"Car cette réponse a été essentiellement technique. Elle révèle en fait une sorte d'hémiplégie mentale. L'être humain n'a été vu qu'à travers son corps mortel, pour lequel seule la science peut quelque chose : si possible, lui garantir la vie. Or si l'être humain avait été reconnu aussi dans sa dimension spirituelle, nous aurions pu encourager la capacité de tout un chacun à penser la mort, à s'approprier sa mort. Si nous ne mourrons pas tous du Covid-19, nous mourrons tous un jour. Se demander en quoi cette certitude engage à repenser le sens de la vie, c'est enfreindre un interdit de notre modernité pour qui la vie n'a pas de sens défini. La mort y est, elle, un tabou qui évoque l'échec des sciences médicales, l'impuissance de l'humanité à se donner la vie à elle-même. Acceptons de briser le tabou : nous pourrons alors comprendre que, si l'homme est apte à penser sa mort, c'est précisément là que paraît son humanité. L'homme ne s'humanise pas en défiant techniquement la mort, mais en l'intégrant spirituellement. Toute la féconde sève du christianisme est là. Malheureusement, notre société n'est pas disposée à le reconnaître facilement."
"D'après un communiqué paru le vendredi 19 juin en début de soirée par le Diocèse de Coutances, les six évêques de Normandie ont créé un Institut normand de sciences religieuses (INSR) qui ouvrira ses portes en septembre 2020 à Caen et à Rouen. " [RDP du 22 juin 2020]
"Les "signes de Dieu" font partie de la piété populaire, mais du fait des progrès de la science, l'Eglise assure être plus rigoureuse avant d'authentifier des miracles."
"Dans le cadre du Carême 2017 qui se profile, l'Enseignement Catholique organise, en lien avec la paroisse du Christ-Roi (Toulouse), deux conférences où science et foi se conjuguent."
"Polluer le moins possible de son vivant, mais aussi après sa mort ? Ce souhait est celui d'un nombre croissant de Français… Inhumation ou crémation ? Cercueil en bois ou en carton ? Alors que les mentalités changent, de rares villes commencent à se doter de cimetières "bio". Le point sur le vrai impact écologique de ces pratiques.
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"À l'occasion de sa béatification par l'Église, le cœur de Pauline Jaricot, morte en 1862, a été expertisé. Son état exceptionnel de conservation reste une énigme pour les scientifiques."
"Le 28 août, le tombeau de sainte Thérèse d'Avila a été rouvert, pour constater que l'état de conservation de son corps n'avait pas été altéré depuis 1914. Quelle est la signification d'un tel phénomène ? Qu'en dit l'Église ? La science parvient-elle à l'expliquer ?"
"Depuis l'avènement d'un esprit scientifique souvent positiviste, le discours contemporain semble avoir assimilé l'évidence d'une crédulité religieuse incompatible avec une saine raison. Pourtant, loin de rejeter la rationalité, le christianisme, en particulier, s'est construit sur la foi en un Dieu-Logos (Jean, 1, 1), constituant par la suite une apologétique (défense raisonnée de la foi) explorant les raisons de croire. Le face à face entre foi et raison est-il ainsi, au fond, un face à face de la raison avec elle-même sous le double visage de la science et de la religion. La foi face à la raison n'est-elle peut-être pas face à son autre comme le croit souvent trop rapidement le monde contemporain..."
"Jean-Christian Petitfils, docteur en Sciences Politiques, historien et catholique pratiquant, revient sur le sens de la prière pour la France le 15 août, ainsi que sur la consécration du pays et la dévotion à la Reine du Ciel."
""Le fait que le prêtre soit tourné vers l'autel durant la prière liturgique affaiblit le geste d'offrande commune de l'Eucharistie par le prêtre et la communauté". Tel est le constat de Martin Klöckener, professeur de sciences liturgiques à l'Université de Fribourg. Il réagit pour kath.ch au récent appel aux prêtres du cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, de célébrer "ad orientem"."
"L'art de célébrer la liturgie de Vatican II Flyer-1
Après 50 ans de mise en œuvre de la constitution sur la liturgie, il est pertinent de (re)lire à l'aune des différents domaines de la vie intellectuelle (philosophie, théologie, sciences-humaines et sociales, médecine, arts et lettres…) les fondements de la restauration de la liturgie voulue par les pères du concile."
"À l'occasion d'une conférence théologique sur « les sciences bibliques contemporaines et la Tradition de l'Église », qui s'est tenue du 26 au 28 novembre à Moscou, le patriarche Kirill de Moscou a plaidé en faveur d'une adaptation de la traduction de la Bible en russe moderne, mais sur la base d'un intense travail intellectuel."
"L'Esprit-Saint est « le don de Dieu » par excellence (cf. Jn 4,10), un cadeau de Dieu et, à son tour, il communique divers dons spirituels à celui qui l'accueille. L'Église en distingue sept : un nombre qui exprime symboliquement la plénitude, la complétude ; on les apprend lorsqu'on se prépare au sacrement de la Confirmation et on les invoque dans l'antique prière que l'on appelle « Séquence à l'Esprit-Saint » : sagesse, intelligence, conseil, force, science, piété et crainte de Dieu."
"Après 50 ans de mise en œuvre de la constitution sur la liturgie, il est pertinent de (re)lire à l'aune des différents domaines de la vie intellectuelle (philosophie, théologie, sciences-humaines et sociales, médecine, arts et lettres…) les fondements de la restauration de la liturgie voulue par les pères du concile.
En ouverture de ce colloque qui se tiendra à la Maison diocésaine, le P. Kim en Joong, dominicain, peintre, présentera son œuvre et témoignera de son travail et de ses recherches.
Plusieurs intervenants se succèderont :
frère Daniel Bourgeois,
Denis Coutagne,
Marie-Jeanne Coutagne,
Jean-Noël Dumont,
P. Pierre Dumoulin,
Andrea Grillo,
P. Bernard Maitte,
P. Xavier Manzano,
P. Jacques Rideau,
P. Christian Salenson,
Roxana Teleman."
"« La vie consacrée montre qu'il est possible de vivre tous les jours ce que, d'une manière particulière, les chrétiens sont appelés à vivre pendant le carême » : en d'autres termes, elle montre que « donner la première place à Dieu est possible, toujours », souligne Mgr Follo.
Mgr Francesco Follo, Observateur permanent du Saint-Siège à l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), à Paris, livre aux lecteurs de Zenit une réflexion sur le carême 2015, année vécue sous le signe de la Vie consacrée."
"Mettre en lien confesseurs disponibles et pénitents en recherche d'un prêtre, c'est l'idée toute simple et si pratique de l'appli Geoconfess, encore dans les cartons. Découvrez le premier teaser de l'Uber de la confession !"
"Conférence de Carême à la cathédrale
avec Philippe Gagnon et Pierre Perrier
Les corps incorruptibles des saints
Pour un dialogue entre la science et la foi "