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Fred L

Le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007 - 0 views

  • Le 26 septembre 2006, le Forum économique mondial (FEM) a diffusé le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007.(
  • Pour ce faire, les auteurs se servent de plus de 100indicateurs pour faire une évaluation détaillée des conditions économiques de 125 pays et ils classent ces derniers selon leur compétitivité.
  • Le présent document examine brièvement la méthode utilisée dans le rapport du FEM. Il présente ensuite certains des principaux résultats obtenus par le Canada pour ce qui est de la compétitivité globale et dans le domaine de la technicité des entreprises, de l’innovation et de l’infrastructure. Le document se termine par une brève évaluation schématique du classement établi par le FEM.
  • ...8 more annotations...
  • L’ICM donne un aperçu des facteurs que le FEM considère comme les moteurs essentiels de la productivité et de la compétitivité, et il les regroupe en neuf piliers indépendants : Institutions Infrastructure Macroéconomie Santé et enseignement primaire Enseignement supérieur et formation Efficacité du marché Préparation technologique Technicité des entreprises Innovation
  • Afin d’évaluer la compétitivité de certains pays, le FEM utilise un «indice de compétitivité mondiale» (ICM) comme outil principal. (5) On calcule l’ICM pour 125 pays et celui-ci va de 2,5, niveau le plus bas (Angola), à 5,81, niveau le plus élevé (Suisse).
  • Les piliers sont organisés en trois sous-indices, chacun étant indispensable à un stade de développement particulier [d’un pays] : a) le sous-indice des exigences de base regroupe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur les facteurs (institutions, infrastructure, macroéconomie, santé et enseignement primaire); b) le sous-indice des optimiseurs d’efficacité englobe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’efficacité (enseignement supérieur et formation, efficacité du marché, préparation technologique); c) le sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité englobe tous les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’innovation (technicité des entreprises, innovation).(7)
  • Même si tous les pays sont classés en fonction de ces trois sous-indices, la méthode de l’ICM repose sur le principe selon lequel les «facteurs d’innovation et de technicité» ont une importance particulière pour l’évaluation des pays développés
  • Tableau 1 : Classement général selon l’ICM (10)
  • Pour ce qui est du sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité, le Canada se classe aussi au 16e rang (voir le tableau 2) et aussi derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 4; Japon, 1; Allemagne, 3; R.-U., 10; France, 13).
  • le Canada est devancé par des partenaires plus petits, mais apparemment plus concurrentiels (Suisse, 2; Suède, 5; Finlande, 6; Danemark, 7; Israël, 8; Taïwan, 9; Pays-Bas, 11; Belgique, 14; Singapour, 15).
  • Selon le rapport du FEM, le Canada occupe le 16e rang au classement général de l’ICM (voir le tableau 1), derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 6; Japon, 7; Allemagne, 8; R.-U., 10). Le Canada est aussi devancé par la Suisse (1), la Finlande (2), la Suède (3), le Danemark (4), Singapour (5), les Pays-Bas (9), la Norvège (12), Taïwan (13), l’Islande (14) et Israël (15). Toutefois, le Canada se classe mieux que d’autres économies importantes (France, 18;Australie, 19; Inde, 43; Chine, 54; Mexique, 58; Russie, 62; Brésil, 66). 
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    Mesure de la compétitivité : méthode du Forum Economique Mondiale (FEM)
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Bruxelles privilégie quatre pistes d'intervention - 0 views

  • • Aides à l'emploi.
  • • Aides aux entreprises.
  • • Infrastructures. Cinq milliards d'euros supplémentaires seraient redéployés au sein du budget communautaire afin de financer des projets transeuropéens d'interconnexion énergétique et des infrastructures d'Internet à haut débit.
  • ...1 more annotation...
  • • Recherche et innovation. La Commission préconise aux États membres et au secteur privé d'augmenter les dépenses de recherche-développement dans l'innovation et l'éducation. Une «initiative européenne en faveur des voitures vertes» sera lancée, cofinancée par les secteurs public et privé à hauteur de 5 milliards d'euros minimum. Un milliard d'euros sera également consacré au développement d'immeubles économes en énergie
François Bertrand

Korean economy to run on new growth engines - 0 views

  • The New Growth Engines Initiative reported their plan to the president of Korea, Lee Myung-bak on Sept. 22.
  • the initiative has selected 22 projects in six areas - energy and environment, transportation systems, new information technology, new integrated industries, bio-industry and knowledge-based services.
  • However, the growth of the Korean economy has been relatively slow during the last decade because it is facing strong international challenges. Industry leaders are struggling to develop the new "Blue Ocean" in the years to come. Unemployment among the younger generation is serious, and the proportion of retirees has become bigger. Another challenge is the global warming and energy shortage problem.
  • ...34 more annotations...
  • If the market can autonomously create new business, there is no need for the government to lead the industrial plan. In this regard, most developed countries support only R&D and development of human resources. However, this strategy is not always the best for developing countries, where the market does not have the capability of innovation. Even the United States is now experiencing the need of appropriate government control to secure the nearly collapsed financial sector and deeply depressed industries. At this stage, the Korean government has decided to motivate new industries which have good potential for growth, but may not grow unless the government intentionally nurtures R&D, cultivates initial-stage market growth, deregulates constraints and provides well-prepared human resources.
  • By Nam-pyo SuhPresident, Korea Advanced Institute of Science and Technology
  • The NGE Initiative is composed of 360 non-governmental experts from various industries, research institutions and universities.
  • Even though the R&D portion of 5 percent in government spending is one of the highest in the world, it is still less than one-tenth of the United States. So Korea has to select and concentrate on promising industries, considering what industries it is best at developing.
  • The 22 projects selected in six areas are as follows. 1) Energy and environment
  • Emission-free clean coal
  • how to remove the emission of carbon dioxide
  • Ocean-originated bio-fuel
  • Solar cells
  • Carbon sequestration and reuse
  • Fuel cell power generation
  • Nuclear power plant
  • Transportation systems
  • Green cars: The main enabler of a green car is the plug-in hybrid electrical vehicle which uses both batteries and a combustion engine. The electricity can be recharged at home. However, in Korea, most cars cannot be parked in personal spaces. Establishing public charging infrastructure is an additional challenge. The electricity for urban electrical vehicles may be supplied from underground wires without physical contact.
  • Shipbuilding and ocean systems
  • 3) New IT
  • mobile harbor technology
  • System semiconductors
  • Displays
  • Next-generation mobile telecommunications
  • LED lighting
  • RFID/USN: RFID and the Ubiquitous Sensor Network is a revolutionary instrument for next-generation logistics management. However, the chip price is still too expensive to justify its application. So government should apply the RFID/USN in the public sector to create the new standard and the market for mass production and cost reduction.
  • 4) New integrated industries
  • Robots
  • New materials and nanotechnology
  • IT-enabled products and processes: Korea is the leader in IT infrastructure.
  • 5) Bio-industry
  • Convergence of telecommunication and broadcasting:
  • 6) Knowledge-based services
  • Software
  • Healthcare:
  • Design:
  • Cultural contents
  • New medicine and medical equipment
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    Nam-pyo Suh
François Bertrand

Insee Première n°1188 - Mondialisation et compétitivité des entreprises franç... - 0 views

  • Pour la moitié d'entre eux, en effet, les infrastructures de télécommunication et de transport influencent favorablement le développement des entreprises. Il en va de même pour la qualification de l’encadrement (graphique 2). Les infrastructures de transport apparaissent particulièrement importantes pour les entreprises du secteur automobile.
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    Une enquète qui montre que la R&D n'est pas vraiment la première préoccupation des dirigeants de PME industrielles françaises exportatrices
Marjolaine Grisard

ifri - 0 views

  • 04/03/2004 Conférence en partenariat avec l'Association Nationale de la Recherche Technique (ANRT). La recherche et l'innovation en Corée et les possibilités de partenariats technologiques avec des entreprises coréennes. La Corée, membre de l'OCDE depuis 1996, a gagné le pari du développement! Elle doit désormais affronter le défi de l'entrée dans l'économie du savoir et passer d'une croissance fondée sur l'imitation à une croissance tirée par l'innovation alors que la Chine émerge comme un concurrent redoutable. La Corée investit fortement en R&D et dans les infrastructures de l'économie numérique. Pays le plus connecté en haut débit, elle souhaite devenir un des premiers centres d'activités de R&D en Asie. Très désireuse de renforcer les coopérations scientifiques et technologiques internationales, elle offre des opportunités de partenariat intéressantes. Des obstacles demeurent cependant.
Fred L

Le blog Marcel Gauchet: Nicolas Sarkozy, un symptôme de son temps - 0 views

  • Quelle responsabilité, quel périmètre d’autorité et de légitimité l’Etat doit-il assurer pour être « dans » son rôle démocratique? L’Etat est dans un moment de complète redéfinition de sa fonction. Le rôle, « pilote » et «régulateur » de l’économie, qui était le sien dans les années soixante est obsolète. Aujourd’hui, l’Etat ne doit pas être une « super structure », mais une « infrastructure » qui charpente l’espace collectif, qui veille au haut degré d’homogénéité matérielle sur un territoire, qui assure l’éducation, les soins, de multiples protections, l’ouverture au monde et les déplacements sécurisés au-delà des frontières, sans lesquels le marché serait inopérant. Pour toutes ces raisons, la vocation de l’Etat n’est pas de nous conduire, mais de nous permettre d’exister. Comment peut-on encore s’acharner à nier cette évidence?
  • Le discrédit dont il affuble l’Etat et la collectivité, et le culte de la réussite individuelle qu’il promeut, rendent-ils le libéralisme ennemi de la démocratie? Le libéralisme est une des valeurs de la démocratie, mais il ne suffit pas par lui-même à faire fonctionner la démocratie. Une certaine forme de libéralisme est un symptôme de la crise de la démocratie, puisqu’elle cultive la fiction d’un individu irresponsable par rapport à la collectivité. Pour cette raison, rien ne me semble plus important que de redonner un sens juste au libéralisme, capable de contrecarrer les embardées idéologiques récemment traversées. Il faut riposter à « l’unilatéralisme » du libéralisme qui érige ce dernier en dogme et trouve un relais, un amplificateur formidables dans l’individualisme dominant. Le mouvement a d’ailleurs débuté.
  • A partir de quels compromis peut-on concilier les droits de l’homme, formidable progrès, et les droits de la collectivité, ferments de la démocratie ? Etablissez-vous une hiérarchie des démocraties, existe-t-il des démocraties « pilotes » ? Nulle part il n’existe de formule satisfaisante. En revanche, certaines démocraties adoptent des institutions admirables et des formes d’exemplarité intéressantes. Outre l’Angleterre, il y a la social-démocratie scandinave, riche de conditions culturelles et de civisme difficilement transposables mais justement instructives pour identifier nos carences. Les Etats-Unis ont développé un sens aigu de l’intégration démocratique, dont la France gagnerait à s’inspirer. Toutes les démocraties sont plongées dans la perplexité, à des niveaux et sur des aspects différents et inégaux. La France tout particulièrement, elle qui, forte de son histoire, croyait sa démocratie encore à l’avant-garde et la découvre balbutiante.
  • ...2 more annotations...
  • Vous considérez qu’à court terme la crise de la démocratie ne peut que s’aggraver, mais qu’en revanche, à l’aune par exemple de l’enjeu écologique, elle peut déboucher vers une démocratie « supérieure ». Quel contenu donnez-vous à cette classification? Mon optimisme à long terme repose sur un constat: l’individu a besoin de la collectivité et ne cesse d’ailleurs d’exprimer ce besoin. Pour preuve, la forme paroxystique de l’individualisme contemporain n’est pas le rejet ou le mépris de la société, caractéristiques de l’anarchisme de 1880,ou même l’autarcie. On peut la résumer à une formule: « Je ne dois rien à la société, mais elle me doit tout ». Il faut se méfier de certaines images d’Epinal. Par exemple, il est fréquemment évoqué la dissolution du lien social, mais pourtant jamais ce lien n’a été aussi fort si on le mesure au degré de dépendance des individus à leur téléphone portable… A leur échelle, les individus expriment un désir d’équilibre entre leur affirmation individuelle, parfaitement légitime, et celle de s’inscrire dans une communauté où leur existence prend un sens. L’un des aspects majeurs de la privatisation des existences, si emblématique de notre société, c’est le repli sur la famille, donc sur les enfants. Or existe-t-il lien plus puissant avec l’humanité que considérer que la vie ne se réduit pas à soi et se poursuit avec une descendance qu’il faut préparer le mieux possible ? Qui donc peut rêver pour ses enfants d’un monde infernal, pire que celui qu’il connaît ? Personne. D’ailleurs, le pessimisme des Français est corrélé à leur peur d’un avenir moins enviable pour leurs enfants. Finalement, la société, ce n’est rien d’autre qu’assurer la pérennité de l’humanité. Et effectivement, la préoccupation écologique doit constituer la forme la plus explicite de ce souci de poursuivre l’aventure humaine.
  • L’entreprise, dont les manifestations collectives et les contre-pouvoirs syndicaux sont anémiques, est-elle définitivement dans le déni démocratique ou bien certaines formes - coopératives - constituent-elles un modèle ? Il n’y a rien de définitif dans l’histoire. D’un côté, le travail est central dans la vie des individus aujourd’hui. C’est bien ce qui fait le drame du chômage. Ils attendent donc quelque chose de l’entreprise. De l’autre côté, l’efficacité ne peut pas suffire à définir une communauté de travail. Nous en sommes là. La recherche sur des modèles d’organisation véritablement efficaces, c'est-à-dire dans lesquels les individus pourraient se reconnaître, me semble un des grands sujets d’avenir. Le secteur coopératif pourrait en effet avoir un rôle pionnier à jouer dans ce domaine.
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Auto, BTP : un plan pour un rebond rapide - 0 views

  • Côté BTP, il y a également urgence en raison de la baisse de l'activité. Le secteur de la construction en France pourrait perdre environ 45 000 emplois en 2009 sur un total de 1,9 million d'actifs, selon le ministère du Développement durable. L'idée du gouvernement dans ce domaine est de relancer très rapidement la machine, notamment en accélérant des programmes immobiliers et d'infrastructures. Non pas ceux qui ont été annoncés dans le Grenelle de l'environnement - il faudrait trop de temps pour lancer les études - mais en se concentrant sur les petits et grands projets qui peuvent être lancés très rapidement. «Il faudrait supprimer tous ces blocages administratifs qui ralentissent les investissements», plaide Patrick Bernasconi, président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), qui a été reçu mercredi à l'Élysée. L'idée d'accélérer l'allocation aux collectivités des dotations d'équipement ferait son chemin. Cela permettrait d'avancer l'entretien et la mise en sécurité des réseaux (routiers, ferrés, assainissement) ainsi que des projets d'aménagement urbain. La FNTP recensera d'ici à fin janvier quelque 10 000 projets qui sont dans les tuyaux des collectivités locales et qui pourraient être lancés rapidement.
    • François Bertrand
       
      Si on en croit cet article, c'est la FNTP qui planifie !
François Bertrand

2009/03/13 > BE Etats-Unis 157 > Innovation aux Etats-Unis : l'Amérique se re... - 0 views

  • Les mêmes indicateurs, seize au total, ont été utilisés pour évaluer la performance des 40 pays les plus développés technologiquement. Ils ont été regroupés en six catégories :- entrepreneuriat,- capital humain,- politiques de soutien,- infrastructures d'information et de communication,- capacité d'innovation et- performance économique.
  •  
    voir aussi le site de l'ITIF : le classement de la France n'est pas très rose...
François Bertrand

cordis : Potocnik: ERA must be open to the world - 0 views

  • The EU and its Member States must 'transform Europe's research labyrinth into a European Research Area open to the world, attracting the best brains and contributing to address global challenges', said European Science and Research Commissioner Janez Potocnik.
  • world-class infrastructures
    • François Bertrand
       
      cela rappelle quelque chose...
François Bertrand

Friedman: Georgia on my mind - International Herald Tribune - 0 views

  • Our competitiveness, though, he added, is based on having a broadly educated work force, superb research universities, innovation-supportive taxes, immigration and regulatory policies, a productive infrastructure, and a culture that embraces hard work. "America is still the best place for innovation," said Carlson.
    • François Bertrand
       
      policy mix
  • Closing the Innovation Gap
  • What I found missing in both conventions was a sense of priorities. Both Barack Obama and John McCain offered a list of good things they plan to do as president, but, since you can't do everything, where's the focus going to be? That focus needs to be on strengthening our capacity for innovation - our most important competitive advantage.
  • ...1 more annotation...
  • While we still have enormous innovative energy bubbling up from the American people, it is not being nurtured as needed
david duplouy

L'euro, monnaie de réserve, par Patrick Artus - Opinions - Le Monde.fr - 0 views

  • Patrick Artus
  • L'Europe pourrait éviter ce piège en utilisant sa capacité nouvelle à se financer à des conditions favorables auprès du reste du monde pour réaliser des dépenses d'infrastructures publiques, de recherche et d'éducation supérieure, d'investissements dans le capital de PME innovantes
  • L'euro fort vient donc du rôle croissant de monnaie internationale de réserve de l'euro
  • ...5 more annotations...
  • Lorsqu'un pays (une région) peut facilement financer un déficit extérieur en s'endettant (c'est-à-dire en vendant des actifs) auprès du reste du monde à un taux d'intérêt faible, puisque les actifs de ce pays sont recherchés, font l'objet d'une forte demande, on dit usuellement qu'il bénéficie "du privilège exorbitant de la monnaie de réserve",
  • l'euro s'est fortement apprécié vis-à-vis du dollar en 2006 et au premier semestre 2007 alors que les taux d'intérêt à court terme sur le dollar étaient beaucoup plus élevés que les taux d'intérêt sur l'euro (au début de 2006, 4,5 % aux Etats-Unis contre 2,25 % dans la zone euro), ce qui montre que les niveaux relatifs de taux d'intérêt ne sont pas les déterminants essentiels de la parité de l'euro.
    • david duplouy
       
      Analyse macro-économique
  • Concrètement, ce projet pourrait prendre la forme d'un programme spécial d'émissions d'obligations en euros de la Banque européenne d'investissements destinées aux non-résidents, calibré en fonction de l'excès de demande d'euros
  • 300 à 500 milliards d'euros par an en ce moment
  • projets stimulant la croissance à long terme et sélectionnés au niveau européen, afin d'éviter la dérive vers le financement de transferts publics, de dépenses courantes
François Bertrand

Vision 2030 plan calls for welfare reform, long-term investment | Korea.net News - 0 views

  • Long-term investment for economic growth Long-term investment is necessary after the government lays the foundation for fiscal efficiency through welfare reform. We should not focus on short-term and stopgap financial steps for the vision -- instead we have to make long-term investments to realize it. For the sake of concurrent economic growth and welfare enhancement, Vision 2030 Korea calls for a long-term investment to expand the nation's growth momentum and raise people's quality of life. First of all, to expand growth momentum, more investment will be made in research and development, next-generation growth-engine projects, higher education and lifelong learning, and social service jobs. Then, investment in the welfare sector will be expanded to enhance the quality of life by meeting people's basic needs and narrowing the gap between the rich and poor. To that end, the government will introduce an Earned Income Tax Credit (EITC) system and Elderly Care Insurance and Housing Vouchers, while increasing investment in child-care services and after-school activities, health insurance and livelihood support for the poor. In addition, investment will be expanded on social infrastructure projects, military reform, efforts for national unification and active participation in the international community.
  •  
    Choi Jae-young. Vision 2030 plan calls for welfare reform, long-term investment. 2006. Korea.net : gateway to Korea. [On-line : 26/07/2008]. URL : .
Fred L

Stratégie nationale de recherche et d'innovation : une consultation par inter... - 0 views

  • Des universités autonomes
  • Le système français a cette particularité, qu'une partie de nos meilleurs étudiants ne va pas à l'université et qu'une partie de nos meilleurs chercheurs n'est pas à l'université. Tout l'objectif est de construire un système coopératif entre grandes écoles, universités et organismes de recherche, de renforcer un maillon qui était jusqu'à présent ni libre ni autonome, le maillon universitaire.
  • Faiblesse de l'innovation en France
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  • si nous sommes un grand pays de recherche, nous ne sommes pas dans le peloton de tête des pays d'innovation
  • C'est l'objet même du crédit impôt recherche. Cet outil très puissant, avec un taux d'aide triplé depuis début 2008 fait l'objet de nombreuses convoitises à l'international, depuis l'administration Obama jusqu'au gouvernement de Madame Merkel dont la commission d'experts pour la recherche et l'innovation conseille la création d'un tel outil fiscal outre-Rhin.
  • Du côté français, nous devons encore renforcer la recherche partenariale entre laboratoires publics et entreprises privées. De nombreuses incitations existent déjà comme les Instituts Carnot, les incubateurs d'entreprises, ou le doublement des dépenses de recherche partenariale dans le calcul du crédit impôt recherche
  • Nous devrons les évaluer et les faire évoluer si elles ne sont pas suffisamment incitatives.
  • Alors que l'Etat accompagne les entreprises avec des avantages fiscaux plus que conséquents, en particulier avec le remboursement anticipé du crédit impôt recherche annoncé dans le cadre du plan de relance qui va concerner neuf mille entreprises et 90% de PME, je souhaite vraiment que les entreprises s'engagent à maintenir leur effort de recherche et renforcent aussi leurs partenariats avec les établissements publics
  • les dépenses sous-traitées à un laboratoire public comptent double dans l'assiette du CIR
  • un dispositif spécifique pour les doctorants, « les doctorant-conseils», pour permettre à un doctorant d'effectuer des missions en entreprise et donc de familiariser l'entreprise avec les thématiques de sa thèse. C'est un bon dispositif pour permettre aux entreprises de tester la valeur d'un doctorant, et pour permettre au jeune chercheur de se familiariser avec d'autres horizons. 
  • La valorisation du doctorat est un enjeu majeur pour notre université, mais aussi pour notre pays, et pour le développement de la recherche privée.
  • Ils devront devenir davantage stratèges, et s'organiser autour d'une cohérence disciplinaire forte. Leur rôle sera conforté en tant qu'agence de moyens, apportant les concours  financiers et humains aux différents laboratoires, en particulier dans les universités.
  • Ils seront également opérateurs de recherche notamment dans le cadre de leurs unités propres ou pour la gestion des très grandes infrastructures de recherche qui leur incombe.
  • Coordinations inter-organismes et décloisonnement
  • 83 universités, 225 écoles, et 21 organismes de recherche
  • Ces consortiums et autres alliances permettront une meilleure coordination de notre effort national de recherche, et viendront alimenter la programmation thématique de l'ANR.
  • s'inscrire dans la « Vision 2020 » de l'espace européen de la recherche
  • programmation conjointe
  • Cet outil radicalement nouveau a justement vocation à coordonner les actions des différents Etats-membres sur des thématiques clés au regard des grands enjeux de demain
  • Rôle de l'Agence nationale de la recherche
  • confortée dans un rôle d'agence de financement pour des projets sélectionnés et évalués sur des critères d'excellence scientifique.
  • Il y a un an l'ANR consacrait 25% de ses budgets aux programmes blancs et 75% aux projets thématiques. Je crois que nous devons faire évoluer cet équilibre
  • Pour son volet thématique, l'ANR devra puiser dans les priorités de la stratégie nationale de recherche et d'innovation et s'appuyer sur les organismes de recherche qui doivent retrouver un rôle central dans cette programmation. 
  • C'est donc plus sur une démarche « bottom-up », que l'ANR devra maintenant fonder son activité avec environ 50% de projets thématiques et, 50 % de programmes blancs faisant émerger l'excellence et la créativité.
  • Ces programmes blancs devront sans doute être un minimum orientés par discipline de manière à en préserver certaines de la concurrence des autres. Je pense notamment aux sciences humaines et sociales qui devront à mon avis disposer de programmes blancs spécifiques. 
  • Simplification de la vie quotidienne des laboratoires
  • Les unités mixtes sont les briques élémentaires de notre système de recherche. C'est le lieu de la coopération entre les organismes et les universités, et dans certains cas avec les entreprises.
  • travailler au meilleur fonctionnement des unités mixtes de recherche.
  • simplification résolue de leur gestion. Vous savez qu'il y a 400 unités mixtes qui ont plus de quatre tutelles. C'est-à-dire quatre systèmes de contrôle de gestion, quatre systèmes de financement, quatre évaluations, quatre modes de gestion des ressources humaines.
  • simplifier la gestion de la propriété intellectuelle dans les unités mixtes de recherche.
  • A l'image de l'accord signé mardi dernier entre l'Institut Pasteur et l'Université Pierre et Marie Curie, je veux que l'on fixe un responsable unique pour la gestion des brevets dans les unités mixtes.
  • Pôles et campus
  • de véritables services uniques et communs de valorisation pourront être créés au sein des grands pôles universitaires
  • es pôles de recherche et d'enseignement supérieur se dotent de structures de valorisation conjointes
  • Ces services, véritables guichets uniques, proposeront au tissu industriel local des programmes de recherche partenariale, l'expertise des laboratoires qu'ils fédèrent, ou encore l'exploitation de brevets issus de la recherche publique
  • c'est avec une logique de site renforcée, comme à Toulouse, à Grenoble ou, bientôt, à Saclay, avec de véritables clusters d'excellence, associant enseignement, recherche fondamentale, innovation et entreprenariat, que nous pourrons attirer les meilleurs chercheurs internationaux et éviter que nos meilleurs chercheurs nationaux ne partent à l'étranger
  • Plan carrières
  • insi, les jeunes maîtres de conférences qui vont être recrutés l'année prochaine le seront avec des salaires entre 12 et 25% plus élevés qu'aujourd'hui. 
  • « plan carrières » inédit de 252 millions d'euros qui concerne tous les moments clefs des carrières
  • Le « plan carrières », c'est d'abord une harmonisation par le haut des carrières des enseignants-chercheurs et des chercheurs de façon à ce qu'il n'y ait plus de décalage injustifié.
  • des primes allant jusqu'à 15 000 € par an qui pourront être attribuées sur des critères d'excellence scientifique ou d'excellence pédagogique.
  • 20% des chercheurs  des organismes qui pourront prétendre à cette prime, si elle est attribuée à un taux moyen de 6 000 € par an
  • donner une visibilité sur l'emploi scientifique public pour les dix prochaines années, discipline par discipline
  • mener une analyse prospective de l'emploi scientifique à dix ans et permettre des recrutements qui ne soient pas des recrutements par à-coups
  • Il s'agit de pouvoir s'engager avec les organismes sur de vrais contrats d'objectifs et de moyens qui doivent être le cadre d'une relation de confiance entre l'Etat et les organismes.
  • supprimer le rapport semestriel qu'elle demandait aux laboratoires : ce sont 4 500 rapports supprimés !
  • continuer dans ce sens, et supprimer les nombreuses petites, mais à la longue tellement lourdes, surcharges administratives de vos laboratoires.
  • aucun document de référence disponible définissant les priorités à quatre ans, que sont les grands défis de la connaissance, les grands défis technologiques, et les grands défis sociétaux que la recherche doit nous permettre de relever
  • La cohérence d'ensemble était en réalité le fruit de la bonne volonté d'un certain nombre de professionnels plus que celle d'un cap clair, défini aussi bien pour nos chercheurs que pour nos partenaires internationaux.
  • C'est tout le contraire de l'action des gouvernements des autres grands pays de recherche et d'innovation comme le Japon, le Royaume-Uni, la Russie ou l'Allemagne, qui, chacun, ont rassemblé leurs grandes priorités de recherche dans un document stratégique. 
  • Vocation de la stratégie nationale
  • la référence pour fixer les priorités des organismes de recherche dans leurs contrats d'objectifs qui les lieront à l'Etat, et pour donner une légitimité nouvelle à la programmation de l'Agence nationale de la recherche.
  • construite sur le socle d'une vision académique solide, et préparée avec tous les acteurs de la recherche nationale et de l'innovation, publique et privée.
  • refuse les cloisonnements artificiels entre recherche fondamentale et recherche appliquée. La recherche est un continuum qui est une réponse globale aux enjeux de notre société pour demain.
  • Une démarche « bottom-up »
  • Sciences et société
  • Il est en effet essentiel d'associer ces porteurs d'enjeux à notre stratégie pour rapprocher la science et la société
  • ceux que l'on appelle maintenant les porteurs d'enjeux, c'est-à-dire les milieux associatifs qui représentent les diverses sensibilités de notre société. Ce sont aussi les représentants de l'Assemblée Nationale et du Sénat qui participent à ce projet
  • associations de protection de l'environnement
  • un certain nombre de nos concitoyens croient au progrès, d'autres s'en méfient. Il faut donc parvenir à bâtir des consensus sur le progrès scientifique.
  • es débats citoyens que nous avons lancés notamment dans le cadre du Grenelle de l'environnement doivent être toujours présents lorsque nous définissons des nouvelles priorités de recherche
  • Nous venons d'ailleurs de lancer un débat public sur les conditions de développement des nanotechnologies
  • Je souhaite qu'il ne puisse plus y avoir à l'avenir des malentendus et de l'irrationnel quand nous parlerons de nouvelles technologies ou de nouveaux champs de recherche. C'est pourquoi, il faut pouvoir intégrer en amont les inquiétudes sociétales fortes, et c'est aussi l'objet de la stratégie nationale de recherche et d'innovation.
  • es associations de promotion des sciences qui travaillent notamment pour que les vocations scientifiques se révèlent chez nos jeunes et que la relève soit assurée.
  • avec la stratégie nationale de recherche et d'innovation, nous allons pouvoir rendre publiques et donc visibles aux yeux de tous, y compris de nos grands partenaires mondiaux, les futures orientations de notre recherche.
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