"This paper discusses the implications of this commodification and advocates the full recognition of activities in the gig-economy as "work". It shows how the gig-economy is not a separate silo of the economy and that is part of broader phenomena such as casualization and informalisation of work and the spread of non-standard forms of employment. It then analyses the risks associated to these activities with regard to Fundamental Principles and Rights at Work, as they are defined by the International Labour Organisation (ILO), and addresses the issue of misclassification of the employment status of workers in the gig-economy. Current relevant trends are thus examined, such as the emergence of forms of self-organisation of workers. Finally, some policy proposals are critically analysed, such as the possibility of creating an intermediate category of worker between "employee" and "independent contractor" to classify work in the gig-economy, and other tentative proposals are put forward such extension of fundamental labour rights to all workers irrespective of employment status, and recognition of the role of social partners in this respect."

Comment les 18-35 ans voient-ils l'avenir du travail ?

Devant les difficultés à réformer Amazon Mechanical Turk "de l'intérieur", les fondateurs des plateformes d'organisation des crowdworkers We Are Dynamo viennent de lancer une plateforme coopérative pour contrer AMT, Daemo. Deux principes de base de cette nouvelle plateforme : une rémunération juste (10 dollars par heure minimum) et une transparence permanente.

Quelle place pour l'assurance de pair à pair dans l'économie collaborative ?

Focus sur Seats2Meet's, un espace de coworking gratuit pour les utilisateurs, tant qu'ils acceptent d'aider les autres membres de la communauté.

Interview de Marina Gorbis, de l'Institut du Futur, sur l'avenir du travail. D'après elle, le défi n'est pas tant dans les suppressions d'emplois, que dans le changement de nature du travail, où les humains devront apprendre à travailler avec les machines et à manipuler des données.

Réflexion sur la porosité croissance entre sphère privée et publique des travailleurs de plateformes numériques.

Réflexion visant à caractériser le modèle d'affaires des plateformes, et son impact, entre autres, sur la protection sociale.

Focus sur les Amap.

Synthèse chiffrée sur l'économie collaborative et ses acteurs en France.

Pedro da Costa insiste sur l'importance de la formation des travailleurs, pour pouvoir travailler en utilisant les technologies et non en se faisant remplacer par elles, et sur celle des politiques publiques qui doivent accompagner ce changement.

Commentaire de l'Usine digitale sur la convention Axa-Uber.

Carte interactive sur la gig economy, faite par l'Oxford Internet Institute.

L'Oxford Internet Institut lance une carte interactive permettant de mesurer la gig economy dans le monde en temps réel.

Interview d'Antonio Casilli sur le digital labor.

Une confédération bulgare et une confédération roumaine ont mis en place des portails de services personnalisés et interactifs, à la fois pour communiquer sur leurs activités, et pour proposer des services à leurs adhérents : aide à la négociation collective, conseils juridiques. Des services sont aussi proposés aux non-adhérents : aide à la recherche d'emploi, infos sur les formations syndicales.

"Le tribunal populaire de Beijing, le district de Chaoyang, a tranché un premier litige sur la relation d'emploi de travailleurs d'une plateforme. Le juge qui a statué sur l'affaire a largement communiqué sur les fondements de sa décision."

Contribution de Luc Petitnicolas sur l'impact de l'automatisation sur l'emploi et ses différentes évaluations.

En cas d'accident, les chauffeurs seront pris en charge en terme de coûts des soins, seront indemnisés en cas d'incapacité et leurs ayants droit seront indemnisés en cas de décès. Cette protection sera prise en chargé financièrement par Uber. Ce nouveau système de protection doit être mis en œuvre à l'automne, date à laquelle ses modalités seront précisées.

"La nouvelle convention collective d'Axa en Espagne reconnait le droit de ses employés à éteindre leurs téléphones mobiles hors de leurs horaires de travail. Elle facilite aussi le développement du travail à distance et une organisation de travail flexible, afin de faciliter la conciliation. "