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IFOP - Les parents face à l'orientation scolaire des lycéens et des étudiants - 0 views

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    A l'occasion de la première édition du Salon de l'Etudiant Spécial Parents organisé ce samedi 8 octobre porte de la Villette à Paris, l'Etudiant a commandé à l'Ifop une enquête auprès des parents de lycéens et d'étudiants qui met en lumière leurs craintes quant à l'orientation scolaire et l'avenir professionnel de leurs progénitures. Les principaux enseignements de l'enquête : Un portail APB considéré comme " flou" par une majorité de parents "Plutôt flou". C'est ainsi qu'une majorité (61 %) de parents de lycéens et d'étudiants connaissant APB décrivent le système d'affectation dans le supérieur. Or, durant l'année du bac, tous les élèves de terminale ont l'obligation de classer sur ce portail, par ordre de préférence, les formations dans lesquelles ils souhaitent poursuivre leurs études. Des chiffres qui témoignent des limites de cette procédure mais également de l'appréhension qu'elle suscite : plus d'un utilisateur sur deux exprime un sentiment de malaise avec cet outil (54%). Et qui s'explique en partie par les polémiques récurrentes dont elle est l'objet. Depuis plusieurs années, en effet, l'association Droit des lycéens dénonce l'opacité d'APB et se bat pour que le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche publie l'algorithme utilisé. Une demande pour l'instant restée sans suite… Autre enseignement : la forte corrélation entre la notoriété du portail et la catégorie socioprofessionnelle. En effet, 66 % des parents ouvriers en ont déjà entendu parler contre 100 % des cadres supérieurs. En moyenne, 85 % des parents interrogés connaissent APB. Un degré d'information sur ces questions qui varient beaucoup en fonction du niveau social des parents … Deux parents sur trois (64%) se sentent bien informés pour aider leur enfant. De manière plus générale, on constate également une forte relation entre le sentiment d'être bien informé pour aider son enfan
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Drees - Etudes, travail, logement : comment les enfants de parents séparés en... - 0 views

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    Fin 2014, 1,4 million d'adultes de 18 à 24 ans ont leurs parents séparés. Dans près de neuf cas sur dix, ces jeunes ont vécu principalement chez un seul de leurs parents à la suite de la séparation (majoritairement leur mère). Résider chez un seul de ses parents distend les relations avec l'autre parent. Un jeune sur quatre déclare ainsi ne plus avoir de relation avec son père. La séparation des parents, et notamment la conflictualité qu'elle peut impliquer, a des conséquences sur le devenir des jeunes. Ils sont moins souvent en études et leur niveau de diplôme est souvent moins élevé que celui des jeunes dont les parents forment un couple. Toutefois, lorsque les relations entre les parents sont bonnes les écarts de niveau de diplôme sont moindres. Les jeunes dont les parents se sont séparés ont plus fréquemment quitté le domicile parental que les autres, en particulier si le parent avec qui ils ont vécu après la séparation a eu un enfant ou bel-enfant d'une nouvelle union. Ils déclarent plus souvent avoir pris un logement autonome pour devenir indépendant et moins souvent pour leurs études ou leur emploi. Toutefois, quand ils ont quitté le domicile parental, ils habitent moins loin d'au moins un de leurs parents.
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Opinion way - Devenir le parent de ses parents - 0 views

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    Sondage réalisé pour groupama 1. Avez-vous au oins un parent âgé de 70 ans ou plus vivant à son domicile ? 2. Apportez-vous régulièrement de l'aide à l'un de vos parents âgés ? 3. Aimeriez-vous pouvoir vous occuper davantage de votre (vos) parent(s) âgé(s) ? 4. Quels sont les principaux obstacles qui vous empêchent ou pourraient vous empêcher de vous occuper davantage de votre (vos) parent(s) âgé(s) ? 5. Personnellement, quels moyens privilégiez-vous pour prendre des nouvelles de votre (vos) parent(s) âgé(s) ? 6. A quelle fréquence prenez-vous des nouvelles de votre (vos) parent(s) âgé(s) ? 7. Et selon vous, la fréquence à laquelle vous prenez des nouvelles de votre (vos) parent(s) âgé(s) est-elle suffisante ou pas suffisante ? 8. Sur qui comptez-vous ou souhaiteriez-vous pouvoir compter affin de mainternir votre (vos) parent(s) âgé(s) à domicile ? 9. Afin de maintenir votre (vos) parent(s) âgé(s) à domicile le plus longtemps possible à son domicile, quelles solutions avez-vous envisagées ou pourriez-vous envisager ? 10. Selon vous, le développement des nouvelles technologies permettra-t-il aux personnes âgées de... ? 11. Quel budget mensuel consacrez-vous ou estimez-vous pouvoir consacrer au maintien à domicile de votre (vos) parent(s) âgé(s) ?
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INSEE - Combien coûte un jeune adulte à ses parents ? - 0 views

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    "En 2014, les ménages de parents d'un jeune âgé de 18 à 24 ans déclarent l'aider dans huit cas sur dix, à hauteur de 3 670 euros en moyenne par an. Cela représente un effort global de 8 % du total de leurs revenus disponibles. L'effort des parents, tel qu'ils le déclarent, est le plus important (15 %) lorsque le jeune est un étudiant qui dispose d'un logement autonome mais revient régulièrement chez ses parents (semi-cohabitant). Il est à l'inverse le moins élevé (3 %) lorsque le jeune est cohabitant en emploi. L'aide parentale s'adapte dans une certaine mesure à la situation et aux ressources du jeune, mais les moyens dont disposent les parents pour soutenir leur jeune financièrement conditionnent aussi les choix de ces derniers en matière de logement ou de poursuite d'études. En valeur absolue, le montant de l'aide et des dépenses pour le jeune adulte augmente avec le niveau de vie des parents. Il est cinq fois plus élevé pour les 10 % des ménages de parents les plus aisés que pour les 10 % les plus modestes (7 050 euros, contre 1 310). Pour autant, le taux d'effort est relativement plus important pour les 10 % de parents les plus modestes (13 %) que pour les autres ménages (moins de 9 %, sans autre variation significative selon le niveau de vie). Même à revenu constant, il est plus élevé de moitié pour les ménages de parents cadres, signe de stratégies de reproduction sociale. Le fait que les parents du jeune adulte soient séparés ou aient d'autres enfants à charge a aussi un effet sur l'aide. D'une part, les ménages de parents séparés ont un taux d'effort similaire à ceux restés ensemble lorsqu'ils les aident, mais sont moins nombreux à les aider. Ils aident leur enfant pour des montants moins élevés (- 30 % pour les mères séparées), toutes choses égales par ailleurs. D'autre part, un nombre d'enfants plus élevé réduit la fréquence des aides comme l'effort des parents pou
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Ministère des familles - Le livret des parents "Saison 2 : l'adolescence" - 0 views

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    Votre enfant est adolescent.e ou entre dans l'adolescence : en tant que parent, vous vous posez des questions sur cette période ? Vous intervenez auprès de parents ou de jeunes et vous cherchez des outils pour échanger avec les parents d'adolescents ? Le livret des parents « Saison 2 : l'adolescence » est publié un an après le livret des parents « Première naissance » (saison 1). Illustré par Claire Cantais, il aborde en 25 pages différentes questions autour de l'adolescence et ce qu'elle implique pour les parents : devenir parent d'adolescent.e, rester parent tout en accompagnant l'autonomie, être vigilant.e et oser se faire aider. Ce livret a été écrit par le ministère des familles, de l'enfance et des droits des femmes, avec le concours d'expert.e.s et de réseaux associatifs nationaux, en partenariat avec la Caisse nationale des allocations familiales et la Caisse centrale de mutualité sociale agricole. Conçu comme un outil de prévention en matière d'accompagnement à la parentalité, le livret sera envoyé par les Caisses d'allocations familiales, à compter du mois d'avril, aux parents dont un enfant atteint l'âge de 11 ans en 2017. Il sera également diffusé aux parents d'adolescents par la Mutualité sociale agricole ainsi que par différents réseaux associatifs
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IFOP - Les grands parents français : portrait et attentes - 0 views

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    "L'accession à la grand-parentalité est source d'épanouissement pour une part très importante des grands-parents   L'accession à la grand-parentalité - se produisant en moyenne à 53 ans - est source de bonheur pour la quasi-totalité des grands-parents interrogés. 94% des grands-parents sondés se déclarent ainsi heureux en pensant aux relations avec leurs petits-enfants et ils sont mêmes 70% à se déclarer très heureux. Ils apprécient quasi-unanimement passer du temps avec eux (93%) et ont une relation de complicité avec leur petits-enfants (85%). Grands-parents et petits-enfants partagent très largement des valeurs (84%) et ces derniers sont sources de réconfort pour leurs grands-parents (76%). Cette complicité atteint pour une majorité de grands-parents son acmé lorsque lors de la petite-enfance. ¾ estiment ainsi que c'est à cette période-là qu'ils ont été les plus heureux (76%) et deux tiers, les plus proches (68%). Si la relation entre grands-parents et petits-enfants est donc avant tout une relation émotionnelle, elle est aussi l'occasion pour les grands-parents de se sentir utiles. De fait, l'investissement en temps et en argent des grands-parents est conséquent."
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INSEE - Vivre dans plusieurs configurations familiales - 0 views

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    "En 2011, parmi les 13,7 millions d'enfants mineurs résidant en France métropolitaine, 900 000 vivent principalement avec un seul de leurs parents et une partie du temps chez leur autre parent. Ils peuvent vivre dans des configurations familiales différentes chez l'un et l'autre de leurs parents. En changeant de résidence, ils peuvent modifier à certains moments la situation familiale d'autres enfants mineurs. Ainsi, 140 000 enfants en famille « traditionnelle » vivent une partie du temps en famille recomposée, quand des demi-frères ou demi-sœurs résidant ailleurs la plupart du temps viennent résider avec eux. Inversement, entre 90 000 et 120 000 enfants de familles recomposées vivant avec leurs deux parents se retrouvent, une partie du temps, en famille « traditionnelle », lorsque leurs demi-frères ou demi-sœurs vont chez leur autre parent. La multirésidence d'adultes peut également modifier, une partie du temps, la configuration familiale d'enfants mineurs. Par exemple, 80 000 enfants vivent avec un seul parent même si leurs deux parents sont en couple, car leurs deux parents ne cohabitent pas. La famille monoparentale prend, une partie du temps, la forme d'une famille « traditionnelle », lorsque ce deuxième parent vit dans le logement. Du point de vue des adultes, 330 000 parents, essentiellement des pères, vivent une partie du temps en famille monoparentale quand leurs enfants les rejoignent alors qu'ils vivent principalement sans conjoint ni enfant. Cela concerne 490 000 enfants mineurs. "
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Harris Interactive - Résultats - Responsabilité numérique : de la prévention ... - 0 views

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    Quels principaux enseignements retirer de ce sondage portant sur la responsabilité numérique et réalisé auprès de parents d'enfants âgés de 8 à 15 ans ? 1 .Les enfants et surtout les jeunes adolescents ont très souvent accès, selon leurs parents, aux appareils connectés de leur foyer (pour une durée moyenne hebdomadaire estimée supérieure à 4 heures dans 2/3 de ces foyers), souvent une tablette numérique plus qu'un ordinateur. Les parents reconnaissent très nettement à Internet des vertus pédagogiques, notamment en matière d'information.Néanmoins, ces-derniers perçoivent également quasi unanimement des dangers associés à l'utilisation de ces technologies (images choquantes, cyberharcèlement…). Notons que les pratiques et l'attitude des parents évoluent assez logiquement avec l'âge des enfants : plus de réserves et de précautions à l'égard des plus jeunes, une latitude plus grande vis-à-vis des plus âgés (toutefois doublée d'une forme de vigilance). 2. Ces dangers identifiés peuvent s'avérer d'autant plus inquiétants que les parents reconnaissent à leurs enfants une maîtrise du numérique équivalente (37%) voire supérieure à la leur (39%, et même 49% des parents ayant uniquement des enfants âgés de 12 à 15 ans). De plus, une amélioration de la situation n'est pas nécessairement attendue au cours de la prochaine décennie (seuls 35% partagent cette opinion). 3. Dans ce contexte, les parents se montrent très majoritairement enclins à accompagner leurs enfants, privilégiant le dialogue (au sein du foyer ou dans les établissements scolaires), mais ayant également recours aux mesures davantage associées au contrôle strict. 4. Ainsi, près d'1 parent sur 2 affirme recourir aux systèmes de contrôle parental et souhaite le voir se développer encore plus.
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Harris Interactive - Infographie - Responsabilité numérique : de la préventio... - 0 views

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    Quels principaux enseignements retirer de ce sondage portant sur la responsabilité numérique et réalisé auprès de parents d'enfants âgés de 8 à 15 ans ? 1 .Les enfants et surtout les jeunes adolescents ont très souvent accès, selon leurs parents, aux appareils connectés de leur foyer (pour une durée moyenne hebdomadaire estimée supérieure à 4 heures dans 2/3 de ces foyers), souvent une tablette numérique plus qu'un ordinateur. Les parents reconnaissent très nettement à Internet des vertus pédagogiques, notamment en matière d'information.Néanmoins, ces-derniers perçoivent également quasi unanimement des dangers associés à l'utilisation de ces technologies (images choquantes, cyberharcèlement…). Notons que les pratiques et l'attitude des parents évoluent assez logiquement avec l'âge des enfants : plus de réserves et de précautions à l'égard des plus jeunes, une latitude plus grande vis-à-vis des plus âgés (toutefois doublée d'une forme de vigilance). 2. Ces dangers identifiés peuvent s'avérer d'autant plus inquiétants que les parents reconnaissent à leurs enfants une maîtrise du numérique équivalente (37%) voire supérieure à la leur (39%, et même 49% des parents ayant uniquement des enfants âgés de 12 à 15 ans). De plus, une amélioration de la situation n'est pas nécessairement attendue au cours de la prochaine décennie (seuls 35% partagent cette opinion). 3. Dans ce contexte, les parents se montrent très majoritairement enclins à accompagner leurs enfants, privilégiant le dialogue (au sein du foyer ou dans les établissements scolaires), mais ayant également recours aux mesures davantage associées au contrôle strict. 4. Ainsi, près d'1 parent sur 2 affirme recourir aux systèmes de contrôle parental et souhaite le voir se développer encore plus.
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Drees - Les grands-parents : un mode de garde régulier ou occasionnels pour d... - 0 views

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    Le recours aux grands-parents comme solution de garde et d'accueil des jeunes enfants répond à des logiques très spécifiques. Les grands-parents sont rarement le premier mode de prise en charge des enfants de moins de 6 ans : seuls 2 % sont gardés principalement de cette manière. Pourtant, l'intervention des grands-parents e st loin d'être anecdotique : environ deux tiers des enfants de moins de 6 ans sont gardés au moins occasionnellement par eux. Les formes d'aide apportée par les grands-parents viennent plutôt compléter les modes d'accueil existants. Les interventions des grands-parents concernent davantage d'enfants en semaine que les week-ends, mais pour des temps plus courts. Le mercredi fait exception : une forte proportion d'enfants sont gardés pour des durées relativement longues. La garde des petits-enfants par leurs grands-parents peut prendre différentes formes qui se combinent entre elles : elle peut avoir lieu dans le cadre d'une organisation régulière, en dépannage, ou pour les vacances et les week-ends. La faible distance entre les logements des grands-parents et des petits-enfants ainsi que l'activité des mères sont les facteurs qui augmentent le plus la probabilité de recourir aux grands-parents dans une organisation régulière.
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BVA - Etre parents aujourd'hui - 0 views

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    A l'occasion de l'opération « Mamans en Fête » lancée au mois de mai pour soutenir les familles fragilisées, et en particulier les mamans isolées, BVA a réalisé le sondage « être parent aujourd'hui » pour Apprentis d'auteuil. Cette enquête révèle les difficultés rencontrées par les parents dans l'éducation de leurs enfants, ainsi que l'insuffisance de dispositifs d'accompagnement existants, voire leur absence dans les programmes des candidats à la Présidence de la République. A RETENIR : Près d'1 parent sur 2 (46%) juge difficile d'élever son enfant. 4 parents sur 10 se sentent parfois ou souvent seuls face à l'éducation de leur enfant. Près d'1 parent sur 2 (47%) estime qu'il manque de dispositifs dédiés à l'accompagnement des parents Près de 3/4 des parents (73%) pensent que les candidats à l'élection présidentielle devraient proposer plus de mesures pour soutenir les parents dans l'éducation de leurs enfants La moitié (50%) indique que ces mesures pourraient influencer leur vote.
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DREES - L'enquête Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants - Famille, e... - 0 views

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    "L'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » a pour objectif de dresser, tous les 6-7 ans environ, un panorama complet des solutions de garde adoptées par les parents pour leurs jeunes enfants, au regard de leurs contraintes professionnelles. Elle vise, notamment, à reconstituer de façon très précise, sur une semaine type, le calendrier d'accueil des enfants, incluant les périodes passées avec leurs parents, et à identifier l'ensemble des intervenants qui se succèdent pour assurer leur garde pendant la période considérée. Trois vagues d'enquête ont, à l'heure actuelle, été collectées : en 2002 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans, né en 1995 ou après), en 2007 (ménages avec au moins un enfant de moins de 7 ans et demi né le 1er mai 2000 ou après) et en 2013 (ménages ayant au moins un enfant âgé de moins de 6 ans né à partir du 1er septembre 2013). En 2002, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) réalise l'enquête « Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants » en partenariat avec le Conseil de l'Emploi, des Revenus et de la Cohésion sociale (CERC), la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) et l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Il s'agissait d'appréhender les différents modes d'accueil auxquels les parents ont recours, de les caractériser (formels ou informels, réguliers ou occasionnels) ; de voir comment ils se combinent selon les différentes contraintes auxquelles sont soumis les parents (horaires de travail décalés, travail de nuit, etc.) et les caractéristiques des parents et des enfants (profession exercée, âge de l'enfant, place dans la fratrie, etc.) ; de comprendre comment ces modes de garde relaient la prise en charge parentale ; de mesurer leurs coûts de chaque solution d'accueil adoptée par les parents et, enfin, d'interroger le degré de sat
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Audience générale du 20 mai 2015 - 0 views

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    "Aujourd'hui, chers frères et sœurs, je désire vous souhaiter la bienvenue car j'ai vu parmi vous de nombreuses familles, bonjour à toutes les familles ! Continuons à réfléchir sur la famille. Aujourd'hui, nous nous arrêterons sur une caractéristique essentielle de la famille, c'est-à-dire sur sa vocation naturelle à éduquer les enfants pour qu'ils grandissent en étant responsables à l'égard d'eux-mêmes et des autres. Ce que nous avons entendu de l'apôtre Paul au début est très beau : « Vous les enfants, en toutes choses écoutez vos parents ; dans le Seigneur, c'est cela qui est beau. Et vous les parents n'exaspérez pas vos enfants ; vous risquez de les décourager » (Col 3, 20-21). C'est une règle sage : l'enfant doit être éduqué à écouter ses parents et à obéir à ses parents, qui ne doivent pas commander de manière brutale, pour ne pas décourager leurs enfants. Les enfants, en effet, doivent grandir sans se décourager, un pas après l'autre. Si vous, parents, dites aux enfants : « Montons cet escalier » et que vous leur prenez la main et, pas à pas, les faites monter, les choses se passeront bien. Mais si vous dites : « Monte là-haut ! » - « Mais je ne peux pas » - « Vas-y ! », cela s'appelle exaspérer les enfants, demander aux enfants des choses qu'ils ne sont pas capables de faire. C'est pourquoi la relation entre parents et enfants doit être d'une sagesse, d'un équilibre très grand. Enfants, obéissez à vos parents, cela plaît à Dieu. Et vous parents, n'exaspérez pas les enfants, en leur demandant des choses qu'ils ne peuvent pas faire. C'est ce qu'il faut faire pour que les enfants grandissent en étant responsables à l'égard d'eux-mêmes et des autres."
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Insee - Population - Un enfant sur dix vit dans une famille recomposée - 0 views

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    "En 2011 en France métropolitaine, 1,5 million d'enfants de moins de 18 ans vivent dans 720 000 familles recomposées, c'est-à-dire dans une famille où les enfants ne sont pas tous ceux du couple actuel. 940 000 d'entre eux vivent avec un parent et un beau- parent, le plus souvent avec leur mère et un beau-père. Les 530 000 restants vivent avec leurs deux parents mais partagent leur quotidien avec des demi-frères ou demi-sœurs. Au sein des familles recomposées, les plus jeunes enfants sont logiquement plus souvent ceux du couple actuel : avant 4 ans, ils sont 85 % à vivre avec leurs deux parents, contre 10 % à partir de 15 ans. En cas de recomposition familiale, les enfants peuvent également habiter une partie du temps avec leur autre parent. Parmi les enfants vivant principalement avec un beau-parent, trois sur dix résident régulièrement chez l'autre parent. Également, 140 000 enfants vivant avec leurs deux parents en famille traditionnelle partagent leur logement une petite partie du temps avec des demi-frères ou demi-sœurs qui logent principalement ailleurs. "
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93% des parents estiment qu'il n'y a pas de plus grand succès dans la vie que... - 0 views

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    "Les parents d'aujourd'hui ont l'impression de ne pas en faire assez : seuls 40% s'attribuent une note de 8/10 à 10/10* et 57% culpabilisent de ne pas passer assez de temps avec leur enfant. En cause : le travail, les tâches ménagères, ou encore le temps que l'on prend pour soi. Néanmoins, les enfants ressentent moins le stress de leurs parents et la relation parents-enfants est jugée bonne par 89% des parents comme des enfants. Un chiffre qui démontre que chaque moment passé ensemble compte : plus que le nombre d'heures, c'est la complicité, au travers des activités partagées et des mots échangés, qui marquent la relation parents/enfants. "
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Drees - Travail le week-end : comment s'organisent les parents de jeunes enfants ? - 0 views

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    En France métropolitaine, plus de 3,5 millions de parents d'enfants mineurs - autant de pères que de mères - travaillent au moins un week-end sur deux. À caractéristiques équivalentes, les mères travaillent moins souvent le week-end que les femmes sans enfant. En revanche, les pères et les hommes sans enfant ont la même probabilité d'être dans ce cas. Les parents actifs le week-end bénéficient généralement d'un emploi du temps allégé en semaine. Cependant, ils sont confrontés à d'autres types de contraintes horaires, notamment lorsqu'ils travaillent le dimanche. 1,6 million d'enfants de moins de 6 ans (soit 39 % d'entre eux) ont un de leurs parents qui travaille le samedi ou le dimanche. Le week-end, ils sont alors, plus souvent que les enfants dont les parents travaillent uniquement du lundi au vendredi, gardés par l'autre parent ou confiés à leurs grands-parents. En contrepartie, en semaine, ils passent plus de temps avec leurs parents et moins de temps dans un mode d'accueil formel, surtout s'ils ne sont pas scolarisés. Enfin, les pères, au sein des couples qui travaillent le week-end, s'impliquent davantage que les autres pères actifs dans le partage des tâches de parentalité.
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Insee - En 2019, 800 000 beaux-parents habitent avec les enfants de leur conj... - 0 views

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    "En France, en 2019, 800 000 beaux-parents vivent avec des enfants que leur conjoint a eus avant l'union. La famille est alors recomposée. Dans ces familles, la majorité des enfants issus d'une précédente union vivent avec leur mère. 73 % des beaux-parents sont des hommes. L'écart d'âge entre les conjoints est plus élevé dans les familles recomposées : il est de cinq années ou plus pour 46 % de ces familles, contre 30 % pour les familles « traditionnelles », où tous les enfants sont ceux du couple. Les beaux-parents sont moins fréquemment mariés, plus souvent en union libre, et ils vivent dans des familles généralement plus nombreuses. Quatre beaux-parents sur dix vivent exclusivement avec les enfants de leur conjoint, sans autre enfant présent à domicile. Ces beaux-parents ont des âges très variés. Ainsi, 22 % des belles-mères concernées ont moins de 30 ans contre seulement 11 % des mères de famille « traditionnelle » ; 29 % des beaux-pères concernés ont 50 ans ou plus contre 18 % des pères de famille « traditionnelle ». Six beaux-parents sur dix vivent à la fois avec des beaux-enfants et leurs propres enfants (nés avant l'union ou communs au couple actuel). Les beaux-parents vivant avec leurs enfants issus du couple actuel sont plus jeunes et plus fréquemment mariés."
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Insee - Population - 15 millions de grands-parents - 0 views

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    "En 2011, 8,9 millions de grand-mères et 6,2 millions de grands-pères, soit 15,1 millions de grands-parents vivent en France métropolitaine. Parmi les personnes âgées de 75 ans ou plus, une sur cinq n'est pas devenue grand-parent, soit parce qu'elle n'a pas eu d'enfant (14 %), soit parce que ses enfants n'en ont pas eu (6 %). Les personnes qui ont eu plusieurs enfants sont toutefois pratiquement assurées d'être grands-parents. Les femmes deviennent grand-mères à 54 ans en moyenne et les hommes grands-pères à 56 ans. Après 75 ans les grands-parents ont en moyenne 5,2 petits-enfants. Le Nord - Pas-de-Calais et la Lorraine sont les régions qui comptent le plus de grands-parents parmi les 75 ans ou plus (85 %), tandis que l'Île-de-France est celle qui en compte le moins (75 %). Plus on a de frères et sœurs, plus on a d'enfants puis de petits-enfants. Enfin, les petits-enfants connaissent plus souvent leurs grand-mères que leurs grand-pères, et plus souvent leurs grands-parents maternels que paternels. "
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CESE - Avis Complet - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

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    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
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CESE - Synthèse - Vers sun service public d'accueil de la petite enfance - 0 views

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    Le CESE formule 15 préconisations pour poser les jalons d'un service public d'accueil de la petite enfance, parmi lesquelles : - Attribuer aux communes et aux intercommunalités la compétence d'accueil du jeune enfant : Le CESE appelle à renforcer le rôle central que jouent d'ores et déjà en pratique les communes. Cette compétence devra être assortie de moyens financiers suffisants pour garantir la qualité et l'accessibilité de l'accueil et être mise en oeuvre en concertation avec tous les acteurs de la petite enfance. - Renforcer les Relais Petite Enfance pour en faire un guichet unique, présent sur tout le territoire : Pour rendre plus lisible et incarner le service public de l'accueil, les Relais Petite Enfance doivent devenir le guichet unique sur tout le territoire. Leur rôle doit être élargi pour permettre l'accès à une information complète et lisible sur l'offre d'accueil disponible. - Soutenir le développement des structures d'accueil par la revalorisation des métiers de la petite enfance : Le CESE a conscience que le développement d'une plus large offre d'accueil pour les enfants nécessite de pouvoir recruter des profils qui disposent des compétences nécessaires. Or, on observe une crise importante des vocations dans les métiers de la petite enfance. Le CESE appelle donc à revaloriser les métiers de la petite enfance notamment au travers des formations et des salaires et à faciliter la reconversion vers ces métiers tout au long de la vie via la formation continue. - Réduire le reste à charge des familles pour permettre aux parents de bénéficier du libre choix du mode d'accueil : Le CESE souhaite que les parents puissent librement choisir le mode d'accueil de leurs enfants, peu importe leur situation ou leur revenu. En ce sens, le CESE appelle à repenser le mode de calcul du complément mode de garde afin de diminuer le reste à charge en matière d'accueil individuel, en particulier pour les familles modestes
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