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Laurent Bordet

Pourquoi ne pas abolir les universités? | Points de vue - 0 views

  • Dans les systèmes d'éducation européens, l'université est réservée à une élite certes pas économique, mais académique.
  • Ainsi, une formation de niveau doctoral en science coûte facilement un million de dollars à la société.
  • décrétons que ces programmes sont de niveau collégial. Cela permettrait de maintenir les frais de scolarité bas et maintenir, voire augmenter, leur accessibilité. On pourrait même conserver les infrastructures universitaires existantes, les cégeps partageant les locaux avec les universités.
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  • Bien sûr, on peut continuer à se mentir collectivement. Le nivellement par le bas est égalitaire.
Laurent Bordet

Marseille | Aix-Marseille devient la plus grande université de France | La Pr... - 0 views

  • Mais l'offre de formations va être rationalisée, pour une meilleure lisibilité, à la fois pour les lycéens et les étudiants, et le monde socio-économique. Ce sera flagrant en septembre 2012. Aujourd'hui cohabitent dans Aix-Marseille pas moins de 6 composantes de sciences !
  • Même logique en économie et gestion: de deux facultés, on va passer à une seule. La vie extra-étudiante (sports, culture, santé,etc.) va être développé
  • Pour la région, une image valorisante
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  • our les personnels, harmonisation par le haut
  • Des postes vont être redistribués, mais aucun salarié ne sera contraint de "bouger", ce qui pourrait favoriser de nouvelles embauches.
  • Déjà l'entité Aix Marseille Université, créée par décret mi-2011, est entrée dans le top 150 des meilleures universités du classement mondial de Shanghai. Notre région devrait en profiter avec, comme le croit le recteur, "AMU aux avant-postes d'une nouvelle dynamique métropolitaine".
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
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  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

Les masters d'ingénierie en débat - 0 views

  • Les écoles d'ingénieurs diplôment 30.000 personnes par an
  • faudrait  arriver à une filière d'ingénierie globale, qui réunisse grandes écoles et universités. Cela demande de la cohérence, donc de la concertation entre les principaux acteurs. L'important est de bien préparer les étudiants au métier d'ingénieur, quels  que soient leur titre et la filière suivie.
  • Pourquoi ne pas avoir fait évoluer vos écoles internes comme  Polytech Paris-UPMC ?
  • ...3 more annotations...
  • Polytech accueille des bacheliers technologiques ou des bacs S option Sciences de l'ingénieur, et forme des ingénieurs opérationnels
  • Nos masters d'ingénierie s'adresseront à des étudiants motivés, mais pas intéressés par les classes préparatoires.
  • Julien Roitman, vous avez évoqué l'idée de créer un ordre des ingénieurs. Les diplômés des masters d'ingénierie y auront-ils leur place ?
Laurent Bordet

Universités : qui va décider ? - Le Nouvel Observateur - 0 views

  • C’est un des rares universitaires à avoir dirigé à la fois une université et une grande école.
  • L’autre dossier chaud dont héritent Fioraso et Mérindol est celui des « Idex » (Initiatives d’excellence), ces huit « super campus » promus par l’équipe Sarkozy par le biais de regroupements d’universités et d’écoles, qui doivent recevoir  eux aussi une pluie de millions (Saclay en fait partie). Certains ont été labellisés à la hussarde très peu de temps avant les présidentielles, et deux sont encore en suspens : Toulouse et Sorbonne Paris Cité, que conduisait Richard Descoings, le patron de Sciences Po, avant son décès.
  • es IDEX sont une matérialisation de son rêve de rationalisation. Dans une interview à l’agence AEF publiée peu avant sa nomination, Mérindol ne récusait pas les Idex
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  • « Une fusion (impensable dans la culture française) entre Paris VI, Paris VII, l’ENS et les Mines donnerait une université se classant dans les cinq premières mondiales au classement de Shanghaï. 
  • Le troisième dossier chaud est celui de la loi LRU dite d’autonomie des universités. « Elle est à revoir complètement sur la partie gouvernance des universités » disait Mérindol à l’AEF, citant la composition du CA des universités, le mode d’élection du président et la définition des grands secteurs disciplinaires « qui est archaïque »
  • Il plaide pour la remise à plat des Conseils scientifiques (qui datent de 1968) et des CEVU ( Conseil des études et de la vie universitaire), qui datent de  1984. Il conseille la création au sein des universités - et pour contrebalancer le pouvoir du CA -  d’une nouvelle instance remplaçant ces structures, baptisée Sénat
Laurent Bordet

Philippe Büttgen | Politiques des sciences - 0 views

shared by Laurent Bordet on 02 Jan 11 - No Cached
  • La publication dans un Figaro Magazine du mois d’octobre 2010 du classement des performances des universités et des disciplines en matière d’employabilité est le second événement de cet automne. Or le storytelling ministériel a strictement corrélé cet événement, l’insertion professionnelle, avec l’événement du grand emprunt
  • On y lit – regardez l’enquête ministérielle, regardez l’article qui la commente dans le Figaro Magazine – un éloge des petites universités censées être expertes de l’insertion professionnelle, relais efficace de leur bassin d’emploi
  • le sigle des PUP ou Pôles Universitaires de Proximité
Laurent Bordet

Classement de Shanghai: la France toujours à la traine - 0 views

  • Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, Laurent Wauquiez, a estimé dans Les Echos que la France figurerait en bien meilleure position si le classement de Shanghai prenait en compte les  pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES). "Les auteurs du classement, à ma demande, ont réalisé une simulation et proposent de les prendre en compte à l'avenir s'ils poursuivent leur rapprochement. Les résultats sont extraordinaires. Quatre regroupements pourraient intégrer directement le top 50, avec les établissements du campus de Saclay, ceux de Paris Sciences et Lettres Etoile et les PRES Sorbonne Université et Paris Cité", s'est-il félicité.
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