Financement de l'éducation : attention bombe à retardement ! | Le blog de Jea... - 0 views
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Selon l’UNESCO, l’enseignement supérieur accueillera 262 millions d’étudiants en 2025, contre 97 millions en 2000 et 153 millions en 2007.
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L’éducation a un coût mais la « non éducation » aura un prix bien plus élevé ! Nos jeunes générations aspirent à la connaissance et notre responsabilité est d’éviter les frustrations et les violences sociales qu’engendrerait la rupture du système.
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Le visible : les frais de scolarité sont payés par les familles et les étudiants avec des aides (bourses). C’est le modèle anglo-saxon que la crise économique en occident met à mal.
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La dette étudiante, une bombe à retardement, par Christopher Newfield (Le Mon... - 0 views
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Dans l’interminable feuilleton de la crise du capitalisme américain, la dette étudiante succédera-t-elle aux subprime ? Estimée à plus de 1 000 milliards de dollars, elle a doublé au cours des douze dernières années, au point de dépasser désormais le volume des achats par carte de crédit.
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Le taux de défaut de paiement des étudiants — qui ne peuvent pas recourir à une procédure de faillite individuelle — est passé de 5 à 10 % entre 2008 et 2011.
Pourquoi les droits d'inscription universitaires s'envolent partout, par Isabelle Bruno... - 0 views
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En France, selon une enquête de la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE), le coût de la rentrée universitaire a bondi de 50 % en dix ans. Parmi les causes de ce renchérissement, l’augmentation des frais d’inscription, que promeuvent think tanks et organisations internationales. Aux Etats-Unis, de nombreux étudiants ne pourront jamais rembourser les prêts contractés pour payer leur formation.
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Démarcher les entreprises, quémander des dons auprès des réseaux d’anciens étudiants, augmenter les droits d’inscription, bref se vendre : telle est, en substance, la compétence nouvelle gagnée par les universités.
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il s’agit désormais de transformer la recherche scientifique en produits brevetables, et les enseignements en parcours individualisés et « professionnalisants » débouchant sur des diplômes rentables.
La BCP, Base Centrale de Pilotage, un entrepôt de données unique | Coordinati... - 0 views
Réseaux sociaux et universités, une situation paradoxale selon une étude Capg... - 1 views
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Alors que les universités ont tout intérêt à s'emparer des réseaux sociaux pour développer des stratégies ambitieuses, elles ne font finalement qu' « acte de présence », constate Capgemini consulting dans une étude publiée sur le web fin mai 2012. Etonnant pour des établissements dont le cœur de métier se trouve précisément dans l'organisation d'interactions, dans la diffusion la plus large du savoir et dans la mise en place de réseaux pour rayonner nationalement, internationalement ou disciplinairement. Un champ des possibles s'ouvrent aux universités françaises, encore fait-il qu'elles sachent s'en saisir rapidement...
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Une frilosité générale sur le numérique ? Le problème est peut-être précisément là. Et si la frilosité des universités envers les réseaux sociaux ne trahissait pas un mal plus profond, la difficulté à se positionner clairement dans un processus d’innovation par le numérique ? Pour Marie Angliviel, directrice associée de Capgemini consulting et responsable du pôle « enseignement supérieur et recherche », le réseau social doit s’inscrire dans le cadre d’une « politique de l’université » en matière numérique, « un sujet colossal qui touche l’ensemble des aspects de l’université, difficile à appréhender pour des structures qui doivent accompagner tant de transformations depuis la mise en place de la LRU jusqu’aux idex et autres projets du grand emprunt, aux opérations de fusion, etc. ».
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Les universités auraient également intérêt à consolider par les réseaux sociaux « les liens avec les enseignants-chercheurs et les personnels Biatos ». Mais à cet égard, force est de déplorer le faible nombre de dispositifs alors qu’il « se passe des choses plus ambitieuses du côté des grandes écoles ».
Le Figaro - Formation : Les étudiants du sud de l'Europe fuient la crise au nord - 0 views
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Les destinations les plus demandées sont celles qui proposent le plus de formations en langue anglaise, plus faciles d'accès. D'après le site Studyportals, parmi les étudiants des quatre pays les plus en difficultés face à la crise, ils sont 27 % à se tourner vers la Grande-Bretagne et 17 % vers les Pays-Bas, qui offrent 1104 Licence et Masters enseignés en Anglais. La France se positionne en 5ème position des destinations les plus consultées par les étudiants, au même niveau que la Belgique.
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Les Français sont eux aussi attirés par l'étranger, où les perspectives d'avenir leur semblent plus roses. Ils sont toujours plus nombreux à partir à l'étranger pour étudier et chercher leurs premiers jobs. D'après l'institut de sondage Gallileo, qui a enquêté en 2012 sur les ambitions professionnelles de 1600 étudiants de 16 des plus grandes écoles françaises, 23 % d'entre eux cherchent «prioritairement» leur premier job à l'étranger.
Universités françaises : tout ne va pas si mal ! - le Plus - 0 views
Universités françaises : autonomes mais en crise | Coordination Régionale PACA - 0 views
«J'envisage d'arrêter mes études pour travailler à temps plein et rembourser ... - 0 views
Ces étudiants qui doivent rendre leurs bourses - 0 views
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En tout cas, des étudiants boursiers de l’université de Toulouse-Le Mirail doivent rembourser au Crous les aides qu’ils ont touchées cette année. Un peu moins de 300 jeunes sont concernés sur les 22000 que compte la faculté. Ils ont été trop souvent absents ou ne se sont pas présentés aux examens : du coup, pour le centre régional des œuvres
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C’est une sorte de traque aux mauvais étudiants, dénonce Jessica Ibre, de SUD-Etudiant. Jusqu’à présent, ce n’était jamais arrivé et cela tombe au plus mauvais moment, à la fin de l’année,
Universités: une corrélation entre gratuité et médiocrité? | Coordination Rég... - 0 views
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