Group items matching

in title, tags, annotations or url

"Microsoft arrive sur le marché des supports électroniques, le "hardware". Avec deux tablettes tactiles, dont le nom de code est Surface, dévoilées lundi soir à Los Angeles, le fabriquant de logiciels change radicalement sa stratégie. [...] Par ailleurs, fin avril, la multinationale de Redmond a investit 300 millions de $ dans Newco, filiale du libraire Barnes & Noble. Dans leur communiqué, les deux entreprises avaient annoncé que nouvelle génération de la liseuse Nook sera elle aussi équipée de Windows 8."

"Amazon has a 78% market share of Hachette Livre e-book titles in the UK and a 60% share in the US, an Investor Day presentation by Hachette Livre has revealed. [...] The report said that 60% of digital sales of Hachette titles are through Amazon in the US, followed by Barnes & Noble with a 19% share and Apple iBooks with a 13% share, while "others" including Kobo and Google share 8% of the pie."

"La plus importante chaîne de librairies des États-Unis annonce un nouveau service d'impression à la demande pour les auteurs, avec l'arrivée de Nook Press Print. Bien entendu, ce dernier se destine avant tout aux écrivains autopubliés, avec une qualité professionnelle d'impression des ouvrages. Et plusieurs autres options."

"Après deux ans à avoir essayé de relancer les supports de lecture numérique Nook, la chaîne de librairies américaine et le géant informatique se séparent."

"La chaîne américaine de librairies Barnes & Noble propose en ce moment d'acquérir à prix réduit la version numérique de tout livre de poche acheté dans une sélection de plus de 70 titres. Pour 5 dollars de plus, l'acheteur pourra obtenir un code de téléchargement utilisable avec la tablette Nook, ou toute autre tablette ou smartphone disposant de l'application dédiée. Cette offre, baptisée Sync Up, est limitée dans le temps, mais elle pourrait bien être renouvelée pour répondre aux besoins en mobilité des lecteurs, qui souhaitent disposer d'une version numérique de leur roman préféré sans avoir à racheter celui-ci au prix fort. L'an dernier, Amazon avait déjà fait un premier pas avec Matchbook, proposant un e-book à moins de 3 dollars pour l'achat d'une œuvre papier. En France, ce type d'offre reste bridé par la loi sur le prix unique du livre numérique, mais le flou juridique qui entoure la possibilité d'une vente couplée papier-numérique pour un prix avantageux pourrait ouvrir la porte à un nouveau mode de commercialisation. Quelques expérimentations ont déjà vu le jour, et si certaines maisons d'édition accusent ce système de brader la valeur du livre numérique, d'autres éditeurs et distributeurs, comme la FNAC, ont déjà manifesté leur intérêt."

"Suite à la procédure entamée par le département de justice américain (DoJ) à l'encontre d'Apple et de quelques éditeurs pour entente illégal sur le prix des livres numériques, 3 des 5 éditeurs incriminés ont décidé de revoir leur façon de fonctionner et ont accepté les conditions édictées par le DoJ. Ils se sont engagés à abandonner les accords avec Apple et à ne pas empêcher les libraires de fixer leurs prix pendant 2 ans ce qui permettra à Amazon et Barnes & Noble et aux autres libraires, de proposer aux clients des promotions importantes."

"L'International Digital Publishing Forum (IDPF) a annoncé le lundi 13 février 2012 le lancement du « projet Readium » visant à développer la dernière version du format EPUB, troisième du nom, pour l'édition numérique. Si la liste des détails est encore clairsemée, celle des entreprises partenaires est d'ors et déjà bien fournie (Google, Barnes & Noble, Sony, Kobo,

"La première chaîne de librairies américaines a perdu 57 millions de dollars sur son activité numérique, alors que ses magasins lui ont rapporté 75 millions de dollars. [...] En dépit d'une progression de 46% des ventes de livres numériques, les pertes de cette activité se sont aggravées en raison des fortes baisses de prix consenties sur la liseuse Nook, produite par la chaîne pour concurrencer le Kindle d'Amazon, de problèmes d'approvisionnement qui ont entraîné des manques à gagner, et d'investissements importants, explique la chaîne."

"Les détaillants comme Amazon et Barnes & Noble recueillent des données sur la façon dont les utilisateurs consomment des livres électroniques sur leurs plateformes : mais, hormis les chiffres de ventes, les éditeurs n'ont la plupart du temps pas accès à ces informations. Hiptype (@hiptype, le blog) se propose de résoudre ce problème en fournissant une plateforme (et un code à insérer dans chaque livre) permettant aux éditeurs d'avoir accès à des données détaillées sur la façon dont les gens lisent leurs livres. Hiptype permet à l'éditeur d'avoir accès à des données sur la sociologie des lecteurs (âge, revenu, localisation...), le comportement de lecture (où les gens démarrent, où ils arrêtent, ce qu'ils passent...) et ce qu'ils partagent (les passages qu'ils soulignent ou ceux sur lesquels ils prennent des notes)."

Deux tables rondes: "L'édition française avec Amazon, Google, Kobo, Barnes et Apple : freins et leviers pour le développement des plateformes françaises de diffusion" et "Pratiques de lecture à l'heure du numérique : comment repenser la promotion et la circulation du livre ?". Dans le cadre de Futur en Seine le vendredi 15 juin 2012 de 14h à 16h.

"Le programme MatchBook annoncé par Amazon il y a quelques semaines est désormais disponible sur le site américain. Il concerne déjà plus de 70.000 titres. Amazon propose des livres numériques vendus à des prix réduits entre 0 et 2,99$ à condition que vous ayez aussi acheté les versions imprimées des mêmes titres. Achats présents, futurs, mais aussi rétroactifs sur des achats réalisés sur Amazon depuis 1995. Bref, des prix personnalisables à la carte selon les lecteurs. La prochaine étape ne pourrait-elle pas être des prix adaptés selon le profil des lecteurs et leurs thématiques d'achats? On imagine aisément la complexité pour Barnes and Noble par exemple, pour déployer un tel service auprès de ses clients dans tous les points de ventes physiques (via Gizmodo : http://www.digitalbookworld.com/2013/kindle-matchbook-bundling-program-now-available-for-over-70000-titles/)."

"Alter ego littéraire de Netflix, le nouveau service de lecture numérique illimitée contre souscription Oyster a été lancé au cours du mois de septembre, tarifé quelque 9,95 $ mensuels, et propose désormais un écosystème de 100.000 ebooks à ses lecteurs que ce soit via tablettes ou smartphones. Mark Coker, PDG de Smashwords, vient de révéler la part de redevance destinée aux auteurs concernés. "Comme un auteur ou un éditeur Smashwords, vous gagnerez 60 % du prix de détail de votre livre à chaque fois qu'un abonné Oyster lit plus de 10 % de votre livre, à partir du début. C'est un modèle auteur-friendly. C'est le même taux que les auteurs Smashwords gagnent quand nous vendons des ebooks à travers les grands détaillants comme Apple et Barnes & Noble"."

"La plupart des distributeurs de livres numériques prélèvent une commission sur les ventes des ebooks qu'ils distribuent. Une plateforme anglaise de distribution tente un autre approche avec un modèle économique qui pourrait s'avérer intéressant notamment pour les petits éditeurs et les auteurs indépendants. Distee, propose à ses clients un prélèvement par 6.99£ par ebook distribué par mois. Cette Start-up s'engage à distribuer les livres numériques publiés dans de grandes Librairies numériques : Amazon, Barnes & Noble, Waterstones, Kobo, Google Play, WHSmith etc. "

Commentaire du Labo de l'édition [https://labodeledition.wordpress.com/2015/06/01/la-veille-du-labo-de-ledition-9-en-breves/] : "Dans un marché aussi récent et effervescent que celui de l'édition numérique, des outils/plateformes/logiciels naissent chaque jour sur la promesse de faciliter le travail et la transition numérique des éditeurs. Cependant, ces entreprises fonctionnent de manière indépendante, offrant une solution calibrée pour un besoin spécifique de la chaîne de production de livres (print ou web). Comment dès lors s'assurer que ces nouveaux services peuvent s'intégrer dans un écosystème informatique existant ? Emma Barnes soulève cette question au demeurant pertinente et promeut ainsi Biblicloud, un outil de gestion et de publication tout-en-un, lauréat en 2013 du Prix de l'Innovation Technique de Futurebook. Son analyse recoupe ainsi celle de Laura Brady, qui encourage les éditeurs à impliquer leurs équipes techniques en amont du processus de publication."

"Le procès Apple contre le DOJ pour entente sur le prix des ebooks se poursuit. A cette occasion, Keith Moerer, directeur d'Apple et directeur livres et musique de 1998 à 2003 a été appelé à la barre. Keith Moerer a témoigné qu'Apple détient aujourd'hui 20% du marché des ebooks aux US. C'est en réalité le double des estimations des analystes. Cela remet en question les estimations sur la répartition du marché dans le pays. Amazon aurait entre 50% et 60%, Barnes & Noble 25%, Kobo et Google entre 1% et 2% chacun. "

"Apple vient à peine d'annoncer son application iBooks pour Mac que l'on apprend que Barnes & Noble compte arrêter ses applications pour PC / Mac."

"La start-up new-yorkaise Oyster tente de rivaliser avec les géants de la librairie numérique Amazon, Apple et Barnes & Nobles. L'entreprise a ouvert, mercredi 8 avril aux Etats-Unis, une boutique de livres électroniques proposant à la carte les catalogues des cinq plus grands éditeurs du pays, ainsi que d'autres plus petites maisons. Selon Oyster, ces accords avec Hachette, HarperCollins, MacMillan, Penguin Random House et Simon & Schuster, incluent les nouveautés et les pré-commandes. La start-up s'était lancée en septembre 2013 avec une application permettant la lecture sans limite d'un ensemble de livres électroniques pour un forfait de 9,95 dollars par mois. Un modèle, calqué sur celui des sites de streaming de musique et de vidéo, qui continuera d'exister parallèlement à la boutique de vente de livres à l'unité. Le service donne aujourd'hui accès à un million de titres. Oyster ne publie pas le nombre de ses abonnés, mais affirme que sa clientèle croit de 20 % par mois. Selon l'entreprise, il se lit plus de 100 millions de pages chaque mois sur son application, compatible avec les appareils mobiles Apple (iPhone et iPad) et Android - contre seulement 8 millions de pages fin 2013."

"Dernière étude de Nielsen qui confirme qu'Amazon détient 57% du marché du livre numérique aux Etats-Unis. Des résultats qui couvrent le troisième trimestre 2014. Derrière suivent Barnes and Noble et Apple avec respectivement 14 et 6%. Des marges de manoeuvre bien difficiles pour les éditeurs, le conflit avec Hachette l'a prouvé. On comprend que des nouvelles offres comme Kindle Unlimited se présentent comme des spectres de la part d'un acteur aussi monopolistique (via Livres-Hebdo)."

"Que ce soit en format EPUB pour les différents types d'appareils, ou en MOBI pour la gamme Kindle, le service permet de réaliser, avec une grande facilité assure-t-on, ses livres numériques. Un procédé qui répondrait aux impératifs des éditeurs d'ebooks, qu'ils soient homothétiques, ou enrichis, mais également des œuvres destinées au e-learning ou la communication d'entreprise. L'assemblage s'opère en trois temps : l'upload d'un fichier Word et des différents médias que l'on souhaite insérer. Le montage s'opère alors automatiquement, et la solution d'édition permet, étape par étape, de construire son fichier. Les solutions pour EPUB 3 sont à destination de l'application iBooks, mais également des appareils Kobo et Barnes & Noble, mais également de la tablette Kindle Fire, en format enrichi KF8."