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Deutsche Bahn et Deutsche Telekom annoncent leur collaboration sur l'électromobilité. L'objectif du partenariat est de mettre en place un réseau de transport intelligent prenant en compte les trains, les voitures, les smartphones et les systèmes énergétiques dans une approche multimodale. En matière d'électromobilité, la Deutsche Bahn s'est déjà illustrée au début du mois de juin par l'acquisition de 500 citroën C-Zero destinées à la mise en place d'un service d'autopartage via sa filiale DB rent.

Claire Gallon de LiberTIC, l'association nantaise de promotion de l'ouverture des données publiques (@LiberTIC), et Charles Nepote du programme Réutilisation des données publiques de la Fondation internet nouvelle génération (Fing) (@CharlesNepote, @la_fing), principaux coorganisateurs de la Semaine européenne de l'Open Data qui avait lieu à Nantes du 21 au 26 mai 2012, ont commencé par poser un état des lieux assez complet du mouvement de réutilisation des données publiques.

Quand la ville de Sceaux décide de s'adapter aux modes de vie des 7000 actifs surmenés qui quittent chaque jour la ville pour se rendre au travail et y reviennent trop tard le soir pour faire leurs courses dans des boutiques déjà fermées, apparait une "conciergerie numérique de proximité"... afin de passer outre le problème de la synchronisation des temps.

"Grand Angoulême a choisi INEO, Groupe GDF SUEZ, comme opérateur de son service d'autopartage. Angoulême s'inscrit ainsi dans une démarche pionnière : ce sera la 1ere ville équipée d'une solution 100% française et l'une des seules agglomérations françaises à proposer deux modes de transport - véhicules électriques et transport public collectif - intégrés. 106 000 Angoumoisins sont concernés par ce projet qui vise la mise en circulation de voitures électriques en libre service en septembre 2012. "

"L'association Envie - Trappes-en-Yvelines a ouvert ses portes cet été à Trappes. Elle mène une double activité : la réparation et le traitement de déchets électroménagers ainsi que l'accompagnement de personnes en réinsertion professionnelle."

During European Mobility Week which takes place from 16th to 22nd September, Nice will once again present itself as a pioneering region in the field of electric vehicles. In fact, the Infini Drive project, managed by the La Poste Group and ERDF in partnership with the I3M Laboratory of Nice Sophia Antipolis University and which in June was selected by ADEME as part of the Future Investments "Vehicle of the Future" programme, will be launched at a national preview at the Nice Thiers Plate-Forme de Préparation et de Distribution du Courrier (Mail Preparation and Distribution Hub - PPDC).

"C'est en effet seule contre tous que l'association Consumer Watchdog a contacté très officiellement [pdf] la semaine dernière le gouverneur de Californie Jerry Brown pour lui demander d'apposer son veto sur le projet de loi "SB 1298". La loi, si elle devait être adoptée, permettrait à l'État de tracer, sur le long terme, sa première autoroute automatisée remplie de véhicules-robots. Mais surtout, sur un plus court terme, de laisser rouler des voitures sans pilote sur les routes californiennes. Dit comme ça, le projet paraît sortir d'un bouquin de science-fiction, mais il est pourtant sur le point d'aboutir. Déjà, des constructeurs comme Toyota, Audi, BMW, Lexus, Volvo ou encore Cadillac sont sur les dents pour produire des véhicules "autonomes" d'ici cinq ans. Le projet de loi, soumis par le sénateur démocrate Alex Padilla, est appuyé par certaines associations de promotion de la sécurité routière - mais pas toutes."

Deux chercheurs de l'université de Nice Sophia Antipolis planchent actuellement sur un logiciel capable de déterminer les rues les plus polluées d'une ville en fonction de leur configuration. Actuellement au stade expérimental, ce logiciel pourrait être déployé sous forme d'application dans les prochains mois. Grâce à leur smartphone, les piétons pourront ainsi choisir l'itinéraire le moins pollué, en fonction de paramètres personnels comme leur âge ou leur état de santé et leur vulnérabilité à certains polluants.

La conjoncture économique actuelle, si elle a raison de notre porte-monnaie, offre aussi du bon : elle nous permet de redécouvrir des systèmes d'entraide.

« Préparer le futur projet métropolitain », voilà l'objectif que s'est donné Viva-cités d'après Daniel Delaveau, Maire de Rennes et Président de Rennes-Métropole. Pour y arriver, les habitants sont invités à un temps d'échange du 29 septembre au 7 octobre sur la « place des cultures ». Un temps fort qui s'inscrit dans « la tradition de réflexion prospective » de la Ville, avec les précédents Rennes au futur (1993), Citévision (1999) et Envie de Ville (2005). Des débats se sont déjà déroulés dans 25 communes, afin d'apporter une vision métropolitaine sur le temps de la manifestation.

Le premier Open Bidouille Camp ouvre ses portes samedi 22 septembre à Mains d'Oeuvres (1 rue Charles Garnier à Saint-Ouen, tout proche du M° Porte de Clignancourt). Sur le modèle des Maker Faire, OWNI.FR, Silicon Xperience/La Cantine et SmallBang organisent une journée de fête populaire dédiée à la bidouille ou DIY (Do It Yourself), à laquelle Quartiers en Transition a récemment fait référence en consacrant un article au Webdoc "Détroit je t'aime".

Un partenariat assez léger et innovant entre la SAEMES, opérateur de stationnement, et CitizenCar, startup proposant un système d'autopartage.

Cela ne fait pas six mois que Matt Tomasulo est diplômé, mais déjà, son projet Walk (Your City) connaît un certain succès aux États-Unis. À travers cette initiative, l'urbaniste et designer est résolu à sensibiliser ses concitoyens au plaisir de la marche en ville. La ville de Raleigh, en Caroline du Nord a été le terrain de sa première campagne. Il a élaboré une série de panneaux indiquant la distance à pied entre deux points donnés et rassemblé une poignée de volontaires pour les installer à trois intersections de la ville. La simplicité de la démarche et son caractère "civique"(1) expliquent en partie l'engouement suscité, tant auprès de municipalités que d'autres citadins.

De la ville volante, utopie dégénérescente pour certains, à la cité flottante, sorte de mirage insulaire pro libertarien, en passant par la ville souterraine, royaume des architectes-taupes (ceux à grosses lunettes), ces villes fantasmées, pour ne citer qu'elles, symboliques d'idéaux décalés, interrogent d'abord la bonne santé du cerveau humain, mais nourrissent aussi, qu'on le veuille ou non, les réflexions urbaines sur la ville contemporaine. Urbanews vous propose un petit tour du côté de ces urbanistes un peu fous ou simplement visionnaires, de ces architectes et de ces figures du marxisme de droite, qui ont et continuent de sévir à l'exercice de la grande théorie, celle de la ville et de son idéal impossible. Cette semaine et pour ce premier post consacré aux utopies urbaines, la ville linéaire d'Arturo Soria

Un bon résumé des différentes visions qui cohabitent derrière la "Smart City" (vision descendante vs vision horizontale) et de ce qui pêche dans la vision très centralisée portée par certains industriels.

"Le gouvernement a annoncé ce lundi 29 juillet le lancement du projet "quartiers numériques", 200 millions d'euros seront investis dans des projets privés."

"Afin d'améliorer leur cadre de vie sans attendre une hypothétique action de la municipalité, un collectif d'habitants d'un quartier populaire de Marseille multiplie les actions concrètes. Au programme, Troc de livres, végétalisation de la ville, et mobilisation festive pour améliorer les transports publics."

Explorer les contours de la ville durable, avec une volonté : accélérer le changement. Quelques pistes explorées dans le sommet Ecocity à Nantes . "

Les panneaux publicitaires, cabines téléphoniques et arrêts de bus peuvent être repensés plutôt que détruits, pour mieux répondre aux besoins des habitants.... du mobilier urbain "à continuer", par des designers, des collectifs, des ingénieurs ou même les citadins eux-mêmes...

""Tu veux changer un coin de ta ville ? Fais-le !" Cet appel a été lancé en avril 2013 par le Centre d'architecture danois et l'entreprise de radio-télévision publique DR qui ont invité la population à un concours - Byg det op! (Construis-le !) - dont l'enjeu est d'obtenir de l'aide et des moyens pour développer un projet urbain et ainsi améliorer la qualité de vie locale. Un mois et 813 idées plus tard, les quatre propositions d'aménagement lauréates ont été dévoilées."