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Miguel Membrado

Web 2.0 : les entreprises n'adoptent pas les outils de collaboration - 0 views

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    Malgré leur succès incontesté dans le domaine grand public, les outils de collaboration en ligne du web 2.0 peinent à s'imposer en entreprise. C'est ce que révèle une récente étude du cabinet d'analyse Forrester. Quelques chiffres : 68 % des employés utilisent toujours email & téléphone pour collaborer (!). Ils sont de plus en plus souvent secondés par la messagerie instantanée (15% des employés) et la web conférence (13 %) (seulement !). Les réseaux sociaux ne sont utilisés que par 8 % des employés, les blogs par 5 % des collaborateurs et les wiki par 4 %. MAIS Les outils de bureautique en ligne (Google Apps, Windows Live, etc.) semblent en revanche décoller puisque 16 % des employés y auraient désormais recourt. La transformation des usages vers les nouveaux outils de productivité bureautique est bien en route :)
Eric Salviac

Entreprise 2.0: quand les réseaux sociaux se muent en plateformes collaboratives - 0 views

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    Faut-il interdire l'accès aux réseaux sociaux à partir des ordinateurs professionnels? Les réseaux sociaux d'entreprises connaissent-ils le même succès que les réseaux sociaux du Web? En quoi ces outils pourraient-ils rendre l'entreprise plus performante?
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0 en 2011 : la valeur ou le déni ? - 3 views

  • Maintenant il y a loin des discours aux actes et tout dépendra de la capacité de l’entreprise 2.0 à sortir d’une forme de déni d’entreprise. Accepter de parler franchement de valeur, mettre les mains dans les sujets complexes et sensibles de la mécanique productive, sortir de la vision idéaliste et angélique d’une entreprise rêvée menée par la passion, l’ouverture et les bons sentiments seront des sujets clé en 2011.
  • C’est ce qu’il nomme la mise en capacité de l’organisation par la technologie (ou tech-enabled organization). Ce mode de fonctionnement étant rendu souhaitable, voire nécessaire, par la transformation des modes de travail induite par l’évolution de notre économie et des modèles de création de valeur, on a essayé d’implanter ces fameux outils dans l’entreprise. Souvent en vain. On s’est alors rendu compte (pour ceux qui en doutaient) que l’outil n’était qu’un facilitateur
  • il est devenu évident qu’il fallait s’attaquer en profondeur à la structure du travail et de l’organisation (voir mes “prédictions” 2009 et 2010), à la fois pour rendre les choses possibles et pour s’assurer du bénéfice de l’opération en termes de création de valeur. Ce qui a amené un certain consensus courant 2010 vers la nécessité de s’attaquer, entre autres, aux business process à la fois pour des raisons d’alignement et d’impact sur la valeur.
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  • Récapitulons : • Prise de conscience qu’il faut s’attaquer aux rouages, à la mécanique de l’organisation • Prise de conscience qu’il faut articuler les dynamiques “hors flux” et “dans le flux” de travail (in the flow et above the flow pour les érudits). • Prise de conscience qu’il faut aller au delà des simples dynamiques communautaires. • Développement, par ailleurs, d’un grand savoir faire sur la mise en place de ces dynamiques communautaires. Soyons honnêtes : on a les best practices, des monceaux de méthodologie, des cas à foison et des outils pour supporter le tout. On sait faire fonctionner des communautés et ce qui donne le sentiment contraire, fait penser que la réussite dans ce domaine est rare, c’est qu’on veut transformer en communautés ce qui n’en n’est pas (d’où l’intérêt d’aller voir au delà…). • On a des outils qui tiennent la route.
  • N’avez vous pas remarqué que finalement peu de choses nouvelles vraiment intéressantes ont été dites ou écrites ces derniers mois (j’ai dit “peu”…pas “pas”) ? Qu’on pourrait republier nos billets d’il y a un an sans que personne ne s’en rende compte ? Deux reponses à cela : soit nous étions quelques visionnaires vraiment en avance…soit rien n’a changé. Et je penche plutôt pour la seconde solution.
  • La raison ? Le microcosme 2.0 se complait dans une forme d’angélisme fondé sur une sorte de “flower power management” qui aurait été de bon teint dans les années 70. Tout doit n’être qu’engagement volontaire, passion, démonstration, engouement. Le process c’est le vieux monde et c’est sale. La valeur et l’argent aussi. Le ROI n’en parlons pas. Il y a un point de basculement a passer, des choses à acter, une direction à prendre mais au delà du consensus mou il y a une gêne évidente. On rechigne a abandonner le territoire de l’entreprise confraternelle idéalisée pour mettre le bleu de chauffe et aller réparer la chaudière et la tuyauterie dans la salle des machines.
  • quelques tendances fortes pour 2011 :
  • 1°) Futile : Beaucoup de temps et d’énergie seront gaspillés à discuter les mérites respectifs de l’entreprise 2.0 et du social business. Ca évitera de parler d’autre chose et laissera les entreprises dans un doute encore plus profond qu’aujourd’hui.
  • 2°) Stratégique : soit l‘entreprise 2.0 reste dans le déni de réalité soit elle met les mains dans le cambouis. Dans le second cas on sera encore là pour parler du sujet dans un an ou deux, avec des résultats tangibles et mesurables, dans le premier les entreprises se seront lassées avant.
  • Avoir le courage de parler des sujets qui font peur : redéfinir le travail, la manière dont on évalue la contribution de chacun à la création de valeur, dont on rémunère les gens en fonction, trouver des indicateurs financiers et comptables pertinents pour rendre les modes de fonctionnement nouveaux acceptables.
  • Assumer le fait que soit on parle d’un projet stratégique d’entreprise qui doit s’imposer à tous, ce qui implique d’assumer ses choix et avoir le courage d’en tirer toutes les conséquences, soit on est dans le nice to have cosmétique et se demander si l’énergie et l’argent dépensés en valent la peine.
  • Et attendons à entendre des choses du genre “pour faire les malins avec des médias sociaux et avoir des discussions sympas y’a du monde, pour régler des vrais problèmes business y’a plus personne”. Et ça sera mérité.
  • On ne transformera pas l’essai tant que les “outils sociaux” constitueront une bulle à part, seront indépendants du reste des outils de l’entreprise. Devoir dire à un utilisateur : “rendez vous sur tel outil” c’est déjà perdre la partie.
  • intégration avec toute type d’outil du SI traditionnel et possibilité d’utiliser (et enrichir)les fonctionnalités de l’application en tant que services hors de l’application, au sein d’une couche sociale commune à l’ensemble du SI.
  • Une entreprise est une structure économique et sociale qui regroupe des moyens humains, matériels, immatériels (service) et financiers, qui sont combinés de manière organisée pour fournir des biens ou des services à des clients dans un environnement concurrentiel (le marché) ou non concurrentiel (le monopole) avec un objectif de rentabilité.
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    Excellent billet de @bduperrin
Christelle Gamache

Des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseau sociaux - 0 views

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    Les espaces numériques des bibliothèques ont pour mission de favoriser l'accès du grand public aux nouvelles technologies. Quels que soient l'âge et le niveau des utilisateurs, des ateliers et des rendez-vous individuels sont mis au point par les responsables tout au long de l'année. Le Centre de Ressources des EPN (Espaces Publics Numériques) de Wallonie nous signale une belle initiative de leurs collègues des Espaces Publics Numériques de la Bibliothèque Municipale de Lyon. En effet, ces derniers ont publié des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseaux sociaux. Disponibles gratuitement au format PDF, ces documents sont destinés à sensibiliser et former le grand public sur les nouveaux outils du Net.
Christophe Deschamps

Ce qui manque aux médias sociaux ? L'intelligence - 4 views

  • La valeur de ces outils dans l’entreprise repose sur l’intelligence, et ce à double titre :- l’intelligence que les utilisateurs y déposent- l’intelligence dont ils font preuve pour s’y retrouver
  • Aujourd’hui les utilisateurs les plus actifs en entreprise sont ceux qui satisfont le second critère, que ce soit par habitude personnelle ou capacité à apprendre vite. Ce qui pose deux problèmes :- la valeur résultant d’un certain niveau critique d’utilisation, il faut aller au delà de ce premier groupe de personnes et rendre les choses simples pour n’importe qui dans l’entreprise.- tout étant question de temps, il est logique qu’au niveau de l’entreprise on soit soucieux de voir les collaborateurs utiliser leur temps pour partager de l’intelligence et l’utiliser dans le cadre de leur travail que la trier pour se la rendre utilisable.
  • il serait bon de ne pas seulement se fier à l’intelligence des utilisateurs mais également essayer d’incorporer une forme d’intelligence dans le produit. Autrement dit, après avoir exploré la manière de mettre les logiques de social media au service de la Business Intelligence, essayons de mettre la BI au service de ces outils.
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  • il importe donc de réunir l’ensemble de ces signaux en un endroit unique où ils pourront être traités sans que le collaborateur ne se disperse, ce qui rend encore plus indispensable de rendre cet endroit unique intelligent. Cela peut se faire de deux manières :- en laissant l’utilisateur “dire” à l’outil ce qui est le plus important pour lui- en rendant l’outil capable de comprendre les priorités de chacun en apprenant de leurs usages, ce qui est un pur travail de BI.
  • on ne s’attend pas une seconde à ce qu’un outil métier anticipe un besoin et vienne se mêler à une conversation. C’est pourtant quelque chose de souhaitable qui finira bien par arriver.
  • . Plus on rendra le système intelligent plus le collaborateur pourra se consacrer à des tâches où sa valeur ajoutée est unique, où il est irremplaçable. L’outil métier, avant d’intéragir avec l’utilisateur doit en effet être capable d’apprendre de lui.
  • Une dernière raison à cette évolution inéluctable : lorsqu’on regarde le marché des logiciels “sociaux” d’entreprise on ne peut que constater deux choses :- leur valeur réside dans l’intelligence des collaborateurs- en termes de produit n’importe qui peut, avec quelques moyens, développer une application comprenant blogs, wikis, boomarks, microblog, espaces communautaires et activity stream. La preuve : de nouvelles plateformes voient le jour chaque semaine et la plupart se ressemblent trait pour trait.
  • Pour exister durablement sur ce marché, un éditeur devra apporter une valeur ajoutée propre, interne au produit. On va donc passer d’outils “qui ne font rien” et tirent leur valeur de ce que font les utilisateurs à des outils qui “font” et apportent une valeur ajoutée à l’utilisateur.
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    Bertrand Duperrin pour l'intégration d'algos apprenants et de BI dans les plateformes sociales, au service de l'utilisateur final. Comment être contre?
Miguel Membrado

L'entreprise 2.0 à l'épreuve de la productivité - Blogs - ZDNet.fr - 0 views

  • L’entreprise 2.0 à l’épreuve de la productivité
  • Tout cela reflète les multiples et insoupçonnés usages susceptibles de se développer à partir d’applications dont l’utilisateur est le centre de gravité
  • Pas encore gagné pour les évangélistes de l’entreprise 2.0 de convaincre des carences de l’e-mail en matière de productivité. L'improductivité est un bon argument pour ne pas s’égarer dans les méandres de l’entreprise 2.0
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  • Comment rendre compte de la qualité des échanges ? Comment passer d'une notion quantitative de l'action à une notion qualitative de l'"inter-action" ?
  • Si ces nouveaux outils génèrent les mêmes réactions que le téléphone, l'email et l'usage du web en leur temps, probablement faut-il aussi y voir le fait que la technologie, et ses usages, progresse beaucoup plus vite que les habitudes des décideurs, et qu'ils ont parfois du mal (légitimement) à comprendre l'intérêt de certains outils qu'ils n'ont jamais utilisés... par ailleurs, nombreux sont ceux qui ne jurent que par la relation directe, et qui restent méfiant vis-à-vis des apports des outils électroniques.
  • Le jour où la perte de productivité dûe aux réseaux sociaux ou plus généralement à l'utilisation d'internet dans l'entreprise sera quantifiée au delà du gain permit par ces mêmes outils, je reprends mon souffle car cette phrase est longue, des solutions seront amenées par des prestataires de services pour le contrôle de l'utilisation du réseau
  • Travaillant dans une société qui a mis en place un indicateur sur les mails je suis moins persuadfé que tous les employeurs voient le mail comme un outil de prtoductivité. Je crois qu'il y a un biai commun c'est de confondre l'outil et le besoin. Finalement un messenger, une formation et (même) une machine a café sont à la fois des causes de productivités et de non productivuté. Tous ceci ne sont que des outils et c'est la manière de les utiliser qui changent. Par exemple, aussi bien les mails que les messengers sont des causes d'interruptions dans le travail quotidien. Une interruption sur une tache sur laquelle vous êtes en cours est une cause de non productivité mais aussi souvent de stress ce qui est encore pire. Au global ce qui me soucie dans cette manière d'aborder les choses c'est qu'au lieu de réfléchir outillage il faudrait réfléchir condition et méthodes de travail en premier.
Eric Salviac

L'entreprise 2.0 : Besoin de sécurité ou d'éducation ? - 2 views

  • Le web 2.0 a permis l'avènement des usages collaboratifs, de la participation des utilisateurs au travers des sites publics. L’entreprise 2.0 utilise quant à elle les mêmes concepts, mais cette fois afin de mettre à la disposition de ses collaborateurs, clients ou partenaires d'affaire, des outils riches tels que les blogs, les wiki, ou même les réseaux sociaux.
  • Ces nouvelles pratiques amènent la SSI à se voir attribuer un rôle nouveau, où la communication et le "marketing de la sécurité" prennent une place plus importante. Le métier du RSSI change ainsi pour passer d'une position autarcique à un rôle de facilitateur du business, en permettant notamment une utilisation efficace et sûre de ces nouveaux outils.
  • L'efficacité, ici, consiste à éduquer l'utilisateur et l'aider à s'approprier les outils, bien sûr. Mais aussi être en mesure de contrôler ensuite l'utilisation qui en est faite.
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  • Cette éducation passe notamment par la sensibilisation des utilisateurs aux risques liés à la communication d'informations via le web 2.0, et à l'impact que la divulgation pourra avoir sur l'entreprise.
  • A noter que pour réussir dans sa mission, le RSSI se doit de maîtriser parfaitement ces outils afin d'aider les utilisateurs à comprendre comment et quand les utiliser. Le RSSI se doit en outre d'utiliser de tels outils afin de bien cerner les moyens de contrôle à sa disposition. A ce sujet, rappelons que le contrôle ne peut pas être seulement technique, mais qu'il devra aussi prendre en compte la dimension d'usage des outils (qu'est ce qui fait sens pour l'utilisateur, donc que peut-on/doit-on contrôler ?).
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    Les nouveaux usages du web appliqué dans l'entreprise modifie profondément le rôle du rssi qui passe d'un rôle autarcique à un rôle de facilitateur et d'éducateur.
Ray Dacteur

Médias sociaux et difficulté d'appréhender un bénéfice par ricochet | Bloc-No... - 3 views

  • Pour convaincre les collaborateurs de faire leurs premiers pas sur des outils dits “2.0″ en entreprise il est impératif de leur montrer des bénéfices personnels rapides. Cela s’avère plus ou moins facile selon les outils.
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    Bertrand pose ici une question essentielle, peut-être encore plus cruciale dans notre société française peu encline au partage.
Christophe Deschamps

La productivité en entreprise a besoin des liens humains - 0 views

  • Réseaux sociaux et outils 2.0 ne sont pas un facteur de dissipation en entreprise, au contraire. Ils permettent aux collaborateurs de construire un climat de confiance avec des collègues mais aussi avec d'éventuels clients et partenaires,
  • Donner plus de liberté et de flexibilité aux employés est généralement perçu comme contre-productif, pourtant il s'avère au contraire que cela donne plus de stabilité aux entreprises qui se prêtent au jeu
  • Les technologies et les solutions de gestion qui facilitent la communication changent perpétuellement. Au vu du climat d'affaires actuel, elles représentent une opportunité significative de créer de la valeur",
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  • Reste qu'une telle étude doit être prise pour ce qu'elle est : un rapport commandité en partie par un opérateur, qui fournit des outils de collaboration aux entreprises.
Yan Thoinet

Les outils 2.0 en entreprise exigent un temps d'adaptation - 0 views

  • L'usage des Wikis, des blogs, des flux RSS, des podcasts ou des réseaux sociaux est à peu près partout en augmentation
  • Paradoxalement, les Etats-Unis sont le continent où le web 2.0 suscite le plus de réserves avec environ un tiers de personnes insatisfaites
  • à l'enthousiasme des débuts succède souvent une prise de conscience des difficultés qu'il y a à tirer parti de ces outils qui ne sont pas une fin en soi.
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  • percée sur de nouveaux marchés
  • développer l'interactivité avec ses clients et ses partenaires.
Yan Thoinet

Abondance: Le responsable de Google News planche sur une nouvelle start-up - ... - 0 views

  • un nouvel outil basé sur un réseau social
  • Mechanical Zoo
  • serait de mettre en place un réseau social permettant d'"utiliser" son cercle social d'amis afin de trouver réponse à la question que l'on se pose sur l'instant. Une sorte de "Yahoo! Questions Réponses" plus "socialisé" que l'outil en question. On pense imémdiatement à un outil comme Baagz d'Exalead lorsqu'on lit la description du projet
Christophe Deschamps

l'Entreprise 2.0 dans une impasse ? - 0 views

  • "Aujourd’hui, la plupart des solutions Web 2.0 mises en place dans les grandes entreprises sont dans une impasse ou en voie de l’être. Personne n’en parle, ni l’acheteur, ni le vendeur, parce que l’échec est sans conséquence. Le logiciel est mis en place et après quelques mois plus personne ne l’utilise à l’exception de quelques « déviants » (j’en fais partie !) que j’appelle des « ambassadeurs de l’intelligence collective » ou « créatif culturel ». Il faut espérer qu’un jour, leur rôle soit reconnu et valorisé. Mais, avec ou sans déviants, l’échec passe inaperçu parce qu’un logiciel que personne n’utilise, ça ne fait pas de bruit et ça ne dérange personne. L’organisation continue à fonctionner comme avant et tout le monde est conten
  • Ce que Olivier Zara explique ici, c'est que l'utilisation des outils 2.0 en Entreprise ne peut fonctionner que : - s'ils répondent à de réels besoins quotidiens et métiers. - s'ils sont accompagnés par des mesures de changement de la culture et d'accompagnement
  • Si l'échec de ce type de projets est "sans conséquence", et cela doit être le cas effectivement pour un grand nombre d'entre eux, n'est-ce pas le signe : - que l'organisation a été trop timide dans sa démarche ? - qu'elle a précisément choisi un projet où le besoin n'était pas assez fort pour être critique en cas d'échec ?
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  • Les outils "2.0" recouvrent un certain nombre de solutions telles que les flux RSS, les Tags (taxonomies et/ou folksonomies), les blogs, les wikis, les commentaires, les votes, les réseaux sociaux,... Tous n'imposent pas les mêmes contraintes en terme de mise en oeuvre, d'accompagnement, de gestion du changement.
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    Dans un article récent intéressant, Olivier Zara, consultant très connu pour ses publications sur l'Intelligence collective, semble pessimiste sur la mise en oeuvre des solutions issues du web 2.0 dans l'Entreprise.
Christelle Gamache

Entreprise 2.0 et dircom's : le mythe de la prise de parole | Bloc-Notes de Bertrand DU... - 0 views

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    Au rang des multiples incompréhensions qui peuvent freiner la diffusion de nouvelles pratiques et des outils qui les accompagnent, on trouve la crainte que la direction de la communication peut avoir de ce qui est présenté comme étant une libération de la prise de parole du collaborateur.
Yan Thoinet

Symposium Gartner Les trois domaines impactés par l'Entreprise 2.0 - 0 views

  • Symposium Gartner Les trois domaines impactés par l’Entreprise 2.0 jeudi 08 novembre 2007 Par Bernard Laur, consultant Synthèse Informatique. Quel sera l'impact des évolutions actuelles du Web 2.0 sur l'entreprise et son système d'information ? La question mérite d'être posée même si l'on a du mal à imaginer le type d'intégration envisageable et applicable au phénomène actuel marqué par les réseaux sociaux et autres « mashups ».  Les analystes du Gartner ont évalué trois grands domaines dans lesquels cet impact devrait se faire sentir : les utilisateurs, les services et les architectures applicatives.  Les utilisateurs sont incontestablement un des facteurs qui devraient favoriser (pousser) l'utilisation du Web 2.0 en entreprise. Les « Digital natives », nés dans les années 90's et élevés devant un PC connecté au Net,  portent aujourd'hui les technologies Web 2.0 et  vont intégrer les entreprises dans les toutes prochaines années. Il faut s'attendre à ce qu'ils demandent à retrouver en entreprises, comme collaborateurs ou comme clients, certains des outils et services auxquels ils se sont habitués très tôt dans leur utilisation du Web « grand public ». Soit dit en passant, on peut s'attendre également à ce que la fracture se creuse entre les « Digital natives » et les « Digital migrants » au sein de l'entreprise, les modes d'utilisation des premiers nommés n'ayant guère à voir avec ceux des utilisateurs classiques d'entreprise, à l'âge moyen plus élevé et au « passé » d'Internaute nettement moins riche.
Christophe Deschamps

Socialiser son entreprise ? Qu'est ce que ce cela veut dire - 0 views

  • Dites “on va lancer une démarche KM” ne présage en rien de sa réussite mais permet à n’importe qui dans l’entreprise de comprendre de quoi on parle. Dites donc “la solution est une démarche entreprise 2.0″ et voyez l’air dubitatif de 95% des collaborateurs et vous comprendrez que vous n’êtes pas sorti de l’auberge.
  • Toute le monde a besoin de comprendre “pourquoi, quoi, comment ?”. C’est la condition préalable à l’appropriation indispensable qui est une condition de réussite. Et cette appropriation nécessite donc non d’amener l’interlocuteur sur un terrain inconnu donc considéré comme hostile, mais de partir d’un terrain connu et d’en repousser les frontières. Le tout en ayant du sens par rapport à leur quotidien, à ce qui constitue leur paradigme actuel.
  • la nécessité d’impliquer le client dans un grand nombre de processus qui, auparavant, étaient exclusivement internes, est aujourd’hui évidente. Et l’impact sur le cœur du business l’est tout autant. Cela répond à la question “pourquoi faire autrement ce que je fais aujourd’hui très bien en isolant et cloisonnant”
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  • La question n’est pas de mettre du “social” partout et n’importe où mais d’en mettre là où cela contribue à faire mieux.
  • La socialisation permet donc ici d’identifier, mobiliser et faire intéragir de manière plus ou moins provisoire des personnes extérieures à l’équipe “formelle”. Voire de favoriser les intéractions au sein de cette équipe et favoriser la formalisation des expériences “au fil de l’eau”.
  • L’objectif est clair : rendre possible l’exécution d’un process, d’une succession de tâches, en minimisant les retards liés aux circonstances imprévues et en l’améliorant au vu des “correctifs” effectués.
  • ci on crée des intéractions en fonction de besoins réels, de problèmes quotidiens sans essayer de donner corps à d’hypothétiques communautés qu’on aimerait voir échanger dans le vide.
  • un process de résolution de problème et d’amélioration permanent. Une logique qui s’outille avec des wikis, blogs, profils riches, outils de microblogging, réseaux sociaux… mais dont la logique est compréhensible de tous.
  • Bien sur tout ne se socialise pas, d’une part, et selon des périmètres restreints, d’autre part. Parfois ce sera au sein d’une équipe, parfois au niveau de l’entreprise, parfois avec des clients, et d’autres avec le grand public.
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    L'objectif ici n'est pas de disserter sur une quelconque approche du management mais de positionner l'entreprise 2.0 par rapport à l'entreprise "réelle".
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