Etudes : les spécialités qui facilitent les débuts de carrière - Les Echos.fr - 0 views
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Parfois plus que le niveau de diplôme, le domaine d'études choisi se révèle plus ou moins favorable à l'entrée dans le monde du travail, selon une étude de l'Insee publiée aujourd'hui. Production, santé, sciences et informatique tirent leur épingle du jeu.
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Pendant les dix premières années de vie active, le taux de chômage des titulaires de BTS et de DUT varie ainsi « entre 3 et 11 % selon la spécialité et celui des titulaires des masters entre 5 et 15 % », note l'Insee.
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A l'autre bout du prisme, les diplômes du supérieur en sciences, production, informatique et santé offrent des débuts prometteurs.
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Les cartes de la science (1) « Gaïa Universitas - 0 views
L'évolution de la pratique des réseaux sociaux en science | MyScienceWork - L... - 1 views
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L’émergence des réseaux sociaux date de 2004 environ mais c’est depuis 2008 que leur essor a atteint le grand public. En parallèle, des réseaux sociaux professionnels se sont aussi développés mais leur utilisation reste marginale. Ceci est à mettre en relation avec une perception assez conservatrice du milieu professionnel et tout particulièrement de celui de la recherche où la machine à café reste l’indétrônable lieu d’échanges sociaux par excellence.
UnderstandingSociety: Decline of French universities - 0 views
Lyon 1: 1ère université française dans les dépôts de brevets / Sciences / Act... - 0 views
"Il ne faut pas avoir peur de venir à l'université" - LeMonde.fr - 0 views
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Un site est entièrement dédié aux lycéens et un DVD présentant toutes les facettes de l'université est diffusé dans les lycées.
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Nous avons aussi la chance d'avoir une école d'ingénieurs au sein de l'université : Polytech Nantes. Nos étudiants en sciences peuvent pendant deux ans suivre des cours supplémentaires en sciences de l'ingénieur et avoir ensuite accès aux douze écoles du réseau Polytech.
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Qu'apporte l'université que ne donnent pas forcément les prépas ? D'abord le sens de l'autonomie que nos étudiants apprennent à développer très tôt. Ensuite une pédagogie différente pas fondée sur le bachotage, à l'exception évidemment de la première année de médecine
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L'évolution de la pratique des réseaux sociaux en science | MyScienceWork - L... - 0 views
Faire de la recherche dès la première année d'université, une expérience pour... - 0 views
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Faire de la recherche dès la première année d'université, une expérience pour réconcilier les jeunes et la science
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Face à la désaffection pour les études scientifiques, les initiatives pédagogiques se multiplient. Avant le 30 mai, les lycéens de terminale auront terminé leur choix d'orientation dans l'enseignement supérieur. Qui optera pour une université scientifique ? Depuis dix ans, la filière scientifique a perdu près de 20 % de ses effectifs. Une désaffection d'autant plus inquiétante qu'elle se double d'une baisse du niveau. Les derniers résultats de l'enquête PISA, qui évalue le niveau scolaire des pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), ont montré que la France se classait au 21e rang sur 34 pays.
Quand l'université se met au numérique - Libération - 0 views
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université de Nantes (Loire-Atlantique), qui compte 34 000 étudiants, est particulièrement avancée dans l’usage des nouvelles technologies, notamment dans le domaine de la santé
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Officiellement, à la rentrée 2010, il existait 20 000 bornes d’accès à Internet à haut débit sans fil avec accès gratuit dans les établissements. Une dizaine d’entre eux avait un taux de couverture entre 95 et 100%
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Universités numériques thématiques (UNT). Aujourd’hui au nombre de sept, ce sont d’immenses bibliothèques en ligne qui ne proposent pas moins de 21 600 ressources (vidéos, cours, exercices, QCM) en accès libre, dans sept grands domaines - Sciences fondamentales, Santé et sport, Sciences humaines et sociales, Droit
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Réformer le recrutement des enseignants-chercheurs, vite ! | Votons pour la s... - 0 views
OpenEdition : les livres scientifiques ont leur plate-forme ! | La Feuille - 0 views
L'université prend l'eau - 0 views
Harvard rejoint les universitaires pour un boycott des éditeurs - 1 views
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Trente-quatre mathématiciens ont dénoncé "un système dans lequel les éditeurs commerciaux font des profits sur la base du travail de mathématiciens et de frais d'abonnement des bibliothèques".
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Un des litiges vient de la "loi sur les travaux de recherche", un projet présenté au Congrès américain en décembre 2011 qui interdit aux agences fédérales d'exiger le libre accès à des résultats scientifiques, même si ces recherches sont financées par l'Etat fédéral américain.
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L'université de Harvard, à Boston, vient de rejoindre le combat. Elle a beau être la seconde institution à but non lucratif la plus riche dans le monde, sa collection de revues académiques spécialisées plombe aussi ses comptes. Le prix des abonnements par les éditeurs universitaires lui coûte chaque année en moyenne 3,75 millions de dollars. Une note publiée sur son site et envoyée à ses 2 100 professeurs et chercheurs, les encourage à mettre à disposition, librement, en ligne leurs recherches.
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Etudiants étrangers : nouveaux ennemis de l'intérieur ? - Libération - 0 views
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Marie Curie, Romain Gary et Georges Charpak ont été étudiants étrangers. Léopold Sédar Senghor a été camarade de khâgne de Georges Pompidou.
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a faute économique, enfin. Ce sont les intérêts à long terme de la France qui sont bafoués. Nous sommes entrés dans l’ère du savoir. Une compétition mondiale pour la connaissance est en cours. La croissance de demain, les progrès de la science et de la technique, y compris pour faire face aux nouveaux défis, se jouent sur la qualité des investissements dans le «capital humain» et donc, pour une bonne part, dans le nombre d’ingénieurs et de docteurs que nous formerons.
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Ajoutons ceci : ces étudiants ne prennent pas la place de Français. Une enquête publiée en 2008 à la Documentation française montrait que seuls 26% parmi ces étudiants envisageaient de rester en France après leurs études. La très grande majorité était décidée à rentrer dans leur pays d’origine et à participer à son développement. Ceux qui restent sont souvent recrutés dans des secteurs en tension et dans des domaines où leur expertise est jugée exceptionnelle.