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"Mercredi 18 février, les Associations familiales catholiques (AFC) ont assigné devant le tribunal de Paris la société éditrice du site de rencontres extra-conjugales Gleeden. Une publicité de 2014. L'entreprise américaine Black Divine, édite depuis plus de cinq ans Gleeden « le 1er site de rencontres extra-conjugales pensé par des femmes », dont certaines publicités ont été retirées à l'arrière de bus dans des communes des Yvelines, telles que Poissy, Rambouillet, Saint-Germain, Chatou, Conflans-Sainte-Honorine, Versailles ainsi qu'à Sèvres (Hauts-de-Seine), avant la fin de la campagne prévue le 9 février. Keolis a confirmé avoir décidé de retirer la publicité, notamment à Versailles pour « répondre aux attentes des voyageurs », après avoir reçu 500 réclamations en une semaine, contre environ 900 par an habituellement. "

"Agence indépendante de communication, Herezie « est convaincue que les idées les plus efficaces - dans le business, dans la mode, dans la science, dans le sport, dans l'art - ont toujours été des idées hérétiques ». Son site Internet possède même une page « Hérétipédia » qui se propose de recenser « tous les hérétiques de l'humanité ». On ne voit pas très bien ce que cela a à voir avec le métier de la publicité sauf, évidemment, que ce dernier consiste souvent à faire vendre des vessies en les faisant passer pour des lanternes… Après tout, cela pourrait très bien caractériser aussi les hérésies qui ont vu le jour dans la longue histoire du christianisme. Dire que Herezie mésuse des symboles chrétiens et les détourne n'est pas une grande nouveauté dans le monde de la publicité (voyez notamment, car la liste est longue…, ici, là en encore là). Ce qui l'est, par contre, c'est un mésusage aux fins d'auto-congratulation. Ça c'est nouveau coco ! En voici une illustration pêchée dans la livraison de décembre du mensuel Capital (photo prise avec un Smartphone - merci M. J. pour ce document !), pour illustrer le fait que 96 % des clients de cette agence seraient satisfaits d'elle…"

"La publicité « décalée » - comme ils disent et que nous considérons comme déplacée - du Stade Français - et qui n'a strictement rien à voir avec le fait qu'une rencontre de rugby se déroule un dimanche contrairement à ce que ressasse le club croyant ayant noyer le poisson dans son bocal - a créé suffisamment d'émoi chez les catholiques et de désapprobations jusque chez les supporteurs du club (voir ici), pour entraîner un communiqué « officiel » hâtif et vraiment piteux des dirigeants du club. Nous avons dit tout ce que nous pensions de cette triste affaire (voir ici, ici et là). Ce communiqué ne nous a pas satisfait puisqu'il n'est qu'une maladroite autojustification du club et qu'il ne présente aucune excuse envers une communauté religieuse inutilement blessée. Le goût de "faire des coups" médiatico-publicitaire, auquel ce club n'est que trop enclin, ne saurait tout justifier, et en tout cas pas le mésusage de symboles chrétiens qui n'ont pas leur place dans ces provocations. C'est pourquoi « nous ne lâcherons rien ! » et nous continuerons à faire pression sur les dirigeants du Stade Français ne serait-ce que pour sensibiliser le milieu publicitaire aux limites à ne pas franchir et Dieu sait combien elles ont été dépassées cette année… L'Obs en a rendu compte. La profession de la publicité dispose de règles strictes limitant les utilisations abusives de contenus religieux dans ses messages, et c'est donc vers l'organisme régulateur de cette profession que L'AGRIF devrait se tourner tout prochainement pour signaler cet abus. Encore une fois, ce que nous visons ici, et notamment par cette pétition, ce n'est pas que le Stade Français mais toutes les entreprises commerciales qui s'arrogent, de manière abusive et déplacée, une thématique chrétienne pour des motifs mercantiles. Nous ne le tolérerons plus et nous espérons que la profession entendra notre message et veiller

"Suite à de vives protestations, certaines publicités ont d'ores et déjà été retirées à l'arrière de bus dans des communes des Yvelines, comme Poissy, Rambouillet, Saint-Germain, Chatou, Conflans-Sainte-Honorine, ou encore Versailles, ainsi qu'à Sèvres dans les Hauts-de-Seine. Des publicités retirées pour "répondre aux attentes des voyageurs", a souligné le réseau de transports franciliens Keolis qui a reçu 500 réclamations en une semaine, contre environ 900 par an habituellement. "On ne comprend pas ces réactions exagérées, d'autant que nous communiquons depuis cinq ans", a de son côté déclaré la porte-parole du site, Solène Paillet, "la campagne comportait un message très neutre et n'avait rien de choquant"."

Mobilisation contre la campagne de publicité de Gleeden, site de rencontre extra-conjugale" dans le métro parisien

Blogs Fait religieux La crucifixion de Jésus détournée par une publicité néo-zélandaise ACY- vu le 30/10/2012

"Il n'y a a pas de quoi, me direz-vous, en faire tout un fromage… Eh bien si ! précisément… Voici la photo d'une publicité transmise par un lecteur du Salon Beige, d'une affiche promouvant un « salon du goût » à Beaufort. Je n'ai rien contre cet excellent fromage, mais avouez que pour un salon du goût, c'est vraiment de mauvais goût… J'attends des organisateurs, outre des excuses sur lesquelles je ne compte pas, que les prochaines affiches traitent avec autant d'irrévérence du Beaufort hallal et casher…"

"J'ai traité ici de la provocation d'un clip publicitaire de Comédie+ (filiale de Canal+) visant à promouvoir une nouvelle émission dire "d'humour" : « Enfin te voilà ». Une lectrice de notre page facebook (merci Ch. D. !) nous signale une information parue le 18 novembre sur le site Pub en Stock consacré à la publicité. On peut y lire ce qui suit sur l'un des trois clips promotionnels destinés à passer en publicités sur les chaînes de télévision, nommé « Le Prêtre »"

"Le Tribunal de Grande Instance de Paris a débouté, jeudi 9 février, les Associations familiales catholiques (AFC) qui demandaient l'interdiction de la promotion de « la relation extraconjugale » dans les publicités du site de rencontres"

"Une lectrice (merci L. D. !) m'a fait parvenir cette photo qu'elle a prise sur un quai de la Ligne 7 du Métro parisien. Il s'agit en fait d'une série d'affiches publicitaires pour un roman américain qui paraîtra en français le 4 mai chez l'éditeur La Belle Colère. L'auteur américain Hollis Seamon prête à son héros de 18 ans le propos suivant : « si Dieu le déteste, il est prêt à rendre coup pour coup » - double idiotie, évidemment… N'empêche que cette succession d'affiches qu'un usager du métro ne peut voir qu'en passant - sans même imaginer qu'il s'agit de publicités pour un bouquin - présente quelque chose de malsain. On peut, bien sûr, être d'un avis contraire au mien…"

"Dieu aime-t-il la pub ? On ne le saura probablement jamais. En revanche, une chose est sûre : la pub, elle, adore Dieu. Ainsi que Jésus, les anges, les saints, les prêtres, jusqu'aux démons ; autant d'invités de marque que les publicitaires convoquent, depuis des décennies déjà, pour promouvoir fromage, bières ou steak de boeuf. D'où l'idée du père Gautier Mornas, prêtre du diocèse de Périgueux et Sarlat, dans le Périgord, de créer l'exposition Dieu dans la pub ! Hébergée à la Fabrique 222, au sein du couvent de l'Annonciation des Dominicains à Paris, cette rétrospective propose de manière ludique un regard croisé sur les relations qu'entretient la publicité avec la religion catholique"

"Parce que Dieu vend du steak, que les moines proposent du fromage et que les anges, les saints ou le démon sont des bons clients pour les publicitaires, le père Gautier Mornas a voulu se pencher sur la publicité divine."

Autres sources AFC Enquête sur les bandes annonces et les publicités au cinéma et protection des mineurs CS - Vu le 22/06/2012

"Voici une des déclinaisons de la nouvelle campagne de publicité des « Espaces Culturels » Leclerc (on peut découvrir cette campagne, notamment, dans le métro parisien). Certains des visuels sont médiocres ou rigolos et tous participent à cet "esprit de dérision" généralisée qui montre l'affaissement de toutes nos valeurs traditionnelles. Celui qui suit est franchement blasphématoire. C'est une "adaptation" - personnellement je parle de "détournement" - du tableau du Caravage Le souper à Emmaüs"

"Les Associations familiales catholiques (AFC) ont engagé une procédure judiciaire contre le site de rencontres extraconjugales, Gleeden, dont les publicités s'affichent dans les bouches de métro et sur les bus. Pour son président, Jean-Marie Andrès, l'objectif est de remettre la fidélité au cœur du débat public."

"La RATP affiche depuis plusieurs mois des campagnes de publicité de Gleeden, site de rencontre extra-conjugale. Plus de 160 élus d'Ile-de-France font entendre leur voix dans cette tribune pour défendre l'article 212 du Code civil. Cette tribune est co-signée par plus de 160 élus d'Ile-De-France. Elle va être adressée au Président de la RATP, Monsieur Mongin, par quatre élus signataires de Paris, Asnières et Boulogne-Billancourt, pour qu'ils puissent le rencontrer et recevoir sa réponse."

" La RATP affiche depuis plusieurs mois des campagnes de publicité de Gleeden, site de rencontre extra-conjugale. Plus de 160 élus d'Ile-de-France font entendre leur voix dans cette tribune pour défendre l'article 212 du Code civil."

"Quel est le point commun entre l'adultère, les yaourts, la recherche contre la lèpre et les voyages low-cost ? Réponse : la publicité. Les Parisiens ont l'habitude : en prenant le métro pour aller au bureau, on peut aussi bien tomber sur un appel à envoyer son fric en Afrique, via Western Union, que sur un encouragement à sauver les toutous abandonnés, en donnant à la fondation Bardot. Et jusqu'ici, qu'il s'agisse du Secours islamique ou catholique, la RATP avait une interprétation scrupuleuse du principe de neutralité du service public, et donc de l'exigence républicaine de laïcité. Tant mieux. Après tout, l'argent n'a pas d'odeur et le pass Navigo est déjà bien assez cher comme ça."

"L'évêque de Gap Monseigneur Di Falco s'est insurgé contre la censure de l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP), qui refuse d'afficher un panneau publicitaire de l'Église catholique, arguant des raisons politiques."

"Cet état de fait, ce constat objectif, sont déjà jugés manifestement insupportables. Pourquoi ? Parce qu'ils risquent d'ébranler l'intouchable dogme de l'avortement. Voilà ce qui est intéressant. Ce site et ces visuels ont été lancés à l'occasion de ce vote du Sénat sur la recherche sur les embryons. Ils ne parlent de rien d'autre et ne font à aucun moment allusion à l'avortement. Et pourtant, cette publicité va être immédiatement attaquée comme une « pub anti-IVG ». Car montrer la réalité d'un embryon, c'est « remettre en cause le droit des femmes à disposer de leur corps » comme l'expliquait une des premières internautes à réagir."