps à la maison. D'après une grande enquête CSA-Terrafemina, 46% d'entre eux pourraient choisir le télétravail pour améliorer leur vie de famille, et 63% aimeraient pouvoir aménager leurs horaires pour passer plus de temps avec leurs enfants. Un changement de mentalité qui soulève pourtant des freins et des interrogations. Le marché du travail est-il prêt à soutenir ces « Working Dads » ?
Aurialie Jublin

Cinquante ans de négociations professionnelles sur l'emploi | Centre d'études... - 0 views

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    "La négociation interprofessionnelle sur l'emploi occupe en France une place exceptionnelle si l'on compare à la situation de la quasi-totalité des pays européens. D'une part, elle couvre un champ très vaste : indemnisation du chômage, formation professionnelle continue, gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences (GPEC), aménagement et réduction du temps de travail… D'autre part, elle est active depuis un demi-siècle, avec des hauts et des bas qui sont fonction de la conjoncture économique et de l'état du marché du travail. Si le contenu des accords a évolué, le fractionnement des thèmes de négociation a longtemps été un obstacle à leur efficacité. Alors qu'en janvier 2008 un progrès majeur avait été réalisé dans le sens d'une négociation multidimensionnelle, le choc de la crise économique semble avoir remis en cause cette dynamique."
Aurialie Jublin

Le corpoworking, un état d'esprit à insuffler chez les grands groupes | L'Ate... - 0 views

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    " Il y a beaucoup de visions différentes du coworking. Si sa dynamique (et notamment celle du corpoworking) se débloque, c'est aussi en lien avec le développement des espaces dédiés (de 0 à 300 espaces en 8 ans). Le coworking est quelque chose de reconnu en France, c'est pourquoi de plus en plus d'entreprises souhaitent s'en inspirer pour faire évoluer leur conception du travail. Il s'agit donc de faire un sorte que les entreprises créent en interne des espaces qui permettent de revoir l'organisation du travail et qui dépassent le simple cadre d'un aménagement d'un espace collaboratif. Il y a très peu d'initiatives aussi abouties en France de nos jours."
abrugiere

Commun ? Les révolutions qui nous attendent - - L'Hubservatoire, par Le hub a... - 1 views

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    Pierre Dardot, philosophe et Christian Laval, sociologue, viennent de publier Commun, essai sur la révolution au XXIème siècle Leur hypothèse est que la crise que nous connaissons ne peut se résoudre par un nouveau type de politique économique, financière ou par de quelconques aménagements budgétaires, mais par un questionnement profond sur ce qui nous est commun. Crise des ressources naturelles, crise du travail et plus largement crise du « vivre ensemble »… auraient pour origine les effets d'enclosure, c'est à dire l'exclusion du plus grand nombre d'individus des espaces communs et non dédiés, au profit de pouvoirs dominants.
Aurialie Jublin

Revenu de base ou salaire à vie ? - Réseau français pour le revenu de base - 1 views

  • Je pense qu’au-delà du nom de chaque proposition s’ouvrent des perspectives radicalement différentes, « radical » étant pris ici dans le sens de profond. En effet, le salaire à vie décrit par le réseau salariat, est pour moi un aménagement de la société de production au profit de l’une de ses composantes : les salariés. Il est une réaction à la prise de pouvoir excessive, sur ce point nous sommes d’accord, d’une autre partie prenante de la société de production : les actionnaires.
  • Loin de tirer la couverture, à droite ou à gauche, du lit de la société de production où nous nous sommes endormis à moitié, le revenu de base, lui, nous en sort… du lit ! Il nous appelle à nous réveiller et nous entraîne pas à pas vers une nouvelle société, celle de l’émancipation. Je pense, mais je peux me tromper, qu’il y aura autant de différences entre la social-démocratie, la civilisation actuelle, et l’ancien régime qu’il y aura de différences entre la social-démocratie et la société de l’émancipation.
  • Ils ont bien compris que l’évolution de la vie va vers l’individualisation des consciences, vers leur émancipation et que cette autonomie ne se gagnera pas contre les autres parties prenantes de notre société mais avec elles.
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  • C’est quand même hallucinant qu’au XXIème siècle, on ne puisse comparer les humains entre eux que comme exerçant, même potentiellement, une activité de production dans le but de vendre cette production contre de la monnaie sur un marché ! À cette réduction de l’humain, à sa qualité de travailleur à vie, pire de salarié à vie, le revenu de base oppose une vision émancipatrice. Le revenu de base n’est pas versé parce que nous avons des capacités à produire mais simplement parce que nous existons.
  • Le sujet du revenu de base est de créer un nouveau type de revenu pour tous les humains indépendamment de leur participation à une activité marchande. Un revenu d’existence qui donne le droit de choisir une activité grâce à ce revenu, et non pour en avoir un. Le sujet du revenu d’existence, qui un jour sera un revenu d’autonomie, c’est le pouvoir de chaque citoyen de dire « oui » ou « non » à une activité marchande. Son sujet, c’est le « JE » au cœur du « NOUS ». Nous pensons que l’on peut tout à fait vivre et se développer en relocalisant sa production voire en la démonétisant pour en user directement ou l’échanger gracieusement.
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    "Revenu de base ou salaire à vie ? Les désaccords entre les défenseurs des deux projets ne sont pas que d'ordre sémantique. En effet, c'est deux visions de la société qui s'affrontent. Frédéric Bosqué revient dans cette tribune sur ce qui sépare le revenu de base du salaire à vie de Bernard Friot, mais aussi sur ce qui rassemble les militants de chacune des propositions."
Aurialie Jublin

JobSharing, cabinet de conseil RH dédié au job sharing et aux temps partiels ... - 0 views

  • La flexibilité du travail est désormais au cœur des débats économiques et sociaux. Le job sharing est un nouveau modèle d’organisation du travail au service de l’entreprise notamment pour le pilotage de sa politique d'innovation sociale et de diversité ainsi qu’un levier potentiel de réduction des coûts. Les études internationales montrent que le job sharing offre aux entreprises de nombreux avantages : hausse de la productivité et maintien de la continuité de services ; engagement dans l’égalité professionnelle, la parentalité et le bien vivre ; réduction des coûts ; diminution du turn over et des absences ; attractivité, motivation et fidélisation de ses salariés. Enfin, en proposant le job sharing dans le cadre de réorganisations par exemple, l’entreprise devient un acteur « responsable » en aménagement sa masse salariale plutôt qu’en la supprimant. Ainsi, elle peut maintenir l’employabilité de ses salariés, point crucial dans une période de crise.
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    Interview des 2 fondatrices "Le job sharing est une pratique innovante qui consiste à partager son poste à responsabilités avec un autre collaborateur. Il s'agit d'un mode de travail peu connu en France mais pourtant pratiqué par plus de la moitié des grandes sociétés anglo-saxonnes. On le retrouve également ainsi en Suisse, en Belgique ou encore dans les pays scandinaves."
Aurialie Jublin

Le DRH, stratège des temps | Le Cercle Les Echos - 0 views

  • Depuis les lois Aubry sur les 35 heures, la valeur temps prend davantage de relief et davantage encore à l’heure de la société de l’information. En filigrane de l’entreprise, de l’organisation, le temps se tord, se tend, se distend, au rythme des missions à accomplir, des clients et actionnaires à satisfaire et le travail passe d’une composante physique à une composante cognitive. La société de l’information succède à la société postindustrielle.
  • Nous sommes passés d’un droit étatique à un droit du temps de travail devenu dès le début des années 80, le champ d’application des accords dérogatoires. Aujourd’hui, place à l’accord d’entreprise ou à défaut l’accord de branche. Constituant le premier thème de la réglementation sociale, il incarne aujourd'hui la figure de la déréglementation.
  • Le forfait jour, compromis de la nomadisation illustre cette porosité des temps. Récemment, par l’arrêt du 24 avril, la jurisprudence a rappelé que la prudence devait rester de mise : à l’employeur de contrôler la charge et l’amplitude de travail de ses salariés. Des pratiques susceptibles d’entrainer la faute inexcusable. Le juge veille sur les conditions dans lesquelles ces conventions sont établies. L’accord collectif devant assurer le "respect des durées maximales de travail ainsi que des repos, journaliers et hebdomadaires" et, plus largement, "le respect du droit à la santé et au repos"… L’arrêt du 31 janvier 2012, l’arrêt du 26 septembre 2012 et plus récemment l’arrêt du 24 avril 2013 concernant la convention Syntec en attestent.
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  • Plus près de nous, par l’arrêt du 25 septembre 2013, la Cour de cassation considère que "l’instauration d’une modulation du temps de travail constitue une modification du contrat de travail qui requiert l’accord exprès du salarié".
  • Comment pour le DRH, manager ces temps du travail ? Les compensations financières comme le compte épargne temps, des compensations sur la réduction des trajets, des aménagements comme les crèches d'entreprise sont des solutions fonctionnant comme des amortisseurs.
  • L’autonomie de la charge de travail permet certes de s’abstraire de cette seule approche comptable du temps, mais elle nécessite de confronter le travail prescrit, le travail réel, et le travail subjectif. Construire une représentation partagée en mobilisant tous les acteurs de l’entreprise, pratiquer un management du travail, lui permettent en cela de travailler sur l’enjeu de la performance, mais aussi de la santé au travail et plus particulièrement de la charge mentale chez les cadres
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    "La société de l'information transforme profondément le rapport au temps et au lieu de travail. Une nomadisation plaçant le DRH au centre de nouveaux enjeux."
Aurialie Jublin

What If You Combined Co-Working And Daycare? | Fast Company - 0 views

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    "NextKids is an offshoot of the popular co-working company NextSpace, which has 10 locations in California. NextKids, at the Potrero Hill, San Francisco location is like co-working meets daycare--with a community of working adults--graphic designers, biomedical engineers, app developers--and their kids. It's like 'it takes a village,' only with more Wi-Fi."
Aurialie Jublin

Mutations des formes d'emploi dans une Europe en crise : de nouvelles sécurit... - 0 views

  • Au Royaume-Uni, pays connu pour sa tendance à adopter des mesures libérales, l'année 2013 a vu l'émergence d'une forme particulière de contrats de travail, les contrats « zéro-heure », qui suscitent une certaine inquiétude. Ces contrats ne garantissent aucun salaire ni aucune durée de travail minimale, les travailleurs restant chez eux jusqu'à ce que leur employeur les appellent en cas de besoin.
  • Par ailleurs, ce même pays a adopté récemment une loi très controversée introduisant un nouveau type de contrat . Ce contrat prévoit en effet que les travailleurs recevront des parts dans leur entreprise pour peu qu'ils acceptent de renoncer à certains de leurs droits, tels que ceux liés aux licenciements abusifs, aux licenciements économiques, à la possibilité de demander un aménagement flexible du temps de travail ou un congé pour formation.
  • Plus à l'Est, la Pologne voit prospérer depuis plusieurs années des contrats dits « de service ».Ce type particulier de contrats n'est pas couvert par le droit du travail mais est régi par le droit civil. De ce fait, la plupart de ces contrats ne sont pas soumis non plus à contributions sociales.
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  • Au Sud, la Grèce fait face à une situation particulièrement délicate, avec un taux de chômage parmi les plus élevés d'Europe, touchant fortement les moins de 25 ans. Depuis juillet 2010, la loi a permis la conclusion de « contrats jeunes », l'idée étant d'embaucher de jeunes travailleurs jusqu'à 25 ans avec un salaire inférieur de 32% au salaire précédent prévu pour le premier emploi, une période d'essai de deux ans et sans droit aux allocations chômage à la fin du contrat. De plus, pour ce type de contrat, les employeurs ne sont soumis à aucune contribution sociale.
  • Les différences habituellement retenues entre ces catégories traditionnelles s'amenuisent à mesure que des catégories de travailleurs se précarisent. Les frontières entre travailleurs salariés et travailleurs autonomes s'estompent et certains travailleurs se retrouvent dans une « zone grise », caractérisée par un manque évident de protection.
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    "La crise économique qui sévit en Europe depuis 2008 a donné lieu à de nombreuses évolutions en ce qui concerne les législations du travail et l'emploi en général. Ces évolutions se sont notamment traduites par la mise en place de nouvelles formes d'emploi : certains Etats membres ont ainsi créé des contrats de travail inédits. Ce faisant, ces mutations des formes d'emploi contribuent à modifier profondément et durablement la composition du marché du travail et se traduisent souvent par une précarisation accrue. Peut-on dès lors imaginer de nouvelles sécurités ou à tout le moins un cadre protecteur plus approprié à ces travailleurs d'un nouveau genre ?"
Aurialie Jublin

Typography-Themed Desks Will Make You Hate Open Offices Less | Co.Design - 0 views

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    "Challand's design is a much more original attempt to make modern offices livelier than, say, throwing in a foosball table. You can sit in an A-shaped desk, feeling like you're at the prow of a ship, or in the smooth curve of a D, far more comfortable than being boxed into a traditional cubicle. If open offices looked as cool as this, maybe we wouldn't all hate them so much."
Aurialie Jublin

Viens chez moi, j'habite chez mon patron - LeMonde.fr - 0 views

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    "Pour aider des salariés qui ont toujours plus de difficultés à se loger, certaines entreprises n'hésitent plus à mettre la main à la poche. C'est un vaste chantier. L'Insee souligne régulièrement l'ampleur de la crise du logement en France, notamment dans certaines régions."
Aurialie Jublin

Les 10 tendances des bureaux à connaitre pour 2015 - 2 views

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    Debout Coloré Avec un coin sieste Avec des cabines accoustiques Qui ressemble à un appart ...
Aurialie Jublin

BNP Paribas va tester les « bureaux partagés » pour optimiser ses coûts immob... - 0 views

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    Un changement radical et inattendu pour une banque pétrie de traditions. « Plusieurs leviers ont motivé notre réflexion sur le télétravail et le "flex office" : répondre aux nouveaux modes d'organisation du travail d'aujourd'hui, plus collaboratifs et autonomes, et répondre aux attentes des collaborateurs en termes de confiance et d'autonomie. Cette évolution pourra bien sûr générer des économies sur l'immobilier et le coût du mètre carré professionnel », souligne Jean-François Bourrée, responsable des relations sociales au sein du groupe BNP Paribas. Les économies potentielles n'ont toutefois pas été chiffrées. Cette mutualisation des postes de travail, avec la mise à disposition d'espaces collectifs et de bureaux individuels en libre-service, ajoutée au nouveau rythme du télétravail s'annonce potentiellement déstabilisatrice pour au moins une partie des équipes. « Tout changement est générateur de stress, c'est pourquoi nous allons accompagner ce mouvement, note Jean-François Bourrée. Nous sommes dans une démarche d'expérimentation, et nous allons former nos collaborateurs et le management. »
Aurialie Jublin

Réflexions sur l'entreprise et l'environnement de travail de demain - Entrepr... - 3 views

  • Plusieurs pistes de réflexion très intéressantes sont regroupées en cinq grandes thématiques : On Demand Staffing, où il est question d’avoir recours à un écosystème des prestataires et indépendants pour absorber la cyclicité de l’activité et savoir saisir des opportunités de diversification ponctuelles ; Collision Collusion, où l’on parle à nouveau des espaces de collaboration physiques, mobiles et virtuels ; Improvised Workplace, qui apporte une flexibilité extrême dans l’organisation du travail des équipes (mobilier, logiciels…) ; Living Knowledge, avec les notions de réseau d’apprentissage (social learning) et de processus adaptatifs (feedback culture) ; Constant Learning, dans la même lignée avec les espaces digitaux de capitalisation des savoirs, les organisations auto-apprenants et les outils de gestion de carrière collaborative.
  • De toutes ces pistes de réflexion, je retiens plusieurs idées fortes : Faire cohabiter les différentes générations, notamment en intégrant des étudiants et des incubateurs au sein de l’entreprise pour que chacun puisse apprendre des autres (de  la fertilisation croisée inter-culturelle et inter-générationnelle) ; En finir avec les aménagements traditionnels du lieu de travail et exploiter sérieusement et de façon serène le télétravail (The Next Office: Why CEOs Are Paying Attention), et tuer dans la foulée les réunions (Kill Your Meeting Room, The Future’s in Walking and Talking) ; Faire attention au bien-être des employés et à leur moral pour les fidéliser et augmenter leur productivité (cf. The Happiness Machine).
  • description de quatre modèles possibles : L’écosystème solaire, où l’entreprise est au centre d’une galaxie de sociétés partenaires, sous et co-traitantes (par opposition au modèle de croissance reposant sur l’intégration verticale) ; L’excubation, où l’entreprise va encourager et financer l’éclosion de startups accolées à elle, plutôt que de chercher à faire la révolution en interne ; L’open source, où un ensemble de sociétés et organisations créé de la valeur autour d’un bien ou d’un service commun ; L’intermédiation, qui valorise avant tout la co-création et une répartition plus distribuée de la valeur.
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    Suite à la sortie d'un rapport Future of the Work de PSFK
Aurialie Jublin

The Future Office Is Fun: Top 10 Awesome Workspaces | Business on GOOD - 2 views

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    Les 10 plus beaux bureaux dans le monde où il fait bon travailler
Aurialie Jublin

Dans la cage de l'open space - lemonde.fr - 1 views

  • Danièle Linhart va même beaucoup plus loin : elle estime que l'open space, dans sa version la plus difficile – les grands plateaux – est le symbole même des dérives du management moderne. "Ce management recherche une relative déstabilisation du salarié car il veut éviter les habitudes ou les routines qui pourraient éloigner des méthodes de travail les plus performantes. Avec sa transparence, l'open space est au coeur de cette stratégie : les salariés sont en concurrence visible, ils travaillent à découvert et comprennent vite qu'il faut se mobiliser et adopter les règles de l'entreprise. L'open space est une manière de planter le décor de la guerre économique."
  • les entreprises commencent, selon M. d'Iribarne, à s'éloigner d'une optique exclusivement gestionnaire. "Elles comprennent qu'il faut réhabiliter des espaces qui ont longtemps été déclassés comme les restaurants d'entreprise, les cafétérias, les jardins, les agoras. Ces lieux de rencontre permettent de réinventer le puits ou le lavoir d'autrefois : ils créent des moments d'échanges privilégiés, riches et spontanés. C'est important, car si les gens ne se connaissent pas, ne se comprennent pas, n'ont pas envie de travailler ensemble, le travail collectif ne fonctionne pas. Il faut restaurer la valeur du travail informel."
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    Certains y voient un symbole de modernité et de transparence indépassable, d'autres, une résurgence du cauchemar tayloriste de Chaplin dans Les Temps modernes. "L'open space est à la fois l'aménagement le plus prisé des manageurs et le plus contesté par les employés", résume la sociologue Thérèse Evette qui fait ensuite un historique de l'open space. Apparition au début du XXe siècle pour une question de rentabilité foncière du fait de la densification des parcelles urbaines et des postes de travail En France, les immeubles administratifs et les sièges sociaux sont dans des appartements bourgeois reconvertis en bureaux, jusque dans les années 70 (1es tours de bureaux), voire 2000 pour son développement à grande échelle. Selon Alain d'Iribarne, la taille moyenne d'un poste de travail est passée de 25 m2, dans les années 1970, à 15 m2 aujourd'hui. " "Plébiscité pour sa souplesse et ses coûts, l'open space a fini par devenir le symbole du discours managérial sur les vertus de la communication, de la transparence et des échanges : il "assouplit les esprits" et "augmente la fluidité de l'information et les échanges informels", affirmait ainsi le secrétaire général de Danone, en 2003. " "L'open space, s'il est bien aménagé, peut convenir à une équipe qui travaille de manière réellement collective autour d'un projet", confirme Thérèse Evette, cofondatrice du Laboratoire Espaces travail de l'ENSAPLV.
Aurialie Jublin

L'engagement étudiant permet désormais de gagner des points - 0 views

  • La nouvelle loi « Egalité et citoyenneté » demande en effet aux établissements d’enseignement supérieur de créer un dispositif « garantissant la validation, pour l’obtention d’un diplôme, des compétences, connaissances et aptitudes acquises par leurs étudiants dans l’exercice d’activités associatives, sociales ou professionnelles », notamment en accordant une partie des crédits nécessaires pour valider son diplôme, précise un décret du 10 mai, complété d’une circulaire, publiée le 5 octobre.
  • il reste à fixer les modalités d’évaluation des compétences acquises dans un emploi étudiant, indique Nicole Rascle, la vice-présidente chargée de la vie étudiante sur ce campus : « Ce n’est pas simple de savoir quelles compétences développe une étudiante qui travaille comme caissière… C’est plus simple quand un étudiant travaille sur le campus, à la bibliothèque par exemple. »
  • Selon la circulaire du 5 octobre, les étudiants peuvent bénéficier soit « de l’attribution d’éléments constitutifs d’une unité d’enseignement, soit de l’attribution de crédits ECTS [Système européen de transfert et d’accumulation de crédits], soit de l’attribution de point(s) “bonus” dans la moyenne générale, sur proposition du jury, ou enfin de la dispense de stage ou d’enseignement ». Ils peuvent aussi obtenir un aménagement d’emploi du temps afin de mener de front leur cursus et leur activité associative ou professionnelle.
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  • A l’université de Bordeaux, l’unité d’enseignement Citoyenne, qui existait déjà, offre aux étudiants un bonus de trois crédits ECTS, qui peuvent augmenter leur moyenne mais ne sont pas pris en compte dans les soixante crédits nécessaires pour valider l’année.
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    "Les établissements du supérieur ont maintenant l'obligation de reconnaître, de différentes façons, les compétences acquises hors cursus. Voici comment."
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