Les 8 lauréats des Idex se trouvent pour moitié en Ile-de-France, les autres en province (Toulouse, Strasbourg, Bordeaux et Aix-Marseille). Mais tout le Nord et l’Ouest de la France ont été oubliés. On se retrouve avec un paysage totalement déséquilibré, des régions entières sans grands pôles et un écart qui se creuse avec les petites universités exclues de la manne financière.
Vis ma vie d'enseignant chercheur en France - Libération - 0 views
«Aux Etats-Unis, les deux tiers des étudiants diplômés sont endettés» - Libér... - 0 views
Crise d'autonomie à l'université d'Angers - Libération - 1 views
Enseignement supérieur: Sarkozy rate l'excellence - Libération - 0 views
-
-
La «circulaire Guéant», le grand ratage final A l’origine, baisser les chiffres de l’immigration légale Obnubilés par la politique du chiffre en matière d’immigration, les ministres de l’Intérieur et du Travail, Claude Guéant et Xavier Bertrand adressent le 31 mai 2011 une circulaire aux préfectures pour qu’elles examinent avec «plus de rigueur» les demandes d’autorisation de travail des immigrés. Sont visés entre autres les jeunes diplômés étrangers, de niveau master ou plus, qui à la fin de leurs cursus effectuaient jusqu’ici une première expérience professionnelle en France.
Universités : les mensonges de Sarkozy - Libération - 1 views
-
En 2012, le budget total de la recherche et de l’enseignement supérieur sera de 25,4 milliards d’euros (soit un peu plus de 1,2% du PIB). Sur ce total, la moitié ira aux formations supérieures et à la recherche universitaire (12,5 milliards d’euros). Cette somme représente la totalité des moyens allant aux universités et aux diverses écoles et instituts, quel que soit leur ministère de rattachement. L’autre moitié ira aux aides étudiantes (2,2 milliards) et aux divers organismes de recherches : CNRS, ANR, Inra, Inserm, mais aussi recherche spatiale, nucléaire, etc. (10,7 milliards).
-
En attribuant les moyens des organismes de recherches aux étudiants (ce qui est douteux), on arrive péniblement à une dépense totale de l’ordre de 10 000 euros par étudiant en France, quand les Etats-Unis dépassent les 30 000 euros.
-
Que l’on ne s’y trompe pas : c’est grâce à cet investissement dans leurs campus que les Etats-Unis conservent leur suprématie économique et leur influence intellectuelle et culturelle, en dépit des failles de plus en plus évidentes de leur modèle politique et social hyperinégalitaire.
Universités, une régression programmée - Libération - 0 views
-
Là encore, le résultat n'y est pas. Très peu d'argent a en réalité été distribué. Depuis le lancement du Grand Emprunt, la droite ne cesse de vanter les 35 milliards d'euros qu'elle aurait mis sur la table. Au détour d'un document budgétaire, on découvre cependant que depuis deux ans, seul 1,5 milliard a été dépensé pour l'industrie, la recherche et l'enseignement supérieur. Le ministère du Budget fait tout pour retarder le déblocage des fonds, et les retards s'accumulent.
-
Une croyance d'une simplicité -d'un simplisme- tels qu'on peut la résumer en une phrase: toujours plus de concurrence, de rivalité, créerait de l'efficacité et de la performance. C'est oublier qu'en matière de formation comme de recherche, l'émulation est bien plus productive quand elle prend sa source dans la coopération et le partage que dans la seule compétition.
Etudiants étrangers : nouveaux ennemis de l'intérieur ? - Libération - 0 views
-
Marie Curie, Romain Gary et Georges Charpak ont été étudiants étrangers. Léopold Sédar Senghor a été camarade de khâgne de Georges Pompidou.
-
a faute économique, enfin. Ce sont les intérêts à long terme de la France qui sont bafoués. Nous sommes entrés dans l’ère du savoir. Une compétition mondiale pour la connaissance est en cours. La croissance de demain, les progrès de la science et de la technique, y compris pour faire face aux nouveaux défis, se jouent sur la qualité des investissements dans le «capital humain» et donc, pour une bonne part, dans le nombre d’ingénieurs et de docteurs que nous formerons.
-
Ajoutons ceci : ces étudiants ne prennent pas la place de Français. Une enquête publiée en 2008 à la Documentation française montrait que seuls 26% parmi ces étudiants envisageaient de rester en France après leurs études. La très grande majorité était décidée à rentrer dans leur pays d’origine et à participer à son développement. Ceux qui restent sont souvent recrutés dans des secteurs en tension et dans des domaines où leur expertise est jugée exceptionnelle.
«J'envisage d'arrêter mes études pour travailler à temps plein et rembourser ... - 0 views
Sélection : il y a du tirage à l'université - Libération - 0 views
«Nous allons traquer les marchands de stages» - Libération - 0 views
-
à où on trouvait des stages type pause-café, on estime aujourd’hui que six stages sur dix sont professionnalisants et durent plus de deux mois.
-
notamment en traquant les «marchands de stage».
-
Pour le collectif
- ...4 more annotations...
Jeune diplômé cherche stage à tout prix - Libération - 0 views
-
Éducation: les enjeux, les débats Violences à l'école | Rythmes scolaires | Orientation | Jeunes diplômés, la course à l'excellence | Apprentis, les nouveaux profils | Bac 2011 Société Hier à 12h04 (Mis à jour à 21:03) Jeune diplômé cherche stage à tout prix 111 commentaires Par MARIE PIQUEMAL Lors d'une manifestation organisée par le collectif Génération précaire en janvier 2008. (© AFP Bertrand Guay) Septembre arrivant, pour les jeunes diplômés débarquant sur le marché d
-
Il y a pile un an paraissait un décret interdisant les stages en entreprise «hors cursus», c'est-à-dire ne s'intégrant pas dans une formation. L'idée était ainsi d'éviter que les entreprises abusent de stagiaires déjà diplômés au lieu d'embaucher
-
Une amie lui refile un filon: s'inscrire dans un organisme de formation privé. «J'ai appelé en expliquant ma situation. Ils m'ont dit d'envoyer un chèque de 500 euros. Et la semaine d'après, je recevais par la Poste la convention pré-signée. Je ne m'en suis pas si mal sortie comparé à d'autres.
- ...4 more annotations...
Quand l'université se met au numérique - Libération - 0 views
-
université de Nantes (Loire-Atlantique), qui compte 34 000 étudiants, est particulièrement avancée dans l’usage des nouvelles technologies, notamment dans le domaine de la santé
-
Officiellement, à la rentrée 2010, il existait 20 000 bornes d’accès à Internet à haut débit sans fil avec accès gratuit dans les établissements. Une dizaine d’entre eux avait un taux de couverture entre 95 et 100%
-
Universités numériques thématiques (UNT). Aujourd’hui au nombre de sept, ce sont d’immenses bibliothèques en ligne qui ne proposent pas moins de 21 600 ressources (vidéos, cours, exercices, QCM) en accès libre, dans sept grands domaines - Sciences fondamentales, Santé et sport, Sciences humaines et sociales, Droit
- ...3 more annotations...
Près d'un tiers des étudiants à la fac n'ont pas choisi cette voie - Libération - 0 views
1 - 14 of 14
Showing 20▼ items per page