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Christophe Deschamps

La qualité est elle la version 2.0 de la quantité ? | Bloc-Notes de Bertrand ... - 2 views

  • On entend souvent qu’être “sales oriented” (à dire en anglais pour faire plus sérieux) est le seul moyen de réussir. Cela est vrai à condition que toute l’énergie de l’entreprise ne soit pas concentrée sur la vente et qu’il y ait des équipes de production et de services qui tiennent la promesse des vendeurs.
  • Dans un système davantage orienté vers l’intangible la notion de productivité est plus complexe. Tout le monde reconnait qu’elle compte, que la formule reste la même…c’est simplement la mesure de ses éléments qui devient plus confuse et reste encore mal maitrisée. L’objectif restant de faire ce qui est demandé avec, sinon le minimum de ressources en tout cas sans gachis.
  • Le temps passé a-t-il servi à produire quelque chose de valorisable par le client ? Le dossier a-t-il été traité d’une manière valorisable par le client etc ? En un mot, plus que la quantité c’est d’évaluer si ce qui est fait est valorisable par son destinataire qui importe. La qualité n’est plus du seul ressort du système, elle devient désormais la responsabilité de chacun à son niveau, simple collaborateur ou manager d’équipe. Sachant, d’autant plus, que cela correspond davantage à la notion de client interne dans laquelle on retrouve le collègue avec qui on collabore de manière non facturable.
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  • “L’entreprise 2.0 est un ensemble d’outils et pratiques destinées à augmenter le périmètre du capital humain et informationnel accessible et utilisable afin d’exécuter les process et workflows quotiens et délivrer les résultats attendus dans les délais impartis.”
  • Dès lors qu’on admet que les logiques “sociales” et “de réseau” permettent d’adresser des logiques qualitatives et quantitatives qui échappent à des modes d’organisation peu adaptés à certains contextes nouveau, cela ouvre un nombre considérable de portes pour positionner des projets “entreprise 2.0″ en interne et construire des méthodologies qui font du sens par rapport à des thèmes au sujet desquels les entreprises sont déjà sensibilisées.
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    Un débat complètement revisité au coeur des problématiques de l'entreprise 2.0
Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
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  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Miguel Membrado

L'entreprise 2.0 à l'épreuve de la productivité - Blogs - ZDNet.fr - 0 views

  • L’entreprise 2.0 à l’épreuve de la productivité
  • Tout cela reflète les multiples et insoupçonnés usages susceptibles de se développer à partir d’applications dont l’utilisateur est le centre de gravité
  • Pas encore gagné pour les évangélistes de l’entreprise 2.0 de convaincre des carences de l’e-mail en matière de productivité. L'improductivité est un bon argument pour ne pas s’égarer dans les méandres de l’entreprise 2.0
  • ...4 more annotations...
  • Comment rendre compte de la qualité des échanges ? Comment passer d'une notion quantitative de l'action à une notion qualitative de l'"inter-action" ?
  • Si ces nouveaux outils génèrent les mêmes réactions que le téléphone, l'email et l'usage du web en leur temps, probablement faut-il aussi y voir le fait que la technologie, et ses usages, progresse beaucoup plus vite que les habitudes des décideurs, et qu'ils ont parfois du mal (légitimement) à comprendre l'intérêt de certains outils qu'ils n'ont jamais utilisés... par ailleurs, nombreux sont ceux qui ne jurent que par la relation directe, et qui restent méfiant vis-à-vis des apports des outils électroniques.
  • Le jour où la perte de productivité dûe aux réseaux sociaux ou plus généralement à l'utilisation d'internet dans l'entreprise sera quantifiée au delà du gain permit par ces mêmes outils, je reprends mon souffle car cette phrase est longue, des solutions seront amenées par des prestataires de services pour le contrôle de l'utilisation du réseau
  • Travaillant dans une société qui a mis en place un indicateur sur les mails je suis moins persuadfé que tous les employeurs voient le mail comme un outil de prtoductivité. Je crois qu'il y a un biai commun c'est de confondre l'outil et le besoin. Finalement un messenger, une formation et (même) une machine a café sont à la fois des causes de productivités et de non productivuté. Tous ceci ne sont que des outils et c'est la manière de les utiliser qui changent. Par exemple, aussi bien les mails que les messengers sont des causes d'interruptions dans le travail quotidien. Une interruption sur une tache sur laquelle vous êtes en cours est une cause de non productivité mais aussi souvent de stress ce qui est encore pire. Au global ce qui me soucie dans cette manière d'aborder les choses c'est qu'au lieu de réfléchir outillage il faudrait réfléchir condition et méthodes de travail en premier.
Yan Thoinet

i-KM PME - 0 views

  • érience, l'expertise, les réussites, et de ne pas reproduir
  • Le développement par le pilotage-partage des connaissances concerne au plus haut point les PME-PMI. En interne, et dans leurs réseaux il s'agit : -    de maîtriser les flux d'information, de les transformer en connaissances utiles à l'action, en compétences efficaces -    de capitaliser l'exp érience, l'expertise, les réussites, et de ne pas reproduir >e les erreurs -    d'optimiser les processus, de bien mieux gérer les projets, de développer la qualité et la sécurité, ainsi qu'une culture de la confiance, du travail en équipe, du partage des connaissances, de l'anticipation... 
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    Similar to Mindmanager
Yan Thoinet

Le microblogging au service de la communication des entreprises (E-business e... - 0 views

  • Le microblogging au service de la communication des entreprises
  • phénomène de communications instantanée
  • Toutefois, la force principale de ces services ne réside pas uniquement dans cette très large accessibilité, mais bien dans leur capacité à construire autour d'eux, grâce à des interfaces de programmation ouvertes (API), un puissant écosystème qui renforce encore leur attractivité en les plaçant au centre des interactions des internautes.
  • ...4 more annotations...
  • permet de tenir informés de son activité, les différents membres de son réseau grâce à une fonction d'envoi de messages courts de 140 caractères au maximum
  • nécessaire concision des messages qui favorise une communication plus spontanée
  • renouveler leur communication (présence dans les foires et salons, état et qualité de la production, traçabilité des articles et gestion des retours, etc.).
  • intgrer le microblogging comme outil de relation-client
Yan Thoinet

Christian Fauré » Blog Archive » Introduction à l'Entreprise 2.0 - 0 views

  • les sites web proposent de stocker les données des internautes (le fameux User Generated Content),
    • Yan Thoinet
       
      This is it!
  • c’est que le web 2.0 n’est que la partie visible de l’iceberg, la partie immergée étant le Software as a service.
  • Une seule instance du logiciel pour x clients. Ce qui signifie que l’environnement de production est mutualisé et virtualisé
  • ...9 more annotations...
  • Les développements sont incrémentaux, c’est le règne du Beta, de l’essai et de l’expérimentation permanents pour coller au plus prêts du marché et générer le plus d’innovation possible
  • le système d’information d’une entreprise va être de plus en plus déporté de ses locaux vers les plates-formes web en mode SaaS
  • muscler la qualité réseau de la connexion internet (qui est généralement médiocre dans les entreprises)
  • La Road Map (modifications et ajout de nouvelles fonctionnalités) d’une solution SaaS est quelque chose que l’entreprise ne va plus maîtriser.
  • La confidentialité des données est bien sûr un sujet de discussion majeur. Mais il est en grande partie psychologique de mon point de vue.
  • Autre point à aborder avant de passer au SaaS : le Off Line.
  • la législation européenne qui interdit à certaines entreprises de déléguer la gestion et le stockage des données à des tiers.
  • évaluer les modalités de sortie de la solution SaaS
  • Les solutions SaaS choisies devront être interopérables avec d’autres offres SaaS et bien évidemment continuer à être articulées avec les application patrimoniales (
Christophe Deschamps

L'entreprise et le web - 0 views

  • On ne consulte plus le web, on l’utilise.
  • Interfaces légères, utilisation intuitive, dimension sociale : on ne regarde plus le web sans se parler entre nous mais on s’en sert pour intéragir.
  • Soyons honnêtes, tout cela a été quelque peu survendu mais la masse critique était telle qu’il devait forcément en sortir quelque chose.
  • ...10 more annotations...
  • Un des éléments nécessaires au succès était le contexte, une dimension largement moins facile à importer que la technologie elle-même.
  • Pour la première fois l’appropriation technologique que l’entreprise pratiquait jusque là avec succès devait se doubler d’une appropriation comportementale. Un challenge d’autant plus difficile que les personnes en charge de l’un ne sont pas celles en charge de l’autre et que les fameux “usages” inquiétaient à juste titre : il fallait de plus les professionnaliser.
  • La professionalisation des usages est possible mais encore difficile à comprendre pour l’entreprise qui a besoin de quelque chose de plus structurant pour avancer. Ce qui amène à penser que la prochaine étape sera davantagé liée aux processus opérationnels.
  • Et dans l’entreprise utilisation signifie production et gains de productivité.
  • Le “web en tant que plateforme” au sein de l’entreprise va servir à enrichir les processus existants et donner de l’autonomie au collaborateur pour atteindre ses objectifs dans une entreprise en réseau.
  • Il n’est plus question ici d’importer des technologies mais de construire des “services” répondant à des besoins organisationnels. Cela peut sembler complexe mais c’est en fait plus compréhensible pour l’entreprise  car se rapproche de logiques d’organisation de production qui lui sont plus familières que les logiques d’usage. Par services j’entend des couples “outils / mode de travail”
  • Un alignement des outils doit donc également être mis en place. Le collaborateur ne peut passer sa vie à servir de gare de triage entre les flux des outils internes, des outils utilisés avec clients et partenaires et des outils permettant de communiquer avec le monde au sens large.
  • En fait la qualité de l’adoption du web dans une entreprise dépend quasi exclusivement de la capacité de celle-ci  à penser conjointement l’évolution de la technologie, des modes de travail et des rapports de l’entreprise à son ecosystème.
  • La preuve que finalement le web en tant que tel n’a aucune importance : il arrive naturellement dans tout projet d’entreprise bien pensé, s’appuyant sur une vraie vision.
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    Finalement beaucoup de débats actuels sont liés à la capacité de l'entreprise à comprendre, apprivoiser et utiliser le web à son profit, en interne. Un sujet a priori anodin puisque purement technologique et nécessitant des compétences autrement plus simples que celles mises en œuvres jusque là sur les infrastructures d'entreprise. Mais au final un sujet pas si anodin que cela.
Pierre Varinard

L'entreprise 2.0 face au défi de la crise économique - 0 views

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    Débat de très bonne qualité sur nombre d'aspects de l'Entreprise 2.0
Christophe Deschamps

Qu'est ce qu'une entreprise 2.0 fin 2010 ? - 7 views

  • Et là… la problématique est plus lourde. C’est d’ailleurs sur ces éléments qu’on constate les plus grands écarts générationnels (Attention je ne parle pas de génération Y). Nous avons d’un coté les jeunes qui contestent la hiérarchie ou la propriété auxquels ils n’ont pas accès et les anciens qui en sont dotés et pas tout à fait prêts à s’en défaire.
  • Une façon pour les jeunes de renverser la question et de ne pas demander le pouvoir mais le répartir de facto… Un sujet à creuser assurément, qui en dit long aussi sur la dimension symbolique que prennent les luttes actuelles
  • Prenons une entreprise qui propose des services « 2.0 ». Si on prend l’hypothèse qu’elle double son chiffre tous les ans (ce qui est déjà un signe de croissance exceptionnelle), qui commence avec 100K€ de chiffre d’affaire…elle pèse actuellement au mieux 0,8M euros… Moins que le chiffre d’affaire d’une brasserie ! Normal donc, que pour un grand compte, ces budgets « 2.0 » soient vus comme « faibles »… Mais faible, ne veut pas dire non stratégique.
  • ...4 more annotations...
  • Généralement les mêmes qui avaient tourné le dos au Web. Il faut bien comprendre que nombreuses sont les entreprises qui n’ont pas besoin de relais de croissance que ce soit par la situation économique ou un effet de « monopole ».
  • Ensuite, nombreuses sont les entreprises qui se sont lancées dans le 2.0 comme elles s ‘étaient ruées sur SecondLife. Pour faire bien. On retrouve ce type de projets dans les grands groupes qui s’essayent à des nouveaux concepts. Ce qui caractérise ces projets c’est le fait qu’ils ne sont pas en lien avec le business. L’exemple qui me vient à l’esprit est celui de rendre « 2.0 » une communauté visible… Cette Entreprise2.0 on l’aura compris n’a pas dépassé le stade d’intérêt poli des décideurs.
  • Il y a enfin ceux qui prennent ce concept en se posant la question simple « Qu’est ce que ce nouveau machin peut m’apporter à mon business ? ». Sans préjugés, ni arrières pensées et de sous un angle très pragmatique. Et là, le résultat est somme toute très différent. Car il est indéniable que les concepts du 2.0 (collaboration, temps réel, connexions des personnes, informations etc…)  sont de nature à faire progresser le business. Encore faut-il le démontrer ? Et c’est justement la bonne récolte 2010. Les premiers projets mis en place à dimension business donnent des résultats concrets : plus de ventes, plus de qualité dans la relation client etc…
  • L’entreprise 2.0 –en tout cas son concept papier –  vit sans doute ces derniers jours, au profit d’une nouvelle ère : l’irruption massive des réseaux sociaux dans le champ numérique de l’entreprise : depuis les entrepôts, jusqu’aux points de ventes en passant par les bureaux.
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