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Christophe Deschamps

Enterprise 2.0 Vs Diffusion of Innovation - 3 views

  • Relative advantage : what value does it bring ? Compatibility : how much effort to transition to this innovation ? Complexity : how much learning is required to apply it ? Triability : How easy is it to try the innovation ? Observability : How visible are the results ?
  • None of these intangible assets (human, organizational and informational capital – i.e databases, information systems, networks, technology infrastructure) has value that can be measured separately or independently.
  • Mc Afee still recommend to build some kind of business case with the following elements
  • ...10 more annotations...
  • Costs and time lines
  • Expected benefits
  • Technology footprint
  • People make relative evaluations Reference point is status quo People are loss-adverse : a prospective loss of X is 3 times more painful that a gain of X is pleasurable.
  • These elements lead to the fact that we value what we have far more highly that what we could have instead. The result is what Gourville calls the 9x effect : people rate what they have 3 times more than their actual value and prospective items three times less than what they’re actually worth. A new item must therefore be at least 9 times better to justify the (perceived) effort required for the adoption.
  • As a result, McAfee quotes Gourville and recommends not to oversell the collaborative platform and make it clear that the adoption will be a long phase.
  • The objectives is to help them realize that these tools are the root cause of many of their daily work frustrations
  • So a 30 days trial might not be enough to see the full benefits of such solutions. However it can still proves how easy it is to use them.
  • A good strategy to make the results visible is to locate some teams of social networks enthusiasts (IT or HR departments might be a first good guess). And start to deploy the solution on such narrow teams.
  • In a transparency and observability purpose, it might be a good idea to monitor the knowledge workers perceived value of their tools and measure the progress. Preparing a questionnaire with a set of questions around the subject of collaboration, innovation, productivity and knowledge management could be a good starting point.
  •  
    Revue du livre de McAfee par @ceciil
Michael Nezet

PersonAll - Plateforme d'aggrégation et de réseau social d'entreprise (Fr) - 0 views

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    PersonAll propose des solutions de portail social et collaboratif d'entreprise, complètement personnalisable par simple configuration, agrégeant toutes les informations utiles (applications métiers, modules publics, internet, etc.) en un lieu unique.
Christophe Deschamps

Intellipedia suffers midlife crisis - 0 views

  • The problem? The growth of the collective intelligence site so far largely has been fueled by early adopters and enthusiasts, according to Rasmussen. About all those who would have joined and shared their knowledge on the social networking site have already done so. If the intelligence agencies want to get further gains from the site, they need to incorporate it into their own formal decision making process, he contended. Until that happens, the social networking aspect of Intellipedia is "just a marginal revolution," he said.
  • Established in 2005, Intellipedia, now managed by the Office of the Director of National Intelligence,  has approximately 100,000 user accounts. Open to anyone with a government e-mail account, it has social bookmarking tool, a document repository, a home page for each user, and collaboration spaces.
  • For true change to occur, other agencies must use Intellipedia as their official conduit, at least for some functions, Rasmussen said. Otherwise, it is just creating additional work for contributors.
  • ...4 more annotations...
  • Another problem is that managers may not worry that their employees would not be comfortable contributing information to a social-networking tool. Rasmussen said he talked with one executive who said employees may not want to contribute personal items to their home page.
  • " 'Are you kidding?' " Rasmussen responded. "This is work. We force people to do stuff [they don't want to do] all the time — we make people come in sober and wear clothes. In certain cases top-down may not work, but in certain cases it does."
  • Contributors need to learn to accept "an agency-neutral non-ownership" stance to their articles, he said.
  • "If you bring too many locks into an overly cautious culture, that's all you get: locks," Rasmussen said. He also mentioned that mashups remain to be too difficult for non-programmers to create, and social networks continue to be held, presumably unfairly, by higher standards than other technologies.
  •  
    Intelipedia, le réseau social des agences de renseignement US mis en place en 2005, connaît quelques difficultés. Intéressant retour d'expérience sur un projet 2.0 déjà ancien.
Yan Thoinet

Entreprise 2.0 - Wikipédia - 0 views

  • "Entreprise 2.0 est un terme pour les technologies et pratiques commerciales qui libère la force de travail des contraintes des outils de communication et de productivité comme l'email. Il permet aux cadres d'accéder à la bonne information au bon moment à travers un réseau d'applications inter-connectées, services et dispositifs. Entreprise 2.0 permet d'accéder à l'intelligence collective de nombreuses personnes, transférant un énorme avantage compétitif se traduisant par une augmentation de l'innovation, la productivité et de l'agilité."
Yan Thoinet

SONIVIS:Tool - An advanced concept of information analysis - 0 views

  • Identification of experts, communities, emerging topics
Yan Thoinet

Le meilleur moteur de recherche c'est vous | Bloc Note de Bertrand DUPERRIN - 0 views

  • l’information est le nerf de la guerre d’une part, et on en a de plus en plus d’autre part.
  • Le rapport du Aspen Institute ne concluait il pas que “la forme la plus accessible de connaissance est la conversation” ? Reste à faire naitre les dynamiques d’échanges informels qui permettent ces transferts de connaissance, et capitaliser le tout.
  • le meilleur moyen de trouver la bonne information reste d’essayer de trouver la personne qui la connait.
  • ...3 more annotations...
  • Ce qui revient peu ou prou à reconnaitre que le meilleur moteur de recherche n’est autre que l’individu, les moteurs “outils” les plus performants ne faisant finalement que capitaliser les comportements des utilisateurs humains
  • roiser les expériences acquises dans chacun des domaines permet souvent des enrichissements possibles et même une capacité d’innovation”.
  • Il faut renforcer la convergence des actions et des efforts de chacun, organiser de nouvelles relations entre acteurs, abolir des clivages désuets et contribuer à la naissance de nouvelles coopérations. Cela commence immanquablement par des dialogues. D’où la nécessité de façonner leurs”creusets”
Yan Thoinet

L'information électronique accroît la productivité | Guitef - 0 views

  • Les travailleurs qui sont des concentrateurs de l’information électronique réalisent plus de projets dans un temps donné et ainsi génèrent plus de revenus pour leur firme.
  • Les travailleurs hypermaillés sont-ils plus productifs en raison de leur réseau d’information, ou sont-ils plus maillés parce que de nature plus productive au départ?
  • • Les technologies de l’information accroissent la productivité en facilitant le multitasking. • Le multitasking peut être productif, mais seulement jusqu’à un point. • L’accès à de nouvelles informations a des effets positifs sur la productivité. • Les discussions par courrier électronique se produisent plus spontanément entre les gens qui ont des choses en commun. • Un réseau diversifié de contacts est associé à une plus grande productivité.
Christophe Deschamps

Darwin offre un engin de veille à l'entreprise 2.0 - Darwin Discovery Engine Blog - 0 views

  • “Une approche plus fidèle au Web 2.0 serait en mesure de livrer ces faits dans leur contexte, avec en prime des accroches qui attirent l’attention et permettant à l’utilisateur de creuser certains aspects de son choix”.
  • L’introduction des outils de Web 2.0 dans l’entreprise augmentent le risque de perte par l’isolation des informations dans les différents silos de stockage, surtout si ces nouveaux outils ne sont pas connectés entre eux et avec le reste. Darwin offre la possibilité de percevoir l'émergence des relations entre les différents contenus à travers l'ensemble des outils utilisés.
  • Grâce à son Scan Cloud™ Darwin rend la valeur du contenu de l’Entreprise 2.0 visible et mesurable (Veille et Evaluation). Non seulement vous pouvez voir les relations entre les éléments reliés entre eux dans un nuage de mots, mais aussi ces liens se rafraîchissent à mesure que vous vous déplacez dans le nuage. Cette propriété dynamique permet aux utilisateurs de voir les corrélations qui existent à travers les contenus de l'entreprise 2.0 (Découverte et Partage)
  • ...3 more annotations...
  • Darwin cherche à faire émerger les thèmes corrélés entre eux issus d’un environnement chaotique en se basant sur la mesure de corrélation vue dans la théorie du chaos. Ainsi, Darwin s'éloigne clairement des systèmes de classification par vote ou popularité actuellement utilisés par nombreux moteurs de recherche et aggregateurs de contenu pour ordonner leur résultats.
  • Darwin n’est pas un engin de remplacement des technologies entreprise 2.0, tableaux de bord, et autre outils de management des documents. Il est conçu pour compléter et renforcer ces technologies en rendant plus visible le savoir tacite enfermé dans leurs systèmes.
  • C’est une application internet (Scan Cloud™) ou cela peut aussi devenir une solution customisée grâce à l'accès API offert. Cela fonctionne sur un serveur Web avec des services et base de données qui corrèlent les différentes sources Web 2.0.
Yan Thoinet

Enterprise 2.0 2009 - Registration Information - 0 views

  • Non-Profit 30% off all packages
Christophe Deschamps

How companies are benefiting from web 2.0: McKinsey Global Survey Results - 0 views

  • 69 percent of respondents report that their companies have gained measurable business benefits, including more innovative products and services, more effective marketing, better access to knowledge, lower cost of doing business, and higher revenues. Companies that made greater use of the technologies, the results show, report even greater benefits.
  • We found that successful companies not only tightly integrate Web 2.0 technologies with the work flows of their employees but also create a “networked company,” linking themselves with customers and suppliers through the use of Web 2.0 tools. Despite the current recession, respondents overwhelmingly say that they will continue to invest in Web 2.0.
  • When we asked respondents about the business benefits their companies have gained as a result of using Web 2.0 technologies, they most often report greater ability to share ideas; improved access to knowledge experts; and reduced costs of communications, travel, and operations. Many respondents also say Web 2.0 tools have decreased the time to market for products and have had the effect of improving employee satisfaction.
  • ...15 more annotations...
  • Respondents also say they have been able to burnish their innovation skills, perhaps because their companies and customers jointly shape and cocreate products using Web 2.0 connections.
  • The median level of gains derived from internal Web 2.0 use ranged from a 10 percent improvement in operational costs to a 30 percent increase in the speed at which employees are able to tap outside experts.
  • Web 2.0 delivers benefits by multiplying the opportunities for collaboration and by allowing knowledge to spread more effectively. These benefits can accrue through companies’ use of automatic information feeds such as RSS2 or microblogs, of which Twitter is the most popular manifestation. Although many companies use a mix of tools, the survey shows that among all respondents deriving benefits, the more heavily used technologies are blogs, wikis, and podcasts—the same tools that are popular among consumers
  • Similarly, among those capturing benefits in their dealings with suppliers and partners, the tools of choice again are blogs, social networks, and video sharing. While respondents tell us that tapping expert knowledge from outside is their top priority, few report deploying prediction markets to harvest collective insights from these external networks.
  • Comparing respondents’ industries, those at high-technology companies are most likely to report measurable benefits from Web 2.0 across the board, followed by those at companies offering business, legal, and professional services
  • These survey results indicate that a different type of company may be emerging—one that makes intensive use of interactive technologies. This networked organization is characterized both by the internal integration of Web tools among employees, as well as use of the technologies to strengthen company ties with external stakeholders—customers and business partners.
  • As such, companies reporting business benefits also report high levels of Web 2.0 integration into employee workflows. They most often deploy three or more Web tools, and usage is high throughout these organizations
  • Respondents reporting measurable benefits say their companies, on average, have Web 2.0 interactions with 35 percent of their customers. These companies forged similar Web ties to 48 percent of their suppliers, partners, and outside experts. An organizational structure that’s more porous and networked may make companies more resilient and adaptive, sharpening their ability to access knowledge and thus innovate more effectively.
  • The survey results confirm that successful adoption requires that the use of these tools be integrated into the flow of users’ work (Exhibit 5). Furthermore, encouraging continuing use requires approaches other than the traditional financial or performance incentives deployed as motivational tools.
  • They also say role modeling—active Web use by executives—has been important for encouraging adoption internally.
    • Christophe Deschamps
       
      Cf le président de Cisco
  •  
    L'entreprise 2.0 n'est pas qu'un concept et cette étude menée sur 1700 dirigeants le prouve.
Eric Salviac

Gartner Identifies New Approach for Enterprise Architecture - 0 views

  • Gartner has identified seven properties that differentiate emergent architecture from the traditional approach to EA: 1. Non-deterministic - In the past, enterprise architects applied centralised decision-making to design outcomes. Using emergent architecture, they instead must decentralise decision-making to enable innovation. 2. Autonomous actors - Enterprise architects can no longer control all aspects of architecture as they once did. They must now recognise the broader business ecosystem and devolve control to constituents. 3. Rule-bound actors - Where in the past enterprise architects provided detailed design specifications for all aspects of the EA, they must now define a minimal set of rules and enable choice. 4. Goal-oriented actors - Previously, the only goals that mattered were the corporate goals but this has now shifted to each constituent acting in their own best interests. 5. Local Influences: Actors are influenced by local interactions and limited information. Feedback within their sphere of communication alters the behaviour of individuals. No individual actor has data about all of an emergent system. EA must increasingly coordinate. 6. Dynamic or Adaptive Systems: The system (the individual actors as well as the environment) changes over time. EA must design emergent systems sense and respond to changes in their environment. 7. Resource-Constrained Environment: An environment of abundance does not enable emergence; rather, the scarcity of resources drives emergence.
  •  
    Enterprise architects must adopt a new style of enterprise architecture (EA) to respond to the growing variety and complexity in markets, economies, nations, networks and companies, according to Gartner, Inc. Analysts advised companies to adopt 'emergent architecture', also known as middle-out EA and light EA, and set out definitions of the new approach.
Christophe Deschamps

Toward a Pattern Language for Enterprise 2.0 - 0 views

  • I’ve had for some time now the vague sense that the iPhone, Twitter, Gmail, Googling, Facebook, Wikipedia, Delicious, and other runaway successes are trying to tell us something about how we want to use technology in our lives and in our work, and if we enterprise technologists listen carefully we’ll hear what that something is.
  • I started jotting down some comparisons based on what I’ve seen, read, and experienced for myself, then realized that I was identifying patterns
  • I’m dividing my 2.0 vs. 1.0 comparisons into two groups. First is a set of patterns where 2.0 is just better than 1.0
  • ...8 more annotations...
  • Second is a set in which 2.0 is an alternative or addition to 1.0, not a replacement for it.
  • the primary goal of enterprise IT is not to delight users, but rather to increase the value of the company. But do these two outcomes have to be in conflict?
  • The biggest challenge will probably be to get corporate technologists (a group that includes IT departments, vendors, and consultants) to stop thinking like monopolists that can dictate tools to users with great confidence that, because of the lack of alternatives, they’ll get used.
  • I can think of four negative consequences of ignoring these patterns and continuing to act like a 1.0 enterprise technology monopolist.
  • enterprises will deploy technologies that are disliked and/or not used
  • employees will use ’stealth IT’ and any knowledge / information captured therein will not be retained by the enterprise
  • employees and customers will leave because of their frustration with poor enterprise technologies
  • the enterprise will be handicapped or crippled  –  less productive, innovative, collaborative, agile, ‘wise,’ foresightful, insightful, transparent, clear than it could be otherwise, or than its competitor is.
  •  
    Excellent article d'Andrew McAfee sur ce que les technos 2.0 apportent de plus que les précédentes aux organisations.
Elise Carbone

Stop Blocking web 2.0 - 0 views

  • Stop Blocking! Companies everywhere are blocking employee access to the Net, fueled by questionable research and irresponsible pronouncements of self-serving individuals and organizations. This site is designed to serve as a hub information resource for those who believe the benefits of providing access far outweigh the risks.
  •  
    Improved engagement, business results from internal Web 2.0
Christophe Deschamps

L'entreprise 2.0 et le mythe de la création de contenu - 0 views

  • L’employé ne produit pas des contenus mais de l’information, il en produit de plus en plus, et en vertu du principe selon lequel “si seulement l’entreprise savait ce que sait l’entreprise”, il serait bon qu’il en produise davantage.
  • l’entreprise a l’habitude de considérer que ce qui ne répond pas à ces critères ne sert à rien (ce qui n’est pas faut car ne répondant pas à un besoin) et donc que sa génération est du temps perdu. C’est là où les fameux contenus resemblent à ceux du web 2.0 : générés, mis à dispostion, sans pour autant savoir a priori comment ils seront utilisés par la suite. Et lorsqu’elle ne sait pas a priori a quoi quelque chose va servir, l’entreprise a tendance à decreter que ce quelque chose est inutile.
  • La “génération du contenu” étant un acte unique alors que le besoin pouvant se répeter un nombre indéfini de fois dans le temps temps, éviter ce qui était une perte de temps a priori donne lieu à de multiples pertes de temps a postériori.
  • ...4 more annotations...
  • Une collection de best practices que personne ne consulte et ne met en œuvre n’a d’autre valeur que celle d’exister. Il faut donc peu a peu faire acquérir ce réflexe aux collaborateurs, faire en sorte que concentrer expression des besoins et des solutions en un même endroit.
  • Cette mise en relation sera logicielle et humaine. Logicielle car il existe aujourd’hui des outils de publication / classement / évaluation / recherche / redirection de l’information parfaitement adaptés.
  • Humaine ensuite car la logique de sollicitation de ses contacts afin qu’à leur tour ils sollicitent les leurs afin de trouver une solution, une réponse, qui est existe et a prouvé son efficacité depuis la nuit des temps de va pas disparaitre pour autant. Il s’agit simplement de la faciliter, connecter les bonnes personnes sur des critères de pertinence afin qu’elles intéragissent entre elles, partagent informations et contacts. Par contre le caractère chronophage de ce type de pratique est proportionnel à la taille de l’organisation. Il s’agit donc de fluidifer et rationaliser tout cela, et là intervient la composante réseau social qui va devenir bientôt nécessaire à tout système d’information nécessaire.
  • rien ne sera possible tant que la logique amenant du contenu à la valeur ne sera pas explicitée et que ce qui permet de passer de l’un à l’autre ne sera pas mis en place. Contenus, outils et bonnes pratiques ne se suffisent pas, il faut les trois. Et les managers verront alors l’intérêt de voir leurs équipes générer du contenu.
  •  
    Très bon article de Bertrand Duperrin sur la création de contenu dans l'entreprise et comment y parvenir.
Christophe Deschamps

Football et intelligence collective - 2 views

  • La cybernétique est l’étude des systèmes, c’est-à-dire la modélisation des échanges par l’étude de l’information et des principes d’interaction. On ne s’intéresse pas aux composants du système mais à leurs interactions et au comportement global. Un système complexe est donc fait d’élément en interaction les uns avec les autres(2) organisées dans le but de se maintenir, de survivre et de conquérir. Et à partir de règles simples, on obtient un comportement global complexe qu’on appelle émergence.
  • On retrouve ici la double mission de l’intelligence économique : défendre sa zone sensible, c’est-à-dire l’information corporative stratégique, et promouvoir son activité, c’est-à-dire conquérir des territoires (physiques dans le cas du football ou économiques dans le cas de l’entreprise).
  • Et comme expliqué plus haut, l’intelligence collective s’orchestre donc en deux temps : (a) sur le plan défensif c’est la capacité à se replacer très vite suite à la perte du ballon pour ensuite (b) sur le plan offensif c’est l’exploitation de la récupération du ballon dans un moment où l’équipe adverse est déstabilisée.
  • ...7 more annotations...
  • Un jeu intelligent est donc fondé sur une alternance équilibrée entre expansion et agrégation de l’équipe.
  • On comprend donc avec l’exemple du football qu’il faut passer d’un état individuel à l’état socialisé pour mettre en place des stratégies de formation de l’intelligence collective.
  • Tout l’enjeu des sociétés individualistes est de faire circuler des informations dans un but d’intelligence collective et d’instaurer un climat relationnel ou chacun a la volonté de faire les choses pour le collectif.
  • un bon dirigeant d’entreprise doit avoir la faculté de synthèse afin de (1) prendre les décisions et (2) donner à ses employés, cadres, chefs de projets le sens de la globalité de l’activité de l’entreprise pour que chacun puisse à son échelle œuvrer pour cette finalité.
  • L’entreprise doit donc développer une conscience d’elle-même et des autres (entreprises) afin de se maintenir et progresser dans des environnements de plus en plus hostiles, comme des marchés, où la compétition fait place à la co-pétition (chacun est à son tour partenaire et concurrent).
  • Il ne faut cependant pas mettre en opposition les expressions individuelle et collective car elles se renforcent et ont besoin l’une de l’autre pour créer une intelligence collective, clef d’une entreprise robuste, pérenne et épanouie.
  • Pour se maintenir, l’entreprise doit donc, par la pratique fine de l’intelligence économique, trouver l’équilibre entre affirmation de son identité et adaptation à un environnement contrariant.
  •  
    Intéressant article sur l'intelligence collective et la nécessité de la faire émerger en entreprise
claire LEBLOND

Le nouveau management de l'information. La gestion des connaissances au coeur de l'entreprise 2.0 - 4 views

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    Christophe DESCHAMPS
Christophe Deschamps

Qu'est ce qu'une entreprise 2.0 fin 2010 ? - 7 views

  • Et là… la problématique est plus lourde. C’est d’ailleurs sur ces éléments qu’on constate les plus grands écarts générationnels (Attention je ne parle pas de génération Y). Nous avons d’un coté les jeunes qui contestent la hiérarchie ou la propriété auxquels ils n’ont pas accès et les anciens qui en sont dotés et pas tout à fait prêts à s’en défaire.
  • Une façon pour les jeunes de renverser la question et de ne pas demander le pouvoir mais le répartir de facto… Un sujet à creuser assurément, qui en dit long aussi sur la dimension symbolique que prennent les luttes actuelles
  • Prenons une entreprise qui propose des services « 2.0 ». Si on prend l’hypothèse qu’elle double son chiffre tous les ans (ce qui est déjà un signe de croissance exceptionnelle), qui commence avec 100K€ de chiffre d’affaire…elle pèse actuellement au mieux 0,8M euros… Moins que le chiffre d’affaire d’une brasserie ! Normal donc, que pour un grand compte, ces budgets « 2.0 » soient vus comme « faibles »… Mais faible, ne veut pas dire non stratégique.
  • ...4 more annotations...
  • Généralement les mêmes qui avaient tourné le dos au Web. Il faut bien comprendre que nombreuses sont les entreprises qui n’ont pas besoin de relais de croissance que ce soit par la situation économique ou un effet de « monopole ».
  • Ensuite, nombreuses sont les entreprises qui se sont lancées dans le 2.0 comme elles s ‘étaient ruées sur SecondLife. Pour faire bien. On retrouve ce type de projets dans les grands groupes qui s’essayent à des nouveaux concepts. Ce qui caractérise ces projets c’est le fait qu’ils ne sont pas en lien avec le business. L’exemple qui me vient à l’esprit est celui de rendre « 2.0 » une communauté visible… Cette Entreprise2.0 on l’aura compris n’a pas dépassé le stade d’intérêt poli des décideurs.
  • Il y a enfin ceux qui prennent ce concept en se posant la question simple « Qu’est ce que ce nouveau machin peut m’apporter à mon business ? ». Sans préjugés, ni arrières pensées et de sous un angle très pragmatique. Et là, le résultat est somme toute très différent. Car il est indéniable que les concepts du 2.0 (collaboration, temps réel, connexions des personnes, informations etc…)  sont de nature à faire progresser le business. Encore faut-il le démontrer ? Et c’est justement la bonne récolte 2010. Les premiers projets mis en place à dimension business donnent des résultats concrets : plus de ventes, plus de qualité dans la relation client etc…
  • L’entreprise 2.0 –en tout cas son concept papier –  vit sans doute ces derniers jours, au profit d’une nouvelle ère : l’irruption massive des réseaux sociaux dans le champ numérique de l’entreprise : depuis les entrepôts, jusqu’aux points de ventes en passant par les bureaux.
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