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Yan Thoinet

Le meilleur moteur de recherche c'est vous | Bloc Note de Bertrand DUPERRIN - 0 views

  • l’information est le nerf de la guerre d’une part, et on en a de plus en plus d’autre part.
  • Le rapport du Aspen Institute ne concluait il pas que “la forme la plus accessible de connaissance est la conversation” ? Reste à faire naitre les dynamiques d’échanges informels qui permettent ces transferts de connaissance, et capitaliser le tout.
  • le meilleur moyen de trouver la bonne information reste d’essayer de trouver la personne qui la connait.
  • ...3 more annotations...
  • Ce qui revient peu ou prou à reconnaitre que le meilleur moteur de recherche n’est autre que l’individu, les moteurs “outils” les plus performants ne faisant finalement que capitaliser les comportements des utilisateurs humains
  • roiser les expériences acquises dans chacun des domaines permet souvent des enrichissements possibles et même une capacité d’innovation”.
  • Il faut renforcer la convergence des actions et des efforts de chacun, organiser de nouvelles relations entre acteurs, abolir des clivages désuets et contribuer à la naissance de nouvelles coopérations. Cela commence immanquablement par des dialogues. D’où la nécessité de façonner leurs”creusets”
Yan Thoinet

Feed View | TechCrunch en français - Web Based Feed Reader, Mobile Feed Reader - 0 views

  • Twingly, un moteur de recherche suédois pour les blogs européens18 Feb 2008 16:24:38 | Michael Arrington (adaptation: Ouriel Ohayon) | Sociétés et produits,Twingly | CommentsAu premier abord, on pourrait penser que le domaine des recherches de blogs est plutôt saturé. Et l’on a bien raison. Non seulement Google s’est emparé du secteur fin 2005 mais ils ont aussi introduit l’indexation ultra-rapide des nouveaux billets publiés (notamment pour TechCrunch) dans les heures voire minutes qui suivent leur publication sur un blog. Le meilleur moyen pour chercher un blog se nomme Google.com. Et il y a aussi de nombreux concurrents, comScore montre sur le tableau ci-dessous l’évolution des principaux: Technorati, Google Blog Search, Ask Blog Search, Sphere et IceRocket. Tous américains (Wikio ne figure pas sur ce tableau)
Yan Thoinet

émergenceweb : blogue » Blog Archive » Pourquoi bloguer ? Pour se souvenir ! - 0 views

  • Comment intégrer les nouvelles générations en entreprises et surtout comment créer à leur intention une mémoire d’entreprise ? J’ai fait de nombreux billets sur mon blogue, au cours des derniers mois, pour expliquer mes réflexions sur la mémoire d’entreprise. Pour la créer, neuf pré-requis : Bâtir les savoirs (multiplication des wikis) Communiquer les savoirs (aggrégation de blogues)* Identifier les savoirs (mise en relation) Localiser les savoirs (géo-localisation) Récupérer les savoirs (Peer-to-peer avec les retraités) Documenter les savoirs (Carnets de vie)* Gérer les savoirs (Les entrepôts de données)* Rechercher les savoirs (tagging, recherche sémantique) Transmettre les savoirs (vLearning)
  • le wiki, les blogues d’entreprise sont des espaces individuels de communication et de partage, qui permettent de regrouper (ou agréger) et mettre en valeur les expertises internes.
  • les blogues sont clairement définis comme un lieu particulier où l’on trouve des groupes d’expertise, des lieux d’échanges et de communication sur des sujets très précis et pertinents à la mission et aux objectifs d’affaires de l’entreprise.
  • ...8 more annotations...
  • mélanger (mashup) deux technologies du Web 2.0, soit le blogue et les fils de presse Web, que l’on nomme habituellement flux RSS (pour Really Simple Syndication), et ainsi de créer un mini-portail personnalisé de blogues d’expertise, selon l’unité, la division, le service.
  • Faites la transposition de Netvibes en entreprise… Il est donc facile de concevoir, par exemple, une agrégation de blogues d’experts en vins à la SAQ, de conseillers en rénovation chez Rona ou d’experts en efficacité énergétique à Hydro-Québec !
  • Pour toutes sortes de raisons, bonnes ou mauvaises, on craint que cette « liberté d’opinion » mette en danger l’image, la sécurité, la réputation et les avantages concurrentiels.
  • Il n’est pas rare de voir des employés d’entreprises ou de sociétés publiques tenir leur propre blogue professionnel. Pourquoi ne pas utiliser ces forces vives pour la construction d’une expertise collective interne
  • À l’interne, on a donc mis ces produits à bon usage. Résultat : 26 000 blogues individuels, 20 000 wikis regroupant 100 000 participants… et un réseau social appelé BluePages qui «réseaute» plus de 400 000 personnes ! Tous les employés peuvent bloguer et «podcaster». Pour éviter les débordements, personne n’est autorisé à rester anonyme dans l’intranet et l’entreprise s’attend à ce que chacun respecte un code de conduite spécifique.
  • Et, en plus de déclencher le partage de connaissance et d’expertise, les agrégations de blogues, ou fermes de blogues, comme certains les nomment, permettent l’articulation et l’organisation des idées, développent et maintiennent les expertises, humanisent l’entreprise, génèrent la communication et favorisent l’appartenance à l’entreprise.
  • dans la majorité des sondages internes effectués par les entreprises sur la satisfaction des employés, la question de la non-reconnaissance de l’expertise et des réalisations des employés revient toujours
  • Combien de fois entend-on la réflexion suivante en entreprise : « Mon expertise n’est pas reconnue. Ils préfèrent écouter un consultant externe » ? Les blogues d’expertise constituent une des réponses à cette question.
Yan Thoinet

Recherche - 0 views

  • 1. La banque en ligne doit relever le défi de la collaboration ...
Eric Salviac

Google se rapproche des entreprises et de... Microsoft - 0 views

  • Google de son côté est particulier actif ses derniers temps sur le marchés des applications d'entreprise. Parmi les annonces de ces derniers jours, on peut citer Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google Wave, une nouvelle version de sa Google Search Appliance sans oublier Fusion Tables qui n'est encore qu'un outil expérimental, mais qui pourrait bousculer le domaine des bases de données.
  • « La division entreprise est l'un des trois axes stratégiques de Google parmi les outils de recherches (search), les liens publicitaires et commerciaux (ads) et la suite applicative bureautique Web 2.0 en mode SAAS (apps) »
  • Contrairement aux éditeurs traditionnels, Google a une phase de développement de produits qui s'appuie largement sur les utilisateurs. Il peut donc proposer des versions beta accessibles en libre service auprès de développements, sans trop se soucier de l'intérêt commercial de ces nouveaux outils.
  • ...15 more annotations...
  • Fusion Tables est encore un produit expérimental destiné à intégrer des données issues de sources différentes et de formats différents dans une même table et de fournir des fonctions de collaboration, de requêtes, de visualisation et de publication sur le Web. Fusion Tables est plutôt destinée aux très grands volumes de données.
  • Cette semaine, Google dévoilait Google Apps Sync for Microsoft Outlook, un outil permettant de synchroniser leurs courriers, calendrier et carnets d'adresse entre Exchange/Outlook et Gmail. Cet outil fait suite à un autre qui permet de faire à peu près la même chose sur la téléphonie mobile. Cet outil qui est proposé comme un plug in est disponible pour les utilisateurs des versions payantes de Google Apps, à savoir les versions Premier et Education Edition.
  • Quel est l'intérêt de cette offre ? Tout simplement que beaucoup d'utilisateurs préfèrent ou sont déjà habitués à l'interface d'Outlook.
  • Le plug-in est pour l'instant disponible uniquement en anglais, il est compatible avec Outlook 2007, Windows XP SP3 et Vista.
  • Google Apps est commercialisé à 50 dollars par utilisateur et par an. Google aurait quelque 500 000 utilisateurs payants de Google Apps Premier Edition (Soit un chiffre d'affaires en base annuel de 25 M$ en abonnement).
  •  D'autres fournisseurs comme IBM, Oracle, Novell et Sun reconnaissent que le support natif d'Outlook est le meilleur moyen de lutter contre Exchange (l'utilisateur final ne se soucie pas de savoir quel est le serveur de messagerie mis en œuvre par l'entreprise) »
  • Google positionne son plug-in comme un outil permettant aux entreprises d'effectuer une migration d'Exchange vers Gmail plutôt que comme une combinaison permanente
  • Google Wave n'est pas encore un Tsunami Parallèlement à cette offre tactique qu'est Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google a montré avec Google Wave ce que pourrait être un outil de messagerie et collaboration dans les années à venir.
  • Google Wave intègre plusieurs fonctionnalités en général distribuées dans différentes solutions, à savoir les messageries électronique et instantanée, collaboration en temps réel et traitement de document à plusieurs (une sorte de Wiki en plus perfectionné).
  • « Avec Wave, Google veut changer fondamentalement la manière avec laquelle les utilisateurs/internautes (internausateurs ou utilisanautes) communiquent en transformant le Web en un système de collaboration temps réel intégré »
  • Google Wave ne concurrencera pas Lotus Notes, Microsoft Exchange ou Office SharePoint Server avant 5 à 10 ans
  • Une nouvelle version de Google Search Appliance
  • Conçues selon une architecture dynamique, plusieurs GSA, même distantes, peuvent fonctionner en parallèle
  • La GSA 6.0 offre des options de personnalisation pour l'administration, la sécurité, les paramètres de classements des documents... Elle inclut ce que l'on appelle des fonctions de recherche dites sociales, c'est-à-dire issues des suggestions des utilisateurs.
  •  
    Google ne renonce pas à promouvoir ses applications en entreprise en adoptant une stratégie de conquête en douceur en s'appuyant à la fois sur l'existant et les utilisateurs.
Christelle Gamache

Centre de Ressources des Espaces Publics Numériques de Wallonie : Le Web 2, U... - 0 views

  •  
    Le Web 2.0, Un phénomène de société" , c'est le titre et le thème du numéro spécial de la nouvelle édition de la lettre d'information scientifique EMERIT (Expériences de Médiation et d'Evaluation dans la Recherche et l'Innovation Technologique) éditée par la Fondation Travail-Université, Namur (Belgique) : n°57 - Mars 2009.
Michael Nezet

Logiciels de gestion de bibliothèques électroniques - 0 views

Yoolib, logiciel proposé par Amanager, SARL bordelaise détenue par le fabricant de scanner I2S et le fondateur de la société Foudyl Zaouia. Yoolib est le résultat...

outils bibliothèque numérique gestion bibliographique

started by Michael Nezet on 16 Jul 12 no follow-up yet
Christophe Deschamps

La fin du management - 2 views

  • le livre de Clayton Christensen, le dilemme de l’innovateur, qui montre comment les entreprises leaders ont bien souvent raté les changements qui ont eu lieu dans leur propre secteur industriel, non pas du fait d’une mauvaise gestion, mais parce qu’ils ont suivi les préceptes de “la bonne gestion”. “Ils ont écouté attentivement leurs clients. Ils ont soigneusement étudié les tendances du marché. Ils se sont réparti le capital autour d’innovations qui promettait le plus grand rendement. Et dans le processus, ils ont manqué les innovations perturbatrices qui se sont ouvertes à de nouveaux clients et à des marchés de faible marge, avant de devenir des produits à succès.”
  • Le consultant Gary Hamel est un ardent défenseur de la nécessité de repenser le management via des laboratoires en ligne, permettant d’élaborer de nouvelles formes de collaboration de masse pour traiter les problèmes actuels du management. “Le nouveau modèle devra être davantage comme le marché, et moins comme les sociétés du passé. Il devra être flexible, agile, capable de s’adapter rapidement aux évolutions du marché, et impitoyable à réaffecter des ressources à de nouvelles opportunités.”
  • Les grandes entreprises étudiées par Clayton Christensen ont échoué, non pas nécessairement parce qu’elles ne voyaient pas les innovations à venir, mais parce qu’elles n’ont pas suffisamment investi dans les innovations. Pour éviter ce problème, les gens qui contrôlent les grands pools de capitaux doivent davantage investir comme des sociétés de capital-risque, et moins comme un ministère des finances de l’entreprise. Ils ont besoin de faire beaucoup de paris.”
  • ...1 more annotation...
  • Or, “le nouveau modèle devra inculquer aux travailleurs la créativité et l’esprit innovant qu’on trouve le plus souvent chez les entrepreneurs. Il faut donner le pouvoir et la prise de décision à l’organisation autant que possible, plutôt que de la laisser concentrée au sommet. Les structures traditionnelles bureaucratiques devraient être remplacées par quelque chose comme des équipes de pairs ad hoc, qui se réunissent pour aborder des projets individuels, avant de se dissoudre”, à la manière de la société de logiciels SAS qui investit massivement dans la recherche et développement et offre des avantages sociaux généreux à ses employés.
  •  
    InternetActu
Yan Thoinet

Le RSS : une nouvelle voie pour la communication interne - 0 views

  • Le RSS : une nouvelle voie pour la communication interne
  • les directions de la communication interne sont de plus en plus amenées à évaluer la pertinence des flux RSS.
  • Encore peu d'entreprises remplacent leurs newsletters par des flux RSS et de nombreux services souhaitent garder la main sur la mise en page de leurs informations, les newsletters laissant une plus large place à la créativité tout en permettant de présenter les informations de manière plus efficace"
  • ...4 more annotations...
  • les flux RSS ne manquent pas d'atouts, au premier rang desquels leur capacité de renouvellement de l'information au fil de l'eau,
  • consommation plus faible de bande passante
  • Alors que notre nouveau portail Intranet Alcatel-Lucent, intégre les flux RSS des principaux contenus de l'Intranet et permet aux salariés de créer leurs propres flux via le moteur de recherche, nous avons décidé de limiter le nombre de newsletters pour en concentrer l'efficacité", note Joël Pagot, responsable de la communication Intranet au sein d'Alcatel-Lucent.
  • je préfère enrichir mon portail avec ce type de fonctionnalité, plutôt que de voir les utilisateurs recourir à des agrégateurs de flux RSS indépendants installés sur leur poste de travail", fait savoir Jean-Christophe Loubet del Bayle, directeur eBusiness de Saint-Gobain Vitrage.
Yan Thoinet

etrevivant - 0 views

  • De plus en plus d'industries ont compris les avantages qu'elles pouvaient tirer des participations collaboratives en ligne ou même d'une forme d'intelligence collective pour créer de nouveaux produits, anticiper des marchés, évaluer des services.
  • Rapidement, d'autres grandes entreprises, comme Dow ou Procter & Gamble, qui consacre 1,7 milliard de dollars à la R&D, ont compris l'intérêt de cette forme de recherche mondiale mutualisée et sont venues rejoindre InnoCentive.
  • Les problèmes sont mis en ligne sur le site avec un résumé de la demande, une date limite de réponse et le montant prévu de la récompense qui sera attribuée à la meilleure solution (entre 2000 et 100000 dollars). Pour que sa demande soit mise en ligne, l'entreprise verse un acompte d'environ 20000 dollars à InnoCentive. Pour avoir accès aux demandes des entreprises, il faut s'inscrire comme solver.
Yan Thoinet

Diigo: excellent outil de travail collaboratif | Activeille - 0 views

  • Mais il me semble qu’il prend toute sa valeur comme outil de travail collaboratif quand on mesure, comme je viens de le faire, que tout ce qui précède semble applicable en intranet
    • Yan Thoinet
       
      Usage en entreprise
  • oilà un outil qui vient de sortir en version publique, après six mois de tests privés, et qui est tout à fait remarquable.
  • La première, celle des concepteurs, permet de découvrir une architecture riche qui couvre la gestion des liens, avec de nombreuses possibilités de classement (répertoires, tags), la recherche dans les signets (incluant le texte de la page et les annotations). Le contenu d’une page web peut être sélectionné (en totalité ou partie) et marqué (par soulignement).
  • ...3 more annotations...
  • En principe en survolant le paragraphe précédent vous devriez en voir le contenu (si vous êtes membre enregistré).
    • Yan Thoinet
       
      Il faut etre enregistré pour voir le contenu surligné!!
  • Encore plus fort: à cette partie, que j’ai soulignée et que vous voyez, vous pouvez associer (si vous êtes enregistré) une note brève que vous créez à la volée. A mon tour je serai en mesure de lire vos commentaires…
  • en lisant une page web intéressante, vous vous dites qu’il y a un ou deux paragraphes qu’il serait intéressant d’envoyer à un collègue. A coups de copier/coller c’est faisable mais plutôt rébarbatif. En deux clics droit de souris Diigo le fait pour vous.
    • Yan Thoinet
       
      simplicité de l'outil
Yan Thoinet

Technologie: Le Wiki, le tableau blanc de l'intelligence collective - 0 views

  • Un Wiki est un outil de travail collaboratif permettant à n'importe quel internaute armé d'un fureteur Internet de créer ou de modifier à volonté une page Web
  • le Wiki est l'outil idéal pour stimuler la créativité d'un groupe et partager des connaissances.
  • la seule métaphore pour décrire le Wiki qui vient en tête à ces deux internautes est celle du tableau blanc.
  • ...10 more annotations...
  • un Wiki est un outil de travail collaboratif permettant à n'importe quel internaute armé d'un fureteur Internet de créer ou de modifier à volonté une page Web, et ce, sans qu'il lui soit nécessaire d'apprendre un quelconque langage de programmation.
  • l'utilisation d'un Wiki se décline en quatre grands enjeux: le Wiki est incitatif, «sa vertu d'incitation à la participation est la première clause de son cahier des charges». Il est aussi délibératif, en proposant «une forme d'approfondissement du consensus virtuel [...] faisant partie de son attractivité et donc de son caractère incitatif». Le Wiki doit être instructif, en ce sens que la collaboration directe ou différée de ses contributeurs est synthétisée en un ensemble de ressources centrées sur l'objet qui les motive. Et enfin, il est expressif, c'est-à-dire qu'il est «l'expression d'un collectif, d'un ensemble d'individus présentant au moins une attente commune
  • Toutes les versions restent cependant accessibles, tandis que l'historique des modifications peut être consulté en tout temps
  • L'encyclopédie Wikipédia est d'ailleurs conçue sur ce mode de publication.
  • on constate dans la réalité que ce genre de choses arrive fort peu souvent. D'expliquer Marc Laporte, «puisque n'importe qui peut détruire une page, ou est le défi qui est la marque de commerce des hackers?
  • Or, bien que l'application Wiki la plus connue soit l'encyclopédie Wikipédia, des centres de recherche, des «think tank» et des gestionnaires de projets commencent à implanter des Wiki en entreprise.
  • l'implantation d'un Wiki en entreprise responsabilisait ses utilisateurs.
  • «Aborder un Wiki demande toutefois de revoir ses processus de réflexion. Installer un Wiki en entreprise en voulant enchâsser ses membres dans une structure rigide est inévitablement voué à l'échec.»
  • Par exemple, un Wiki pourra être utilisé pour le développement de projets en petites équipes,
  • Le principe est simple: il s'agit d'un modèle coopératif de rédaction de documents. Concrètement, n'importe quel visiteur a la possibilité de modifier la page qu'il est en train de lire. Les modifications sont ensuite enregistrées, et toutes les versions historiques restent accessibles [comme dans un logiciel de gestion de versions]. Ainsi, un premier auteur rédige un article, un second le complète, puis un visiteur en corrige d'éventuelles erreurs qu'il aura remarquées en naviguant sur le site.»
Yan Thoinet

Wikinomics - 0 views

  • En 1999, McEwen assiste au MIT à une conférence sur Linux. Il découvre le concept de l’Open Source et il crie Eurêka. Il décide alors de publier toutes ses données géologiques sur internet, données habituellement gardées secrètes par les entreprises, et de proposer aux internautes volontaires de les analyser à la recherche de nouvelles veines. Plus de milles prospecteurs virtuels les étudient. En quelques mois, ils découvrent de l’or et encore de l’or, faisant exploser la valorisation de Goldcorp.
  • Dans cette révolution, l’individu est moteur. Des sociétés ou des associations proposent des projets participatifs, elles ouvrent les portes, puis les individus décident d’y aller ou non.
Yan Thoinet

Emploi - Le blog de Moovement: Entreprise 2.0, Management 2.0, RH 2.0 et Culture 2.0 se... - 0 views

  • Bertrand Duperrin intervenait à Montreal lors du Webcom. A cette occasion, il nous fait un petit récapitulatif sur la vision de Jon Husband au sujet de l’Entreprise 2.0, Management 2.0, RH 2.0 et Culture 2.0
Yan Thoinet

Abondance: Le responsable de Google News planche sur une nouvelle start-up - ... - 0 views

  • un nouvel outil basé sur un réseau social
  • Mechanical Zoo
  • serait de mettre en place un réseau social permettant d'"utiliser" son cercle social d'amis afin de trouver réponse à la question que l'on se pose sur l'instant. Une sorte de "Yahoo! Questions Réponses" plus "socialisé" que l'outil en question. On pense imémdiatement à un outil comme Baagz d'Exalead lorsqu'on lit la description du projet
Yan Thoinet

Résultats de la recherche d'image Google à partir de http://www.oezratty.net/... - 0 views

  • Business Angels du logiciel (3 commentaires) Lundi 22 octobre avait lieu l’événement de lancement d’une initiative fort intéressante: la création d’une filière logiciels/internet de France Angels, l’association française des business angels qui fédère de nombreuses associations locales de business angels comme Paris Business Angels. Cela m’a permis de découvrir ce mouvement, son fonctionnement, ses forces et ses faiblesses et certains éléments d’articulation entre business angels et VC dans le financement des startups. Partageons cela! Avec en italiques, mes commentaires personnels sur la synthèse que je fais des propos des intervenants.
  • Marc Jalabert (Directeur de la Division Développeurs Plateformes et Ecosystème de Microsoft France) intervenait car Microsoft France est partenaire de l’opération.
Pascal Bernardon

Competence06.com - Sophia : nouvelle étape pour KMP (Knowledge Management Pla... - 0 views

  • Un projet vaste comme l'avait souligné Catherine Thomas de Rodige (CNRS) : "nous devons bâtir une solution de knowledge management pour favoriser le partenariat entre les firmes et les institutions de recherche dans le domaine des télécommunications. Nous devons pour cela réussir aussi à capturer le savoir-faire des firmes et des labos en matière de partenariat : les procédures, les finalités, les éléments pris en compte."
Christophe Deschamps

Darwin offre un engin de veille à l'entreprise 2.0 - Darwin Discovery Engine ... - 0 views

  • “Une approche plus fidèle au Web 2.0 serait en mesure de livrer ces faits dans leur contexte, avec en prime des accroches qui attirent l’attention et permettant à l’utilisateur de creuser certains aspects de son choix”.
  • L’introduction des outils de Web 2.0 dans l’entreprise augmentent le risque de perte par l’isolation des informations dans les différents silos de stockage, surtout si ces nouveaux outils ne sont pas connectés entre eux et avec le reste. Darwin offre la possibilité de percevoir l'émergence des relations entre les différents contenus à travers l'ensemble des outils utilisés.
  • Grâce à son Scan Cloud™ Darwin rend la valeur du contenu de l’Entreprise 2.0 visible et mesurable (Veille et Evaluation). Non seulement vous pouvez voir les relations entre les éléments reliés entre eux dans un nuage de mots, mais aussi ces liens se rafraîchissent à mesure que vous vous déplacez dans le nuage. Cette propriété dynamique permet aux utilisateurs de voir les corrélations qui existent à travers les contenus de l'entreprise 2.0 (Découverte et Partage)
  • ...3 more annotations...
  • Darwin cherche à faire émerger les thèmes corrélés entre eux issus d’un environnement chaotique en se basant sur la mesure de corrélation vue dans la théorie du chaos. Ainsi, Darwin s'éloigne clairement des systèmes de classification par vote ou popularité actuellement utilisés par nombreux moteurs de recherche et aggregateurs de contenu pour ordonner leur résultats.
  • Darwin n’est pas un engin de remplacement des technologies entreprise 2.0, tableaux de bord, et autre outils de management des documents. Il est conçu pour compléter et renforcer ces technologies en rendant plus visible le savoir tacite enfermé dans leurs systèmes.
  • C’est une application internet (Scan Cloud™) ou cela peut aussi devenir une solution customisée grâce à l'accès API offert. Cela fonctionne sur un serveur Web avec des services et base de données qui corrèlent les différentes sources Web 2.0.
Christophe Deschamps

L'entreprise 2.0 et le mythe de la création de contenu - 0 views

  • L’employé ne produit pas des contenus mais de l’information, il en produit de plus en plus, et en vertu du principe selon lequel “si seulement l’entreprise savait ce que sait l’entreprise”, il serait bon qu’il en produise davantage.
  • l’entreprise a l’habitude de considérer que ce qui ne répond pas à ces critères ne sert à rien (ce qui n’est pas faut car ne répondant pas à un besoin) et donc que sa génération est du temps perdu. C’est là où les fameux contenus resemblent à ceux du web 2.0 : générés, mis à dispostion, sans pour autant savoir a priori comment ils seront utilisés par la suite. Et lorsqu’elle ne sait pas a priori a quoi quelque chose va servir, l’entreprise a tendance à decreter que ce quelque chose est inutile.
  • La “génération du contenu” étant un acte unique alors que le besoin pouvant se répeter un nombre indéfini de fois dans le temps temps, éviter ce qui était une perte de temps a priori donne lieu à de multiples pertes de temps a postériori.
  • ...4 more annotations...
  • Une collection de best practices que personne ne consulte et ne met en œuvre n’a d’autre valeur que celle d’exister. Il faut donc peu a peu faire acquérir ce réflexe aux collaborateurs, faire en sorte que concentrer expression des besoins et des solutions en un même endroit.
  • Cette mise en relation sera logicielle et humaine. Logicielle car il existe aujourd’hui des outils de publication / classement / évaluation / recherche / redirection de l’information parfaitement adaptés.
  • Humaine ensuite car la logique de sollicitation de ses contacts afin qu’à leur tour ils sollicitent les leurs afin de trouver une solution, une réponse, qui est existe et a prouvé son efficacité depuis la nuit des temps de va pas disparaitre pour autant. Il s’agit simplement de la faciliter, connecter les bonnes personnes sur des critères de pertinence afin qu’elles intéragissent entre elles, partagent informations et contacts. Par contre le caractère chronophage de ce type de pratique est proportionnel à la taille de l’organisation. Il s’agit donc de fluidifer et rationaliser tout cela, et là intervient la composante réseau social qui va devenir bientôt nécessaire à tout système d’information nécessaire.
  • rien ne sera possible tant que la logique amenant du contenu à la valeur ne sera pas explicitée et que ce qui permet de passer de l’un à l’autre ne sera pas mis en place. Contenus, outils et bonnes pratiques ne se suffisent pas, il faut les trois. Et les managers verront alors l’intérêt de voir leurs équipes générer du contenu.
  •  
    Très bon article de Bertrand Duperrin sur la création de contenu dans l'entreprise et comment y parvenir.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
  • ...13 more annotations...
  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
  •  
    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
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