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OCDE - Rapport complet - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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OCDE - Résumé - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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OCDE - Fiche France - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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France Stratégie - Quelle finalité pour l'école ? - Dossier de présentation - 0 views

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    La crise de sens qui traverse l'École interroge le nombre et la nature des missions qui lui sont confiées. Quelle école voulons-nous ? Question éminemment politique qui exige de disposer en amont d'une vision globale de l'École et de ses finalités possibles. Rapport - Quelle finalité pour quelle École ? (PDF - 1.09 Mo ) Dossier de presse - Quelle finalité pour quelle École ? (PDF - 2.91 Mo ) Auteur(s) Son Thierry Ly De la logique « méritocratique » Notre école va mal. On en attend trop, or elle ne peut pas tout faire. C'est en somme le constat dont est parti le groupe de travail à l'origine de ce rapport. L'École est aujourd'hui prise en tenaille entre plusieurs objectifs, parfois contradictoires. Elle se doit avant tout d'être garante de l'égalité des chances en offrant à tous les élèves le même enseignement. C'est la logique méritocratique à la base de notre contrat social. Assurer une compétition scolaire (formellement) équitable légitime une distribution des places dans la société, déterminée ensuite, plus qu'ailleurs en France, par le diplôme. Mais il lui est aussi demandé de faire de tous les élèves des citoyens éclairés et des adultes employables, d'assurer la mixité sociale, de sensibiliser à l'écologie… La force et le nombre de ces attentes, légitimes, questionnent la primauté accordée à la mission de sélection méritocratique des élites par l'École. Cette priorité implicite rend en effet toute autre finalité, au mieux secondaire, au pire impraticable, notamment parce qu'elle suppose un enseignement uniforme. La contradiction justifie de poser clairement la question des finalités que nous souhaitons assigner au système scolaire. Quelle école voulons-nous ? Que serait-elle surtout si l'objectif de sélection était retardé et que le système pouvait être organisé autrement que par et pour la compétition ? Bref, si « tout ne s'y jouait plus » ? Des alternatives p
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France Stratégie - Quelle finalité pour l'école ? - Rapport complet - 0 views

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    La crise de sens qui traverse l'École interroge le nombre et la nature des missions qui lui sont confiées. Quelle école voulons-nous ? Question éminemment politique qui exige de disposer en amont d'une vision globale de l'École et de ses finalités possibles. De la logique « méritocratique » Notre école va mal. On en attend trop, or elle ne peut pas tout faire. C'est en somme le constat dont est parti le groupe de travail à l'origine de ce rapport. L'École est aujourd'hui prise en tenaille entre plusieurs objectifs, parfois contradictoires. Elle se doit avant tout d'être garante de l'égalité des chances en offrant à tous les élèves le même enseignement. C'est la logique méritocratique à la base de notre contrat social. Assurer une compétition scolaire (formellement) équitable légitime une distribution des places dans la société, déterminée ensuite, plus qu'ailleurs en France, par le diplôme. Mais il lui est aussi demandé de faire de tous les élèves des citoyens éclairés et des adultes employables, d'assurer la mixité sociale, de sensibiliser à l'écologie… La force et le nombre de ces attentes, légitimes, questionnent la primauté accordée à la mission de sélection méritocratique des élites par l'École. Cette priorité implicite rend en effet toute autre finalité, au mieux secondaire, au pire impraticable, notamment parce qu'elle suppose un enseignement uniforme. La contradiction justifie de poser clairement la question des finalités que nous souhaitons assigner au système scolaire. Quelle école voulons-nous ? Que serait-elle surtout si l'objectif de sélection était retardé et que le système pouvait être organisé autrement que par et pour la compétition ? Bref, si « tout ne s'y jouait plus » ? Des alternatives possibles C'est à cette question que répond le rapport en examinant trois modèles idéaux d'école répondant, chacun, à une finalité alternative : prépare
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ANNECY _ Réenchanter l'École - 0 views

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    "En cette rentrée, l'Enseignement catholique invite à inventer de nouvelles façons de vivre ensemble et de porter de façon solidaire la responsabilité en articulant l'esprit d'initiative et la volonté de renouveler nos modes de réflexion et de décision. « Vivre la Responsabilité en partage », c'est à cet enjeu qu'invite l'Enseignement catholique depuis 2016. En effet, tenter de vivre de façon effective en communauté éducative, c'est penser qu'élèves, enseignants, éducateurs, parents, personnel éducatifs et administratifs, bénévoles et animateurs de la vie pastorale, chefs d'établissement occupent chacun au quotidien un espace d'engagement et de confiance dans lequel ils peuvent vivre leur fonction de façon autonome et responsable. Nous sommes convaincus que nous avons beaucoup à gagner à relire notre quotidien en permettant à chacun d'avoir une parole écoutée et entendue. Dans le cadre d'une mobilisation nationale de l'Enseignement catholique, tous les établissements sont invités à 5 jours de réflexion et d'échange au sein des communautés éducatives du 4 au 9 février 2019. Les établissements sont invités à la réflexion, au débat, à l'exploration : il s'agit d'oser penser autrement une culture de la Responsabilité. En Haute Savoie cette semaine sera articulée autour d'un rassemblement des communautés éducatives qui aura lieu le mercredi 6 février. Vidéo : interview de Pascal Balmand, secrétaire général de l'Enseignement catholique, sur le réenchantement de l'école. Le réenchantement pour l'Enseignement catholique en Haute-Savoie Depuis septembre 2016, des membres des communautés éducatives se réunissant avec l'équipe de la Direction diocésaine ont formé le Conseil du réenchantement de l'Enseignement catholique de Haute-Savoie. Ce travail a permis la réalisation d'un important dossier d'animation qui a été remis à chaque chef d'établissement le
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IFOP - Résultats - Baromètre auprès des parnets d'élèves du primaire et du se... - 0 views

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    QUAND LES PARENTS NOTENT L'ECOLE… BAROMÈTRE AUPRÈS DES PARENTS D'ÉLÈVES DU PRIMAIRE ET DU SECONDAIRE Réalisé auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 parents d'élèves du primaire et du secondaire, ce dispositif d'envergure, qui a vocation à prendre chaque année le pouls de l'opinion des parents sur le système éducatif, s'avère riche en enseignements : Une défiance personnelle à l'égard du ministre de l'Éducation nationale, dont la popularité en berne est probablement lestée par une gestion de la grève du Bac sur laquelle les avis sont mitigés. Les Français portent un jugement sévère sur le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse : à peine 43 % des parents d'élèves ont actuellement une bonne opinion de Jean-Michel Blanquer, soit un niveau nettement inférieur à la cote de popularité mesurée l'an dernier chez l'ensemble des Français (62 % février 2018[1]). Il est probable que sa gestion de la grève du Baccalauréat ait impacté l'opinion que les parents d'élèves ont à son égard, ces derniers ayant un avis très mitigé sur la pertinence de sa décision de prendre en compte les notes du contrôle continu (52 % approuvent sa décision, 48 % la désapprouvent). Une défiance à l'égard de la capacité du ministère à s'atteler aux grands enjeux de l'École tels que la lutte contre le mal-être des enseignants, la violence scolaire ou l'amélioration du niveau des élèves. Alors que les récents suicides d'une directrice d'école et d'un enseignant de lycée professionnel ont encore montré l'ampleur du malaise du personnel de l'Education nationale, une large majorité des parents exprime leur défiance à l'égard du ministère pour résoudre le mal-être des enseignants (68 %). De même, alors que la détérioration de l'autorité des enseignants (86 % le constatant) et des conditions de sécurité (68 %, soit une hausse de 7 point
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IFOP - Analyse - Baromètre auprès des parnets d'élèves du primaire et du seco... - 1 views

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    QUAND LES PARENTS NOTENT L'ECOLE… BAROMÈTRE AUPRÈS DES PARENTS D'ÉLÈVES DU PRIMAIRE ET DU SECONDAIRE Réalisé auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 parents d'élèves du primaire et du secondaire, ce dispositif d'envergure, qui a vocation à prendre chaque année le pouls de l'opinion des parents sur le système éducatif, s'avère riche en enseignements : Une défiance personnelle à l'égard du ministre de l'Éducation nationale, dont la popularité en berne est probablement lestée par une gestion de la grève du Bac sur laquelle les avis sont mitigés. Les Français portent un jugement sévère sur le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse : à peine 43 % des parents d'élèves ont actuellement une bonne opinion de Jean-Michel Blanquer, soit un niveau nettement inférieur à la cote de popularité mesurée l'an dernier chez l'ensemble des Français (62 % février 2018[1]). Il est probable que sa gestion de la grève du Baccalauréat ait impacté l'opinion que les parents d'élèves ont à son égard, ces derniers ayant un avis très mitigé sur la pertinence de sa décision de prendre en compte les notes du contrôle continu (52 % approuvent sa décision, 48 % la désapprouvent). Une défiance à l'égard de la capacité du ministère à s'atteler aux grands enjeux de l'École tels que la lutte contre le mal-être des enseignants, la violence scolaire ou l'amélioration du niveau des élèves. Alors que les récents suicides d'une directrice d'école et d'un enseignant de lycée professionnel ont encore montré l'ampleur du malaise du personnel de l'Education nationale, une large majorité des parents exprime leur défiance à l'égard du ministère pour résoudre le mal-être des enseignants (68 %). De même, alors que la détérioration de l'autorité des enseignants (86 % le constatant) et des conditions de sécurité (68 %, soit une hausse de 7 point
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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 0 views

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    Rapport 2016 - Document Complet Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'
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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 1 views

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    Rapport 2016 - Synthèse Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'obligati
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L'enseignement catholique se couche devant le lobby LGBT - 0 views

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    "L'enseignement catholique se couche devant le lobby LGBT Hier et le coq chanta 3 fois ! Sabine de Villeroché C'est peut-être ça « l'effet Toubon »… Coïncidence ? Hier, c'était la « Journée des droits de l'enfant » avec son inévitable publication du rapport du défenseur des droits, Mr Jacques Toubon, et c'était aussi le jour qu'a choisi le diocèse catholique de Rodez pour tomber dans les bras du lobby LGBT. Dans l'Aveyron, l'affaire avait fait un peu de bruit ces derniers jours : des parents des très privés collèges Saint Joseph de Rodez et Sainte-Marie de Cassagnes-Begonhès se sont émus de la programmation du spectacle débat « X, Y et Moi ? » destiné aux élèves. Pas de quoi fouetter un chat, selon les responsables diocésains qui se sont excusés bien bas auprès de la troupe… du « trouble » occasionné par certains réfractaires entraînant « un climat de défiance auprès de nombreuses familles »…Un vrai baiser de Judas ! Les chefs d'établissement concernés, conjointement avec la direction diocésaine et l'évêque de Rodez se justifient « des qualités de ce spectacle qui a le mérite d'inviter (les élèves) à réfléchir sur l'égalité et la complémentarité hommes / femmes. »… et le coq chanta 3 fois ! La dite troupe théâtrale Cie L'An 01 qui anime des « Festivals des fiertés promet « du lourd »: « Sous le prétexte d'une fausse conférence autour de la couleur rose et de son histoire au fil des siècles, nous souhaitons, avec humour et provocation, proposer une redistribution des rôles et des codes masculins et féminins au-delà d'une classification imposée par certains outils d'expression de notre société. Il s'agit d'ouvrir notre esprit critique et de se repenser en tant qu'individu (…) D'où viennent ces inégalités ? Elles perdurent depuis des siècles et sont d'origines religieuse ou socioculturelle. Outre ces origines, la sociabilisation des
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Ministère de l'Education nationale - Repères et références statistiques 2020 - 0 views

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    Résumé de la Caisse des dépôts À quoi ressemble le paysage éducatif français ? C'est à cette - très large - question que répond - tout aussi largement - le rapport "Répères et références statistiques 2020", récemment publié par la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) du ministère de l'Éducation nationale. À la rentrée 2019, l'ensemble du système éducatif français comptait 15,8 millions d'élèves, étudiants et apprentis, soit 50.000 de plus qu'en 2018. Cette hausse s'explique par l'augmentation des effectifs du supérieur, et notamment des apprentis (+13,4%). Dans le secondaire, la hausse est minime (0,6%) et portée par les effectifs de collégiens (+1,1%), quand ceux des formations professionnelles en lycée et des formations générales et technologiques sont en recul (- 0,8% et -0,1%). Quant aux effectifs du premier degré, ils diminuent pour la troisième année consécutive : -1,2% en maternelle et -0,4% en élémentaire. Du simple au double La répartition de ces effectifs sur le territoire en dit beaucoup sur les dynamiques démographiques. En métropole, le département de la Creuse affiche le taux le plus faible avec seulement 14,5% de la population scolarisée. La Corse-du-Sud (14,9%), le Lot (15,5%), le Cantal (16%) et la Dordogne (16,1%) ne sont guère mieux lotis. À l'opposé, on trouve 31,6% de la population scolarisés à Paris, un résultat qui s'explique par le nombre important d'étudiants dans la capitale. Plusieurs départements sont portés par l'attractivité des pôles d'enseignement supérieur implantés dans leur métropole : le Rhône (Lyon) dénombre 28,6% de la population scolarisée, la Meurthe-et-Moselle (Nancy) 27,3%, le Nord (Lille) 26,8%, l'Ille-et-Vilaine (Rennes) 26,6% et la Haute-Garonne (Toulouse) 25,8%. Sur un an, les plus fortes baisses d'effectifs sont enregistrées en Martinique (-3,1%), Guadeloupe (-2,4%), Meuse (-2,5%), Ardennes (-1,8%) et Nièv
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Ministère de l'Education nationale - Atlas des risques sociaux d'échec scolai... - 0 views

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    Édition 2016, données 2011 Les jeunes sortants sans diplôme du système éducatif sont très fortement exposés au chômage et au sous-emploi. En cette période de crise, leurs difficultés vont bien au-delà de la période d'insertion. Même si une partie d'entre eux acquiert de façon différée une qualification, leur destinée professionnelle est fortement marquée par l'insécurité de l'emploi ou/et des emplois de mauvaise qualité. De par son approche territoriale, la deuxième édition de l'Atlas que viennent de coéditer le centre associé au Céreq pour la région Normandie - laboratoire Espaces et Sociétés, UMR CNRS ESO, et la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) - ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, apporte un éclairage original sur la situation de chaque académie. L'ouvrage décrit finement la situation de chaque académie d'un double point de vue : il analyse et cartographie, à l'échelon cantonal, les facteurs plus ou moins propices à la réussite scolaire et les difficultés qui peuvent conduire à l'abandon précoce des études. La première parution de l'Atlas en 2014 a donné lieu à de nombreux échanges dans les différentes académies et régions. Une forte demande s'est exprimée pour son actualisation et en particulier pour prendre la mesure des effets de la crise économique et sociale. Les données ont été actualisées essentiellement à partir du recensement de 2011. De plus, cette édition est enrichie par des données inédites sur les départements d'Outre-Mer. Pour observer les spécificités de chaque académie et leurs disparités internes en matière de risques sociaux et de décrochage scolaire, des indicateurs de contextes territoriaux combinent sept variables susceptibles d'agir sur l'échec scolaire et l'orientation des élèves : le niveau de revenu des ménages, le chômage et la précarit
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France Stratégie - Actions critiques - Quelle autonomie pour les établissemen... - 1 views

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    Les résultats insatisfaisants de notre système éducatif et les impasses que rencontre aujourd'hui son pilotage centralisé conduisent à rechercher une plus grande autonomie des établissements scolaires. Ce concept peut cependant se traduire par des approches très différentes. La première repose sur une plus forte capacité d'auto-organisation locale, sans bouleverser le cadre existant. La deuxième instaure une modulation des moyens et des marges de manœuvre accrues pour les chefs d'établissement. La troisième promeut une nouvelle offre d'établissements privés ou proches du fonctionnement du privé couplée à la mise en place d'outils pour lutter contre le risque de sélection des élèves. Quelle réforme prioritaire engager en matière de politique éducative ? Les difficultés à décliner les orientations nationales au niveau local, le maintien d'une forte uniformité de l'enseignement malgré l'accroissement des inégalités sociales et territoriales entre élèves et les limites des dispositifs mis en œuvre pour remédier aux situations les plus défavorables plaident pour engager le système éducatif français dans la voie de l'autonomie, en tirant les leçons des expériences étrangères. Depuis les années 1980, afin d'améliorer la capacité des systèmes scolaires à remplir leur mission en s'ajustant aux besoins locaux et à l'hétérogénéité des publics, la majorité des pays développés ont redistribué les responsabilités dans les systèmes éducatifs, par la décentralisation politique vers les autorités locales, la déconcentration vers des échelons administratifs locaux ou les établissements eux-mêmes. Ces orientations ont pu être combinées : une large autonomie des établissements peut être réalisée avec un encadrement national (cas des Pays-Bas ou de l'Irlande) ou dans des systèmes décentralisés (cas des pays nordiques ou du Royaume-Uni). Notre pays s'est globalement tenu en retrai
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France Stratégie - Document de travail - Quand la scolarisation à 2 ans n'a p... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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France Stratégie - Synthèse - Quand la scolarisation à 2 ans n'a pas les effe... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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Vers le Haut - Education : Comment éviter le "retour à l'anormal" ? : 5 leçon... - 0 views

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    La fermeture générale de tous les établissements scolaires, des établissements de petite enfance et de toutes les activités éducatives extrascolaires pendant plusieurs semaines est un fait historique sans précédent hors période de vacances. Il a et aura un impact majeur sur l'éducation de millions de jeunes. A travers ce rapport, découvrez les grandes tendances que ce confinement a amplifiées ou révélées ; les réponses apportées par les acteurs éducatifs et 23 propositions tirées de ces actions pour améliorer durablement notre système éducatif. 5 leçons du confinement pour inspirer un changement durable Le confinement a joué le rôle de révélateur ou d'accélérateur de grandes tendances qui existaient déjà : > Le décrochage d'une partie des jeunes et des enfants, touchés par des inégalités, des violences et une pauvreté encore plus aiguës ; > La nécessité de réinventer la relation éducative, notamment à l'école ; > Le rôle incontournable des familles au cœur de l'éducation ; > La transformation des conditions de l'éducation par le numérique, un outil à apprivoiser pour le mettre vraiment au service des jeunes générations. > A ces défis s'ajoutent ceux de l'aide sociale à l'enfance, qui a continué à prendre en charge les jeunes placés avec un engagement particulièrement fort des éducateurs, dans des circonstances extrêmement exigeantes. Pour limiter les dégâts éducatifs, dans l'urgence, les acteurs de terrain ont imaginé des réponses afin de s'adapter aux enjeux immédiats. Jeunes et familles, enseignants, professionnels de la petite enfance, acteurs de l'aide sociale à l'enfance… ont déployés des trésors d'imagination, de réactivité, d'engagement lors de ce confinement. On a aussi perçu en creux les graves carences de notre système éducatif et l'insuffisance de certains acteurs qui n'ont pas pris la mesure de la crise. Les réponses à cette crise, source d'i
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Institut de l'entreprise - Gorge de loup : l'école de la confiance - 0 views

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    par Anne Tézenas du Montcel Premier volet d'une série de six enquêtes ​ La question de l'emploi des jeunes est un enjeu majeur du prochain quinquennat. Comment conduire les jeunes à l'emploi ? Un défi complexe à l'heure où le chômage frappe particulièrement cette population. Pourtant, il existe en France des écoles et des formations innovantes qui ont réussi ce pari. En partenariat avec la Fondation JP Morgan, qui soutient dans plus de 40 pays à travers le monde des initiatives innovantes encourageant l'accès à l'emploi, l'Institut de l'Entreprise a choisi de mettre en lumière six de ces écoles qui « marchent ». Format, statut, méthodes, quelles sont les clés de leur réussite ? Peut-on imaginer de les déployer à plus grande échelle ? La journaliste Anne Tézenas du Montcel mène l'enquête sur le terrain et donne la parole aux élèves, à leurs proches, à leurs enseignants, aux entreprises qui les attendent. Ces six études de cas seront publiées progressivement et réunies dans une étude publiée à la fin du premier semestre 2017. Gorge de Loup, dans la région de Lyon, est une école de production qui mise sur la formation pratique et l'ancrage dans la réalité du monde de l'entreprise pour redonner confiance aux jeunes et les propulser vers l'emploi. « Faire pour apprendre » est le principe pédagogique central du lieu. Bien que peu connues, les écoles de production (il en existe une vingtaine en France) sont considérées par nombre de personnalités du monde de l'entreprise comme un modèle exemplaire dans sa démarche d'accompagnement des jeunes et d'adaptation aux besoins des entreprises. La plupart sont dédiées aux métiers de l'industrie (chaudronnerie, mécanique, productique, métallurgie, etc.) et les élèves qu'elles accueillent sont souvent des décrocheurs n'ayant pas pu s'adapter au parcours scolaire classique. Le taux d'insertion dans la vie active de 100 % des élève
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IFOP - Ecole et orphelin : Mieux comprendre pour mieux accompagner - 1 views

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    L'enquête Ifop pour la Fondation d'entreprise Ocirp est la première enquête nationale d'une telle ampleur à interroger des élèves orphelins et des professionnels de l'éducation dans le but de : - Mieux comprendre le vécu des élèves orphelins, l'impact du décès sur leur scolarité, mais aussi sur leur vie à l'école et les conséquences plus générales. - Mieux cerner les difficultés des enseignants et des personnels de l'éducation confrontés à ces situations de deuil. - Favoriser le début d'une réflexion autour de propositions concrètes pour un meilleur accompagnement des élèves orphelins. Cette étude inédite repose sur des enquêtes quantitatives menées auprès des deux cibles et des entretiens individuels auprès des orphelins et des enseignants. Aussi, cette enquête a été menée auprès de 1 083 individus devenus orphelins au cours de leur scolarité et auprès de 940 professionnels de l'éducation, dont un échantillon de 802 enseignants représentatif de la population enseignante des premier et second degrés. L'enquête s'est appuyée sur des questionnaires autoadministrés en ligne(Cawi - Computer assisted web interviewing). L'élaboration des deux questionnaires(orphelins et professionnels de l'éducation) a bénéficié de l'expertise d'un groupe de travail composé de représentants de partenaires de la Fondation : Afpssu, Apel, Cndr-SP, Cneap, Fnepe, associations de la Fédération Jalmalv, Empreintes, associations du réseau Vivre son deuil, enseignants, médecins et infirmières scolaires, responsables de niveau, psychologues, sociologues, présidents d'associations d'accompagnement au deuil chez l'enfant, adultes orphelins et parents d'orphelins sollicités. Les entretiens qualitatifs ont été réalisés par des psychosociologues de l'Ifop, formés par Guy Cordier, pédopsychiatre spécialiste du deuil chez l'enfant et l'adolescent, auprès de 15 enseignants exerçant du primaire au coll
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OCDE - Résultat PISA 2015 - Résumée en français - 1 views

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    Le Programme international de l'OCDE pour le suivi des acquis des élèves (PISA) cherche non seulement à évaluer ce que les élèves savent en sciences, en compréhension de l'écrit et en mathématiques, mais aussi à déterminer ce qu'ils sont capables de faire avec ces connaissances. Les résultats de l'enquête PISA révèlent la qualité et l'équité de l'apprentissage dans le monde entier, et offrent aux professionnels de l'éducation et aux responsables politiques la possibilité de découvrir les politiques et pratiques d'autres pays et de s'en inspirer. Vous avez entre les mains l'un des cinq volumes qui présentent les résultats de l'évaluation PISA 2015, la sixième édition de cette enquête triennale. Le volume I, L'excellence et l'équité dans l'éducation, résume la performance des élèves en sciences, en compréhension de l'écrit et en mathématiques, et définit et mesure l'équité dans l'éducation. Il se concentre sur les attitudes des élèves à l'égard de l'apprentissage en sciences et analyse leur aspiration à embrasser une carrière scientifique. Il examine aussi l'évolution de la performance et de l'équité ces dernières années dans les pays et économies participant à l'enquête PISA. Le volume II, Politiques et pratiques pour des établissements performants, examine les liens entre la performance des élèves et diverses caractéristiques des établissements et des systèmes d'éducation, notamment les ressources affectées à l'éducation, l'environnement d'apprentissage et les critères de sélection des élèves entre les établissements, les filières d'enseignement et les classes. Le volume III, Le bien-être des élèves, décrit la relation entre les résultats scolaires des élèves de 15 ans et leur vie sociale et leurs attitudes à l'égard de l'apprentissage. Le volume IV, La culture financière des élèves, analyse les connaissances et l'expérience
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