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"La réforme pénale, portée par la garde des Sceaux Christiane Taubira et promulguée en août dernier, comprend entre autres mesures la suppression des peines planchers. « Un dispositif qui n'a pas fait ses preuves », insiste Me Hellenbrand, bâtonnier de l'Ordre des avocats à Thionville, statistiques à l'appui. La peine plancher a été mise en place en août 2007 sous le gouvernement Sarkozy."

Jeudi, la cour d'appel de Paris a refusé d'accorder la libération conditionnelle à cet homme qui aura tour à tour symbolisé le crime, l'abolition de la peine de mort, la réinsertion et la récidive.

Jeudi, la cour d'appel de Paris a refusé d'accorder la libération conditionnelle à cet homme qui aura tour à tour symbolisé le crime, l'abolition de la peine de mort, la réinsertion et la récidive.

"La ministre de la Justice, Christiane Taubira, souhaite assouplir par la loi la procédure permettant d'accorder aux détenus des suspensions de peine pour raison médicale, a-t-elle indiqué aujourd'hui au Sénat."

"En Béarn et Soule, un peu plus de trente condamnés sortis de prison sont surveillés par la justice. Comment sont-ils suivis ? Entretien avec Eric Serfass, juge d'application des peines à Pau."

"Exécution des peines - L'internement à vie et la libération conditionnelle offrent aujourd'hui des modalités trop clémentes. Une commission du National propose de serrer la vis en durcissant les critères. "

"Votée en 2012, la loi renforçant les peines du harcèlement sexuel n'a pas fait bondir le nombre de poursuites et de condamnations."

"Châteauroux. Avec deux autres collègues (1), Stéphanie Lochon-Dallet est juge de l'application des peines. Elle explique sa fonction et toutes ses difficultés."

" Une réforme du code pénal introduite cet été a pour effet d'interdire le fait de dessiner des mineurs dans une scène pornographique imaginaire, avec une peine de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende, même lorsque ces dessins ne sont pas diffusés sur Internet ou par d'autres moyens."

quatre mineurs ont violés une jeune fille de 12 ans, ils encourent jusqu'à 20 ans de réclusion si l'excuse de minorité n'est pas retenue.