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Home/ Tic&Travail/ Group items tagged TIC

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abrugiere

Berlin, capitale du coworking - LEntreprise.com - 0 views

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    Aucune métropole d'Europe ne compte autant de bureaux partagés que Berlin. Avec ses grandes friches et ses loyers plutôt bas, la capitale allemande est le laboratoire idéal de ce qui pourrait bien devenir le modèle d'organisation de l'entreprise de demain.
Aurialie Jublin

Les Français ambivalents sur le numérique en entreprise - 0 views

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    Une conception alternative de la fracture numérique semble se faire jour dans les entreprises françaises, à l'initiative et non à l'insu des salariés, qui tendent à se montrer frileux, voire démesurément prudents vis-à- vis des technologies mises entre leurs mains, notamment les terminaux mobiles.
Aurialie Jublin

Le management numérique selon le président de Rentabiliweb - 0 views

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    Jean-Baptiste Descroix-Vernier, fondateur et président de Rentabiliweb a inventé le management numérique: on peut le joindre à n'importe quel moment. Ces conseils: m.lentreprise.com/quatre-conseils-pour-etre-efficace-au-travail-selon-jean-baptiste-descroix-vernier-president-de-rentabiliweb_30080.html
Aurialie Jublin

Note de lecture de "Travail au singulier" de Patricia Vandramin- Cairn.info - 2 views

  • En sorte que le nomadisme coopératif ainsi enrichi va désigner « cette volonté et ce besoin constants de s’associer aux autres, à la fois pour réaliser l’activité professionnelle, mais aussi pour porter un projet personnel » (p. 11). Pour montrer qu’une telle façon d’envisager son rapport aux autres et au travail devient un trait majeur des sociétés occidentales contemporaines, l’auteur va chercher à identifier les formes de solidarité dominantes dans le secteur des TIC, secteur qu’elle considère comme précurseur des entreprises de demain.
  • Enfin, l’auteur précise que toute cette réflexion autour d’un nouveau type de lien social au travail (et plus généralement dans la société) se veut une aide au service des organisations syndicales, apparemment incapables de prendre l’exacte mesure des transformations à l’œuvre chez les salariés et notamment, les appartenances multiples, vécues comme librement consenties et permettant de préserver son quant-à-soi. En ce sens, le nomadisme coopératif, en rappelant que les individus ont dorénavant un sens du collectif et de l’engagement différent, constitue une aide précieuse pour réorienter l’activité syndicale : les « nouveaux salariés » aspirent autant qu’autrefois à la solidarité, mais ils l’envisagent sur le modèle du projet (partager des objectifs limités à court terme), dans lequel ils sont prêts à s’engager en sujets – sans délégation –, avec des groupes provisoires composés de salariés appartenant à des métiers et des entreprises divers (réseaux).
  • De façon complémentaire, on pourrait chercher à apprécier les proximités avec l’émergence du compagnonnage, au début du XIXe siècle en France.
  • ...1 more annotation...
  • Comme le rappellent G. Noiriel et A. Dewerpe[3] [3] NOIRIEL, 1986 ; DEWERPE, 1989. ...suite, le compagnonnage s’est développé surtout dans les métiers artisanaux urbains ; ses membres doivent faire le tour de France pour parfaire leur formation ; ils ont à lutter contre les tendances délétères de l’individualisme, valeur prônée par la société postrévolutionnaire ; les associations qui se créent sur cette base sont ouvertes aux ouvriers de différentes professions. Ajoutons que le compagnonnage a donné naissance à des sociétés de secours mutuel cherchant, notamment, à donner des ressources aux ouvriers pour résister aux baisses de salaire.
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    Développe le concept du "nomade coopératif"/"nomadisme coopératif"
Aurialie Jublin

"C'est personnel !" article de Laurence Le Douarin - 0 views

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    Imbrication vie privée/vie professionnelle Pas mal de témoignages, pratiques, ...
hubert guillaud

L'holacratie : et si on se passait des chefs ? - JDN Management - 3 views

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    "Briser la logique pyramidale pour établir un modèle égalitaire : c'est le pari de l'holacratie", la démocratie en entreprise... enfin, presque.
hubert guillaud

Une employée d'Amazon raconte «la peur organisée» - Libération.fr - 1 views

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    Comment la surveillance permanente favorise la docilité. Comment la peur et l'hyperindividualisation contraignent. Comment la principale arme est la promesse d'un emploi.
hubert guillaud

20 Jobs of the Future - Slideshare - 2 views

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    Les métiers de demain n'existent pas. L'agence Sparks&Honey présente 20 boulots pour le futur, histoire de montrer que l'avenir est à l'imagination.
hubert guillaud

www.lechorepublicain.fr - A la Une - CHARTRES (28000) - Le rideau de caméras ... - 0 views

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    Le taux de participation des hommes à la population active aux Etats-Unis est en baisse constante depuis les années 50, souligne Rich Morin pour le Pew Research Center, alors que celle des femmes n'a cessé de progressé avant de se stabiliser depuis 10 ans. Les femmes quittent moins leur emploi et sont mieux formées que les hommes, estiment les analystes.
abrugiere

A quoi ressemblera le travail dans 40 ans? Exercice d'anticipation - Le Nouvel Observateur - 2 views

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    Retour sur la publication de l'ANACT : le travail en 2053
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    Etude aussi reprise dans le Figaro : À quoi ressemblera votre quotidien au travail en 2053 ? http://www.lefigaro.fr/emploi/2013/11/27/09005-20131127ARTFIG00192--quoi-ressemblera-votre-quotidien-au-travail-en-2053.php
hubert guillaud

Si vous voulez de l'innovation, il faut investir dans les gens - Harvard Business Review - 0 views

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    Pour le spécialiste de l'innovation Mehran Mehregany, la capacité d'innovation d'une entreprise se résume aux talents qu'elle embauche et dans son engagement à renforcer les connaissances et les compétences de ses employés. Même l'innovation ouverte nécessite le maintien d'une forte compétence en interne pour comprendre, qualifier et intégrer les solutions provenance de l'extérieur.
hubert guillaud

Qu'est-ce qui explique le déclin de Microsoft ? Le système de classement de s... - 0 views

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    Pour Will Oremus, c'est le système de management des employés voulu par Ballmer qui expliquerait le déclin de Microsoft. La raison ? Il ne favorise pas la collaboration, mais les critiques des uns contre les autres.
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    Pour Will Oremus, c'est le système de management des employés voulu par Ballmer qui expliquerait le déclin de Microsoft. La raison ? Il ne favorise pas la collaboration, mais les critiques des uns contre les autres.
hubert guillaud

Comment la technologie détruit la classe moyenne - NYTimes.com - 0 views

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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
hubert guillaud

Pourquoi tant d'hommes incompétents deviennent-ils des leaders ? - Harvard Bu... - 0 views

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    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
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    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
hubert guillaud

Emplois Foireux - La Grotte Du Barbu - 0 views

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    Le barbu traduit un article très amusant et stimulant de l'anthropologue David Graeber publié par BoingBoing sur la montée de l'emploi "inutile". Loin de l'anthropologue de dire ce qu'est un emploi inutile autrement que d'être un emploi sans intérêt pour celui qui l'occupe, mais plutôt de tenter d'expliquer pourquoi nous n'avons pas eu la réduction du temps de travail promise par Keynes. Pourtant, l'économie capitaliste aurait du nous préserver de ce type d'emploi. Pour David Graeber, c'est la preuve que cette réponse n'est pas seulement économique, mais également morale et politique. "Les emplois réels, productifs, sont sans arrêt écrasés et exploités"... Et les autres.
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    Le barbu traduit un article très amusant et stimulant de l'anthropologue David Graeber publié par BoingBoing sur la montée de l'emploi "inutile". Loin de l'anthropologue de dire ce qu'est un emploi inutile autrement que d'être un emploi sans intérêt pour celui qui l'occupe, mais plutôt de tenter d'expliquer pourquoi nous n'avons pas eu la réduction du temps de travail promise par Keynes. Pourtant, l'économie capitaliste aurait du nous préserver de ce type d'emploi. Pour David Graeber, c'est la preuve que cette réponse n'est pas seulement économique, mais également morale et politique. "Les emplois réels, productifs, sont sans arrêt écrasés et exploités"... Et les autres.
hubert guillaud

Flexibilité: ce rapport de l'OCDE qu'ils ne voulaient pas lire - SarkoFrance - 1 views

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    Où l'on découvre que la rigidité ou la flexibilité des législations du travail au sein de ses Etats membres n'a absolument aucune corrélation avec leur niveau de chômage.
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    Où l'on découvre que la rigidité ou la flexibilité des législations du travail au sein de ses Etats membres n'a absolument aucune corrélation avec leur niveau de chômage.
Chamila Puylaurent

Révolution digitale : les entreprises qui intègrent les nouveaux enjeux ont u... - 0 views

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    "Il y a encore dix ans, il était inconcevable d'imaginer à quel point la généralisation du numérique et des nouvelles technologies de l'information allaient modifier notre façon de travailler en profondeur. En effet, les technologies transforment le monde et amènent les entreprises à revoir leur organisation au bénéfice de la performance et de l'innovation. Le Cloud réinvente notamment la réalité de l'environnement de travail et stimule l'émergence d'un « Digital Workplace »."
Chamila Puylaurent

Les technologies qui vont transformer le travail en 2020 - 1 views

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    "Smartphone, objets connectés, cloud computing... Autant de nouvelles technologies qui modifient le mode de travail et le fonctionnement des entreprises. Une transformation qui devrait s'accentuer d'ici 2020."
Chamila Puylaurent

Réinventer le travail : comment saisir les opportunités de l'ère digitale ? - 2 views

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    "Dans le cadre du Think Tank RH animé par Roland Berger Strategy Consultants, quinze directions des ressources humaines de grandes entreprises ont partagé leur expérience sur les nouveaux modes de travail induits par la transformation digitale : quelles réalités concrètes dans les entreprises ? Quels freins ? Quels objectifs visés ?"
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    Un document de 20 pages qui fait le point sur le lien entre le digital et les nouveaux modes de travail qui est de plus en plus au cœur de la compétitivité de l'entreprise. La transformation digitale devient alors un vrai défi pour ces différentes fonctions de l'entreprise (RH, DSI....) et les collaborateurs.
Aurialie Jublin

Où va le travail à l'ère du numérique ? - Chapitre I-4. Les métiers des TIC :... - 2 views

  • La manière de créer des « nous » dans le travail et l’organisation est empreinte d’un nomadisme, actif et / ou latent. La notion de nomadisme désigne à la fois le mouvement, la dynamique de collectif en collectif en fonction des projets et des expériences professionnelles mais aussi la volonté et la nécessité constante de travailler avec l’autre, de coopérer et de créer de la solidarité dans le travail.
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    "L'individualisation des conditions de travail et d'emploi y est omniprésente ; la technologie est au cœur du métier et du quotidien du travail ; les relations allient présence et distance ; les modes d'organisation privilégient le travail en réseau et par projets ; l'absence de règles s'érige paradoxalement en règle. La manière d'être ensemble au travail, de créer des « nous » dans l'organisation et l'activité prend la forme d'un nomadisme coopératif, c'est-à-dire une volonté et un besoin constants de s'associer aux autres à la fois pour réaliser l'activité professionnelle mais aussi pour porter un projet personnel ; mais une volonté qui ne suppose ni la préexistence, ni la pérennité des collectifs, ni leur inscription visible dans l'espace. L'engagement dans un collectif est une inscription personnelle dans un parcours collectif."
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