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La comédie » - Dossier de présentation - 1 views

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    La comédie est peut-être le genre le plus facile à définir a priori : tout le monde sait qu'une comédie est un film destiné à faire rire. C'est en tout cas le genre plus populaire (les films français qui ont fait le plus d'entrées depuis cinquante ans sont tous des comédies, depuis La Grande Vadrouille jusqu'à Bienvenue chez les ch'tis...), même s'il est loin d'être le plus prestigieux (les grandes récompenses officielles du type César ou Oscar, les prix dans les festivals lui échappent quasiment toujours). C'est en tout cas un genre qui a tenu un rôle très important dans l'histoire du cinéma. Historiquement, la première fiction du cinéma est une comédie : L'Arroseur arrosé, un film de… 42 secondes des Frères Lumière, faisait partie de la première séance payante du cinématographe du 28 décembre 1895. Par la suite, ce sont les films comiques, assurant à un large public un délassement franc et immédiat, qui vont faire le succès fulgurant de ce divertissement de masse. C'est le règne du « slapstick », héritier de genres populaires comme la farce ou le théâtre de Guignol : personnages très typés voire réduits à une silhouette, rythme effréné (la poursuite est une figure récurrente du genre), avalanche de gags simples et efficaces (chutes, bagarres, tartes à la crème). Certains acteurs et metteurs en scène vont toutefois faire évoluer le genre vers plus de subtilité, à commencer par Charles Chaplin.
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Sandra Laugier : Comment ils se sont disputés - 1 views

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    Pourquoi passer sa vie à deux plutôt que tout seul ?La question est une question philosophique, métaphysique même. Stanley Cavell n'a cessé, dans son ouvrage classique A la recherche du bonheur, consacré à la comédie hollywoodienne « du remariage » mais aussi dans tout son travail récent (son livre sur le mélodrame, Contesting Tears, et ses livres consacrés à Ralph Waldo Emerson), de démontrer que non seulement la question du couple et du mariage est une question philosophique (cela, d'autres l'ont dit, et ce n'est pas forcément intéressant), mais qu'elle est LA question philosophique, rivalisant avec les questions traditionnelles : que puis-je connaître ? Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?
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"Rire ou ne pas rire : les paradoxes de la comédie" présenté par Jacqueline N... - 0 views

shared by d m on 09 Aug 11 - No Cached
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    Jacqueline Nacache est professeur d'histoire et d'esthétique du cinéma à l'université Paris-Diderot. Spécialiste du cinéma américain de l'âge d'or, elle a notamment publié "Lubitsch" (Éd. Edilig, 1987), "Le film hollywoodien classique" (Éd. Nathan, 1995), "L'Acteur de cinéma" (Éd. Nathan, 2003). Cours du 27 mars 2009
d m

Les genres du cinéma - 1 views

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    La théorie des genres élaborée par Aristote distingue la comédie de la tragédie. Dans la tragédie, le conflit apparent est surdéterminé par des forces métaphysiques, morales ou sociales qui échappent aux personnages. La comédie peint les travers d'une société. Gérard Genette dira ainsi que c'est un critère de distance qui distingue les deux genres majeurs du théâtre grec : la distance vis à vis du réel vécu par les personnages. La position du metteur en scène par rapport au réel vécu par ses personnages peut aussi définir huit genres sur l'axe des distances. L'appartenance à l'un de ces huit premiers genres n'est pas exclusive de l'appartenance aux douze suivants. Ceux-ci sont les genres classiques du cinéma. Ils se sont en effet définis par rapport à un autre critère que celui de la distance : celui du thème.
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New York-Miami (It Happened One Night, 1934) - 1 views

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    Voici le film qui inaugura le genre de la comédie américaine en 1934. Un bon millésime, oeuvre d'’un Frank Capra génial, qui réjouit par sa cocasserie et son rythme endiablé. Naissance d'un genreNew York-Miami est la première d'un type bien particulier de comédies qui se développa aux Etats-Unis pendant la décennie 1930, et qui suscita un nom précis : la " screwball comedy ".
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Stanley Cavell « Relier mon expérience et celle de l'Amérique » - 1 views

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    « Je pense qu'il serait temps de réfléchir plus sérieusement sur le base-ball, autre passion ordinaire de l'Amérique. » Tout rond, bonhomme, l'air profondément généreux, tel est Stanley Cavell, professeur émérite de philosophie à Harvard. Cet « Ivy League » s'intéresse depuis toujours au 7e art et il est reconnu comme l'un des plus importants penseurs de notre temps. Ses ouvrages de cinéma sont désormais tous traduits : la Projection du monde (Belin, 1999), A la recherche du bonheur. Hollywood et la comédie du remariage, et maintenant le Cinéma nous rend-il meilleurs ? On peut dire qu'il y a eu Deleuze et qu'il y a maintenant Cavell, même si les styles et les modes de pensée diffèrent du tout au tout. Entretien sur cette passion ordinaire d'un homme facétieux, par Antoine de BAECQUE.
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Film dans le film - 1 views

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    Le film dans le film est une variante de l'oeuvre dans l'oeuvre ou de la mise en abîme qui désigne la présence d'une œuvre dans une autre de même nature. Provenant du blason, ce motif se retrouve dans la peinture, la littérature et le théâtre. L'impromptu de Versailles, comédie en un acte et en prose où Molière se mettait lui-même en scène avec sa troupe au cours de la répétition d'une pièce devant être jouée devant le roi ou la pièce de théatre jouée dans Hamlet en sont sans doute les deux exemples théatraux les plus connus.
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Les comédies de remariage - 2 views

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    Le genre tient en 7 films de 1934 à 1949 Date Title Director Starring Poster 1934 It happened one night Frank Capra Clack Gabble / Claudette (...)
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Les mélodrames de la femme inconnue - 0 views

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    UN GENRE DÉRIVÉ DES COMÉDIES DE REMARIAGE
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« Le cinéma face à l'histoire » - Dossier de présentation - 2 views

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    Une fascination immédiate De même que les mondes futurs ou imaginaires, les mondes passés ont toujours fasciné le cinéma. Avec leurs décors grandioses, leurs costumes chatoyants (on parle souvent de « films en costume » pour souligner leur importance), les films historiques offrent une promesse de grand spectacle et de dépaysement immédiat. A côté de son célèbre Voyage dans la lune et autres fantasmagories, George Méliès tourne ainsi une Cléôpatre et une Jeanne d'Arc. Mais ce sont deux films produits la même année qui par leur succès vont marquer leur temps et célébrer les noces du couple « cinéma et histoire ». L'Assassinat du duc de Guise (1908) d'André Calmettes est à la fois l'une des premières tentatives de reconstituer une scène historique, et le premier « film d'art », pour reprendre le nom de la société qui le produit : il a été écrit par un académicien, interprété par des comédiens de la Comédie Française, mis en musique par Camille Saint-Saëns. Son succès va sortir le « cinématographe » des baraques de foire et du mépris dans lequel le tiennent les intellectuels, et constituer le film historique comme un genre à part entière. Au même moment Luigi Maggi tourne en Italie Les Derniers Jours de Pompéi (1908), premier avatar d'un genre, le peplum, qui va faire les beaux jours du cinéma italien (Cabiria de Giovanni Pastrone, 1918) puis américain (voir les fresques bibliques de Cecil B. de Mille).
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