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Institut Jacques Delors - L'Europe et l'asile : d'un espace de protection à u... - 0 views

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    En octobre 1999, à Tampere en Finlande, les chefs d'État ou de gouvernement européens posaient les jalons de la politique européenne de l'asile. Ils y affirmaient les principes structurant de cette politique à savoir « le droit absolu de demander l'asile », « l'application intégrale et globale de la Convention de Genève » et le respect du « principe de non-refoulement ». Presque 22 ans après, les espoirs forgés en Finlande ont disparu. Lorsque le président de la République française a annoncé le 16 août 2021 « la déstabilisation de l'Afghanistan risque également d'entraîner des flux migratoires irréguliers vers l'Europe (…) Nous devons anticiper et nous protéger contre des flux migratoires irréguliers importants qui mettraient en danger ceux qui les empruntent, et nourriraient les trafics de toute nature », il n'a pas seulement, tout comme ses prédécesseurs, renié les engagements de Tampere au regard du droit d'asile, il a aussi validé un glissement à l'œuvre depuis des années faisant du contrôle des flux migratoires l'axe central des politiques nationales et, par conséquent, de la politique européenne. Pour le dire simplement, les dirigeants européens sont passés en moins de 20 ans de l'objectif de construire un espace européen de protection, pour les personnes fuyant les guerres et les persécutions, à la construction d'un espace protégé, basé sur le renforcement toujours plus important de la frontière extérieure et la tentation de transférer aux pays tiers la gestion des migrations sans toujours considérer la part déjà prise par ces pays dans l'accueil des populations déplacées. Comment en sommes-nous - collectivement - arrivés là ? Plusieurs éléments peuvent, sans prétendre à l'exhaustivité, l'expliquer. Tout d'abord, le développement en parallèle des politiques d'asile et de gestion des frontières a abouti à un paradoxe qui perdure. Les États européen
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Défenseurs des droits - Rapport d'observation : Démantèlement des campements ... - 0 views

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    L'année 2016 a connu des opérations de démantèlement de campements de migrants d'une particulière envergure, à Calais et à Paris. Ces « points de fixation », qui semblent chaque fois se reformer aussi vite qu'ils ont été évacués, apparaissent comme le symptôme de l'échec de la politique européenne d'accueil des réfugiés. A l'automne 2016, le Défenseur des droits a fait usage des pouvoirs qui lui sont dévolus en mandatant sur place des agents chargés d'observer les conditions dans lesquelles se déroulaient les opérations d'évacuation à Calais et à Paris, puis la prise en charge des exilés, qu'il s'agisse des mineurs conduits dans des centres d'accueil et d'orientation des mineurs non accompagnés (CAOMI) ou des adultes dirigés vers des centres d'accueil et d'orientation (CAO). L'objectif du Défenseur des droits était de pouvoir rendre compte de la pertinence des moyens déployés par l'Etat pour garantir la conformité de ces opérations aux obligations de respect des droits fondamentaux qui lui incombent. Le premier constat du Défenseur des droits concerne le manque d'anticipation et d'informations données, dans la préparation des opérations de démantèlement et au cours de celles-ci, par les pouvoirs publics. Le Défenseur des droits déplore aussi les conditions dans lesquelles ont été effectuées les orientations des personnes en fonction d'une minorité ou d'une majorité d'apparence fondées uniquement sur des critères subjectifs. En deuxième lieu, en ce qui concerne la prise en charge des mineurs non accompagnés après l'évacuation de la Lande de Calais, de nombreuses vérifications au sein des CAOMI ont été effectuées par les agents et délégués du Défenseur des droits. Il ressort de leurs constatations qu'il existe une grande hétérogénéité dans les prises en charge de ces mineurs, des équipes recrutées, des relations avec les départements et des informations transmises aux jeunes dans le cadre de leu
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Cet été, suivez le « 4trail of happiness » à travers l'Europe - Mode de vie -... - 0 views

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    "Ils ont décidé de répondre à l'appel du Pape. L'association 4trail of happiness est une équipe de dix jeunes hommes qui, dans la lancée des JMJ de Cracovie, continueront leur périple dans toute l'Europe pour rencontrer les migrants à bord de leurs 4L. Ces étudiants de 20 à 22 ans qui voyagent ensemble chaque année depuis sept ans ont voulu donner un sens particulier à leur été, à l'occasion de l'année de la miséricorde. Nous l'avons entendu, les migrants sont un sujet que le pape François a particulièrement à cœur en cette année si spéciale. Qui sont-ils ? Comment les accueillir ? Qu'attendent-ils de nous ? Autant de questions que se pose l'équipe du 4trail of happiness. « Ne pas avoir peur, aller à leur rencontre, voilà ce que nous demande le Saint-Père », témoigne Paul, l'un des membres du groupe. Pour cela, l'association s'est d'abord adressée au Souverain Pontife dans une lettre, pour lui faire part de son projet et lui demander sa bénédiction apostolique. Les dix étudiants sont aussi allés à la rencontre de quelques Français pour constater que les migrants sont un sujet qui les touchent « de trop loin ». Au plus près des migrants et des réfugiés Munie d'une caméra et d'un drone, l'équipe compte réaliser un reportage tourné dans les six camps qu'elle visitera cet été. Ce matériel servira aussi à alimenter le journal de bord du 4trail qui tient à partager son aventure, notamment grâce à des témoignages filmés et traduits. On y retrouvera des portraits d'hommes et de femmes qui raconteront leur histoire, parleront de leur famille, de leurs origines. Des questions plus larges leur seront aussi posées sur l'éducation et leur rapport à la religion. Ces rencontres auront lieu dans les six camps que l'équipe a ciblés pour son périple : le camp de Timisoara en Roumanie, celui de Diavata en Grèce, un camp ouvert aux volontaires, celui de Lesbos où l'équipe est en
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Assemblée nationale - Commission des lois - Rapport d'information sur l'appli... - 0 views

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    La mission d'information sur l'application de la loi n° 2016-274 du 7 mars 2016 relative au droit des étrangers en France a été créée par la commission des Lois de l'Assemblée nationale le 13 septembre 2017. Elle avait pour objet, un an après l'entrée en vigueur de la loi, de dresser un premier bilan de l'application de ce texte qui a modifié sur plusieurs points, de façon significative, la législation relative à l'entrée et au séjour des ressortissants étrangers sur le territoire français. Ce texte a ainsi généralisé, à l'issue d'une première année de séjour régulier sur le territoire, des titres de séjour pluriannuels ayant une durée comprise entre deux et quatre ans. Il a créé un nouveau titre de séjour, le « passeport talent », avec pour ambition de renforcer l'attractivité de la France auprès des ressortissants étrangers particulièrement qualifiés à un titre ou à un autre. Il a aussi réformé le régime contentieux de la rétention administrative en transférant le contrôle de la légalité de la décision administrative de placement en rétention du tribunal administratif au juge des libertés et de la détention (JLD) et en prévoyant l'intervention de celui-ci aux fins de prolongation de la rétention à l'issue d'un délai de 48 heures, au lieu de cinq jours auparavant. Au-delà du bilan à tirer de l'application de la loi, la mission d'information entendait plus largement dresser un état des lieux concernant le droit des étrangers en France. Compte tenu de l'ampleur du sujet, il n'était pas question pour vos Rapporteurs de prétendre à l'exhaustivité. Ils ont donc décidé de concentrer leurs analyses sur un certain nombre de points majeurs du droit de l'immigration tels que les procédures contentieuses, l'éloignement des étrangers en situation irrégulière, le sort des mineurs étrangers isolés ou encore le séjour des étrangers malades. Ils n'ont en revanche pas f
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Destin commun - Synthèse - La France en quête : Réconcilier une nation divisée - 0 views

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    La France n'a jamais semblé aussi divisée qu'aujourd'hui. Des plateaux de télévision aux réseaux sociaux, dans la rue et parfois même dans nos familles, les polémiques s'enchaînent et les désaccords politiques se transforment en détestations. Les Français déplorent que les moments d'unité du pays soient de plus en plus passagers. Sommes-nous devenus irréconciliables ? Experts, politiques, sont nombreux à le croire, mais pas nos concitoyens : ils ont conscience du danger que font courir ces divisions à l'avenir du pays. C'est le constat que nous tirons d'une grande enquête menée tout au long de l'année 2019 avec l'Institut de sondage Kantar, auprès de 6000 personnes. Plus de huit Français sur dix pensent qu'on doit se serrer les coudes et faire face aux problèmes ensemble. Ni l'entre-soi ni le chacun pour soi ne sont une solution : nous avons besoin d'écrire l'avenir ensemble. Pour Destin Commun, cette étude est un point de départ : elle est à la disposition de ceux qui cherchent à faire émerger une communauté de destin. Né en 2017, notre laboratoire d'idées et d'actions veut contribuer à bâtir une société plus soudée, dont les membres sont convaincus que ce qui les rassemble est plus fort que ce qui les divise. Notre rapport confirme que nous vivons comme les branches d'une famille éloignée, avec des valeurs, des codes et des grilles de lecture parfois radicalement différents. Certes, les bulles dans lesquelles nous vivons ne sont pas étanches : il arrive que des fronts communs surgissent et que des coalitions de circonstance se nouent. Du mouvement des Gilets Jaunes aux marches pour le climat, des voix parfois très éloignées les unes des autres s'entendent et se font entendre ensemble. Mais nous avons des difficultés à prendre en compte des aspirations et des intérêts qui ne sont pas les nôtres. Nous avons tendance à parler à la place des autres et à projeter sur eux nos propre
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Destin commun - Rapport complet - La France en quête : Réconcilier une nation... - 0 views

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    La France n'a jamais semblé aussi divisée qu'aujourd'hui. Des plateaux de télévision aux réseaux sociaux, dans la rue et parfois même dans nos familles, les polémiques s'enchaînent et les désaccords politiques se transforment en détestations. Les Français déplorent que les moments d'unité du pays soient de plus en plus passagers. Sommes-nous devenus irréconciliables ? Experts, politiques, sont nombreux à le croire, mais pas nos concitoyens : ils ont conscience du danger que font courir ces divisions à l'avenir du pays. C'est le constat que nous tirons d'une grande enquête menée tout au long de l'année 2019 avec l'Institut de sondage Kantar, auprès de 6000 personnes. Plus de huit Français sur dix pensent qu'on doit se serrer les coudes et faire face aux problèmes ensemble. Ni l'entre-soi ni le chacun pour soi ne sont une solution : nous avons besoin d'écrire l'avenir ensemble. Pour Destin Commun, cette étude est un point de départ : elle est à la disposition de ceux qui cherchent à faire émerger une communauté de destin. Né en 2017, notre laboratoire d'idées et d'actions veut contribuer à bâtir une société plus soudée, dont les membres sont convaincus que ce qui les rassemble est plus fort que ce qui les divise. Notre rapport confirme que nous vivons comme les branches d'une famille éloignée, avec des valeurs, des codes et des grilles de lecture parfois radicalement différents. Certes, les bulles dans lesquelles nous vivons ne sont pas étanches : il arrive que des fronts communs surgissent et que des coalitions de circonstance se nouent. Du mouvement des Gilets Jaunes aux marches pour le climat, des voix parfois très éloignées les unes des autres s'entendent et se font entendre ensemble. Mais nous avons des difficultés à prendre en compte des aspirations et des intérêts qui ne sont pas les nôtres. Nous avons tendance à parler à la place des autres et à projeter sur eux nos propre
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Défenseur des droits - Dossier de presse - Rapport annuel d'activité - 0 views

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    "(...) Pour autant, et le présent rapport y est largement consacré, l'accès au droit a tendance à reculer dans notre pays. La grande enquête en population générale réalisée au printemps dernier, dont nous exploitons désormais les résultats détaillés, le démontre amplement. Le non-recours au droit est un phénomène majeur dans notre société. Il s'explique par un certain retrait du service public et particulièrement une réduction des fonctions d'accueil, d'orientation et d'assistance, au profit de procédures numérisées. C'est ainsi que le Défenseur des droits se trouve chargé de rendre effectifs les droits des publics les plus vulnérables, en particulier les plus pauvres, âgés ou handicapés, qui subissent encore davantage ce recul du service public. Plus profondément, les inégalités entre individus et groupes produisent ellesmêmes ce phénomène de nonrecours. On le voit en particulier en ce qui concerne la lutte contre les discriminations. Dans la réalité, elles perdurent ; une proportion réduite de celles et ceux qui les subissent les ressentent comme telles, et un nombre encore plus faible s'adresse à l'une des voies de recours ouvertes par le droit positif. La faiblesse des politiques publiques de lutte contre les discrminations depuis des décennies n'est pas étrangère à la méconnaissance des réalités et à l'ignorance des procédures. L'intervention, en toute fin de quinquennat, de la loi Égalité et citoyenneté, et les avancées contenues dans la loi de modernisation de la justice, auxquelles le Défenseur des droits a fortement contribué, n'auront pas permis de rattraper le retard. Et d'autant moins que la conduite de la lutte contre les discriminations au sein de la politique de la ville est sûrement une avancée pour les quartiers prioritaires, mais semble laisser en jachère une véritable action de lutte contre les discriminations en tous lieux, pour toutes et pour tous. L'actualité terrible de 2016 a é
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Défenseur des droits - Rapport intégral - Rapport annuel d'activité - 0 views

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    "(...) Pour autant, et le présent rapport y est largement consacré, l'accès au droit a tendance à reculer dans notre pays. La grande enquête en population générale réalisée au printemps dernier, dont nous exploitons désormais les résultats détaillés, le démontre amplement. Le non-recours au droit est un phénomène majeur dans notre société. Il s'explique par un certain retrait du service public et particulièrement une réduction des fonctions d'accueil, d'orientation et d'assistance, au profit de procédures numérisées. C'est ainsi que le Défenseur des droits se trouve chargé de rendre effectifs les droits des publics les plus vulnérables, en particulier les plus pauvres, âgés ou handicapés, qui subissent encore davantage ce recul du service public. Plus profondément, les inégalités entre individus et groupes produisent ellesmêmes ce phénomène de nonrecours. On le voit en particulier en ce qui concerne la lutte contre les discriminations. Dans la réalité, elles perdurent ; une proportion réduite de celles et ceux qui les subissent les ressentent comme telles, et un nombre encore plus faible s'adresse à l'une des voies de recours ouvertes par le droit positif. La faiblesse des politiques publiques de lutte contre les discrminations depuis des décennies n'est pas étrangère à la méconnaissance des réalités et à l'ignorance des procédures. L'intervention, en toute fin de quinquennat, de la loi Égalité et citoyenneté, et les avancées contenues dans la loi de modernisation de la justice, auxquelles le Défenseur des droits a fortement contribué, n'auront pas permis de rattraper le retard. Et d'autant moins que la conduite de la lutte contre les discriminations au sein de la politique de la ville est sûrement une avancée pour les quartiers prioritaires, mais semble laisser en jachère une véritable action de lutte contre les discriminations en tous lieux, pour toutes et pour tous. L'actualité terrible de 2016 a é
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N° 3980 - Rapport d'information de M. Alexis Bachelay sur la mise en œuvre de... - 0 views

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    "Le 20 novembre 2012, la Conférence des présidents a créé, sur proposition du Président Claude Bartolone, une mission d'information sur les immigrés âgés originaires des États tiers à l'Union européenne. Après plus de six mois de travaux, une trentaine d'auditions - dont celles de plusieurs ministres - et plusieurs déplacements en France et à l'étranger -, la mission a déposé son rapport le 2 juillet 2013 (1). Le 10 février dernier, en application de l'article 145-8 du Règlement de notre Assemblée, la Commission des affaires sociales a chargé le rapporteur - qui était également celui de la mission d'information - d'assurer le suivi de ses conclusions. En réalité, le rapporteur n'a jamais cessé de suivre la question des immigrés âgés depuis 2013, conjointement avec d'autres membres de la mission ; il a notamment fait adopter des amendements mettant en œuvre certaines préconisations relevant du domaine de la loi, mais aussi relancé par courrier les autorités compétentes pour la mise en œuvre des mesures relevant du domaine réglementaire. Le rapport d'information de juillet 2013 était le premier - et à ce stade le seul - travail parlementaire d'ensemble sur la question des immigrés âgés ; logiquement, il portait donc l'ambition d'embrasser tous les sujets, et formulait en conséquence un grand nombre de propositions (82). Afin d'avoir une vue d'ensemble sur la mise en œuvre de ces propositions, partagée avec le Gouvernement, le rapporteur a adressé au Premier ministre, à la fin du mois de février, un tableau en dressant la liste, afin que les services compétents puissent indiquer les avancées réalisées depuis près de trois ans, et expliquer le cas échéant le statu quo. Malheureusement, aucune réponse détaillée n'a pu être produite dans les délais impartis. Si cette vision d'ensemble est utile, il ne s'agit pas, dans le présent rapport, de revenir sur chacune
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Nantes - La foi des voyageurs - YouTube - 0 views

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    "Exposition photographique au Passage Sainte-Croix A l'occasion de l'Expo flash / La foi des voyageurs au Passage Sainte-Croix 9, rue de la Bâclerie, 44000 Nantes du 9 décembre au 7 janvier. Le reportage vidéo réalisé en lien avec la pastorale des gens du voyage, qui accompagne l'exposition photo a été réalisée lors de la venue en Loire-Atlantique de la statue de bois Notre-Dame des gitans, qui voyage à travers la France. Les clichés présentés dans cette exposition ont été réalisés en février 2020, en Loire-Atlantique, lors de différents temps forts autour de Notre-Dame des Gitans. La statue de bois, sculptée par un des leurs, voyage à travers la France sous la bienveillance des Gens du voyage. De foyer en foyer, le père Christophe Sauvé, aumônier, a organisé des temps de prière et célébré des baptêmes, qui ont été l'occasion de recueillir quelques expressions d'une foi qui rassemble les générations et irrigue toute la vie de cette communauté. Dans cette « pastorale du cœur », les Gens du voyage sont spontanément proches de la Vierge Marie, « leur maman du ciel ». Elle est la jeune fille qui prend tous les risques dans une confiance absolue en Dieu. Elle est la femme qui enfante le fils de Dieu, l'allaite, l'élève, le guide dans ses premiers pas. Elle est la mère toujours présente qui nous invite à suivre, connaître et aimer Jésus. Enfin, elle est présente jusqu'au pied de la croix où elle recueille le corps de son fils rejeté. Dans ces familles où le rôle de la maman est central, il est naturel de s'adresser à Marie qui comprend notre indignité humaine et qui est si proche de Dieu. Dans leur chant, les Gens du voyage implorent Marie, sainte compagne sur les chemins de leur rude vie. « Pour rester catholiques, on s'accroche à Marie qui nous entraîne vers Jésus. » Dans cette population où les communautés évangéliques sont florissantes, il est souvent difficile de vivre sa foi catholiq
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Premier ministre - Rapport Taché : 72 propositions pour une politique ambitie... - 0 views

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    Doubler le nombre d'heures de français, permettre aux demandeurs d'asile de travailler... Le député Aurélien Taché a remis lundi au Premier ministre un rapport qui parie sur des mesures fortes pour améliorer l'intégration des réfugiés. Ces recommandations, détaillées dans l'après-midi à Lyon en présence du Premier ministre, Sur l'intégration, un sujet "sensible, voire miné", le député LREM Aurélien Taché est parti d'un "constat unanime": "l'insertion linguistique, économique et sociale des personnes que nous accueillons est insuffisante". Son rapport énumère 72 propositions "pour une politique ambitieuse d'intégration des étrangers arrivant en France", en privilégiant une approche "volontairement pragmatique", afin de "transformer en parcours d'intégration ce qui peut aujourd'hui parfois s'apparenter à un parcours du combattant". Pour faciliter l'intégration, M. Taché propose de partir du Contrat d'intégration républicaine (CIR), dispositif associant langue et formation civique, mais en doublant le volume de cours "à 400 heures minimum", voire "600 pour les publics les plus éloignés du français". Pour "connaître la France et s'approprier les valeurs civiques", le rapport suggère de porter à 60 heures (au lieu de 12) la partie civique et d'enrichir le CIR d'un "volet d'insertion professionnelle". Il faudrait aussi "démarrer l'apprentissage du français dès la période de demande d'asile" pour les personnes dont on est sûr qu'elles obtiendront le statut de réfugié. En effet, l'attente, qui dure des mois, représente une période d'inactivité "extrêmement préjudiciable" pour les demandeurs "comme pour la société", note le député. Dans la même logique, il propose d'autoriser les demandeurs d'asile "à travailler six mois après le dépôt" de leur dossier (au lieu de neuf), voire "plus tôt dans le cas d'un examen au cas par cas", ce qui rapprocherait la France de l'Allemagne, où le travail est autorisé au bout de
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Institut Montaigne / Terra Nova - Note - Droit d'asile européen : retrouver u... - 0 views

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    "La gestion du droit d'asile a révélé, ces dernières années, un grave défaut d'efficacité et de solidarité au sein de l'Union européenne (UE). Les règles édictées il y a près de trente ans et inscrites aujourd'hui dans le règlement de Dublin ont démontré leur insuffisance. Prétendre laisser aux seuls pays de première entrée dans l'Union la charge d'examiner les dossiers des demandeurs d'asile, c'est abandonner aux "États frontières" de l'UE (Italie, Grèce, Hongrie…) la responsabilité politique, administrative et opérationnelle de flux croissants au rythme de crises humanitaires et géopolitiques multiples. Une telle croissance du nombre de demandeurs n'avait pas été anticipée lorsque furent jetées les bases des procédures européennes actuelles. Résultat, lorsque les demandes d'asile ont explosé, les pays de "première ligne" ont été largement abandonnés à leur sort, y compris par la France qui s'est même permise de fermer la frontière franco-italienne. Cette absence de solidarité s'est doublée d'une absence d'efficacité, puisque les candidats qui auraient dû, en application du règlement de Dublin, être reconduits dans le pays de première entrée, ne l'ont été en réalité que très rarement. L'absence de coordination des politiques nationales de l'asile a par ailleurs conduit à une inadmissible "loterie". Un même demandeur voit ses chances de succès varier très sensiblement selon son pays d'origine, l'État auquel il s'adresse et la date où il le fait. Le même Afghan, qui aurait déposé sa demande en Hongrie, en Allemagne ou en France, en septembre 2015, janvier 2016 ou mai 2017, aurait vu des chances de succès varier de 10 à 90 %. La Convention de Genève, unique, donne lieu à 27 interprétations divergentes et fluctuantes ! Ces dysfonctionnements, conjugués à l'impossibilité fréquente de renvoyer les déboutés du droit d'asile, faute d'accords de réadmission avec leurs pays d'origine, ont conduit
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Institut Montaigne / Terra Nova - Synthèse - Droit d'asile européen : retrouv... - 0 views

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    "La gestion du droit d'asile a révélé, ces dernières années, un grave défaut d'efficacité et de solidarité au sein de l'Union européenne (UE). Les règles édictées il y a près de trente ans et inscrites aujourd'hui dans le règlement de Dublin ont démontré leur insuffisance. Prétendre laisser aux seuls pays de première entrée dans l'Union la charge d'examiner les dossiers des demandeurs d'asile, c'est abandonner aux "États frontières" de l'UE (Italie, Grèce, Hongrie…) la responsabilité politique, administrative et opérationnelle de flux croissants au rythme de crises humanitaires et géopolitiques multiples. Une telle croissance du nombre de demandeurs n'avait pas été anticipée lorsque furent jetées les bases des procédures européennes actuelles. Résultat, lorsque les demandes d'asile ont explosé, les pays de "première ligne" ont été largement abandonnés à leur sort, y compris par la France qui s'est même permise de fermer la frontière franco-italienne. Cette absence de solidarité s'est doublée d'une absence d'efficacité, puisque les candidats qui auraient dû, en application du règlement de Dublin, être reconduits dans le pays de première entrée, ne l'ont été en réalité que très rarement. L'absence de coordination des politiques nationales de l'asile a par ailleurs conduit à une inadmissible "loterie". Un même demandeur voit ses chances de succès varier très sensiblement selon son pays d'origine, l'État auquel il s'adresse et la date où il le fait. Le même Afghan, qui aurait déposé sa demande en Hongrie, en Allemagne ou en France, en septembre 2015, janvier 2016 ou mai 2017, aurait vu des chances de succès varier de 10 à 90 %. La Convention de Genève, unique, donne lieu à 27 interprétations divergentes et fluctuantes ! Ces dysfonctionnements, conjugués à l'impossibilité fréquente de renvoyer les déboutés du droit d'asile, faute d'accords de réadmission avec leurs
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IFRI - La participation des personnes exilées: des pistes pour repenser l'int... - 0 views

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    La notion de participation n'est pas nouvelle. Elle a été largement étudiée dans le domaine de l'action sociale et de la lutte contre la pauvreté et est au cœur de nombreuses expérimentations. Comment appliquer cette notion de participation, telle qu'elle est décrite pour les personnes en situation de pauvreté, à des personnes exilées ? La participation des réfugiés et des migrants présente-t-elle des spécificités ? L'objectif de cette étude est de faire le point sur la question de la participation des réfugiés et des migrants qui est très souvent évoquée mais ne fait l'objet d'aucune étude systématique en France. Salariés, professionnels, bénévoles, militants, bénéficiaires de programmes investis dans leur animation, responsables associatifs, représentants de collectivités locales et d'institutions et créateurs d'associations ayant l'expérience de la migration ont été interrogés. Ils ont décrit les expériences de participation des réfugiés et des migrants à l'œuvre dans leurs structures, les motivations de celles et ceux qui les mettent en place et les difficultés rencontrées. Si la conviction de nombreuses structures (associations, collectifs, collectivités locales) est que la participation des personnes exilées est essentielle à la réussite des programmes et des politiques publiques, encore peu d'initiatives sont forgées avec elles et à partir de leur expertise. Les programmes d'accueil et d'intégration proposés aux nouveaux arrivants sont souvent pensés en amont, par des personnes qui n'ont pas l'expérience de la migration, sans associer les personnes exilées. La participation des personnes exilées connaît de nombreux freins et limites. Cette étude propose également de recenser des éléments méthodologiques sous la forme de conseils à destination des acteurs de terrain. Ces éléments permettront de dégager des pistes pour surmonter les difficultés rencontrées dans
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Fondation Jean-Jaurès - Et si l'on donnait sa chance à cette jeunesse qui rêv... - 0 views

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    "Est-il possible de développer une nouvelle approche des enjeux migratoires, fondée sur la réalité des parcours migratoires contemporains ? Étienne Longueville, bénévole dans un collectif de soutien aux réfugiés et migrants en Bretagne, fait des propositions à destination des pouvoirs publics pour des solutions humaines, justes et efficaces. Depuis près de trente ans, la doctrine Rocard dicte notre politique migratoire : « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde[1]. » Fin du débat[2]. Répété sans cesse, ce verdict traduit une paresse intellectuelle, comme si les logiciels de pensée étaient restés figés en 1990. Côté gouvernement, peut-on vouloir rendre la France attractive, lutter contre l'assignation, attirer les ambitieux et, dans le même temps, laisser aux portes de l'Europe des jeunes qui s'identifient à ce président français audacieux, qui brise les règles anciennes, au point de se désigner parfois entre eux comme « la génération Macron[3] » ? Côté opposition de gauche, peut-on vouloir régulariser les clandestins tout en étant opposé sur le principe à la liberté de circulation ? Peut-on se satisfaire du fait que le renouveau intellectuel sur les enjeux migratoires est porté par l'Église[4] plutôt que par les partis républicains ? Le projet de loi sur l'immigration prévue pour 2018 garde cette approche binaire consistant à distinguer « réfugiés » et « migrants économiques », en partant des raisons de la mise en mouvement plutôt que du désir d'intégration. Ainsi, le gouvernement veut doubler le temps de présence en centre de rétention, jusqu'à 90 jours, pour favoriser les départs[5]. Attention, spoiler : cela ne marchera pas, il en coûtera simplement plus cher au contribuable. La politique de répression migratoire constitue un puits sans fond, inefficace et inefficient. Elle encourage un système parallèle qui broie des hommes. Plus de 10 000 personnes sont mortes e
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Angleterre : la peine d'un violeur dépend de l'origine de sa victime | Causeur - 0 views

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    "Dans une décision sans précédent, la Cour criminelle de Londres a reconnu une nouvelle catégorie de préjudice : la perte de valeur sur le marché matrimonial. Les juges de la Couronne ont admis que deux très jeunes filles, victimes de viol, ont perdu de ce fait la perspective d'un bon mariage, ce qui constitue une circonstance aggravante… Les faits remontent à quelques années. Jamal Muhammed Raheem Ul Nasir, 31 ans, originaire du West Yorkshire, a été condamné fin 2014 par la Cour criminelle de Leeds à quatre et trois ans de prison ferme pour deux viols sur mineures de 9 et 14 ans. A peine revenu de la surprise d'un jugement aussi clément - quatre et trois ans pour viols et agressions sexuelles contre deux gamines !- on apprend avec stupeur que cette peine a été alourdie par une circonstance aggravante : les victimes étaient Asiatiques et leurs pères craignaient de ne plus pouvoir les marier correctement au sein de leur communauté. L'avocat de la défense a interjeté appel contre cette décision, mais la cour criminelle de Londres est venue confirmer hier la décision de première instance, invoquant une « honte particulière dans la communauté asiatique ». Du point de vue du Droit, cela veut dire que violer une gamine appartenant à une communauté dont la virginité de la mariée est une condition sine qua non d'un mariage « coûte » plus cher que de violer une jeune fille lambda. On croit rêver. Il est vrai qu'en France, il existe une aggravation de la peine pénale due au constat de l'intention raciste du crime. Mais ce n'est pas le cas en l'espèce. Le viol n'a pas été commis contre ces deux jeunes filles parce qu'elles étaient asiatiques. Malgré cela, la réparation pénale est plus importante. Alexandre Cuignache, avocat au barreau de Paris nous rassure : « En France, il est possible d'imaginer en droit civil des circonstances aggravantes du fait de la souffrance morale particulière de la communa
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INVS - Bulletin épidémiologique hebdomadaire : La santé et l'accès aux soins ... - 0 views

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    Dans son édition du 5 septembre 2017, le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) présente plusieurs études sur l'état de santé des migrants les plus précaires. Les différents travaux mettent en relief la nécessité d'un meilleur accès aux soins pour ces populations. De nombreux facteurs de vulnérabilité Les données recueillies par les différentes enquêtes soulignent l'extrême fragilité sociale de certaines populations migrantes. S'agissant des exilés, installés dans les camps de fortune (Grande Synthe, Calais, Paris), le Comité pour la santé des exilés (Comede) souligne le cumul de facteurs de vulnérabilité : faibles ressources financières, absence de logement et d'hébergement, précarité du séjour, défaut de protection maladie, obstacles linguistiques, difficultés d'accès à l'alimentation, isolement et situation de détresse sociale. S'y ajoutent des traumatismes résultant en premier lieu des causes ayant provoqué leur départ, ainsi que des conséquences immédiates de l'exil. 62% des quelque 5 000 personnes reçues en consultation médicale par l'association entre 2012 et 2016, originaires pour la grande majorité d'Afrique et d'Asie du Sud, ont été victimes de violence, 14% de torture et 13% de violences liées au genre et à l'orientation sexuelle (viols, mariages forcés, excisions, etc.) Des troubles surreprésentés Dans les camps, les pathologies infectieuses sont très présentes, notamment les infections respiratoires aiguës, les syndromes grippaux et la gale. Des épisodes épidémiques ont été détectés qui ont donné lieu, pour les limiter, à des campagnes de vaccination contre la rougeole, la varicelle et la grippe. De très nombreuses violences subies sont aussi rapportées. Ces constats sont également ceux établis dans les permanences d'accès aux soins de santé pour les immigrés sans domicile et sans couverture maladie présents en France depuis moins d'un an. Dans
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Retour sur photo - France Catholique - 0 views

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    "Faut-il revenir sur la photo insoutenable d'un petit garçon, Aylan Kurdi, qui a fait sans doute le tour de la Terre ? Il est possible qu'elle reste dans les annales à l'instar de certaines photos qui suffisent à illustrer une page d'histoire, telle celle de l'enfant du ghetto de Varsovie. Mais j'ai sous les yeux deux argumentations contradictoires, l'une émanant d'un sociologue que j'estime beaucoup, Jean-Pierre Le Goff interrogé par Le Figaro, l'autre de Benoît Hopquin qui explique dans Le Monde, pourquoi son journal a décidé de publier la photo à la une. Nous nous trouvons devant deux logiques contradictoires qu'il est intéressant de mettre en vis-à-vis. D'un côté, Jean-Pierre Le Goff proteste contre un chantage émotionnel qui « suscite moins une prise de conscience - qui suppose précisément la capacité d'un recul réflexif - qu'un sentiment d'impuissance et de culpabilité malsaine ». De l'autre, Benoît Hopquin démontre exactement la thèse inverse. Il s'agirait de réveiller la conscience d'une France résolument sourde aux réalités tragiques et ne voulant rien voir de la détresse « de ces gamins et ces gamines ballotés sur les routes de l'exode, ces corps exténués, traînés par leurs parents, ces minuscules tas dormant à même le sol d'une gare ou le fond d'un bateau ». J'avoue qu'entre les deux interprétations je balance, sans être sûr de trouver le juste équilibre. Oui, il est dangereux de jouer sur l'émotionnel pur. Oui, il est périlleux de jouer sur la corde de la culpabilisation. Qui est coupable dans la mort du petit garçon ? Mais par ailleurs, il est parfois nécessaire de frapper un grand coup, non pour manipuler les esprits, mais les éveiller. Les éveiller en suscitant une réflexion. Je crains qu'une nouvelle fois on aboutisse au face-à-face des incompréhensions et des reproches mutuels. Reste l'hypothèse d'un débat public où l'on pourrait repren
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A Calais, les migrants entre rumeurs et solutions désespérées - L'Express - 0 views

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    "L'ouverture de nouvelles places d'hébergement en dur et l'affichage de fermeté du gouvernement ont permis de réduire la tension à Calais. Mais pour combien de temps ? Les dernières armoires sortent du camion et rejoignent sous une pluie battante la rangée de containers à équiper. A l'intérieur, douze lits, douze rangements et douze prises électriques. Les sanitaires et les salles communes sont un peu plus loin. Dans quelques heures, ce mardi 9 février, la commission de sécurité donnera son feu vert à l'ouverture de 750 nouvelles places d'accueil en dur pour les migrants de Calais. Ce Centre d'accueil provisoire (CAP), géré par l'association Vie active, propose déjà 750 places depuis novembre. Financé par l'Etat, il complète l'accueil de jour, ouvert début 2015, dans l'ancien centre de loisirs de Calais Jules Ferry et des places destinées aux femmes et aux enfants. Convaincre encore et toujours Installé au coeur de la jungle - il a fallu déplacer des cabanons et des installations de fortune pour libérer du terrain -, il vise à offrir des conditions décentes aux personnes les plus fragiles. Mais aussi à tenter de les convaincre que le passage en Grande-Bretagne n'est pas la seule solution. Mais dans la lande, rien n'est simple et la tension toujours vive. Ainsi, pour pénétrer dans l'espace sécurisé où sont posés les containers, les migrants doivent composer un code et donner l'empreinte de leur main. La mesure a vocation à ne pas laisser les passeurs prendre le contrôle du CAP. PUBLICITÉ inRead invented by Teads Très vite, pourtant, le bruit a couru qu'il s'agissait de relevés d'identité et d'empreintes digitales, que les migrants qui s'y rendraient seraient contraints de rester en France et devraient renoncer à leur rêve de Grande-Bretagne. Finalement, 700 personnes se sont laissé convaincre par l'association Vie active de rejoindre l'une des places de la première tranche, mais il a fallu argumenter encore et encore
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BVA - Sondages : L'apport économique des étudiants étrangers en France - 0 views

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    "Pour mieux cerner l'apport économique des étudiants étrangers à la vie du pays, Campus France a mené une étude en ligne auprès d'un échantillon représentatif de 4 200 étudiants. Le terrain a été confié à l'institut BVA qui a développé une plateforme permettant de répondre au questionnaire en français, en anglais, en espagnol et en chinois. Afin de corriger les écarts avec la population de référence, un redressement a été effectué sur 4 critères retenus pour leur pertinence : origine géographique de l'étudiant (9 zones), type d'établissement supérieur fréquenté (6 types), niveau d'études (4 niveaux), bénéficiaires de bourses du gouvernement français (2 profils). Les principaux enseignements de cette étude : - Un bilan économique qui est globalement favorable à la France - Une dépense importante pour chaque étudiant, qui demande des efforts financiers - La majorité d'entre eux (65 % à 85 %) deviennent à l'issue de leur séjour d'études des consommateurs et prescripteurs : de produits français ; d'études en France ; de relations avec les entreprises françaises ; de tourisme en France. La plupart des non francophones terminent leur séjour en ayant nettement progressé dans la maîtrise de la langue française et souhaitent garder des contacts avec la France. Au total, il apparaît nettement qu'en accueillant les étudiants étrangers, l'État français bénéficie d'une importante entrée de flux financiers générant un solde financier positif. Accueillir des étudiants étrangers est donc pour la France une source de richesses immédiates, mais aussi une source de prospérité économique et d'influence diplomatique à long terme. Retrouvez en pièce jointe une note avec le détail et la synthèse des résultats de l'étude."
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