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OCDE - Rapport complet - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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OCDE - Résumé - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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OCDE - Fiche France - Regards sur l'éducation 2018 - 0 views

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    L'OCDE a publié ce jour l'édition 2018 de ses "Regards sur l'éducation", principal recueil de statistiques nationales permettant de mesurer la situation de l'éducation à l'échelle internationale, mais aussi de se comparer d'un pays à l'autre. Le rapport couvre en effet les systèmes éducatifs des 36 pays membres de l'OCDE, ainsi que ceux de l'Afrique du Sud, de l'Arabie saoudite, de l'Argentine, du Brésil, de la Chine, de la Colombie, de la Fédération de Russie, de l'Inde et de l'Indonésie. Les statisticiens ont repéré cinq grands points spécifiques à la France. 76% des enfants de 3 ans sont inscrits en maternelle dans les pays de l'OCDE : D'abord, "presque tous les enfants de 3 ans sont inscrits à l'école maternelle", ce qui positionne la France "en tête de classement" (la moyenne OCDE était de 76% en 2016). De plus, toujours en maternelle, le nombre d'élèves par enseignant semble à première vue élevé avec 23 élèves par enseignants, soit 8 élèves de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. "Mais la France fait davantage appel à des assistants que les autres pays, ce qui fait baisser le taux d'encadrement à 15 élèves par personnel de contact (contre 13 pour l'OCDE)", note le rapport (voir notre article Education - La "lente et irrésistible conquête pédagogique" des Atsem du 13 novembre 2017). Pour l'accueil des enfants de moins de 3 ans en revanche, la France ne fait pas vraiment figure d'exception : le taux d'inscription en maternelle "ou dans d'autres structures de la petite enfance (crèches collectives, maisons d'assistantes maternelles, jardin d'éveil)" est de 36%, quand la moyenne de l'OCDE est à 34%. Les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours : Deuxième spécificité : les élèves français reçoivent davantage d'heures de cours que nombre de leurs voisins. En élémentaire et au collège, le temps d'instruction obligatoire est de 8.100 heures,
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IFOP - Résultats - Baromètre auprès des parnets d'élèves du primaire et du se... - 0 views

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    QUAND LES PARENTS NOTENT L'ECOLE… BAROMÈTRE AUPRÈS DES PARENTS D'ÉLÈVES DU PRIMAIRE ET DU SECONDAIRE Réalisé auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 parents d'élèves du primaire et du secondaire, ce dispositif d'envergure, qui a vocation à prendre chaque année le pouls de l'opinion des parents sur le système éducatif, s'avère riche en enseignements : Une défiance personnelle à l'égard du ministre de l'Éducation nationale, dont la popularité en berne est probablement lestée par une gestion de la grève du Bac sur laquelle les avis sont mitigés. Les Français portent un jugement sévère sur le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse : à peine 43 % des parents d'élèves ont actuellement une bonne opinion de Jean-Michel Blanquer, soit un niveau nettement inférieur à la cote de popularité mesurée l'an dernier chez l'ensemble des Français (62 % février 2018[1]). Il est probable que sa gestion de la grève du Baccalauréat ait impacté l'opinion que les parents d'élèves ont à son égard, ces derniers ayant un avis très mitigé sur la pertinence de sa décision de prendre en compte les notes du contrôle continu (52 % approuvent sa décision, 48 % la désapprouvent). Une défiance à l'égard de la capacité du ministère à s'atteler aux grands enjeux de l'École tels que la lutte contre le mal-être des enseignants, la violence scolaire ou l'amélioration du niveau des élèves. Alors que les récents suicides d'une directrice d'école et d'un enseignant de lycée professionnel ont encore montré l'ampleur du malaise du personnel de l'Education nationale, une large majorité des parents exprime leur défiance à l'égard du ministère pour résoudre le mal-être des enseignants (68 %). De même, alors que la détérioration de l'autorité des enseignants (86 % le constatant) et des conditions de sécurité (68 %, soit une hausse de 7 point
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IFOP - Analyse - Baromètre auprès des parnets d'élèves du primaire et du seco... - 1 views

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    QUAND LES PARENTS NOTENT L'ECOLE… BAROMÈTRE AUPRÈS DES PARENTS D'ÉLÈVES DU PRIMAIRE ET DU SECONDAIRE Réalisé auprès d'un échantillon national représentatif de 1 000 parents d'élèves du primaire et du secondaire, ce dispositif d'envergure, qui a vocation à prendre chaque année le pouls de l'opinion des parents sur le système éducatif, s'avère riche en enseignements : Une défiance personnelle à l'égard du ministre de l'Éducation nationale, dont la popularité en berne est probablement lestée par une gestion de la grève du Bac sur laquelle les avis sont mitigés. Les Français portent un jugement sévère sur le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse : à peine 43 % des parents d'élèves ont actuellement une bonne opinion de Jean-Michel Blanquer, soit un niveau nettement inférieur à la cote de popularité mesurée l'an dernier chez l'ensemble des Français (62 % février 2018[1]). Il est probable que sa gestion de la grève du Baccalauréat ait impacté l'opinion que les parents d'élèves ont à son égard, ces derniers ayant un avis très mitigé sur la pertinence de sa décision de prendre en compte les notes du contrôle continu (52 % approuvent sa décision, 48 % la désapprouvent). Une défiance à l'égard de la capacité du ministère à s'atteler aux grands enjeux de l'École tels que la lutte contre le mal-être des enseignants, la violence scolaire ou l'amélioration du niveau des élèves. Alors que les récents suicides d'une directrice d'école et d'un enseignant de lycée professionnel ont encore montré l'ampleur du malaise du personnel de l'Education nationale, une large majorité des parents exprime leur défiance à l'égard du ministère pour résoudre le mal-être des enseignants (68 %). De même, alors que la détérioration de l'autorité des enseignants (86 % le constatant) et des conditions de sécurité (68 %, soit une hausse de 7 point
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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 0 views

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    Rapport 2016 - Document Complet Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'
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Défenseur des droits - Droit fondamental à l'éducation : une école pour tous,... - 1 views

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    Rapport 2016 - Synthèse Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l'éducation, force est de constater que "l'accès à l'école aujourd'hui en France n'est pas un droit effectif pour de nombreux enfants", notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuel à cette thématique et interpelle à ce titre très directement les collectivités locales. Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore "en conflit avec la loi"... Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent "empêchés d'aller à l'école", selon Jacques Toubon, le défenseur des droits. Pour l'ex-ministre, il y a "un hiatus entre le droit proclamé à l'éducation et l'effectivité de ce droit". Dans le rapport annuel publié ce vendredi 18 novembre, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation. "Notre combat peut apparaître sans fin" mais "notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller", a déclaré le défenseur des droits lors d'une conférence de presse. "La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics", a abondé Geneviève Avenard. Tous deux soulignent que ce rapport n'a pas pour but d'évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d'enfants chaque année. Le rapport met également l'accent sur les inégalités territoriales : entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d'outre-mer et la métropole… Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de "l'obligati
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Elabe - Les Français et l'éducation nationale - 0 views

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    Des Français divisés pour accorder leur confiance au couple exécutif afin d'améliorer le système scolaire français. 52% des Français déclarent faire confiance (mais seulement 9% « tout à fait » confiance) à Emmanuel Macron et Edouard Philippe pour améliorer le système scolaire français. A l'inverse, ils sont 48% à ne pas leur faire confiance (dont 15% « pas confiance du tout »). Si les retraités (61%) et les cadres (59%) font davantage confiance à Emmanuel Macron et Edouard Philippe, les catégories populaires sont une majorité à ne pas leur faire confiance (59%). D'un point de vue politique, les électeurs de Marine Le Pen (75%) sont une majorité à déclarer ne pas faire confiance au couple exécutif pour améliorer le système scolaire. En revanche, les électeurs de Jean-Luc Mélenchon et de Benoît Hamon sont plus nuancés même s'ils sont respectivement 54% et 51% à ne pas leur faire confiance. Les électeurs de François Fillon expriment assez largement leur confiance (78%) les électeurs de 1er tour d'Emmanuel Macron étant quasi-unanimes (92%). Les mesures pour réformer le système scolaire obtiennent une large approbation. Invités à se prononcer sur plusieurs mesures qui pourraient faire partie d'une réforme du système scolaire, les personnes interrogées manifestent majoritairement leur approbation : - Permettre le rétablissement des classes dites « bilangue » au collège (87%) - Mettre en place des dispositifs d'études dirigées au collège pour que les élèves rentrent à la maison les devoirs faits (84%) - Limiter à 12 le nombre d'élève par classe de CP et de CE1 dans les secteurs les plus défavorisés (79%) - Faciliter le recours au redoublement (78%) - Donner la possibilité aux communes qui le souhaitent de revenir à la semaine de quatre jours à l'école (77%) - Renforcer la part du contrôle continu au baccalauréat, en limitant les épreuves à quelques matières fond
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Unicef - 14e rapport Innocenti : Construire l'avenir : les enfants et les obj... - 0 views

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    Innocenti, le centre de recherche de l'Unicef basé à Florence, publie son quatorzième bilan intitulé "Construire l'avenir : les enfants et les objectifs de développement durable dans les pays riches". En effet, pour le rapport - qui porte sur 41 pays développés de l'Union européenne et de l'OCDE -, le signe le plus révélateur des progrès accomplis par une nation pour atteindre les objectifs de développement durable "est sans doute la façon dont elle répond aux besoins de ses enfants". L'étude s'appuie donc sur l'analyse de 9 objectifs et de 25 indicateurs de développement durable en lien avec la thématique des enfants. (...) La 19e place de la France sur les 41 pays étudiés recouvre bien sûr des écarts importants selon les objectifs de développement durable considérés. Côté positif : le 7e rang de la France sur l'objectif "Faim zéro" (éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et améliorer la nutrition). De même, le classement apparaît correct avec le 14e rang sur l'objectif "Education de qualité" et le 15e rang sur l'objectif "Pas de pauvreté", voire avec le 17e rang sur l'objectif "Bonne santé et bien-être". Deux autres critères se situent juste dans la moyenne de l'échantillon : la France figure ainsi au 20e rang sur l'objectif "Travail décent et croissance économique" et au 21e rang sur "Paix, justice et institutions efficaces". En revanche, la situation sur les autres objectifs est nettement moins favorable et pèse sur le classement final. La France figure ainsi au 23e rang sur l'objectif "Villes et communautés durables" et au 25e sur "Consommation et production responsables". Mais le plus mauvais résultat concerne l'objectif "Inégalités réduites", sur lequel la France se classe au 34e rang, tout juste devant les Etats-Unis (35e). Sur ce critère, tous les autres grands pays développés se trouvent classés devant la France. Ce critère combine trois indicateurs portant respectivement sur l'inégalité (ind
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IFOP - Les Français et l'école : état des lieux et perspectives d'évolution - 0 views

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    "A quelques jours de la rentrée scolaire, Ifop-Fiducial a mené un état des lieux et des perspectives d'évolutions de l'école auprès des Français. Les personnes interrogées voient comme priorités de l'école la transmission à chacun des connaissances et des savoirs (à 89%, en hausse de 14 points en 5 ans) ainsi que la favorisation de l'intégration et la réduction des inégalités (36%, baisse d'un point en 5 ans). Seuls 4% des Français imaginent que l'école doit permettre la sélection des meilleurs (en particulier les électeurs d'Éric Zemmour, à 11%). Les Français montrent des opinions très variées sur le fonctionnement de l'enseignement selon le niveau. Ainsi, 77% déclarent que l'école maternelle fonctionne bien, 65% pour le primaire, 52% pour l'enseignement supérieur, mais seulement 41% pour le collège et le lycée. Les électeurs d'Emmanuel Macron se distinguent en étant les seuls à juger que cela fonctionne bien pour tous les niveaux de façon nettement supérieure à l'ensemble de la population. De plus, la dynamique ne semble pas aller dans le bon sens pour l'évolution de la situation dans les milieux où cela fonctionne le moins bien. Pour 71% des Français, la situation se dégrade dans les collèges, 69% dans les lycées, 59% dans l'enseignement supérieur, 52% à l'école primaire et 36% à l'école maternelle. Pour endiguer cette dégradation de l'enseignement en France, les personnes interrogées suggèrent avant tout de mieux former et mieux évaluer les enseignants (61%, moins 5 points en 9 ans), de recruter davantage d'enseignants (56%, plus 24 points) ou bien encore de mieux répartir les moyens entre territoires favorisés et territoires défavorisés (28%, moins 10 points), au même niveau que la nécessité d'accorder plus d'autonomie aux chefs établissements scolaires, notamment en matière de recrutement des enseignants."
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Ministère de l'Education nationale - Genre et lutte contre le harcèlement à l... - 0 views

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    Aude Kerivel, chargée d'études à l'INJEP publie un article dans la revue Education et formation de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), dont le numéro de septembre est consacré à l'égalité entre les filles et les garçons dans le système éducatif. Intitulé Genre et lutte contre le harcèlement à l'école. Les enseignements de trois expérimentations soutenues par le Fonds d'expérimentation pour la jeunesse, l'article questionne la nécessité de considérer différemment filles et garçons dans l'appréhension des phénomènes de harcèlement, mais aussi dans les actions proposées pour prévenir ou lutter contre le phénomène. Dans la continuité des travaux de Rubi et Jarlegan qui mettent en évidence les inégalités filles/garçons face à la question du harcèlement scolaire, le texte tire les enseignements de trois expérimentations visant à tester et évaluer des dispositifs de lutte contre le harcèlement entre pairs à l'école, et réalisées en 2011. L'une porte sur des actions de prévention mises en œuvre auprès du personnel enseignant et des élèves. La seconde consiste en l'organisation de séances d'éducation à l'empathie. La troisième, enfin, vise à faire intervenir des « médiateurs sociaux », tiers créateurs de lien, dont l'une des missions est de gérer les conflits. Qu'elles recourent aux techniques dite d'évaluation randomisée, ante poste ou in itinere, toutes ses expérimentations ont en commun d'utiliser les outils de recueil de données quantitatifs et qualitatifs, s'attachant à recueillir l'expérience et le point de vue des élèves, en s'inspirant des enquêtes de victimation. Objectif : mesurer les effets des dispositifs sur les situations de harcèlement et le climat scolaire. D'après l'auteure, les résultats de ces travaux font apparaître que les modalités d'action contre le harcèlement touchent différemment les
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Institut des Politiques publiques - La taille des classes influence-t-elle la... - 0 views

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    Cette note présente les résultats des recherches les plus robustes méthodologiquement, qui estiment l'impact d'une réduction de la taille des classes sur les performances scolaires des élèves et sur leur destin à plus long terme. Contrairement à une idée qui a longtemps perduré, ces effets sont élevés, si on les compare à d'autres politiques scolaires menées à grande échelle et rigoureusement évaluées. Le coût absolu du doublement des classes de CP et de CE1 justifie de cibler cette politique sur les élèves les moins favorisés, mais l'investissement est rentable dès qu'il existe des effets in fine sur la situation professionnelle des bénéficiaires aussi petits que 1 %. Il reste cependant beaucoup d'inconnues, notamment sur l'articulation entre la réduction de la taille des classes et les pratiques pédagogiques. Points clés : - Un certain nombre de travaux de recherche internationaux, pour la plupart récents, estiment les effets d'une réduction de la taille des classes sur les progressions des élèves en neutralisant de façon convaincante les biais de sélection. - Ces travaux montrent que le dédoublement d'une classe de 24 élèves améliore les performances moyennes des élèves de façon significative, et il est même possible d'en voir les effets à long terme sur les trajectoires scolaires et l'insertion professionnelle. - Ces effets sont observés alors même que les enseignants ne sont pas spécifiquement accompagnés au plan pédagogique. - Le coût élevé d'une telle politique justifie de la cibler sur les élèves les moins favorisés socialement, ce qui répond à un objectif de réduction des inégalités. - Le calcul coût-bénéfice indique qu'une telle politique est rentable dès qu'elle permet d'augmenter le salaire futur de ses bénéficiaires de 1 %, via ses bénéfices sur la trajectoire scolaire.
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France Stratégie - Document de travail - Quand la scolarisation à 2 ans n'a p... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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France Stratégie - Synthèse - Quand la scolarisation à 2 ans n'a pas les effe... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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Institut des Politiques publiques - Secteurs multi-collèges à Paris : un outi... - 0 views

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    Résumé : Les collèges parisiens se caractérisent par des niveaux de ségrégation sociale parmi les plus élevés de France, du fait de l'ampleur des contrastes sociaux qui opposent des quartiers pourtant proches géographiquement et de l'importance de l'évitement vers le secteur privé des catégories sociales les plus favorisées. Face à ce constat, le Conseil de Paris a voté au mois de janvier 2017 la création de trois secteurs bi-collèges dans les 18e et 19e arrondissements. Ce dispositif a consisté à mettre en place des secteurs communs à plusieurs collèges afin de diversifier leur recrutement social. Le bilan provisoire que l'on peut tirer de la première année d'expérimentation (2017-2018) est encourageant. Deux des trois secteurs ont atteint leur objectif de mixité sociale et ont entraîné une diminution de l'évitement vers le secteur privé. Si le troisième secteur n'a pas permis de rééquilibrer à court terme la composition sociale des collèges concernés, les résultats de l'évaluation permettent d'envisager plusieurs pistes d'amélioration. Points clés : À la rentrée 2017-2018, trois secteurs bi-collèges ont été mis en place dans les 18e et 19e arrondissements de la capitale et ont concerné près de 700 élèves entrant en sixième. Deux procédures distinctes ont été mises en oeuvre pour affecter les élèves dans les secteurs nouvellement créés: la « montée alternée » (secteur Berlioz-Coysevox) et le choix régulé (secteurs Curie-Philipe et Bergson-Pailleron). Au terme de leur première année d'existence, les secteurs Berlioz-Coysevox et Bergson-Pailleron ont permis de renforcer la mixité sociale dans les collèges concernés et ont entraîné un reflux de l'évitement vers le secteur privé. En revanche, l'échec du secteur Curie-Philipe à rééquilibrer à court terme la composition sociale de ces deux collèges REP met en lumière les difficultés inhérentes à l
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IFOP - Les Français et l'enseignement du fait religieux - 1 views

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    LES FRANÇAIS ET L'ENSEIGNEMENT DU FAIT RELIGIEUX L'Ifop a mené pour L'institut d'étude des religions et de la laïcité une étude sur les Français et l'enseignement du fait religieux. Plus de la moitié des Français déclarent être intéressés par la religion et la laïcité (53%) et tout spécialement les seniors (64%) mais aussi les plus jeunes (66% des 18-24 ans). Les Français s'informent majoritairement sur les religions par leurs propres moyens et estiment ne pas avoir besoin de formation supplémentaire (53%) mais près d'un tiers (30%) voudrait tout de même avoir des informations fiables par des enseignants ou des chercheurs et 17% voudraient avoir des témoignages de personnes s'exprimant selon leurs convictions religieuses ou non religieuses. Les principales sources de connaissance sur les religions utilisées sont les médias traditionnels (38% des Français), les livres, revues, émissions spécialisées ou conférences sur ces sujets (33%) ainsi que le réseau de sociabilité (29%). Un tiers (34%) des personnes interrogées considèrent qu'une meilleure connaissance des religions aurait été utile dans certaines situations professionnelles ou personnelles. Et selon les Français, la meilleure façon pour aborder le fait religieux est par les connaissances sur les religions dans le cadre de l'enseignement laïque (37%). Des divergences générationnelles s'observent cependant également sur ce point : seuls 22% des 18-24 ans le citent. Un quart de cette jeune générations privilégierait plutôt un enseignement religieux donné par un professeur de religion (24% contre 13% pour l'ensemble des Français) ou des débats entre élèves de différentes religions ou sans religion arbitrés par un enseignant (23% contre 16% parmi l'ensemble des Français).
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Ministère de l'Education nationale - Atlas des risques sociaux d'échec scolai... - 0 views

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    Édition 2016, données 2011 Les jeunes sortants sans diplôme du système éducatif sont très fortement exposés au chômage et au sous-emploi. En cette période de crise, leurs difficultés vont bien au-delà de la période d'insertion. Même si une partie d'entre eux acquiert de façon différée une qualification, leur destinée professionnelle est fortement marquée par l'insécurité de l'emploi ou/et des emplois de mauvaise qualité. De par son approche territoriale, la deuxième édition de l'Atlas que viennent de coéditer le centre associé au Céreq pour la région Normandie - laboratoire Espaces et Sociétés, UMR CNRS ESO, et la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) - ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, apporte un éclairage original sur la situation de chaque académie. L'ouvrage décrit finement la situation de chaque académie d'un double point de vue : il analyse et cartographie, à l'échelon cantonal, les facteurs plus ou moins propices à la réussite scolaire et les difficultés qui peuvent conduire à l'abandon précoce des études. La première parution de l'Atlas en 2014 a donné lieu à de nombreux échanges dans les différentes académies et régions. Une forte demande s'est exprimée pour son actualisation et en particulier pour prendre la mesure des effets de la crise économique et sociale. Les données ont été actualisées essentiellement à partir du recensement de 2011. De plus, cette édition est enrichie par des données inédites sur les départements d'Outre-Mer. Pour observer les spécificités de chaque académie et leurs disparités internes en matière de risques sociaux et de décrochage scolaire, des indicateurs de contextes territoriaux combinent sept variables susceptibles d'agir sur l'échec scolaire et l'orientation des élèves : le niveau de revenu des ménages, le chômage et la précarit
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OCDE - Résumé - Regards sur l'Education 2017 Indicateurs de l'OCDE - 1 views

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    Regards sur l'éducation : Les indicateurs de l'OCDE est la publication de référence sur l'état de l'éducation dans le monde. Avec plus de 125 graphiques et 145 tableaux, et un corpus encore plus riche de données consultables sur notre base de données consacrée à l'éducation, Regards sur l'éducation 2017 présente des données clés sur : les résultats des établissements d'enseignement ; l'impact de l'apprentissage dans les différents pays ; les ressources financières et humaines investies dans l'éducation ; l'accès, la participation et la progression au sein des systèmes d'éducation ; l'environnement d'apprentissage ; et l'organisation scolaire. Avec un nouvel éclairage sur les domaines d'études, cette édition 2017 analyse notamment les tendances des taux de scolarisation dans le deuxième cycle de l'enseignement secondaire et l'enseignement tertiaire, la mobilité étudiante, et les débouchés professionnels des diplômes obtenus dans ces différents domaines. Elle présente en outre pour la première fois un chapitre entièrement consacré aux objectifs de développement durable (ODD) et permet donc de faire le point sur la progression des pays membres ou partenaires de l'OCDE sur la voie de la réalisation des cibles de ces ODD. Enfin, la section relative à la participation et à la progression au sein des systèmes d'éducation introduit deux nouveaux indicateurs : le premier sur le taux de réussite des élèves du deuxième cycle de l'enseignement secondaire, et le second sur les processus d'admission dans l'enseignement supérieur. Le rapport couvre l'ensemble des 35 pays membres de l'OCDE, ainsi qu'un certain nombre de pays partenaires (Afrique du Sud, Arabie saoudite, Argentine, Brésil, Chine, Colombie, Costa Rica, Fédération de Russie, Inde, Indonésie et Lituanie).
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OCDE - Document intégral en anglais - Regards sur l'Education 2017 Indicateur... - 2 views

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    Regards sur l'éducation : Les indicateurs de l'OCDE est la publication de référence sur l'état de l'éducation dans le monde. Avec plus de 125 graphiques et 145 tableaux, et un corpus encore plus riche de données consultables sur notre base de données consacrée à l'éducation, Regards sur l'éducation 2017 présente des données clés sur : les résultats des établissements d'enseignement ; l'impact de l'apprentissage dans les différents pays ; les ressources financières et humaines investies dans l'éducation ; l'accès, la participation et la progression au sein des systèmes d'éducation ; l'environnement d'apprentissage ; et l'organisation scolaire. Avec un nouvel éclairage sur les domaines d'études, cette édition 2017 analyse notamment les tendances des taux de scolarisation dans le deuxième cycle de l'enseignement secondaire et l'enseignement tertiaire, la mobilité étudiante, et les débouchés professionnels des diplômes obtenus dans ces différents domaines. Elle présente en outre pour la première fois un chapitre entièrement consacré aux objectifs de développement durable (ODD) et permet donc de faire le point sur la progression des pays membres ou partenaires de l'OCDE sur la voie de la réalisation des cibles de ces ODD. Enfin, la section relative à la participation et à la progression au sein des systèmes d'éducation introduit deux nouveaux indicateurs : le premier sur le taux de réussite des élèves du deuxième cycle de l'enseignement secondaire, et le second sur les processus d'admission dans l'enseignement supérieur. Le rapport couvre l'ensemble des 35 pays membres de l'OCDE, ainsi qu'un certain nombre de pays partenaires (Afrique du Sud, Arabie saoudite, Argentine, Brésil, Chine, Colombie, Costa Rica, Fédération de Russie, Inde, Indonésie et Lituanie).
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Vers Le Haut - Publication Rentrée 2020 : démasquer les enjeux de la rentrée - 0 views

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    "A l'occasion de cette rentrée scolaire particulière, VersLeHaut publie une note de décryptage sur les grands défis pour le ministère de l'Education nationale : les défis du post-confinement : quels enjeux prioritaires ? les enjeux sanitaires: le rappel des contraintes le point sur les chantiers éducation du quinquennat,à l'occasion de cette 4eme rentrée scolaire depuis l'élection d'Emmanuel Macron : De la réforme du lycée à la revalorisation des salaires des enseignants, du dédoublement des classes en primaire au statut des directeurs d'école, comment avancent les réformes, engagement par engagement ? Les enjeux sont nombreux, majorés par le confinement, complexifiés par les mesures sanitaires. Il ne faudrait pas que l'éducation passe au second plan ! C'est au contraire en misant sur les nouvelles générations qu'on pourra mieux sortir de la crise."
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