Skip to main content

Home/ Groups/ Mission FNEP 2008
Fred L

Quelques idées reçues qui constituent des freins à l'innovation - E-FI, le bl... - 0 views

  • 1) Première idée reçue - L’innovation relèverait forcément d’une technologie nouvelle.
  • 1) Première idée reçue - L’innovation relèverait forcément d’une technologie nouvelle.
  • 1) Première idée reçue - L’innovation relèverait forcément d’une technologie nouvelle.
  • ...3 more annotations...
  • Deuxième idée reçue - La performance d’une entreprise en matière d’innovation se mesurerait au nombre de brevets déposés.
  • Troisième idée reçue - Suite à la définition de la stratégie de Lisbonne, le ratio R&D/PIB évaluerait la performance des pays en matière d’économie de la connaissance.
  • Conclusion : plaidoyer pour une vision élargie de l’innovation Dans ce contexte et compte tenu des performances encore insuffisantes de la France en matière d’innovation, il nous semble essentiel que les pouvoirs publics élargissent leur vision de l’innovation pour intégrer les usages, les modèles économiques et les innovations non technologiques. Cela suppose de tenir un discours public sur l’innovation sans la limiter à la recherche ou à la technologie, certes indispensables pour construire la performance économique de notre pays, mais insuffisantes pour assurer sa compétitivité. Une telle démarche pourrait passer par la valorisation des entreprises innovantes à succès, et ce dans tous les secteurs et pas seulement dans le high tech. Il conviendrait également d’évaluer la capacité d’innovation de notre pays sur une batterie d’indicateurs multiples reflétant la diversité de l’innovation en tenant compte, par exemple, de la part de chiffre d’affaires réalisée par les entreprises sur des produits récents ou très novateurs. Enfin, il serait souhaitable de faire évoluer la vision trop caricaturale dont souffrent dans notre pays à la fois le design (trop peu utilisé et souvent résumé à une vision centrée soit sur l’esthétique, soit sur la fonctionnalité) et le marketing (qui permet d’analyser les usages et de rendre les innovations appropriables par le marché). A l’heure où l’innovation peut aider à sortir de la crise, une approche élargie de l’innovation permettrait de renforcer la performance économique de notre pays et de contribuer à sortir d’une logique centrée sur les coûts de fabrication. Delphine Manceau
  •  
    innovation Delphine ManceauArticle de Delphine Manceau, professeur à ESCP Europe. Co-auteur avec Pascal Morand du rapport «Pour une nouvelle vision de l'innovation» remis à Christine Lagarde en avril 2009.
Fred L

Une loi européenne sur l'innovation à l'étude - 0 views

  • Une loi européenne sur l’innovation à l’étude
  • la protection des droits de la propriété intellectuelle demeure essentielle
  • l’innovation dans les services et l’utilisation des TIC devront également être renforcées
  • ...5 more annotations...
  • les fonds européens sont plus que jamais axés sur l’innovation (86 milliards d’euros ont été alloués au soutien de la recherche et de l’innovation dans les régions)
  • les procédures d’accès aux différents fonds doivent être cependant revues et encore simplifiées
  • la fourniture de capital-risque reste un sujet de préoccupation
  • il faut intensifier les synergies entre les acteurs du processus d’innovation
  • la promotion de l’innovation doit demeurer une priorité politique majeure à tous les niveaux de l’UE
Fred L

Portail du Gouvernement - site du Premier ministre - 0 views

  • La politique du Gouvernement en faveur de la recherche et de l’innovation
  • Conseils des ministres Utilisez la commande Fichier > imprimerde votre navigateursi ce bouton ne fonctionne pas. 20-05-2009 13:45
  • Cette politique obéit à un ensemble de lignes de force qui peuvent être ainsi tracées :
  • ...5 more annotations...
  • placer l’Université, lieu de rencontre par excellence entre formation, recherche et innovation, au coeur du dispositif national de recherche, et renouveler la relation qu’elle entretient avec les organismes de recherche ;
  •  assurer une meilleure coordination de la recherche publique au sein de structures nationales embrassant de grands domaines, comme l’Alliance pour les sciences de la vie et de la santé ou le Consortium pour l’agriculture, l’alimentation, la santé animale et l’environnement, et développer, au niveau européen, des programmations conjointes autour de grands enjeux, comme la maladie d’Alzheimer ou l’énergie, tout en renforçant les partenariats avec les entreprises ;
  • aloriser l’excellence scientifique sur la base d’une évaluation transparente, menée notamment par l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur pour les établissements et les unités, le Conseil national des universités pour les enseignants-chercheurs, et l’Agence nationale de la recherche pour les projets qu’elle finance ;
  • définir, au terme d’une large concertation sur les besoins et les attentes de notre société, une stratégie nationale de recherche et d’innovation pour les quatre prochaines années qui servira de référence commune pour l’allocation des moyens de l’Etat, par exemple dans le cadre des contrats d’objectifs des organismes publics ou de la programmation de l’Agence nationale de la recherche ;
  • renforcer significativement la recherche privée en dynamisant l’investissement des entreprises. La réforme du crédit d’impôt recherche engagée fin 2007 portera l’effort de l’Etat à près de 4Mds€ par an. Une enquête réalisée auprès de 700 entreprises montre que ce dispositif exerce un effet incitatif puissant et améliore sensiblement l’attractivité du territoire français. Il doit être stabilisé sur le long terme, si l’on veut amener les entreprises à investir massivement et à localiser durablement leurs activités de recherche en France.
Fred L

Wordle - MP08-3 - 0 views

François Bertrand

Le vide poches : le blog du planning stratégique: L'innovation sociale pour n... - 0 views

  • Trois pistes pour l’innovation sociale à la française
  • Nos élus doivent davantage intégrer l’innovation sociale au sein des grandes politiques publiques.
  • L’administration doit se professionnaliser dans ce domaine
  • ...1 more annotation...
  • Tous les acteurs de l’innovation sociale doivent travailler en réseau.
François Bertrand

Le vide poches : le blog du planning stratégique: L'Institut Français du Desi... - 0 views

  • « Faire mieux avec moins », cet objectif était présent dès l’origine du design au début des années 1950
  • Il reste guidé par 5 critères, mais ces critères évoluent puisque l’aspect relatif à la responsabilité environnementale sera désormais renforcé (Economie, Ergonomie, Esthétique, Ethique, Ecologie)
François Bertrand

Innovation le journal : 3 % du PIB pour la R&D - 0 views

  • Je suis ici pour nous fixer cet objectif : nous allons consacrer plus de 3 % de notre PIB à la recherche et au développement. Nous n’allons pas seulement égaler, mais dépasser le niveau atteint au plus fort de la course à l’espace, en investissant dans la recherche fondamentale et la recherche appliquée, en encourageant l’innovation privée, en favorisant les avancées dans les domaines de l’énergie et de la médecine et en améliorant l’enseignement des mathématiques et des sciences
Fred L

Stratégie nationale de recherche et d'innovation : une consultation par inter... - 0 views

  • Des universités autonomes
  • Le système français a cette particularité, qu'une partie de nos meilleurs étudiants ne va pas à l'université et qu'une partie de nos meilleurs chercheurs n'est pas à l'université. Tout l'objectif est de construire un système coopératif entre grandes écoles, universités et organismes de recherche, de renforcer un maillon qui était jusqu'à présent ni libre ni autonome, le maillon universitaire.
  • Faiblesse de l'innovation en France
  • ...62 more annotations...
  • si nous sommes un grand pays de recherche, nous ne sommes pas dans le peloton de tête des pays d'innovation
  • C'est l'objet même du crédit impôt recherche. Cet outil très puissant, avec un taux d'aide triplé depuis début 2008 fait l'objet de nombreuses convoitises à l'international, depuis l'administration Obama jusqu'au gouvernement de Madame Merkel dont la commission d'experts pour la recherche et l'innovation conseille la création d'un tel outil fiscal outre-Rhin.
  • Du côté français, nous devons encore renforcer la recherche partenariale entre laboratoires publics et entreprises privées. De nombreuses incitations existent déjà comme les Instituts Carnot, les incubateurs d'entreprises, ou le doublement des dépenses de recherche partenariale dans le calcul du crédit impôt recherche
  • Nous devrons les évaluer et les faire évoluer si elles ne sont pas suffisamment incitatives.
  • Alors que l'Etat accompagne les entreprises avec des avantages fiscaux plus que conséquents, en particulier avec le remboursement anticipé du crédit impôt recherche annoncé dans le cadre du plan de relance qui va concerner neuf mille entreprises et 90% de PME, je souhaite vraiment que les entreprises s'engagent à maintenir leur effort de recherche et renforcent aussi leurs partenariats avec les établissements publics
  • les dépenses sous-traitées à un laboratoire public comptent double dans l'assiette du CIR
  • un dispositif spécifique pour les doctorants, « les doctorant-conseils», pour permettre à un doctorant d'effectuer des missions en entreprise et donc de familiariser l'entreprise avec les thématiques de sa thèse. C'est un bon dispositif pour permettre aux entreprises de tester la valeur d'un doctorant, et pour permettre au jeune chercheur de se familiariser avec d'autres horizons. 
  • La valorisation du doctorat est un enjeu majeur pour notre université, mais aussi pour notre pays, et pour le développement de la recherche privée.
  • Ils devront devenir davantage stratèges, et s'organiser autour d'une cohérence disciplinaire forte. Leur rôle sera conforté en tant qu'agence de moyens, apportant les concours  financiers et humains aux différents laboratoires, en particulier dans les universités.
  • Ils seront également opérateurs de recherche notamment dans le cadre de leurs unités propres ou pour la gestion des très grandes infrastructures de recherche qui leur incombe.
  • Coordinations inter-organismes et décloisonnement
  • 83 universités, 225 écoles, et 21 organismes de recherche
  • Ces consortiums et autres alliances permettront une meilleure coordination de notre effort national de recherche, et viendront alimenter la programmation thématique de l'ANR.
  • s'inscrire dans la « Vision 2020 » de l'espace européen de la recherche
  • programmation conjointe
  • Cet outil radicalement nouveau a justement vocation à coordonner les actions des différents Etats-membres sur des thématiques clés au regard des grands enjeux de demain
  • Rôle de l'Agence nationale de la recherche
  • confortée dans un rôle d'agence de financement pour des projets sélectionnés et évalués sur des critères d'excellence scientifique.
  • Il y a un an l'ANR consacrait 25% de ses budgets aux programmes blancs et 75% aux projets thématiques. Je crois que nous devons faire évoluer cet équilibre
  • Pour son volet thématique, l'ANR devra puiser dans les priorités de la stratégie nationale de recherche et d'innovation et s'appuyer sur les organismes de recherche qui doivent retrouver un rôle central dans cette programmation. 
  • C'est donc plus sur une démarche « bottom-up », que l'ANR devra maintenant fonder son activité avec environ 50% de projets thématiques et, 50 % de programmes blancs faisant émerger l'excellence et la créativité.
  • Ces programmes blancs devront sans doute être un minimum orientés par discipline de manière à en préserver certaines de la concurrence des autres. Je pense notamment aux sciences humaines et sociales qui devront à mon avis disposer de programmes blancs spécifiques. 
  • Simplification de la vie quotidienne des laboratoires
  • Les unités mixtes sont les briques élémentaires de notre système de recherche. C'est le lieu de la coopération entre les organismes et les universités, et dans certains cas avec les entreprises.
  • travailler au meilleur fonctionnement des unités mixtes de recherche.
  • simplification résolue de leur gestion. Vous savez qu'il y a 400 unités mixtes qui ont plus de quatre tutelles. C'est-à-dire quatre systèmes de contrôle de gestion, quatre systèmes de financement, quatre évaluations, quatre modes de gestion des ressources humaines.
  • simplifier la gestion de la propriété intellectuelle dans les unités mixtes de recherche.
  • A l'image de l'accord signé mardi dernier entre l'Institut Pasteur et l'Université Pierre et Marie Curie, je veux que l'on fixe un responsable unique pour la gestion des brevets dans les unités mixtes.
  • Pôles et campus
  • de véritables services uniques et communs de valorisation pourront être créés au sein des grands pôles universitaires
  • es pôles de recherche et d'enseignement supérieur se dotent de structures de valorisation conjointes
  • Ces services, véritables guichets uniques, proposeront au tissu industriel local des programmes de recherche partenariale, l'expertise des laboratoires qu'ils fédèrent, ou encore l'exploitation de brevets issus de la recherche publique
  • c'est avec une logique de site renforcée, comme à Toulouse, à Grenoble ou, bientôt, à Saclay, avec de véritables clusters d'excellence, associant enseignement, recherche fondamentale, innovation et entreprenariat, que nous pourrons attirer les meilleurs chercheurs internationaux et éviter que nos meilleurs chercheurs nationaux ne partent à l'étranger
  • Plan carrières
  • insi, les jeunes maîtres de conférences qui vont être recrutés l'année prochaine le seront avec des salaires entre 12 et 25% plus élevés qu'aujourd'hui. 
  • « plan carrières » inédit de 252 millions d'euros qui concerne tous les moments clefs des carrières
  • Le « plan carrières », c'est d'abord une harmonisation par le haut des carrières des enseignants-chercheurs et des chercheurs de façon à ce qu'il n'y ait plus de décalage injustifié.
  • des primes allant jusqu'à 15 000 € par an qui pourront être attribuées sur des critères d'excellence scientifique ou d'excellence pédagogique.
  • 20% des chercheurs  des organismes qui pourront prétendre à cette prime, si elle est attribuée à un taux moyen de 6 000 € par an
  • donner une visibilité sur l'emploi scientifique public pour les dix prochaines années, discipline par discipline
  • mener une analyse prospective de l'emploi scientifique à dix ans et permettre des recrutements qui ne soient pas des recrutements par à-coups
  • Il s'agit de pouvoir s'engager avec les organismes sur de vrais contrats d'objectifs et de moyens qui doivent être le cadre d'une relation de confiance entre l'Etat et les organismes.
  • supprimer le rapport semestriel qu'elle demandait aux laboratoires : ce sont 4 500 rapports supprimés !
  • continuer dans ce sens, et supprimer les nombreuses petites, mais à la longue tellement lourdes, surcharges administratives de vos laboratoires.
  • aucun document de référence disponible définissant les priorités à quatre ans, que sont les grands défis de la connaissance, les grands défis technologiques, et les grands défis sociétaux que la recherche doit nous permettre de relever
  • La cohérence d'ensemble était en réalité le fruit de la bonne volonté d'un certain nombre de professionnels plus que celle d'un cap clair, défini aussi bien pour nos chercheurs que pour nos partenaires internationaux.
  • C'est tout le contraire de l'action des gouvernements des autres grands pays de recherche et d'innovation comme le Japon, le Royaume-Uni, la Russie ou l'Allemagne, qui, chacun, ont rassemblé leurs grandes priorités de recherche dans un document stratégique. 
  • Vocation de la stratégie nationale
  • la référence pour fixer les priorités des organismes de recherche dans leurs contrats d'objectifs qui les lieront à l'Etat, et pour donner une légitimité nouvelle à la programmation de l'Agence nationale de la recherche.
  • construite sur le socle d'une vision académique solide, et préparée avec tous les acteurs de la recherche nationale et de l'innovation, publique et privée.
  • refuse les cloisonnements artificiels entre recherche fondamentale et recherche appliquée. La recherche est un continuum qui est une réponse globale aux enjeux de notre société pour demain.
  • Une démarche « bottom-up »
  • Sciences et société
  • Il est en effet essentiel d'associer ces porteurs d'enjeux à notre stratégie pour rapprocher la science et la société
  • ceux que l'on appelle maintenant les porteurs d'enjeux, c'est-à-dire les milieux associatifs qui représentent les diverses sensibilités de notre société. Ce sont aussi les représentants de l'Assemblée Nationale et du Sénat qui participent à ce projet
  • associations de protection de l'environnement
  • un certain nombre de nos concitoyens croient au progrès, d'autres s'en méfient. Il faut donc parvenir à bâtir des consensus sur le progrès scientifique.
  • es débats citoyens que nous avons lancés notamment dans le cadre du Grenelle de l'environnement doivent être toujours présents lorsque nous définissons des nouvelles priorités de recherche
  • Nous venons d'ailleurs de lancer un débat public sur les conditions de développement des nanotechnologies
  • Je souhaite qu'il ne puisse plus y avoir à l'avenir des malentendus et de l'irrationnel quand nous parlerons de nouvelles technologies ou de nouveaux champs de recherche. C'est pourquoi, il faut pouvoir intégrer en amont les inquiétudes sociétales fortes, et c'est aussi l'objet de la stratégie nationale de recherche et d'innovation.
  • es associations de promotion des sciences qui travaillent notamment pour que les vocations scientifiques se révèlent chez nos jeunes et que la relève soit assurée.
  • avec la stratégie nationale de recherche et d'innovation, nous allons pouvoir rendre publiques et donc visibles aux yeux de tous, y compris de nos grands partenaires mondiaux, les futures orientations de notre recherche.
François Bertrand

French touch - Wikipédia - 0 views

  •  
    je vous laisse apprécier les articles sur le jeu vidéo et l'informatique. Aucun doute : ils ont été écrits par des français ! (c'est la french touch) Au passage, cette expression semble être comme "best of", une invention... française.
François Bertrand

TNS-Sofrès : sondage sur les "valeurs de la France" réalisés pour le ministèr... - 0 views

  •  
    Les français croient toujours à l'école comme moteur d'intégration.
Fred L

Innovation en région : la place des universités en débat au colloque de la CPU - 0 views

  • Innovation en région : la place des universités en débat au colloque de la CPU
  • La France ne fait pas partie des leaders européens de l’innovation. Elle est un peu au-dessus de la moyenne de l’Union européenne, derrière notamment la Suède, la Finlande, l’Allemagne, le Danemark ou l’Angleterre. Jean-Marie Castelain, responsable du suivi de l’agenda de Lisbonne pour la France à la Commission européenne, a dressé ce panorama lors du colloque de la Conférence des présidents d’université (CPU), qui s'est tenu du 25 au 27 mars 2009 à Brest, avant que celui-ci ne soit sérieusement perturbé par des étudiants.
  • Les pôles de compétitivité font cavaliers seuls « En France, les pôles de compétitivité sont gérés par le seul ministère de l’économie et il n’y a pas de commission interministérielle sur l’innovation. De plus, le retour de création de connaissances vers la formation n’est pas pensée », a déploré ce responsable également impliqué dans la mise en place de l’IET (Institut européen de d’innovation et de technologie).
  • ...7 more annotations...
  • En revanche, il a mis en garde contre plusieurs écueils. « Les universités ne doivent pas être des lieux d’externalisation de la recherche des entreprises. Les enseignants-chercheurs ne doivent pas devenir en premier lieu des entrepreneurs. Les universités ne doivent pas être des centres de formation professionnelle. »
  • Des fonds communautaires sous-employés
  • Patrice Baillieux, en charge de la politique régionale à la Commission européenne est venu rappeler aux présidents d’université qu’il y avait « une sous-utilisation préoccupante des programmes [de financement] sur la compétitivité. Le préfet de région pilote directement ces fonds. Ceux capables de faire des propositions correctes par rapport à l’innovation ont des chances d’obtenir des crédits communautaires ».
  • Les universités peu présentes dans la stratégie régionale d'innovation Pourquoi les universités ne sont-elles pas plus motrices dans la demande de ces lignes budgétaires ? « Il est difficile de mettre les universités au centre de la gouvernance des pôles de compétitivité. On n’est pas associé à la vision stratégique du développement. Des universitaires interviennent à titre individuel pour défendre leur discipline, mais il n’y a pas de volonté des collectivités », a reproché Richard Messina, président de l’université d’Evry, dont l’établissement est impliqué dans cinq pôles de compétitivité. D’autres en revanche ont fait peser davantage la responsabilité sur les universités elles-mêmes, peu volontaristes dans la définition de la stratégie économique régionale.
  • « Il nous manque au niveau régional, une instance stratégique », avance Jean-Pierre Gesson, président de l’université de Poitiers. Un vœu que l’université d’Angers est sur le point d’exaucer en réunissant les maires d’agglomération et les présidents d’université pour discuter de l’enseignement supérieur.
  • Les PRES, porte d'entrée de l'innovation ?
  • Dans ses conclusions, la CPU s’est voulue, elle, volontariste en revendiquant que l’université soit un acteur de l’innovation, au sein des PRES et que l’effort de financement public soit « significatif et continu ».
  •  
    Innovation en région : la place des universités en débat au colloque de la CPU
‹ Previous 21 - 40 of 621 Next › Last »
Showing 20 items per page