Le Conseil de l'enfance recommande d'inclure et de socialiser tôt les très jeunes enfants en situation de handicap et en difficultés spécifiques, dans les modes d'accueil et à l'école maternelle, d'aider les familles, de faciliter l'articulation avec la vie professionnelle, et ce faisant, de prévenir les risques additionnels de fragilisation du couple, des fratries et de l'économie familiale.
Entre 60 000 et 70 000 enfants avant 7 ans bénéficient de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH), d'un projet personnalisé de scolarisation (PPS) ou d'un suivi par les centres d'action médico-sociale précoce (CAMSP). Pourtant, le Conseil de l'enfance du HCFEA, montre qu'il y a un besoin d'accompagnement plus précoce pour 30 000 à 40 000 enfants supplémentaires, toutes réponses confondues.
Pendant la première enfance, les enfants en situation de handicap ne se sentent pas différents des autres et leurs camarades n'ont pas encore un regard façonné par les normes physiques ou comportementales. Le Conseil de l'enfance du HCFEA préconise donc une inclusion très précoce des jeunes enfants en situation de handicap dans les modes d'accueil. Ces enfants doivent bénéficier d'un traitement prioritaire en fonction de leurs besoins, de la situation de leur famille et de l'offre d'accueil existante. Le principe du « Zéro sans solution » doit être appliqué.
Il faut alors envisager :
- une majoration des moyens alloués pour favoriser leur accès à tous les types d'accueil individuels et collectifs ;
- la structuration en réseau des professionnels au plus près des enfants en généralisant les unités mobiles d'appui et de ressources pour les modes d'accueil, les temps de réflexivité et de formation dans les crèches et pour les assistantes maternelles ;
- le développement d'une offre mixte et diversifiée, en particulier les solutions hybrides entre accueil collectif et accueil individu
Le Conseil de l'enfance recommande d'inclure et de socialiser tôt les très jeunes enfants en situation de handicap et en difficultés spécifiques, dans les modes d'accueil et à l'école maternelle, d'aider les familles, de faciliter l'articulation avec la vie professionnelle, et ce faisant, de prévenir les risques additionnels de fragilisation du couple, des fratries et de l'économie familiale.
Entre 60 000 et 70 000 enfants avant 7 ans bénéficient de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH), d'un projet personnalisé de scolarisation (PPS) ou d'un suivi par les centres d'action médico-sociale précoce (CAMSP). Pourtant, le Conseil de l'enfance du HCFEA, montre qu'il y a un besoin d'accompagnement plus précoce pour 30 000 à 40 000 enfants supplémentaires, toutes réponses confondues.
Pendant la première enfance, les enfants en situation de handicap ne se sentent pas différents des autres et leurs camarades n'ont pas encore un regard façonné par les normes physiques ou comportementales. Le Conseil de l'enfance du HCFEA préconise donc une inclusion très précoce des jeunes enfants en situation de handicap dans les modes d'accueil. Ces enfants doivent bénéficier d'un traitement prioritaire en fonction de leurs besoins, de la situation de leur famille et de l'offre d'accueil existante. Le principe du « Zéro sans solution » doit être appliqué.
Il faut alors envisager :
- une majoration des moyens alloués pour favoriser leur accès à tous les types d'accueil individuels et collectifs ;
- la structuration en réseau des professionnels au plus près des enfants en généralisant les unités mobiles d'appui et de ressources pour les modes d'accueil, les temps de réflexivité et de formation dans les crèches et pour les assistantes maternelles ;
- le développement d'une offre mixte et diversifiée, en particulier les solutions hybrides entre accueil collectif et accueil individu
Le Conseil de l'enfance recommande d'inclure et de socialiser tôt les très jeunes enfants en situation de handicap et en difficultés spécifiques, dans les modes d'accueil et à l'école maternelle, d'aider les familles, de faciliter l'articulation avec la vie professionnelle, et ce faisant, de prévenir les risques additionnels de fragilisation du couple, des fratries et de l'économie familiale.
Entre 60 000 et 70 000 enfants avant 7 ans bénéficient de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH), d'un projet personnalisé de scolarisation (PPS) ou d'un suivi par les centres d'action médico-sociale précoce (CAMSP). Pourtant, le Conseil de l'enfance du HCFEA, montre qu'il y a un besoin d'accompagnement plus précoce pour 30 000 à 40 000 enfants supplémentaires, toutes réponses confondues.
Pendant la première enfance, les enfants en situation de handicap ne se sentent pas différents des autres et leurs camarades n'ont pas encore un regard façonné par les normes physiques ou comportementales. Le Conseil de l'enfance du HCFEA préconise donc une inclusion très précoce des jeunes enfants en situation de handicap dans les modes d'accueil. Ces enfants doivent bénéficier d'un traitement prioritaire en fonction de leurs besoins, de la situation de leur famille et de l'offre d'accueil existante. Le principe du « Zéro sans solution » doit être appliqué.
Il faut alors envisager :
- une majoration des moyens alloués pour favoriser leur accès à tous les types d'accueil individuels et collectifs ;
- la structuration en réseau des professionnels au plus près des enfants en généralisant les unités mobiles d'appui et de ressources pour les modes d'accueil, les temps de réflexivité et de formation dans les crèches et pour les assistantes maternelles ;
- le développement d'une offre mixte et diversifiée, en particulier les solutions hybrides entre accueil collectif et accueil individu
"Quel regard les Français portent-ils sur l'inclusion et l'insertion des personnes en situation de handicap mental et psychique ? Ont-elles suffisamment accès au travail ? À la culture ? À la parentalité ? La société française favorise-t-elle assez leur inclusion ?
C'est pour répondre à toutes ces questions qu'Ipsos et la Fondation des Amis de l'Atelier se sont associés et ont réalisé une enquête auprès d'un échantillon de 1200 personnes représentatif de la population française.
L'étude révèle d'abord que plus d'un Français sur deux (54%) se considère capable de faire véritablement la différence entre handicap mental et handicap psychique. Un constat plutôt positif au regard du nombre de personnes ayant dans leur entourage des personnes en situation de handicap mental (17%) et de handicap psychique (23%).
Cette enquête révèle également que le grand public se montrent très critique sur l'inclusion et l'intégration des personnes en situation de handicap mental ou psychique"
"À l'occasion de la sortie du livre (1) qu'elle a écrit avec son mari, handicapé moteur comme elle, Julie Aïbout évoque sa vie à la tête d'une tribu de quatre enfants."
"Le CMR, mouvement des Chrétiens en Milieu Rural, est à la fois un mouvement d'action catholique et d'éducation populaire.
Le bien vivre ensemble, la parentalité et le soutien aux familles font partie des priorités des équipes vosgiennes du diocèse de Saint-Dié qui organisait une soirée-conférence sur le thème des troubles DYS (dyslexie, dispraxie, dyscalculie, troubles de l'attention,...). Des troubles cognitifs qui sont variés, peuvent être associés, et se révèlent lors des premiers apprentissages. Ils entraînent toujours une grande souffrance, 6 à 8% des enfants en âge scolaire en seraient atteints plus ou moins gravement. Le magazine Rencontres du mois d'octobre vous en dit plus."
"Ce week-end aura lieu les samedi 28 et dimanche 29 janvier (du samedi 10h au dimanche 17h).
Pour vous les pères, des échanges, des repères, une fraternité.
Un week-end animé par une équipe de pères et de professionnels."
"voir un enfant, lorsqu'on est en situation de handicap ? C'est réalisable, malgré les difficultés. À l'occasion de la fête des Mères, Florence, Adeline et Jennifer racontent leur quotidien de mères admirables. "
"Ces derniers mois, des parents d'enfants atteints de trisomie 21 ont pris la parole, dénonçant la persistance des clichés sur ce handicap qui touche plus de 500 nouveau-nés par an."
"Devenir parents est une aventure. Quand l'enfant est handicapé, l'aventure devient extrême. L'extrême provoque du périlleux et de multiples occasions de vérifier notre amour, de l'aiguiser. Le mariage est une opération de transformation personnelle qui devrait améliorer les époux, les sanctifier"
"Devenir parents est une aventure. Quand l'enfant est handicapé, l'aventure devient extrême. L'extrême provoque du périlleux et de multiples occasions de vérifier notre amour, de l'aiguiser. Le mariage est une opération de transformation personnelle qui devrait améliorer les époux, les sanctifier. Les épreuves, dont le handicap (parmi d'autres), nous empêchent d'oublier le véritable sens de notre vie qui est de nous humaniser, de nous laisser sculpter jusqu'à la stature de l'homme parfait qu'est Jésus. Or, Benoît XVI dit que « sans la souffrance, on ne transforme rien »."
"Clotilde et Nicolas Noël sont parents de huit enfants dont deux petites filles handicapées. Elle est l'auteur de deux livres : Tombée du nid et Petit à petit. Pour l'émission Je t'aime, etc. sur France 2 ils livrent un témoignage touchant sur leur vie de famille nombreuse. Les deux parents expliquent comment ils arrivent à consacrer du temps à leur couple et donnent quelques conseils pour préserver l'intimité de son couple quand on est parents d'une grande fratrie"
"u terme d'un examen accéléré de cinq jours, le projet de loi relatif à la bioéthique a été voté par l'Assemblée nationale dans la nuit du 31 juillet au 1er août. "
"Une vingtaine de mamans est venue faire une pause à l'occasion de cette journée OCH (*) des mamans d'un enfant malade ou handicapé, organisée à la maison diocésaine le 15 mars dernier."