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marinealbarede

Berlin 'borrowing shop' promotes the benefits of sharing | World news | theguardian.com - 1 views

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    Leila, une "librairie" pour les objets implantée à Berlin a si bien marché, que de tels projets ont essaimé ailleurs en Allemagne. Avec une vision locale, ancrée dans le territoire du partage, contrairement aux grandes plateformes, et centrée sur le "partage", plus que l'économie.
marinealbarede

Four Myths on How Consumers React to the Share Economy - The Accelerators - WSJ - 2 views

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    Et si les promesses de l'économie du partage, en matière d'expérience de consommation était fausses ? Cet article, basé sur des études de cas et entretiens dans le domaine de l'autopartage, dé-construit 4 mythes autour des consommateurs (préoccupations environnementales ou sociales, importance de la communauté, confiance P2P et identité d'un consommateur collaboratif), quitte à généraliser (un peu vite) que ce qui fait une des spécificités de l'économie du partage n'existe en réalité pas...
marinealbarede

L'économie du partage est-elle durable ?, Editos & Analyses - 3 views

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    "Revente d'objets de seconde main sur Leboncoin ou don sur Donnons.org, location d'objets entre particuliers sur Zilok ou de voitures sur Drivy, prêt gratuit sur ShareWizz : Internet réinvente nos pratiques de « partage » et notre rapport aux biens matériels. Les possibilités ouvertes et l'apparition de nouveaux modèles économiques en pair-à-pair favorisent l'émergence de pratiques de consommation qui suscitent l'enthousiasme des entreprises, médias et acteurs politiques."
Aurialie Jublin

L'économie collaborative ne partage que les restes - Influencia - 0 views

  • Ceci est le point culminant logique d’un processus qui a commencé il y a trente ans lorsque les entreprises ont commencé à sacrifier des emplois à temps plein pour des travailleurs temporaires, indépendants ou freelancers et consultants. C’était un moyen de déplacer les risques et inconnues sur le travailleur et une façon de contourner les lois du travail imposant des standards minimums de salaire, du nombre d’heures et des conditions de travail. Celles là mêmes qui permettent aux employés de se mettre ensemble pour négocier des salaires et bénéfices plus intéressants.
  • Les partisans de l’économie collaborative soulignent également que comme le travail à la demande continue de grandir, les travailleurs assemblent leur force pour acheter une assurance et d’autres bénéfices en groupe. Mais, clairement, ils ne se rassemblent pas pour négocier une part plus importante du revenu ou des horaires plus fixes. Cela s’appellerait un syndicat – quelque chose dont Uber, Amazon et les autres entreprises à la demandent ne veulent pas entendre parler.   Certains économistes font l’éloge du travail à la demande car c’est une façon plus efficace d’utiliser une force de travail. Mais le plus gros challenge économique auquel nous faisons face n’est pas l’efficacité. C’est la distribution du travail et une redistribution plus équitable de ses gains. Sur ce dernier sujet, l’économie de partage (des restes), sur certains points, nous renvoie encore bien en arrière...
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    "Et si l'économie collaborative en plus de ne pas profiter à tout le monde tuait le rêve du partage équitable et nous renvoyait à une époque où les droits et la protection des employés étaient inexistants ? La thèse de Robert Reich, l'ancien ministre du travail de Bill Clinton, méritait bien une traduction."
marinealbarede

Peers - The new Peers: making the sharing economy work for... - 1 views

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    Un switch dans les termes employés ? On savait que Peers s'était engagé à soutenir l'économie du partage ; c'est désormais un soutien des "travailleurs de l'économie du partage" qui est affirmé, via de l'information, des outils, etc.. Peers ne parle plus d'activité, mais bien d'un nouveau type de travail.
julien camacho

Le partage est un droit culturel, pas un échec du marché - Communs / Commons - 1 views

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    Une série sans fin de projets législatifs, de politiques contractuelles et d'accords commerciaux ou traités continue à essayer d'éradiquer ou d'empêcher le partage non marchand d'œuvres numériques. De nouvelles stratégies misent sur les incitations et les menaces pour que les intermédiaires techniques fassent la police de l'internet et protègent les modèles commerciaux fondés sur la rareté de la concurrence de l'abondance. Tout serait donc inchangé ? Et bien non.
abrugiere

The Rise of Anti-Capitalism - NYTimes.com - 3 views

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    Article de J Rifkin  vrai paradoxe du capitalisme : la dynamique de compétitivité des marchés qui tend à réduire toujours plus les coûts, associée à une révolution technologique, est en train de produire des biens et des services en abondance : à coût nul ou marginal.  Aujourd'hui, avec l'internet des objets, cela va s'étendre à l'économie entière. L'internet des objets, c'est en 2020, 50 bilions de capteurs connectés.  rattachés à des ressources naturelles, des lignes de production, des smart gris, des réseaux de logistiques, dans les maison, les bureaux, les magasins...  Les individus pourront connecter leur réseau et exploiter les données par des big data, des algorithmes, et par là accélérer l'efficience des objets, des réseaux, et donc diminuer toujours plus les coûts d'utilisation. Cisco prévoit que vers 2022 les gains de productivité du secteur privé engendrés par l'internet des objets excédera les 14 trillion de dollars.  La question est de donc de savoir ce que deviendra l' économie quand des millions d'individus pourront produire et partager des biens et des services gratuitement ?  L'internet des objets est une plateforme en train de changer la donne, car capable de faire émerger des biens communs collaboratifs à côté du marché capitaliste.  L'enjeu = partager l'accès plutôt que privatiser la propriété
marinealbarede

The Sharing Economy Needs to Start Sharing Its Data Too | Business | WIRED - 3 views

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    Les grandes plateformes de la consommation collaborative (Airbnb, Uber...), bâtissent leur empire sur des données personnelles ; parce qu'elles ont besoin de collecter et traiter un maximum de données pour construire un cadre de confiance adéquat, en affichant des profils détaillés, en assurant les transactions en ligne... des actifs considérables sur lesquelles elles construisent la valeur, et que bien qu'engagées dans l"'économie du partage", elles ne sont absolument pas prêtes à partager.
hubert guillaud

La montée de l'anti-capitalisme - NYTimes.com - 3 views

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    Nous commençons a assister à un paradoxe au coeur du capitalisme, estime Jeremy Rifkin, le dynamisme inhérent aux marchés concurrentiels fait que de nombreux biens et services parviennent à un coût si bas, qu'ils n'y sont plus soumis. Si les économistes ont toujours évoqué la réduction du coût marginal, ils n'ont jamais envisagé qu'une révolution technologique pourrait les faire tomber à zéro. Depuis Napster, le numérique est venu considérablement perturber les industries culturelles et s'attaque désormais à l'énergie, la fabrication, l'éducation... Le phénomène est sur le point d'affecter l'ensemble de l'économie estime Rifkin. Que se passera-t-il quand nous pourrons produire des biens et des services pour presque rien ? Les biens communs, la collaboration, l'accès, la participation de tous inaugure une nouvelle économie de partage et l'internet des objets est la plateforme qui permet au bien commun de se développer aux côté du marché capitaliste, estime Rifkin. De nombreux économistes estiment que le secteur sans but lucratif n'est pas une force économique autonome, mais un parasite. Reste qu'il est aujourd'hui un moteur puissant de nos économies et qu'il dessine un avenir pour le partage des biens communs mondiaux.
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    Le système capitaliste (à part dans le titre, il ne parle finalement pas de capital'isme') comme simple « aggrégateur de service »; j'avoue n'être pas sûre qu'il s'agisse, au premier degré, d'une prospective, ou bien d'un stratagème argumentaire destiné à neutraliser la dimension idéologique du sujet (exacerbée dans le titre). On retrouve souvent ce type de décentrement rhétorique chez Rifkin. Il joue avec habileté de sa double posture d'augure, volontiers sybillin, et de protagoniste actif, disposant d'une influence sur les hauts cercles de la décision. Je parle en simple lecteur, il y a sans doute bien plus spécialistes aux alentours!
marinealbarede

Economie du partage : enjeux et opportunités pour la transition écologique (.... - 3 views

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    Les modèle de l'économie du partage peuvent permettre d'augmenter la durée d'usage de biens consommateurs de ressources, c'est du moins une de leurs promesses. Mais cela reste pour l'instant plus une intuition qu'une promesse tenue... comment aller vers une économie plus durable ?
Aurialie Jublin

Michel Bauwens : « Uber et Airbnb n'ont rien à voir avec l'économie de partag... - 0 views

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    Extrait: A Séoul, en Corée du Sud, la municipalité de gauche a choisi d'interdire Uber, non pas pour protéger les taxis mais pour développer des applications locales, parce qu'il n'y a aucune raison qu'une société américaine gère les trajets d'une ville asiatique. Cela peut se faire avec une coopérative d'usagers ou une coopérative municipale qui permet de stimuler l'économie locale, et où la valeur reste équitablement répartie. Il faut développer l'imaginaire social et juridique ! Il existe des groupes de juristes en France comme Share Lex qui travaillent à transformer les lois en faveur de l'économie du partage, à créer une jurisprudence du commun. Les chartes sociales telles que celle de Wikipedia, l'encyclopédie collaborative par exemple, sont déjà de bons exemples de chartes du commun.
pierremallet

Comment la Maif veut tirer parti de l'essor de l'économie du partage, Banque ... - 2 views

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    "« L' 'économie du partage va considérablement se développer en France, qui est en avance dans ce domaine. Et cela aura un impact significatif sur l'industrie de l'assurance », explique Pascal Demurger, le directeur de la Maif, pour justifier cet investissement"
pierremallet

2015 sera collaboratif - DANS LE MONDE - l'ADN - 8 views

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    "En conclusion, et pour 2015, Jeremiah Owyang prédit cinq tendances : - Les start-up vont investir massivement chacun des secteurs du Honeycomb. Ce sont les investissements et la réalisation des projets qui permettra d'ériger certaines initiatives en réelles opportunités, - Les plateformes déjà matures vont développer leurs APIs, - Un débat global sur la sécurité des utilisateurs, la protection et le partage des données en lieu est inévitable, - Les utilisateurs réclameront que les start-up partagent la valeur avec eux - Les gouvernements et grandes entreprises prendront conscience qu'ils doivent adopter le modèle collaboratif, popularisant le mouvement"
pierremallet

Jeremy Rifkin : "La nouvelle mondialisation, c'est partager plutôt que posséder" - 0 views

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    "La jeune génération est très critique à l'égard de la mondialisation. Elle nous dit que nous avons des centaines d'entreprises qui contrôlent une grande partie de la production économique mondiale, et qui l'automatisent. De nombreuses personnes se retrouvent sans emploi, la croissance du PIB ralentit, et davantage de revenus reviennent au haut de l'échelle, c'est-à-dire aux actionnaires. Ces jeunes gens estiment que le monde est bloqué. Alors, ils se sont mis à créer une économie de partage, basée sur des biens communs collaboratifs. Nous assistons à un évènement historique remarquable, celui de la naissance d'un nouveau modèle économique. Il s'agit du premier système économique à voir le jour depuis le capitalisme et le socialisme, au début du XIXe siècle. "
pierremallet

De nouveaux modèles pour créer sa propre place de marché émergent | L'Atelier... - 2 views

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    "On connaît déjà Airbnb (partage de maisons) ou TaskRabbit (petits travaux et tâches). En parallèle, les plateformes en ligne pour des interactions de particuliers à particuliers en "marque blanche" font leur entrée dans l'économie collaborative tels que Near Me, ShareTribe ou encore MyTurn. Celles-ci sont conçues pour faciliter l'accès à tout le monde, à la création de sa propre place de marché pour partager n'importe quel produit ou service. Ces entreprises se veulent être les systèmes de gestion de contenus (SGC) de l'économie collaborative, comme WordPress est un SGC pour la publication en ligne, Magento pour l'e-commerce et CrowdHoster pour le crowdfunding. La startup Californienne Near Me offre une plateforme pour les places de marché entre particuliers, qui ne nécessite aucune compétence en codage."
marinealbarede

Alterre - Le moteur du partage entre particuliers. Comparateur d'annonces de location d... - 0 views

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    Alterre est un moteur de recherche du partage entre particulier : biens de conso, jardins, etc. Il permet d'accéder à des annonces de plusieurs sites de la conso collaborative.
julien camacho

Et si nos entreprises se mettaient aussi à partager ? - 1 views

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    Les ressources déjà détenues ou produites par les entreprises sont considérables et souvent peu partagées. Pourquoi ? Freins culturels ? Questions logistiques ? Il semble pourtant que tout converge pour que ces nouvelles pratiques s'immiscent également dans nos entreprises. En effet, les bénéfices de l'économie collaborative : l'optimisation financière, les synergies et la collaboration, sont en totale adéquation avec les objectifs fondamentaux d'une entreprise.
Aurialie Jublin

» La consommation collaborative: une révolution par le partage? - 0 views

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    "Louer un appartement pour un court séjour, recourir au covoiturage ou camper dans le jardin d'un habitant: la consommation collaborative est en pleine explosion. Un spécialiste estime ce commerce de particulier à particulier à 26 milliards de dollars américains."
marinealbarede

Les collectifs numériques, source d'imaginaire politique - Millenaire3 - 1 views

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    "Le contraste est saisissant : les médias nous tendent un miroir où se reflète un pays morose, voire dépressif, où l'offre politique semble atone, voire paralysée. Pourtant quand on se penche sur ce qui se passe dans les territoires de France et d'ailleurs, on observe un foisonnement d'individus et de collectifs qui cherchent, inventent, construisent pour répondre aux besoins que ni la puissance publique, ni les acteurs traditionnels du marché ne semblent en capacité de satisfaire. Partage de savoirs, monnaies alternatives, réhabilitation urbaine, solidarités intergénérationnelles ou de quartier, énergies alternatives, financements participatifs, gestion de conflits, troc de semences, circuits courts de consommation, recyclage, do-it-yourself, carte contributive… Les énergies créatives ne manquent pas en matière d'innovation sociale citoyenne."
hubert guillaud

Le piège de la consommation collaborative - Medium - 0 views

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    Le piège de la consommation collaborative : que se passera-t-il quand nous partagerons tous nos vêtements pour de revenus tout juste suffisants ? Le risque de dépendance de ces services et plateformes pour un revenu tout juste suffisant, une des principales tensions de la consommation collaborative?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
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