Ressources pour exploiter pédagogiquement (ou non) les interférences entre la philosophie et le cinéma : philosophie "du" cinéma, philosophie "au" cinéma, philosophie "par" le cinéma... Sites, articles théoriques, analyses de films, extraits de films, etc. (Consultez le topic : "Comment contribuer au groupe "Cinéma et Philosophie")
Les informations, données et textes présentés sur ce site sont proposés par Jean-Paul Achard (1).
Ils ont été élaborés au cours d'actions de formation, de colloques et d'interventions diverses...
Eclipses est une revue monographique qui paraît deux fois par an, en juin et en décembre.
Eclipses est diffusée en librairie et peut également être commandée directement via ce site Internet.
Composé d'une vingtaine de contributions rédigées par des spécialistes, chaque volume de la revue Eclipses (environ 150 pages) traite de l'œuvre d'un cinéaste en particulier, envisagée sous ses différents aspects.
Privilégiant la relation entre le texte et une iconographie pertinente, les différentes livraisons d'Eclipses offrent de nouvelles perspectives d'analyse, originales, plurielles et ouvertes à tous les types d'approches - de l'essai à l'étude de séquences ou de fragments mis en rapport, du regroupement thématique à la cartographie des différents effets d'image -, ceci afin de mieux répondre aux exigences de tout spectateur attentif aux mutations du cinéma, à son histoire et à ses spécificités.
En contrepoint de la critique officielle, la revue VERSUS propose, depuis plus de neuf ans et 21 parutions, un contenu aussi engagé qu'enragé sur les cinémas de genre (et aussi d'auteur), d'Hollywood et d'ailleurs. Un titre indépendant et exigeant pour amateurs de littérature critique et d'analyses, disponible chaque trimestre en librairies spécialisées, en France et au Québec.
Au programme, 68 pages «d'observation(s)» des films (ciné & DVD) et fictions audiovisuelles en phase avec l'actualité politique et culturelle : dossiers thématiques, parcours carrières, monographies, comptes-rendus de festivals, rétrospectives, parallèles filmiques, radioscopie des tendances du 7e Art.
Dernier numéro paru : VERSUS N° 21 - Avril / Juillet 2011
Spectacles, métafilms & envers du décor hollywoodien
Constituées à l'origine par les Archives françaises du film, la Cinémathèque française et la FEMIS, les collections conservées par la BiFi se sont enrichies depuis par de nombreux dons, acquisitions à titre onéreux ou dépôts. Voici un panorama des diverses collections consultables.
Economiste et sociologue du cinéma
Directeur du Master Arts, Esthétique et Sociologie de la Culture (U. de Metz), spécialité Expertise & Médiation Culturelle
Selling Space, on King and Krzywinska Science Fiction Cinema: From Outer Space to Cyberspace HTML
Anna Powell
Other Bother: The Alien in Science Fiction Cinema, on Aliens R Us: The Other in Science Fiction Cinema, edited by Ziauddin Sardar and Sean Cubitt
Jon Baldwin
Screening the Postmodern, on Vivian Sobchack Screening Space: The American Science Fiction Film
Lysa Rivera
In Kubrick's Crypt, a Derrida/Deleuze Monster, on 2001: A Space Odyssey
Richard I. Pope
Is Film the Alien Other to Philosophy?, on Stephen Mulhall On Film
Nathan Andersen
Alien Ways of Thinking, on Stephen Mulhall On Film
Julian Baggini
Ways of Thinking: A Response to Andersen and Baggin
Stephen Mulhall
Waiting for Dawn to Break, on Endless Night: Cinema and Psychoanalysis, Parallel Histories, edited by Janet Bergstrom
Rebecca M. Gordon
The Parallax Review, on Endless Night: Cinema and Psychoanalysis, Parallel Histories, edited by Janet Bergstrom
Jamie Clarke
Film Theory, Psychoanalysis, and Figuration, on Endless Night: Cinema and Psychoanalysis, Parallel Histories, edited by Janet Bergstrom
Briana Berg
Our Friend Žižek, on The Fright of Real Tears: Krzysztof Kieslowski between Theory and Post-Theory, by Slavoj Žižek
Richard Stamp
Right Direction, Wrong Turning, on The Fright of Real Tears: Krzysztof Kieslowski between Theory and Post-Theory, by Slavoj Žižek
John Orr
Jean Baudrillard loved cinema and was fascinated by the collusions which occur between it and life. He also believed that technologies of virtualization and the pursuit of realism were deeply harmful to the quality of the cinematic image. Precisely at the time when cinema was subject to these forces he pointed out that it is coming to play a far more important role in the collective understanding of history than are the best scholarly histories. Because of the focus he took concerning cinema his work will remain important to discussions of the intersections between film and philosophy well into the future.
Le film met en abîme le cinéma, ce qui a conduit certains critiques à n'y voir qu'un "documentaire" sur les débuts du parlant. Cette mise en abîme constitue en réalité l'objet du film, de l'ordre du scénario, sur quoi lefilm s'appuie pour donner à penser le cinéma comme art dans sa relation au système, avec beaucoup d'humour. Il va à l'encontre d'une opinion répandue, en affirmant que c'est bien l'art qui contraint le système à se plier à son inventivité, et non l'inverse.
En 1954, le marshal Teddy Daniels et son coéquipier Chuck Aule sont envoyés enquêter sur l'île de Shutter Island, dans un hôpital psychiatrique où sont internés de dangereux criminels. L'une des patientes, Rachel Solando, a inexplicablement disparu. Comment la meurtrière a-t-elle pu sortir d'une cellule fermée de l'extérieur ? Le seul indice retrouvé dans la pièce est une feuille de papier sur laquelle on peut lire une suite de chiffres et de lettres sans signification apparente. Oeuvre cohérente d'une malade, ou cryptogramme ?
Violée et assassinée, une jeune fille de 14 ans découvre le monde depuis le paradis. Elle voit ses parents et sa famille ravagés par le drame, elle observe le détective chargé de l'enquête et elle aperçoit son meurtrier poursuivre ses sanglants méfaits.
Œuvre dantesque s'il en est, la saga Star Wars de George Lucas a souvent intéressé les sociologues, de par le phénomène qu'elle a engendré. Cette manifestation de masse, qui en se hissant au statut d'œuvre « populaire », fut considérée bien à tort comme un simple phénomène de mode. Alors qu'elle fait appel à des références multiples et pluridirectionnelles suffisamment universelles pour dépasser un ancrage dans un temps donné
Le cinéma a été le seul art propre ainsi que la principale industrie culturelle du vingtième siècle. Cette constatation, au demeurant banale, contient une évidence lourde de sens : la dimension politique incontournable du septième art. Les films ont en effet, dès leur apparition, volontairement ou fortuitement, accompagné, représenté ou commenté l'histoire contemporaine. Ils ont aussi été de véritables enjeux de pouvoir pour les grands groupes économiques aussi bien que pour les gouvernements. Les politiques culturelles se sont ainsi toujours préoccupées d'un cinéma par essence prescripteur de représentations du monde, même s'il n'a que rarement revendiqué ce statut.