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"Les incertitudes sur les conditions matérielles des mariages sont toujours d'actualité L'église catholique est particulièrement attentive aux couples qui cheminent vers le mariage et encourage leur parcours . Elle est consciente de leurs difficultés en cette période de pandémie qui rend incertaines les modalités possibles de célébration religieuse et de rassemblements familiaux. Le service national famille et société (SNFS) met à disposition un document pour aider à discerner ce qui est le plus approprié pour chaque couple. "

"Nommée en juin à la tête du pôle famille au sein du Service national famille et société (SNFS) de la Conférence des évêques de France (CEF), cette mère de quatre enfants, diplômée en éthique de la famille, a aussi une grande expérience du terrain."

"Dans le cadre du synode de la famille, les paroisses et mouvements du diocèse ont été invités à organiser des réunions de proximité pour prendre connaissance de la Relatio Synodi et poursuivre la réflexion en Église. Le document ci-dessous a été rédigé par le bureau de la pastorale de la Famille, à partir des contributions reçues des paroisses et des mouvements et à partir des remontées des groupes de travail lors du rassemblement diocésain du 14 mars dernier. Nous avions des consignes strictes de la part du SNFS pour la taille du document, ce qui ne nous a pas permis de rendre compte de l'ensemble des contributions reçues. Nous avons essayé d'aller à l'essentiel..."

"Le Service national Famille et Société (SNFS), qui dépend du Conseil Famille et Société (présidé par Monseigneur Jean-Luc Brunin) de la Conférence des évêques de France, a invité le père jésuite Alain Thomasset à venir enseigner les délégués épiscopaux à la Pastorale familiale qui aura lieu le 7 mars lors de leur prochaine Journée nationale de rencontre et de formation. Or, la réflexion hétérodoxe de ce Jésuite sur les « actes intrinsèquement mauvais » troublent ces délégués. Il avait en effet déclaré lors d'une journée d'études sur la Pastorale de la famille, organisée en vue du Synode, le 25 mai 2015, à l'Université grégorienne de Rome :"

"Le Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie met à la disposition des paroisses, des diocèses, des mouvements ecclésiaux et des associations familiales, … un site en plusieurs langues, www.amorislaetitia.va, sur lequel on trouvera une brochure informative qui peut être téléchargée, et « des propositions spirituelles, pastorales et culturelles à mettre en œuvre dans les paroisses, les diocèses, les universités, les mouvements ecclésiaux et les associations familiales ». Le SNCC, en lien avec le Service National Familles et Société (SNFS), et un certain nombre de sites diocésains, proposeront aussi aux acteurs pastoraux des outils, des moyens pour vivre cette année « Famille Amoris Laetitia ». Dans cette période de crise où certains d'entre nous peinent à regarder avec espérance l'avenir de l'Eglise et de la société, la lecture et la méditation de l'exhortation apostolique La Joie de l'amour peut nous redonner courage et enthousiasme, grâce au souffle qui la traverse8 : accueillir, accompagner, discerner, intégrer …"

"Le service Famille et société de la Conférence des évêques de France a interrogé les diocèses sur « l'intégration des personnes divorcées ». Si l'accompagnement se répand, beaucoup reste encore à faire pour mettre en œuvre l'exhortation du pape François sur « La joie de l'amour »."

"lors que faire ? L'envie est forte de succomber à la colère. La colère est déjà là (que dis-je, la rage qui tord les tripes!). Mais voilà, c'est carême. Et si ça ne l'était pas, j'aurais trouvé une autre excuse. Un autre moyen pour dire très clairement : non, votre beigitude de salon ne fera pas pâlir les couleurs flamboyantes de la confiance que je porte aux pasteurs de mon Église. Leurs réactions dans cette histoire me renvoient à mon incapacité à hurler aussi fort que les instigateurs de cette "supplique". Alors ma résolution de carême (en plus de moins manger de desserts) : je vais envoyer un petit mot court au Conseil famille et société. Pour leur dire qu'aujourd'hui et tout le temps à l'avenir, comme c'était le cas avant, j'ai confiance dans leur choix. Une confiance vers laquelle ils pourront se tourner quand le doute les envahira face à une prochaine "supplique". Quand la manœuvre de terreur prochaine se révèlera. Vous pensez que c'est simple ? Pourtant, si je suis fâchée contre ceux qui estiment qu'ils peuvent terroriser mes pasteurs, je ne suis pas débordante de joie face à la décision qui a suivi."

"Le titre complet de la note émanant du service Famille et société de la Conférence des Evêques de France est le suivant : De Synode en Synode - l'Eglise en marche. Car, c'est bien de cela qu'il retourne avec la réflexion entreprise depuis novembre 2013, avec ses diverses étapes : l'Eglise fait un chemin ensemble [sun - odos] à l'intérieur de ce qu'elle vit avec les familles comme vers l'extérieur pour aller aux « périphéries » et rejoindre toutes ces familles qui se sentent un peu abandonnées, souvent blessées, voire jugées… Cette note a été adressée aux Evêques et aux délégués diocésains à la Pastorale des familles, pour les encourager dans ce qu'ils vont mettre en œuvre pour faciliter la participation de tous à la démarche synodale. Dans un premier point, elle présente la « réflexion synodale » comme « Un appel adressé au peuple de Dieu ». Elle rappelle ensuite que la démarche synodale est un « discernement » auquel « l'Eglise entière est convoquée », même si les modalités empruntées peuvent être différentes selon les lieux, les communautés, les groupements,… Une insistance est marquée pour que l'approfondissement auquel tous sont invités à participer ne soit pas une « théorie » supplémentaire sur le mariage ou la famille, mais, comme le suggérait le Pape François, « les pieds bien plantés en terre ». Ensuite, la note propose « Une feuille de route » pour un travail en groupe, avec trois questions sur « les situations et thèmes qui semblent prioritaires pour telle ou telle paroisse, communauté, groupe, diocèse… ». Enfin, « Pour aller de l'avant », cinq thèmes sont retenus parce que « significatifs dans le contexte français ». Des questions accompagnent chacun avec des références au Rapport final et/ou au Message au Peuple de Dieu"

"Sœur Marie-Laure Dénès dirige le service Famille et société de la Conférence des évêques."

"Les pasteurs sont souvent écartelés entre le désir d'accueillir toutes les demandes et celui de ne pas brader le sacrement."

"Le Conseil famille et société de la Conférence des évêques de France a publié un communiqué, jeudi 14 février, pour protester contre l'amendement prévoyant la suppression des termes « père » et « mère » des formulaires de l'éducation nationale."

"Quand les mariages pourront-ils être célébrés ? Souhaitons-nous nous marier dans l'intimité ? Choisissons-nous de décaler la célébration de quelques semaines, quelques mois, une année ? Pour soutenir les fiancés de 2020-2021 dans leur discernement en ce temps imprévu, les équipes de préparation au mariage, les prêtres et les diacres peuvent leur partager une proposition du Service National famille et Société"