Google de son côté est particulier actif ses derniers temps sur le marchés des applications d'entreprise. Parmi les annonces de ces derniers jours, on peut citer Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google Wave, une nouvelle version de sa Google Search Appliance sans oublier Fusion Tables qui n'est encore qu'un outil expérimental, mais qui pourrait bousculer le domaine des bases de données.
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Google se rapproche des entreprises et de... Microsoft - 0 views
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« La division entreprise est l'un des trois axes stratégiques de Google parmi les outils de recherches (search), les liens publicitaires et commerciaux (ads) et la suite applicative bureautique Web 2.0 en mode SAAS (apps) »
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Contrairement aux éditeurs traditionnels, Google a une phase de développement de produits qui s'appuie largement sur les utilisateurs. Il peut donc proposer des versions beta accessibles en libre service auprès de développements, sans trop se soucier de l'intérêt commercial de ces nouveaux outils.
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Fusion Tables est encore un produit expérimental destiné à intégrer des données issues de sources différentes et de formats différents dans une même table et de fournir des fonctions de collaboration, de requêtes, de visualisation et de publication sur le Web. Fusion Tables est plutôt destinée aux très grands volumes de données.
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Cette semaine, Google dévoilait Google Apps Sync for Microsoft Outlook, un outil permettant de synchroniser leurs courriers, calendrier et carnets d'adresse entre Exchange/Outlook et Gmail. Cet outil fait suite à un autre qui permet de faire à peu près la même chose sur la téléphonie mobile. Cet outil qui est proposé comme un plug in est disponible pour les utilisateurs des versions payantes de Google Apps, à savoir les versions Premier et Education Edition.
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Quel est l'intérêt de cette offre ? Tout simplement que beaucoup d'utilisateurs préfèrent ou sont déjà habitués à l'interface d'Outlook.
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Le plug-in est pour l'instant disponible uniquement en anglais, il est compatible avec Outlook 2007, Windows XP SP3 et Vista.
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Google Apps est commercialisé à 50 dollars par utilisateur et par an. Google aurait quelque 500 000 utilisateurs payants de Google Apps Premier Edition (Soit un chiffre d'affaires en base annuel de 25 M$ en abonnement).
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D'autres fournisseurs comme IBM, Oracle, Novell et Sun reconnaissent que le support natif d'Outlook est le meilleur moyen de lutter contre Exchange (l'utilisateur final ne se soucie pas de savoir quel est le serveur de messagerie mis en œuvre par l'entreprise) »
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Google positionne son plug-in comme un outil permettant aux entreprises d'effectuer une migration d'Exchange vers Gmail plutôt que comme une combinaison permanente
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Google Wave n'est pas encore un Tsunami Parallèlement à cette offre tactique qu'est Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google a montré avec Google Wave ce que pourrait être un outil de messagerie et collaboration dans les années à venir.
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Google Wave intègre plusieurs fonctionnalités en général distribuées dans différentes solutions, à savoir les messageries électronique et instantanée, collaboration en temps réel et traitement de document à plusieurs (une sorte de Wiki en plus perfectionné).
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« Avec Wave, Google veut changer fondamentalement la manière avec laquelle les utilisateurs/internautes (internausateurs ou utilisanautes) communiquent en transformant le Web en un système de collaboration temps réel intégré »
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Google Wave ne concurrencera pas Lotus Notes, Microsoft Exchange ou Office SharePoint Server avant 5 à 10 ans
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Conçues selon une architecture dynamique, plusieurs GSA, même distantes, peuvent fonctionner en parallèle
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La GSA 6.0 offre des options de personnalisation pour l'administration, la sécurité, les paramètres de classements des documents... Elle inclut ce que l'on appelle des fonctions de recherche dites sociales, c'est-à-dire issues des suggestions des utilisateurs.
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L'entreprise 2.0 à l'épreuve de la productivité - Blogs - ZDNet.fr - 0 views
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Tout cela reflète les multiples et insoupçonnés usages susceptibles de se développer à partir d’applications dont l’utilisateur est le centre de gravité
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Pas encore gagné pour les évangélistes de l’entreprise 2.0 de convaincre des carences de l’e-mail en matière de productivité. L'improductivité est un bon argument pour ne pas s’égarer dans les méandres de l’entreprise 2.0
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Comment rendre compte de la qualité des échanges ? Comment passer d'une notion quantitative de l'action à une notion qualitative de l'"inter-action" ?
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Si ces nouveaux outils génèrent les mêmes réactions que le téléphone, l'email et l'usage du web en leur temps, probablement faut-il aussi y voir le fait que la technologie, et ses usages, progresse beaucoup plus vite que les habitudes des décideurs, et qu'ils ont parfois du mal (légitimement) à comprendre l'intérêt de certains outils qu'ils n'ont jamais utilisés... par ailleurs, nombreux sont ceux qui ne jurent que par la relation directe, et qui restent méfiant vis-à-vis des apports des outils électroniques.
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Le jour où la perte de productivité dûe aux réseaux sociaux ou plus généralement à l'utilisation d'internet dans l'entreprise sera quantifiée au delà du gain permit par ces mêmes outils, je reprends mon souffle car cette phrase est longue, des solutions seront amenées par des prestataires de services pour le contrôle de l'utilisation du réseau
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Travaillant dans une société qui a mis en place un indicateur sur les mails je suis moins persuadfé que tous les employeurs voient le mail comme un outil de prtoductivité. Je crois qu'il y a un biai commun c'est de confondre l'outil et le besoin. Finalement un messenger, une formation et (même) une machine a café sont à la fois des causes de productivités et de non productivuté. Tous ceci ne sont que des outils et c'est la manière de les utiliser qui changent. Par exemple, aussi bien les mails que les messengers sont des causes d'interruptions dans le travail quotidien. Une interruption sur une tache sur laquelle vous êtes en cours est une cause de non productivité mais aussi souvent de stress ce qui est encore pire. Au global ce qui me soucie dans cette manière d'aborder les choses c'est qu'au lieu de réfléchir outillage il faudrait réfléchir condition et méthodes de travail en premier.
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shared by Christophe Deschamps on 20 Dec 10
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Entreprise 2.0 en 2011 : la valeur ou le déni ? - 3 views
www.duperrin.com/...0-en-2011-la-valeur-ou-le-deni
ib entreprise 2.0 management gestion de projet 2.0 2010 pro
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Maintenant il y a loin des discours aux actes et tout dépendra de la capacité de l’entreprise 2.0 à sortir d’une forme de déni d’entreprise. Accepter de parler franchement de valeur, mettre les mains dans les sujets complexes et sensibles de la mécanique productive, sortir de la vision idéaliste et angélique d’une entreprise rêvée menée par la passion, l’ouverture et les bons sentiments seront des sujets clé en 2011.
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C’est ce qu’il nomme la mise en capacité de l’organisation par la technologie (ou tech-enabled organization). Ce mode de fonctionnement étant rendu souhaitable, voire nécessaire, par la transformation des modes de travail induite par l’évolution de notre économie et des modèles de création de valeur, on a essayé d’implanter ces fameux outils dans l’entreprise. Souvent en vain. On s’est alors rendu compte (pour ceux qui en doutaient) que l’outil n’était qu’un facilitateur
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il est devenu évident qu’il fallait s’attaquer en profondeur à la structure du travail et de l’organisation (voir mes “prédictions” 2009 et 2010), à la fois pour rendre les choses possibles et pour s’assurer du bénéfice de l’opération en termes de création de valeur. Ce qui a amené un certain consensus courant 2010 vers la nécessité de s’attaquer, entre autres, aux business process à la fois pour des raisons d’alignement et d’impact sur la valeur.
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Récapitulons : • Prise de conscience qu’il faut s’attaquer aux rouages, à la mécanique de l’organisation • Prise de conscience qu’il faut articuler les dynamiques “hors flux” et “dans le flux” de travail (in the flow et above the flow pour les érudits). • Prise de conscience qu’il faut aller au delà des simples dynamiques communautaires. • Développement, par ailleurs, d’un grand savoir faire sur la mise en place de ces dynamiques communautaires. Soyons honnêtes : on a les best practices, des monceaux de méthodologie, des cas à foison et des outils pour supporter le tout. On sait faire fonctionner des communautés et ce qui donne le sentiment contraire, fait penser que la réussite dans ce domaine est rare, c’est qu’on veut transformer en communautés ce qui n’en n’est pas (d’où l’intérêt d’aller voir au delà…). • On a des outils qui tiennent la route.
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N’avez vous pas remarqué que finalement peu de choses nouvelles vraiment intéressantes ont été dites ou écrites ces derniers mois (j’ai dit “peu”…pas “pas”) ? Qu’on pourrait republier nos billets d’il y a un an sans que personne ne s’en rende compte ? Deux reponses à cela : soit nous étions quelques visionnaires vraiment en avance…soit rien n’a changé. Et je penche plutôt pour la seconde solution.
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La raison ? Le microcosme 2.0 se complait dans une forme d’angélisme fondé sur une sorte de “flower power management” qui aurait été de bon teint dans les années 70. Tout doit n’être qu’engagement volontaire, passion, démonstration, engouement. Le process c’est le vieux monde et c’est sale. La valeur et l’argent aussi. Le ROI n’en parlons pas. Il y a un point de basculement a passer, des choses à acter, une direction à prendre mais au delà du consensus mou il y a une gêne évidente. On rechigne a abandonner le territoire de l’entreprise confraternelle idéalisée pour mettre le bleu de chauffe et aller réparer la chaudière et la tuyauterie dans la salle des machines.
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1°) Futile : Beaucoup de temps et d’énergie seront gaspillés à discuter les mérites respectifs de l’entreprise 2.0 et du social business. Ca évitera de parler d’autre chose et laissera les entreprises dans un doute encore plus profond qu’aujourd’hui.
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2°) Stratégique : soit l‘entreprise 2.0 reste dans le déni de réalité soit elle met les mains dans le cambouis. Dans le second cas on sera encore là pour parler du sujet dans un an ou deux, avec des résultats tangibles et mesurables, dans le premier les entreprises se seront lassées avant.
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Avoir le courage de parler des sujets qui font peur : redéfinir le travail, la manière dont on évalue la contribution de chacun à la création de valeur, dont on rémunère les gens en fonction, trouver des indicateurs financiers et comptables pertinents pour rendre les modes de fonctionnement nouveaux acceptables.
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Assumer le fait que soit on parle d’un projet stratégique d’entreprise qui doit s’imposer à tous, ce qui implique d’assumer ses choix et avoir le courage d’en tirer toutes les conséquences, soit on est dans le nice to have cosmétique et se demander si l’énergie et l’argent dépensés en valent la peine.
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Et attendons à entendre des choses du genre “pour faire les malins avec des médias sociaux et avoir des discussions sympas y’a du monde, pour régler des vrais problèmes business y’a plus personne”. Et ça sera mérité.
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On ne transformera pas l’essai tant que les “outils sociaux” constitueront une bulle à part, seront indépendants du reste des outils de l’entreprise. Devoir dire à un utilisateur : “rendez vous sur tel outil” c’est déjà perdre la partie.
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intégration avec toute type d’outil du SI traditionnel et possibilité d’utiliser (et enrichir)les fonctionnalités de l’application en tant que services hors de l’application, au sein d’une couche sociale commune à l’ensemble du SI.
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Une entreprise est une structure économique et sociale qui regroupe des moyens humains, matériels, immatériels (service) et financiers, qui sont combinés de manière organisée pour fournir des biens ou des services à des clients dans un environnement concurrentiel (le marché) ou non concurrentiel (le monopole) avec un objectif de rentabilité.
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shared by Eric Salviac on 14 Oct 09
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L'entreprise 2.0 : Besoin de sécurité ou d'éducation ? - 2 views
www.securityvibes.com/d-web-20-jln-news-3003390.html
entreprise2.0 securité rssi education oplusimple
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Le web 2.0 a permis l'avènement des usages collaboratifs, de la participation des utilisateurs au travers des sites publics. L’entreprise 2.0 utilise quant à elle les mêmes concepts, mais cette fois afin de mettre à la disposition de ses collaborateurs, clients ou partenaires d'affaire, des outils riches tels que les blogs, les wiki, ou même les réseaux sociaux.
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Ces nouvelles pratiques amènent la SSI à se voir attribuer un rôle nouveau, où la communication et le "marketing de la sécurité" prennent une place plus importante. Le métier du RSSI change ainsi pour passer d'une position autarcique à un rôle de facilitateur du business, en permettant notamment une utilisation efficace et sûre de ces nouveaux outils.
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L'efficacité, ici, consiste à éduquer l'utilisateur et l'aider à s'approprier les outils, bien sûr. Mais aussi être en mesure de contrôler ensuite l'utilisation qui en est faite.
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Cette éducation passe notamment par la sensibilisation des utilisateurs aux risques liés à la communication d'informations via le web 2.0, et à l'impact que la divulgation pourra avoir sur l'entreprise.
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A noter que pour réussir dans sa mission, le RSSI se doit de maîtriser parfaitement ces outils afin d'aider les utilisateurs à comprendre comment et quand les utiliser. Le RSSI se doit en outre d'utiliser de tels outils afin de bien cerner les moyens de contrôle à sa disposition. A ce sujet, rappelons que le contrôle ne peut pas être seulement technique, mais qu'il devra aussi prendre en compte la dimension d'usage des outils (qu'est ce qui fait sens pour l'utilisateur, donc que peut-on/doit-on contrôler ?).
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Outil RSS - convertisseur de flux rss en pdf. - 0 views
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shared by Christophe Deschamps on 27 Jun 09
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L'entreprise et le web - 0 views
www.duperrin.com/...lentreprise-et-le-web
ib entreprise 2.0 enterprise 2.0 web2.0 Social software adoption technos 2.0
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Interfaces légères, utilisation intuitive, dimension sociale : on ne regarde plus le web sans se parler entre nous mais on s’en sert pour intéragir.
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Soyons honnêtes, tout cela a été quelque peu survendu mais la masse critique était telle qu’il devait forcément en sortir quelque chose.
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Un des éléments nécessaires au succès était le contexte, une dimension largement moins facile à importer que la technologie elle-même.
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Pour la première fois l’appropriation technologique que l’entreprise pratiquait jusque là avec succès devait se doubler d’une appropriation comportementale. Un challenge d’autant plus difficile que les personnes en charge de l’un ne sont pas celles en charge de l’autre et que les fameux “usages” inquiétaient à juste titre : il fallait de plus les professionnaliser.
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La professionalisation des usages est possible mais encore difficile à comprendre pour l’entreprise qui a besoin de quelque chose de plus structurant pour avancer. Ce qui amène à penser que la prochaine étape sera davantagé liée aux processus opérationnels.
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Il n’est plus question ici d’importer des technologies mais de construire des “services” répondant à des besoins organisationnels. Cela peut sembler complexe mais c’est en fait plus compréhensible pour l’entreprise car se rapproche de logiques d’organisation de production qui lui sont plus familières que les logiques d’usage. Par services j’entend des couples “outils / mode de travail”
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Le “web en tant que plateforme” au sein de l’entreprise va servir à enrichir les processus existants et donner de l’autonomie au collaborateur pour atteindre ses objectifs dans une entreprise en réseau.
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Un alignement des outils doit donc également être mis en place. Le collaborateur ne peut passer sa vie à servir de gare de triage entre les flux des outils internes, des outils utilisés avec clients et partenaires et des outils permettant de communiquer avec le monde au sens large.
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En fait la qualité de l’adoption du web dans une entreprise dépend quasi exclusivement de la capacité de celle-ci à penser conjointement l’évolution de la technologie, des modes de travail et des rapports de l’entreprise à son ecosystème.
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La preuve que finalement le web en tant que tel n’a aucune importance : il arrive naturellement dans tout projet d’entreprise bien pensé, s’appuyant sur une vraie vision.
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Finalement beaucoup de débats actuels sont liés à la capacité de l'entreprise à comprendre, apprivoiser et utiliser le web à son profit, en interne. Un sujet a priori anodin puisque purement technologique et nécessitant des compétences autrement plus simples que celles mises en œuvres jusque là sur les infrastructures d'entreprise. Mais au final un sujet pas si anodin que cela.
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shared by Christophe Deschamps on 20 Sep 10
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Ce qui manque aux médias sociaux ? L'intelligence - 4 views
www.duperrin.com/...x-medias-sociaux-lintelligence
ib 2010 entreprise 2.0 intelligence artificielle business intelligence social software
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La valeur de ces outils dans l’entreprise repose sur l’intelligence, et ce à double titre :- l’intelligence que les utilisateurs y déposent- l’intelligence dont ils font preuve pour s’y retrouver
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Aujourd’hui les utilisateurs les plus actifs en entreprise sont ceux qui satisfont le second critère, que ce soit par habitude personnelle ou capacité à apprendre vite. Ce qui pose deux problèmes :- la valeur résultant d’un certain niveau critique d’utilisation, il faut aller au delà de ce premier groupe de personnes et rendre les choses simples pour n’importe qui dans l’entreprise.- tout étant question de temps, il est logique qu’au niveau de l’entreprise on soit soucieux de voir les collaborateurs utiliser leur temps pour partager de l’intelligence et l’utiliser dans le cadre de leur travail que la trier pour se la rendre utilisable.
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il serait bon de ne pas seulement se fier à l’intelligence des utilisateurs mais également essayer d’incorporer une forme d’intelligence dans le produit. Autrement dit, après avoir exploré la manière de mettre les logiques de social media au service de la Business Intelligence, essayons de mettre la BI au service de ces outils.
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il importe donc de réunir l’ensemble de ces signaux en un endroit unique où ils pourront être traités sans que le collaborateur ne se disperse, ce qui rend encore plus indispensable de rendre cet endroit unique intelligent. Cela peut se faire de deux manières :- en laissant l’utilisateur “dire” à l’outil ce qui est le plus important pour lui- en rendant l’outil capable de comprendre les priorités de chacun en apprenant de leurs usages, ce qui est un pur travail de BI.
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on ne s’attend pas une seconde à ce qu’un outil métier anticipe un besoin et vienne se mêler à une conversation. C’est pourtant quelque chose de souhaitable qui finira bien par arriver.
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. Plus on rendra le système intelligent plus le collaborateur pourra se consacrer à des tâches où sa valeur ajoutée est unique, où il est irremplaçable. L’outil métier, avant d’intéragir avec l’utilisateur doit en effet être capable d’apprendre de lui.
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Une dernière raison à cette évolution inéluctable : lorsqu’on regarde le marché des logiciels “sociaux” d’entreprise on ne peut que constater deux choses :- leur valeur réside dans l’intelligence des collaborateurs- en termes de produit n’importe qui peut, avec quelques moyens, développer une application comprenant blogs, wikis, boomarks, microblog, espaces communautaires et activity stream. La preuve : de nouvelles plateformes voient le jour chaque semaine et la plupart se ressemblent trait pour trait.
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Pour exister durablement sur ce marché, un éditeur devra apporter une valeur ajoutée propre, interne au produit. On va donc passer d’outils “qui ne font rien” et tirent leur valeur de ce que font les utilisateurs à des outils qui “font” et apportent une valeur ajoutée à l’utilisateur.
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Bloc Note de Bertrand DUPERRIN » Comment passer votre entreprise au 2.0 - 0 views
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S’il s’agit juste d’adopter des outils 2.0 en interne je suis 100% d’accord avec Euan. Laissons faire…Il est évident qu’aucune entreprise ne pouvant tolérer de laisser rentrer de nouveaux outils, cela doit se faire à la marge de l’organisation dont on espère bien que l’inertie empêche un éventuel contre-feux en attendant que s’installent des pratiques que personne ne remettre alors en cause
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ce qui caractérise l’adoption d’outils 2.0 n’est pas l’outil en soi mais la manière dont en s’en sert. Il ne s’agit pas là d’installer à la sauvette un navigateur web autre que le navigateur officiel certifié par la DSI de l’entreprise
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Oui. A moins que… A moins que l’entreprise ne décide elle même que l’adoption de nouveaux modes d’interactions interpersonnels ne soit nécessaire à sa compétitivité dans le monde d’aujourd’hui. Et la seule manière de rendre ces pratiques effectives dans l’entreprise déconcontrée est de rendre ces pratiques effectives sur le seul lieu de rencontre et d’échange commun à tous les membres de l’entreprise : l’intranet.
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Les outils seraient donc, à ce moment, le support d’une politique d’entreprise et ils y trouveraient de suite leur place par le besoin même de l’organisation.
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Stratégie 2.0 implique ==> Management 2.0, Outils 2.0, marketing 2.0, recrutement 2.0, Rh 2.0 afin de construire ==> Entreprise 2.0.
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shared by Christophe Gauthier on 25 Dec 08
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Silobreaker: Welcome - 0 views
www.silobreaker.com
news agrégateur aggregator web2.0 silobreaker searchengine veille secafi mindmapping online sources d'info RSS
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Diigo: excellent outil de travail collaboratif | Activeille - 0 views
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Mais il me semble qu’il prend toute sa valeur comme outil de travail collaboratif quand on mesure, comme je viens de le faire, que tout ce qui précède semble applicable en intranet
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oilà un outil qui vient de sortir en version publique, après six mois de tests privés, et qui est tout à fait remarquable.
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La première, celle des concepteurs, permet de découvrir une architecture riche qui couvre la gestion des liens, avec de nombreuses possibilités de classement (répertoires, tags), la recherche dans les signets (incluant le texte de la page et les annotations). Le contenu d’une page web peut être sélectionné (en totalité ou partie) et marqué (par soulignement).
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En principe en survolant le paragraphe précédent vous devriez en voir le contenu (si vous êtes membre enregistré).
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Encore plus fort: à cette partie, que j’ai soulignée et que vous voyez, vous pouvez associer (si vous êtes enregistré) une note brève que vous créez à la volée. A mon tour je serai en mesure de lire vos commentaires…
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en lisant une page web intéressante, vous vous dites qu’il y a un ou deux paragraphes qu’il serait intéressant d’envoyer à un collègue. A coups de copier/coller c’est faisable mais plutôt rébarbatif. En deux clics droit de souris Diigo le fait pour vous.
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shared by Miguel Membrado on 03 Aug 08
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La culture par objectif favorise le télétravail - 0 views
www.atelier.fr/...ies-communications-36478-.html
enterprise2.0 entreprise2.0 management petroleum pétrole remoteworking télétravail
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shared by Christophe Deschamps on 12 Sep 09
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Darwin offre un engin de veille à l'entreprise 2.0 - Darwin Discovery Engine ... - 0 views
blog.darwindevcorp.com/...lle-%C3%A0-lentreprise-20.html
veille logiciel de veille entreprise 2.0 enterprise 2.0
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“Une approche plus fidèle au Web 2.0 serait en mesure de livrer ces faits dans leur contexte, avec en prime des accroches qui attirent l’attention et permettant à l’utilisateur de creuser certains aspects de son choix”.
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L’introduction des outils de Web 2.0 dans l’entreprise augmentent le risque de perte par l’isolation des informations dans les différents silos de stockage, surtout si ces nouveaux outils ne sont pas connectés entre eux et avec le reste. Darwin offre la possibilité de percevoir l'émergence des relations entre les différents contenus à travers l'ensemble des outils utilisés.
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Grâce à son Scan Cloud™ Darwin rend la valeur du contenu de l’Entreprise 2.0 visible et mesurable (Veille et Evaluation). Non seulement vous pouvez voir les relations entre les éléments reliés entre eux dans un nuage de mots, mais aussi ces liens se rafraîchissent à mesure que vous vous déplacez dans le nuage. Cette propriété dynamique permet aux utilisateurs de voir les corrélations qui existent à travers les contenus de l'entreprise 2.0 (Découverte et Partage)
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Darwin cherche à faire émerger les thèmes corrélés entre eux issus d’un environnement chaotique en se basant sur la mesure de corrélation vue dans la théorie du chaos. Ainsi, Darwin s'éloigne clairement des systèmes de classification par vote ou popularité actuellement utilisés par nombreux moteurs de recherche et aggregateurs de contenu pour ordonner leur résultats.
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Darwin n’est pas un engin de remplacement des technologies entreprise 2.0, tableaux de bord, et autre outils de management des documents. Il est conçu pour compléter et renforcer ces technologies en rendant plus visible le savoir tacite enfermé dans leurs systèmes.
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C’est une application internet (Scan Cloud™) ou cela peut aussi devenir une solution customisée grâce à l'accès API offert. Cela fonctionne sur un serveur Web avec des services et base de données qui corrèlent les différentes sources Web 2.0.
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Businesses Can't Hide From 2.0: A Look At 2.0's Impact Across Industries - 0 views
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Les outils 2.0 en entreprise exigent un temps d'adaptation - 0 views
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L'usage des Wikis, des blogs, des flux RSS, des podcasts ou des réseaux sociaux est à peu près partout en augmentation
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Paradoxalement, les Etats-Unis sont le continent où le web 2.0 suscite le plus de réserves avec environ un tiers de personnes insatisfaites
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à l'enthousiasme des débuts succède souvent une prise de conscience des difficultés qu'il y a à tirer parti de ces outils qui ne sont pas une fin en soi.
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Panorama des outils 2.0 au service de la veille - 0 views
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La veille collaborative est aujourd'hui une réalité dans de nombreuses entreprises. Cette collaboration s'insère à toutes les étapes du processus de veille : ciblage, collecte, analyse et diffusion. Dans ce contexte, les outils issus du web 2.0 peuvent largement contribués à l'amélioration des activités de veille.
70 outils de veille sur internet (2ème partie) | Web Intention - 0 views
GillesBalmisse.com - Technologies et connaissances - Partage de connaissances... - 9 views
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