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"Avec l'éventualité d'un nouveau confinement du fait de la pandémie de coronavirus, que ferait-on de ce confinement ? Le mettrait-on à profit pour la gloire de Dieu et le Salut du monde ?  La Pastorale des Jeunes adultes des Vosges propose de vivre le confinement d'une manière tout à fait particulière : être missionnaire, même confinés !  L'idée du confinement missionnaire dans les Vosges est de vivre en groupe de 4, en fraternité. Vosgien ou non, tu peux venir te confiner dans les Vosges pour télétravailler ou télé-étudier, tout en donnant de ton temps libre pour aider une paroisse dans des endroits typiques tels que Domrémy-la-Pucelle, la montagne....  Les paroisses comptent sur toi ! "

"A l'Université catholique de l'Ouest à Angers, connue sous le nom « la catho d'Angers », 12 500 étudiants parcourent les couloirs en temps normal. 6 facultés, 100 formations, 7 campus, cette immense université est fermée aux étudiants le temps du confinement. Pourtant, les cours continuent d'être assurés par les professeurs. Comment les jeunes en situation de handicap vivent-ils particulièrement leurs études à l'UCO en cette période de confinement ? A l'UCO, un service est dédié à leur accompagnement. Portrait croisé de deux étudiants en situation de handicap lourd, Maxence et Paul, qui continuent à suivre leurs études, grâce aux cours en ligne. Un reportage en partenariat avec l'Université catholique de l'Ouest."

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo

"Le parcours « Aller au cœur de la Foi » est un parcours pour les jeunes et les adultes ; il peut être vécu seul, en famille, ou entre compagnons de confinement! 7 séances nous sont proposées, et nous mèneront jusqu'à la Pentecôte, au rythme d'une à deux séances par semaine. Ce parcours nous est proposé par le Père Frédéric Foucher, curé de la paroisse de Château-Gontier : un grand merci à lui!! Il contient de nombreuses ressources : vidéos, textes de la Bible, guide de prières… A l'aide du Pape François et de son exhortation Il vit le Christ !, ce parcours nous aide à redécouvrir l'amour de Dieu dans ce temps de désert confiné, et nous emmène, à la suite du Christ mort et ressuscité, vers la lumière de la Pentecôte."

"Pour ne passer à côté du temps de Carême pendant le confinement, une série à destination des jeunes, conçue spécialement pour la circonstance, est diffusée chaque jour sur Emmanuel play."

"Dans cette page, nous donnons la parole à des jeunes du diocèse. Lycéens, étudiants, jeunes pros, voyez/lisez/écoutez la diversité de ce qu'ils vivent en confinement !"

"Selon le psychiatre David Gourion, la manière dont les jeunes vivent ce confinement est très variable, alors que cette situation agit comme un révélateur des inégalités sociales." [RDP du 16 avril 2020]

"Avec les contraintes qu'il apporte, le confinement bouscule bien des habitudes mais il est également l'occasion de vivre autrement les relations. C'est ce qu'expérimentent à Nantes les habitantes d'une colocation de La Maison Marthe et Marie."

"Trois jeunes du doyenné de Luxeuil ont fait un choix original pour ce temps de confinement : vivre une "domus eccelsiae". Juliette, Olivier et Louis partagent leur expérience de cette quarantaine bien particulière."

"Avec le confinement, de nombreuses personnes âgées se retrouvent isolées. Pour y remédier, différentes structures proposent à de jeunes bénévoles de se rendre présents en développant des échanges téléphoniques. C'est ainsi que Camille, 18 ans, étudiante en histoire de l'art confinée à Nantes, a rencontré Simone, une septuagénaire vivant en région parisienne."

"he French bishops, concerned about the impact of the pandemic and of the related confinement on young people, commissioned an online consultation on a sample of 2639 Catholic students with a mean age of 21. Findings show that the pandemic has affected their social life "enormously", it "negatively" affected their school performance (exams and entrance tests) and cut them out of internships, vocational training and jobs "completely." On a brighter note, during the period of home confinement, almost all of them (94%) found their faith to be of "support during the ordeal""

"Cette enquête réalisée pour la FAGE par l'institut IPSOS vient mettre en lumière une réalité alarmante. Difficultés à s'acheter à manger, difficultés à payer son loyer, renoncement aux soins … Les conséquences du confinement sur les ressources financières des jeunes sont nombreuses et graves. La FAGE avait alerté le gouvernement dès le début de la crise, mais les réponses ont tardé à arriver et ont, pour certaines, étaient insuffisantes. Ce sont ainsi des milliers de jeunes qui ont dû se tourner vers des aides alimentaires mises en place par les associations étudiantes du réseau de la FAGE et par d'autres structures de solidarité. Ce renforcement de la précarité s'explique notamment par la perte d'une activité rémunérée, pendant le confinement et au-delà. Cette situation de précarité ne s'est pas arrêtée après le déconfinement, loin de là. Les jeunes, très incertains face à leur avenir, ont besoin de réponse forte de la part du gouvernement. Les étudiants, qui ont pour certains revus leur projet d'orientation à la baisse doivent recevoir un soutien supplémentaire pour la rentrée. Il est urgent de réformer le système de bourses, de baisser la tarification de la restauration sociale, de renforcer des dispositifs comme l'aide à la mobilité … Pour les jeunes actifs et à la recherche d'un emploi, la crise qui s'annonce, avec la contraction de l'emploi, de l'intérim, des petits boulots, va accroître encore ces situations de pauvreté, en creusant inévitablement les inégalités. Ce sont des centaines de milliers de jeunes, diplômés ou pas ou peu qualifiés qui vont se trouver sans ressources et sans filet de sécurité. Les jeunes attendent une réponse à la hauteur : il est temps de créer un véritable droit à l'accompagnement, financier et humain. Cela doit notamment passer par l'ouverture du RSA au 18-25 ans, et en garantissant un accompagnement à toutes et à tous. Au-delà de lâ€

Pour sa neuvième édition, l'enquête nationale sur les conditions de vie des étudiants s'est déroulée dans un contexte sanitaire inédit en lien avec la pandémie de COVID-19 et le confinement. Si les réponses des étudiants renseignent sur les grandes tendances de leurs conditions de vie et sur certaines thématiques nouvellement introduites dans l'enquête (telles que les violences sexistes et sexuelles dans l'enseignement supérieur, le racisme et les discriminations, l'utilisation du numérique dans l'accès à l'emploi, le rapport à l'écologie ou encore l'usage des bibliothèques), l'enquête complémentaire réalisée en juillet 2020 donne aussi des informations sur ce que les épisodes de confinement peuvent changer aux modes de vie et d'étude.

"Les associations caritatives voient le nombre de personnes en détresse financière grimper depuis le début du confinement. Elles redoublent d'efforts pour aider ces populations à se nourrir et à vivre décemment." [RDP du 15 juin 2020]

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo

"Les conséquences économiques du confinement, notamment le poids de la dette qui va en ressortir, seront intégralement supportées par les jeunes générations, écrivent ​Paul-Adrien Hyppolite et François Lévêque." [RDP du 12 mai 2020]

"De nombreux accompagnateurs spirituels font le constat, depuis la période du confinement, d'une augmentation des demandes qui leur sont faites. "