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Aurialie Jublin

RSLN | Les métiers transformés par le numérique : professeur de musique - 1 views

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    Nous vous présentions récemment la start-up Carpe Dièse : plateforme de cours de musique en ligne fondée par trois jeunes passionnés de musique, Victor, Anthony et Léni. Leur ambition ? Replacer l'humain au coeur du e-learning musical. Et pour ce faire, les trois jeunes musiciens ont développé une pédagogie spécialement adaptée au domaine. Qu'en est-il donc du métier de professeur de musique 2.0 ? Quels sont les changements induits par la  visio-conférence dans le rapport aux élèves ? Comment préparer ses cours et quelle marge de manoeuvre existe-il pour les professeurs ? C'est dans le but de répondre à ces questions que nous avons rencontré Dorian Chamoin, professeur de guitare chez Carpe Dièse.
julien camacho

GÉNÉRATION Y * Besoin d'un boulot ? Inventez-le | Courrier international - 2 views

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    Le fossé se creuse dans un marché du travail où la classe moyenne, qui s'était constituée sur l'accès à des postes qualifiés, tend à disparaitre. Le système d'enseignement doit faire face à l'obligation de développer des compétences chez le individus qui leur permettront d'innover durablement, condition sinequanone d'une adaptabilité à des fonctions très qualifiées.
julien camacho

Humanities in the digital age | Harvard Gazette - 1 views

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    Le partage et la création de savoirs sur les plateformes de l'internet posent de nouvelles perspectives aux "humanités". Les "digital humanities" seront animées par des chercheurs, enseignants, amateurs, qui auront assimilés des compétences de programmation et de traduction pour produire une connaissance exploitable par la communauté.
Aurialie Jublin

Petits textes et grands espaces québécois - Une Planète Plus Intelligente - 0 views

  • Ici, l'effet d'engouement produit par Twitter n'est pas un effet de mode, mais s'affirme comme un véritable levier pédagogique qui valorise le travail sur la langue, souligne l'importance de construire une identité numérique positive et permet d'acquérir des connaissances et de développer des compétences, peu importe la discipline enseignée. Les enseignants modifient leurs pratiques en favorisant une pédagogie interactive avec l'outil de microblogage et en mobilisant la communauté créée entre les classes francophones du Québec et d'ailleurs, facilitant ainsi l'ouverture sur le monde et le travail sur les repères culturels.
  • Parmi des centaines de projets exemplaires, en voici quelques-uns : au primaire, le débat silencieux de Marie Germain (@dlaclasse), l'écriture collaborative du conte Le Petit Chaperon rouge de Brigitte Léonard (@BrigitteProf), la correspondance transatlantique entre les classes de @classemegauron et de @crotenaycycle3. Au secondaire, les élèves de Marie Champagne tweetent leur ville (@Classedemacha), ceux de Jean Doré (@JeanDore) argumentent sur la peine de mort (#12hommes), ceux d'Anick Sirard (@ASirard) et de Richard Cliche (@Rick_Cliche) partent à la découverte des merveilles du monde et ceux de Sylvain Bérubé (@slyberu) écrivent une histoire en dix tweets avec les élèves d'Annie Côté (@Annierikiki) et de Delphine Régnard (@drmlj). Informer, prendre position et créer deviennent signifiants mais, dans tous les cas, la motivation est là, car les écrits font l'objet d'interactions multiples.
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    Au Québec, Twitter est devenu pour de nombreux enseignants un véritable outil pédagogique interactif, valorisant le travail sur la langue et l'ouverture au monde. 
Aurialie Jublin

La face cachée des Moocs - 2 views

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    "Les « Massive Open Online Courses » ne sont pas simplement des cours en ligne, mais des vecteurs d'enseignement sophistiqués, exploitant tous les instruments de la vidéo numérique augmentée, éventuellement accompagnés de questionnaires et d'une interaction numérique avec les autres étudiants, animés par un tuteur. Et ils sont gratuits ! Ils sont en train de révolutionner des institutions séculaires et de rebattre les cartes au niveau mondial. Les stratégies des acteurs sont diverses, de ceux qui veulent simplement rester dans la course aux puissantes institutions américaines qui cherchent à étendre leur influence, en passant par ceux qui refusent d'entrer dans le jeu. Les conséquences sont d'ores et déjà considérables, notamment pour les étudiants des pays en développement. Mais des débats demeurent, sur la qualité et plus largement sur la nature de l'enseignement."
Aurialie Jublin

Cours en ligne : moins d'un participant sur cinq est étudiant - Le Figaro Étu... - 1 views

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    "Les «Massive Online Open Courses» proposent des mini-cursus gratuits durant plusieurs semaines sur Internet, parfois gratifiés de certifications ou badges de compétences. Ils connaissent un immense succès... surtout chez les cadres de plus de 30 ans."
Aurialie Jublin

Simplon, la nouvelle école du web - Innovation - Les clés de demain - Le Mond... - 1 views

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    "Dès octobre, 24 apprentis codeurs devraient investir les lieux pour s'initier, en six mois et gratuitement, aux bases de la programmation informatique."
Thierry Nabeth

Transformation digitale et culture d'entreprise : l'enjeu du capital humain, par Paulin... - 1 views

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    Adobe et Valtech ont réalisé ensemble un ouvrage qui a été dévoilé le 25 mars dernier. Son thème, la "Transformation Digitale", à travers 11 interviews de grands annonceurs français comme Accor, L'Oréal, Meetic, ou encore Price Minister. Ces entretiens apportent un éclairage passionnant sur la relation entre la marque et ses clients, les attentes de ces derniers, ou les stratégies cross-canal… Inspirant pour la formation…
Aurialie Jublin

«Internet oblige le prof à remettre de l'ordre dans du désordre» - Libération - 1 views

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    "Les cours en ligne ne signent pas la mort de l'enseignant, affirme le philosophe Marcel Gauchet. L'accès à des sources de savoir multiples accentue au contraire le besoin de médiation."
Aurialie Jublin

Des universités traduisent leurs diplômes en listes de compétences, pour faci... - 0 views

  • Le but n’est rien d’autre que de traduire l’ensemble des diplômes de cette université scientifique et médicale en listes de compétences. Cela prendra la forme de guides expliquant ce que les étudiants savent faire à la sortie de leur cursus. On y lira, par exemple, qu’à l’issue d’une licence de génie civil on sait mettre en place le plan d’installation d’un chantier, implanter un ouvrage (un bâtiment ou une route, par exemple) en utilisant des repères topographiques, etc.Plutôt que le « quoi » (les matières apprises), c’est le « pourquoi » qui est mis en avant : le sens des études, qu’il s’agit de traduire en termes concrets. « Quand on participe à des Salons, raconte Joëlle Aubert, on se rend compte que la demande des familles n’est plus “Qu’est-ce qu’on apprend dans votre établissement ?”, mais “Que feront nos enfants après des études chez vous ?” »
  • Penser compétences suppose de repenser la formation en profondeur, dit-il. « On ne peut penser compétences sans en tirer les conséquences sur la manière de faire cours et sur l’évaluation », constate Joëlle Aubert.Bref, reconnaît Yannick Morel à l’APEC, « transformer un lycéen en un professionnel en trois ans, c’est un travail énorme »
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    "Que savent faire les étudiants lorsqu'ils sortent de l'université ? Quelles compétences peuvent-ils mettre en avant sur le marché de l'emploi ? Cette question centrale, longtemps négligée, est aujourd'hui au cœur de la réflexion de quelques établissements pionniers, à Saint-Etienne ou à Lille, par exemple. C'est aussi le cas de l'université Joseph-Fourier (UJF), à Grenoble, qui tenait, jeudi 25 juin, un séminaire sur ce thème. Depuis le printemps 2013, l'équipe de Joëlle Aubert, vice-présidente de l'UJF, a engagé un vaste chantier, en invitant enseignants-chercheurs, entreprises, étudiants et parents à participer aux travaux."
merryaile

Simplon et 42, deux établissements qui enseignent le code en réinventant l'éc... - 0 views

  • Et comme la formation dure trois ans, elle accueillera bientôt 2700 élèves répartis sur trois promotions. Les étudiant ne paient aucun frais de scolarité: c’est Xavier Niel, le fondateur de l’école et vice-président d’Iliad, maison-mère de Free, le fournisseur d’accès à internet et opérateur de téléphonie mobile, qui prend en charge l’intégralité des coûts: l’achat du bâtiment - 4 200 m2 pour environ 20 millions d’euros - et
  • “Ecole, ça fait penser à une transmission de savoirs professeur-élève dans laquelle on ne se reconnaît pas. On est plutôt une grande communauté avec des étudiants qui ne viennent pas ici chercher un savoir mais apprendre à apprendre”
  • s’auto-gérer, se noter entre eux, et se corriger mutuellement”.
  • ...2 more annotations...
  • responsable individuellement
  • la plupart du temps, les bons se mettent ensemble pour faire un maximum de projets et les mauvais restent entre eux.
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    Deux écoles qui ont décidé de remplacer l'éducation nationale là où elles là trouvent insuffisante : Simplon, école sociale, apprendre à coder pour ensuite réaliser projets sociaux. Ecole 42, former des développeurs car la France en aura besoin et leur apprendre à apprendre plutôt que leur transmettre un savoir. Les diplômes ne valent déjà plus pour cette école dans laquelle les sans-bac rentrent facilement. Pédagogie de groupe autonome qui ne fonctionne pas toujours très bien cependant : élèves qui se notent entre eux, problème posé de la maturité de l'individu;des groupes de forts/faibles qui ne stimulent pas toujours. La présence d'une autorité supérieur régulatrice, indispensable ?
merryaile

Devons-nous tous apprendre à coder? - Serge Abiteboul - 0 views

  • evoir apprendre à prog
  • Si l’on veut être un citoyen à part entière, si l’on veut prendre en main son destin, il faut par exemple comprendre ce que c’est que le cloud ou le vote électronique et il faut être capable de se programmer une petite application sur son téléphone et de customiser quelques lignes de code sur un site web. Et ce quelque soit son métier. C’est à la portée de tout le monde : ce n’est pas plus compliqué que d’écrire un rapport en français ou de concevoir la logistique d’une entreprise.
  • il faudra rapidement intégrer cet enseignement dans les programmes scolaires
  • ...21 more annotations...
  • Donc, l’informatique est une science qu’il faut enseigner, comme on enseigne la physique, la chimie ou les mathématiques. Mais c’est aussi une technique. Il faut aussi apprendre à fabriquer soi-même des programmes, à résoudre des problèmes avec l’informatique.
  • informatique comme une matière à part entière ou en distiller dans chacune des autres matières, de par son caractère interdisciplinaire
  • qu’une seule pensée algorithmique.
  • La notion d’algorithme est bien connue depuis longtemps. Quand on vous apprend à faire une opération, par exemple l’addition, la multiplication ou la division, on vous apprend des algorithmes.
  • concepts de façon plus abstraite.
  • Il s’agit donc de comprendre la pensée informatique, qui est vraiment fondamentale pour comprendre le monde qui nous entoure
  • Il faut commencer dès le plus jeune âge, car c’est un âge auquel les enfants sont plus réceptifs à de nouvelles idées.
  • apprendre à lire, écrire et compter”. On peut rajouter “et à programmer
  • Cela se fait aussi énormément en dehors de l’école. Il y a des goûters, des clubs, des associations comme Magic Makers
  • Là, il s’agit véritablement d’un enseignement, d’une science et d’une technique et non simplement de familiariser les gens à des outils ou des pratiques.
  • Ils peuvent se former sur le tas. Il existe des associations, des formations en ligne, parfois sous forme de jeu pour la programmation.
  • trois temps scolaires
  • l’école, il s’agit de familiariser aux grands concepts
  • le collègue doit véritablement être le lieu où toute la population doit apprendre les bases de l’informatique
  • , c’est-à-dire la programmation et les bases des algorithmes, ce que c’est que l’information, comment fonctionnent les machines, etc.
  • Quand on passe au lycée, on peut imaginer des enseignements informatiques adaptés aux orientations de chacun
  • ’Angleterre a notamment décidé d’introduire l’enseignement de l’informatique en mettant un examen d’informatique à la fin du lycée.
  • Bavière
  • Israël
  • Corée du Sud
  • La France se situe plutôt parmi les mauvais élèves, en partie parce que nous avons plutôt investi sur l’enseignement des outils et des pratiques du numérique sans véritable volonté d’enseigner l’informatique.
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    Pour Serge Abiteboul, directeur de rechercheur de l'INRIA sa position est formelle : il faut que l'enseignement du code soit intégrer dans le socle des connaissances de l'école, au même titre que compter et lire. Pourquoi ? - car nous vivons dans une société numérique, pour être un citoyen éclairé. - pour ne plus être consommateur de la technique mais aussi acteur. Comment l'enseigner ? Distinction science de l'informatique / informatique. Position de la France en retard par rapport aux autre pays.
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