Skip to main content

Home/ FuturEduc/ Group items tagged travail de groupe

Rss Feed Group items tagged

merryaile

Pourquoi les enseignants font grève - 0 views

  • ne peut être généralisé, surtout si cela doit se faire sur le mode de l’injonction.
  • Spécialistes de leur discipline avant tout, beaucoup disent ne pas avoir été formés à ces méthodes.
  • L’autonomie.
  • ...11 more annotations...
  • une dégradation des conditions de travail, dans la mesure où ils nécessitent un temps de préparation, de coordination entre collègues, qui n’est pas prévu dans la réforme.
  • Le latin et le grec se retrouveraient ainsi « mis en concurrence » avec d’autres disciplines
  • offre éducative à géométrie variable
  • A compter de la rentrée prochaine, le latin et le grec ne seront plus une option à part entière. Ils seront enseignés via l’EPI « langues et cultures de l’Antiquité ».
  • cette autonomie comme le moyen de mieux s’adapter aux besoins des élèves, mais beaucoup d’enseignants l’entendent plutôt comme un principe libéral, redoutant que des « pouvoirs accrus » soient donnés aux chefs d’établissement.
  • par l’apprentissage « par tous les élèves » d’une seconde langue vivante dès la 5e
  • leur maintien en 6e pour les élèves qui ont appris au primaire une autre langue que l’anglais.
  • Chez les professeurs d’allemand, pour qui ces sections ont permis, depuis dix ans, d’enrayer la chute des effectifs dans cette discipline, l’inquiétude demeure.
  • SNUipp-FSU
  • des salaires
  • Le syndicat majoritaire rappelle que le salaire de la profession est parmi les plus bas d’Europe
  •  
    Remise en cause des projets interdisciplinaires : imposés, sans heures de travail supplémentaires pour la préparation prévues pour enseignants, enseignants pas formés à cette manière de travailler. Remise en cause de la réduction des fonds pour le latin et de la diminution des classes bilingues. Professeurs du primaire demandent une augmentation : 16% moins bien payés que collègues européens
anonymous

A quoi servent les tablettes à l'école ? - 1 views

  •  
    "Après deux années scolaires dans certaines écoles - une seule dans d'autres -, les deux économistes n'ont observé aucun effet pour les élèves équipés. Pas une note qui ait bougé, ni à la hausse ni à la baisse. L'étude de Fairlie et Robinson montre que ces enfants ont passé un peu plus de temps sur leurs devoirs que ceux privés de matériel, mais pas assez pour que cela ait un impact. Ils ont aussi profité de l'écran magique pour jouer et communiquer. Ainsi, le groupe témoin - celui qui n'a pas bénéficié de la distribution d'ordinateurs et n'en dispose pas chez lui - a passé en moyenne 4,2 heures hebdomadaires sur un écran interactif, à l'école, à la bibliothèque ou chez les copains. Ceux qui ont reçu un ordinateur y ont quasiment passé 2 heures et demie de plus chaque semaine. Un temps supplémentaire réparti entre 50 minutes de travail scolaire, 50 minutes de jeux et 35 minutes de réseaux sociaux. Même s'ils passent un peu plus de temps sur leurs devoirs, l'ordinateur n'est pas un outil d'approfondissement du travail, ni un outil de culture."
Veronique Routin

Numérique à l'école : « Nos classes seront équipées d'ici novembre » - 0 views

  • Ce projet a apporté une plus grande sérénité chez les élèves. Ils sont plus présents en classe et font montre d’une attitude plus positive basée sur le questionnement et la recherche.
  • L’outil participe à la réussite des élèves et à leur regain d’intérêt en classe, mais n’est pas une fin en soi.
  • Certains jouent en réseau jusqu’à deux heures du matin avec des camarades de classe et sont exténués le lendemain à l’école. Les jeunes ont déjà l’habitude de ces nouveaux usages numériques, c’est pourquoi il est primordial qu’ils soient formés et informés afin de les utiliser à leur avantage. Qu’ils apprennent à se servir de leurs outils numériques pour travailler et non plus uniquement s’amuser.
  •  
    Le plan numérique tel que vu par une principale du collège Belle de Mai, Près de 400 euros par élève pour l'équipement en tablette et logiciel. Pour elle l'outil permettrait de raccrocher des élèves décrocheurs : "une plus grande sérénité chez les élèves, ils sont plus présents en classe, l'outil participe à la réussite des élèves et à leur regain d'intérêt". Elle présente cet outil tablette non pas uniquement pour s'amuser mais pour travailler.
merryaile

Avant de débattre des moyens de l'école, et si on revoyait ses finalités | Sl... - 0 views

  •  
    Réfléchir sur les finalité de l'école pour repenser son contenu : l'école actuelle française prépare principalement l'élève au travail individuel et à réussir des concours. Alors que le travail de groupe, non-inné, est pourtant essentiel dans la vie professionnelle et citoyenne. 
merryaile

Une troisième en classe affaires - Libération - 0 views

  • ’option Découverte professionnelle
  • association Entreprise et Progrès
  • chefs d’entreprise voulant «s’impliquer dans la cité».
  • ...22 more annotations...
  • Denis Terrien, patron du groupe 3 Suisses international
  • Denis Terrien
  • Il faut rapprocher le monde de l’entreprise de l’école, le démystifier.
  • Les jeunes qui vivent ici travailleront chez nous et sont nos clients. Nous devons les connaître, sentir leurs attentes, ils ne doivent pas avoir peur de l’entreprise.»
  • A la rentrée, le collège tout décati, dans le quartier du Chêne pointu, la cité où démarrèrent les émeutes de 2005, va emménager dans des locaux flambant neufs, tout en bois et en matériaux écologiques.
  • piscine
  • collège-ghetto améliore son image. Il est fui par les familles qui peuvent s’offrir le privé
  • 86% de catégories défavorisées.
  • Hervé Gourio, le responsable du dispositif d’Entreprise et Progrès
  • Alors qu’il aurait pu demander une mutation, il a choisi d’y rester. «C’est là que mon travail prend tout son sens, dit-il, et que l’on peut expérimenter des choses intéressantes.
  • Christophe Noullez, jeune prof de technologie, partage ce goût de l’innovation
  • face à un public socialement défavorisé, mais aussi curieux et ouvert.
  • «Il n’y a pas de temps à perdre, explique Patrice Henault, les élèves ont dû avancer sur leurs idées avec leurs professeurs. Si on veut être prêts fin mai, avec des projets qui tiennent la route, il faut attaquer le marketing et lancer l’étude de marché»
  • «Kevin, c’est ton entreprise, si ça réussit, l’argent ira dans ta poche !»
  • vous allez faire à la fois des maths et de l’économie…»
  • Ça ne marche pas si les profs ne sont pas impliqués
  • A Louise-Michel, la situation est, selon lui,
  • «idéale, avec deux profs qui se complètent parfaitement».
  • Avant de commencer, les tuteurs évoquent une possible présentation au Sénat à Paris
  • faire se croiser des disciplines habituellement cloisonnées
  • «De voir des gens comme eux, ça nous change»
  • on apprend aussi comment se tenir», ajoute une collégienne qui pense à la prochaine répétition, avec le micro.
  •  
    Le dispositif Entreprise & Progrès semble avant-gardiste : - ouverture de l'école à des intervenants professionnels (chefs d'entreprise) - réalisation par les jeunes de projets ancrés à la réalité - projet interdisciplinaire (maths, économie, français, savoir-être..) Le collège Louise Michel, partenaire de FuturEduc et Christiphe Noullez, vous nous aviez caché cela ?! ;-)
merryaile

Quand les étudiants conçoivent eux-mêmes leurs cours - 0 views

  • l’Essec (École supérieure des sciences économiques et commerciales)
  •  Build your Own Course
  • deuxième édition
  • ...9 more annotations...
  • conception de cours
  • du fossé entre la connaissance délivrée par un enseignant et la manière dont elle est reçue par des étudiants
  • Mais le numérique, qui rend la connaissance accessible à tous, met cela particulièrement en évidence.
  • aller chercher des cas sur le terrain,
  • se rendre compte de leurs besoins
  •  Les personnes qui suivront ce cours ne seront forcément celles qui l’ont conçu
  • beaucoup d’entre nous sont passés par une prépa : on y ingurgite beaucoup de connaissances sans remettre en cause la façon dont elles sont enseignées. C’est donc une très bonne initiative. 
  • à la précédente édition, en 2015
  • très lourd à mettre en œuvre 
  •  
    L'ESSEC a passé le cap : faire concevoir un cours par les élèves eux-mêmes. - Pourquoi ? le fossé générationnel a un impact sur la transmission de la connaissance, le message et son intérêt peuvent ne pas être interpretés/compris à 100% par les étudiants. On apprendrait mieux quand on connaît d'abord ses besoins, que l'on sait pourquoi on doit apprendre. - comment ça se passe ? les professeurs ont chacun présenté la connaissance qu'ils pouvaient apporter, les élèves travaillent par groupe sur le cours qu'ils pourraient concevoir. Après présentation des différentes propositions, un vote est réalisé pour choisir un seul cours et le professeur associé. Pendant plusieurs mois ensuite, des élèves volontaires travailleront avec le professeur pour élaborer le cours. Les élèves devront être actifs, en allant sur le terrain, se rendre compte des besoins qu'ils ont pour imaginer le cours. C'est la deuxième fois que l'ESSEC tente l'expérience, auparavant avec 5 cours, cette fois-ci avec seulement un seul car c'est long à mettre en place.
Aurialie Jublin

Une vision de la formation tout au long de la vie en Europe pour 2030 - 1 views

  •  
    "Pour rester employable, nous devrons tous, à l'avenir, développer une culture de l'auto-formation basée sur les compétences et les aptitudes valorisées par le marché du travail. Comment apprendrons-nous en 2030 ? Comment le digital impactera nos pratiques individuelles de formation? Quelle sera la place des ressources pédagogiques libres et autres MOOC dans notre formation tout au long de la vie? C'est à ces questions que le groupe de recherche, The Institute for Prospective Technological Studies (IPTS), rattaché au centre de recherche la commission européenne (JRC), s'est penché lors d'un atelier à Séville les 29 et 30 avril 2013, durant lequel une vingtaine d'experts ont planché sur les scénarii possibles."
merryaile

Des hackathons pédagogiques, pourquoi pas ? - Ludovia Magazine - 0 views

  •  
    Qu'est-ce qu'un hackathon pédagogique et comment en réaliser un ? En 2 jours, résolution d'un problème dans une école grâce à des outils numériques, les participants sont de nature diverse : des développeurs, designers, profs, bidouilleurs.. L'émulation, la créativité émergeant du groupe permet de résoudre le problème en 2 jours, de quoi redonner envie d'utiliser le numérique selon la pédagogue.  (ex de problème résolu : planifier un programme d'activités sportives dans un collège à élèves "difficiles" pour retrouver plus d'attention) Peut aussi être pratiqué avec les élèves. 
1 - 8 of 8
Showing 20 items per page