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François Bertrand

R&d : L'Europe progresse, mais il s'agit de poursuivre les efforts - Itinera Institute - 0 views

  • R&d : L’Europe progresse, mais il s’agit de poursuivre les efforts
  • Selon l’édition 2008 du tableau de bord sur les investissements en R&D industrielle de la Commission européenne, avec 8,8%, les entreprises de l'UE affichent pour la première fois une croissance des investissements en R&D plus forte que leurs homologues américaines (8,6%). L’intensité de recherche, c'est-à-dire la dépense de R&D ramenée au chiffre d’affaire, reste néanmoins très supérieure aux Etats-Unis, où elle s’établit, en moyenne à 4,5% contre 2,7% en Europe. Par ailleurs, la R&D du secteur privé en Europe ne représente que 1% du produit intérieur brut, ce qui indiquerait qu’une part croissante des investissements en R&D des firmes européennes se fait hors de l’Union. On se rapproche des objectifs de Lisbonne, mais il s’agit de poursuivre les efforts pour espérer les atteindre.
François Bertrand

SERIWorld.org - 0 views

  • Despite these developments, however, what matters most for R&D is not quantity, but useful results
  • Since Korean companies experience similar obstacles, they will need to seriously evaluate Japan’s experience.
  • large Korean firms had invested a huge amount of money in R&D but had failed to make strategic connections between R&D investment and new business opportunities.
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  • In the early 1990s many companies’ R&D activities suffered chronic problems because R&D focused on individual projects rather than profitable directions for the company. Many of these projects were successful on an individual level, but failed to produce successful products.
  • The role of the Chief Technology Officer (CTO) has also expanded into what is now called a Chief Innovation Officer (CIO).
  • Korean companies will accordingly need to take stock of their current R&D activities and determine how they can affect their future. R&D, like any other activity, will ultimately need to support a company’s bottom line.
François Bertrand

OCDE Science, Technology and Industry Scoreboard 2007 : Highlights - 0 views

  • Investment in knowledge has grown at the same pace as GDP
  • In both Japan and the EU, R&D intensity (R&D expenditure relative to GDP) picked up in 2005 to 3.3% and 1.7%, respectively, following a drop in 2004. In the United States, R&D intensity declined from a peak of 2.7% in 2001 to 2.6% in 2006, mainly owing to stronger growth in GDP than in the other main regions. In 2005, China became the third R&D spender world wide (in purchasing power parity terms) after the United States and Japan, with growth of more than 18% a year in 2000-05.
  • Venture capital is a major source of funding for new technology-based firms and a decisive determinant of entrepreneurship and innovation. It represented about 0.12% of OECD-wide GDP in 2005, up from 0.10% in 2003. It was much higher in Nordic countries (and growing rapidly), but it still remains concentrated in the United Kingdom and the United States. In 2005, these two countries attracted half of all OECD venture capital.
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  • Innovation policies: increased focus on tax incentives and industry-university linkages
  • In 2006, 20 OECD countries offered tax relief for R&D compared to 12 in 1995
  • many OECD governments have encouraged universities to patent their inventions
  • While decreasing slightly, to about 7%, in the countries that pioneered such policies (Australia, Canada and the United States), the share has increased markedly in Japan and the European Union, notably in France and in Germany, although levels remain modest (1.5% in Japan, 3% in the EU, but more than 5% in France).
  • Co-operation between industry and public research institutions
  • The United States and Japan have a comparative advantage in biotechnology and nanotechnology patenting and in the relevant scientific fields, while the EU is the world leader in environment-related technologies (solid waste, renewable energy and motor vehicle abatement), with Germany playing a very active role. Japan is second to the EU in all three environmental technology fields. However, while patenting in renewable energy and motor vehicle abatement has been increasing rapidly since the mid-1990s, patenting in solid waste technologies has declined.
  • S&T and innovation performance: the rise of new players
  • In terms of specialisation, patent data show that emerging economies (India, China, Israel, Singapore) and the United States focus their innovative efforts on high-technology industries (computers, pharmaceuticals) while continental Europe concentrates on medium-high-technology industries (automobiles, chemicals).
  • Innovation surveys show that large firms have a greater tendency to innovate than small ones.
  • California and Tokyo are by far the most inventive regions in ICT and biotechnology
  • The United States has the most biotechnology firms (close to 2 200), followed by Japan and France (around 800 each). In most countries, biotechnology represents 2 to 6% of business R&D but the share is higher in the United States, Switzerland and Canada, and above all in some smaller countries where it exceeds 20% (Denmark, New Zealand, Iceland).
  • The Nordic countries (especially Finland) and Belgium are ahead of other countries
  • High- and medium-high-technology manufacturing accounts for significant shares of exports from Ireland, Japan and Switzerland (shares of over 75%) as well as from Germany, Hungary, Korea and the United States. Among the BRIICS (Brazil, Russia, India, Indonesia, China and South Africa), these industries' exports are most important in China and Brazil, accounting for 55 and 32%, respectively, of total exports of manufactured and primary products. Because of the globalisation of value chains, a economy such as China imports more high-technology goods than it exports; much of these imports are components that are assembled in Chinese factories.
  •  
    comparaison internationale pas mal de données sur des idées qui circulent
François Bertrand

dti, the R&D scoreboard 2006 - 0 views

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    the top 800 UK & 1250 global companies by R&D investment --- document cité par Denis Randet pour expliquer le rôle important que joue les grands groupes dans la R&D
Fred L

minefe.gouv.fr : Communiqués de presse Économie, finances - 0 views

  • 07 février 2008 - Discours d'Hervé Novelli : conférence de presse du 7 février 2008 - Le commerce extérieur de la France en 2007 et ses défis
  • Pour faire croître nos entreprises, nous avons : - levé les freins à leur développement : simplification, dématérialisation, suppression des effets de seuils, rescrit fiscal et social. - amélioré la structure financière des entreprises : réduction des délais de paiement, suivi des encours PME des banques, réduction d’ISF pour l’investissement dans les PME, développement des business-angels - obtenu la mise en place d’un Small Business Act européen, annoncée par M. Barroso en décembre dernier.
  • 3e partie : Diagnostic des faiblesses structurelles dont souffrent nos entreprises
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  • Première faiblesse  : Notre compétitivité-coût vis-à-vis des pays de l’OCDE s’est détériorée au cours des 5 dernières années. Cette dégradation est générale au sein des pays européens, sauf l’Allemagne.
  • Deuxième faiblesse : notre position en termes de dépenses de R&D est honorable certes, mais doit encore progresser, en particulier la R&D des entreprises. Ces progrès sont nécessaires pour améliorer notre productivité et notre croissance, mais aussi pour renforcer la présence française à l’international Les dépenses consacrées à la R&D rapportées au PIB s’élevaient en France en 2005, dernies chiffres disponibles, à près de 37 milliards d’euros, soit 2,13 % du PIB. L’effort de R&D de nos entreprises est clairement insuffisant (1,12 % du PIB), notamment en comparaison de l’Allemagne (1,68 %), les Etats-Unis (1,68 %) ou le Japon (2,53 %). En particulier, les dépenses consacrées à la R&D et à l’innovation dans nos PME est nettement en retrait.
  • Slide 18 : Troisième faiblesse , relative à la structure de notre tissu d’entreprises : Premier constat : le nombre d’entreprises exportatrices baisse. Après avoir crû continument jusqu’en 2001, le nombre d’entreprises exportatrices a sensiblement baissé ces dernières années. Il se stabilise depuis 2006 à environ 98 000 entreprises mais pourrait à nouveau baisser. Pour l’essentiel, les entreprises qui ont disparu sont des PME indépendantes, de petite taille et qui ne parviennent pas à pérenniser leur activité d’exportation. Deuxième constat : l’essentiel de nos exportations est réalisé par une très faible proportion de nos exportateurs. Il est symptomatique de constater que les 100 premières entreprises exportatrices représentent 40% de nos exportations, ou encore que 1% des quelque 100 000 entreprises exportatrices concentrent 70% de la valeur de nos exportations. Or l’on sait que la croissance de nos exportations repose sur les entreprises aptes à exporter de façon régulière.
  • la cause principale de cette fragilité réside dans le nombre insuffisant de nos entreprises moyennes. Nous manquons de PME suffisamment grosses et innovantes pour profiter à plein des marchés à l’exportation. La différence avec l’Allemagne est nette : le Mittelstand allemand est parfaitement adapté à la conquête des marchés à l’exportation, y compris quand ceux-ci sont lointains. Il nous faut bâtir un « Mittelstand à la française ».
  • Conclusion intermédiaire : Certes, notre problème d’exportation ne vient pas que des PME : les grands groupes exportent moins et c’est aussi une difficulté. Toutefois, la baisse de nos entreprises exportatrices doit appeler une réaction politique. Car des travaux récents du CEPII en France et de Bruegel au niveau européen montrent que ces problèmes de démographie des entreprises exportatrices sont importants : pour augmenter nos exportations, il est plus efficace d’essayer d’augmenter le nombre d’exportateurs que la valeur moyenne exportée par chaque entreprise.
  • J’y vois un encouragement à renforcer notre action et une justification aux mesures que je vais maintenant vous présenter.   4e partie : Une politique structurelle pour restaurer la compétitivité des entreprises françaises
  • Pour répondre à ces défis, nous avons décidé de nombreuses mesures structurelles.
  • Pour inciter nos entreprises à innover davantage, nous avons réformé le CIR en le triplant, fusionné OSEO et l’AII, lancé un audit des pôles de compétitivité afin de mieux les soutenir et adopté une loi-phare en matière de propriété industrielle. Nous avons mis en place l’autonomie des Universités.
  • Enfin, pour améliorer la compétitivité-coût de nos entreprises, nous avons entamé une réforme : - de la fiscalité (suppression de l’IFA, révision générale des prélèvements obligatoires - du coût du travail, par l’exonération des heures supplémentaires Nous avons enfin obtenu la mise en place d’un Small Business Act européen, annoncée par M. Barroso en décembre dernier et sur lequel j’ai récemment remis des propositions au Commissaire Verheugen. Je proposerai avec Christine Lagarde au printemps, au sein de la Loi de modernisation de l’économie, une série de mesures structurelles pour l’entrepreneur : transmission, financement, simplification…
  • 5e partie : Une mobilisation générale pour l’exportation
  • Slide 23 : deux grands principes animent ces 10 mesures j’ai souhaité tout d’abord que la France se hisse au niveau des meilleurs dispositifs d’aides européens. J’ai demandé une étude précise des dispositifs de nos concurrents allemand, italien, britannique, espagnol, voire même japonais sur certains aspects. J’en ai tiré des enseignements qui inspirent certaines de ces mesures. deuxième principe : recentrer nos efforts sur les PME et entreprises moyennes, dont l’analyse qui précède montre bien qu’elles doivent constituer le socle de nos exportations et de nos emplois.
  • Slide 24 : 1re mesure : nous réformons les procédures de la Coface en les simplifiant et en favorisant leur utilisation par les PME et les entreprises innovantes
  • Slide 27 : 4e mesure : nous mobilisons les grands groupes pour soutenir les PME à l’export. les grands groupes peuvent servir de tremplin à nos PME sur les marchés étrangers, de multiples façons, dès lors qu’ils peuvent y trouver un intérêt. J’ai perçu une réelle volonté de mobilisation de la part des dirigeants de grands groupes exportateurs que j’ai rencontrés et je réunirai donc les 15 premiers d’entre eux à Bercy le 3 mars pour prendre des engagements réciproques sur des objectifs de portage de PME.
  • 6e mesure  : Nous renforçons l’approche sectorielle, en lien avec les pôles de compétitivité. Les plans d’actions sectoriels ont connu un réel succès en termes de nombre d’opérations mais aussi par leur capacité à fédérer des actions collectives Nous en conservons le principe, mais je souhaite en renforcer le pilotage et lancer de nouveaux plans, dans d’autres secteurs : l’ingénierie, le ferroviaire, l’automobile, l’architecture, notamment, qui sont autant de secteurs porteurs à l’étranger et où le savoir-faire de nos entreprises n’est plus à démontrer.
Fred L

Construire un Espace Européen de la Recherche compétitif au service de la soc... - 0 views

  •  RAPPORT
  •  RAPPORT (pdf)
  • RAPPORT (pdf)
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  • Construire un Espace Européen de la Recherche compétitif au service de la société européenne décembre 2007
  • la suite de la publication du Livre Vert « l’Espace Européen de la recherche : nouvelles perspectives » du 4 avril 2007 qui « vise à lancer un vaste débat institutionnel et public en vue des initiatives pour 2008 », un travail de réflexion a été mené par le Centre d’analyse stratégique en liaison avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, afin de préparer la réponse nationale au Livre Vert. L’objet en est la construction de l’Espace Européen de la Recherche (EER) en tant que « pilier pour une société de la connaissance en Europe ».
  • « Un espace Européen de la Recherche compétitif au service de la société européenne », Jean-Louis Sangaré, Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, 8 octobre 2007
  •  Investir dans la recherche pour doper la croissance européenne », Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, Jean-Louis Sangaré, 4 septembre 2006 « Quels instruments de financements communautaires pour la recherche et l’innovation ? », Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, Jean-Louis Sangaré, 26 mars 2007 « (Internationalisation de la R&D des entreprises et attractivité de la France », Mohamed Harfi, Claude Mathieu et Etienne Pfister, Centre d’analyse stratégique, 25 mai 2007
  • Les trois principales recommandations de ce rapport : - Intégrer clairement dans le périmètre de l’EER à la fois la recherche publique et la recherche des entreprises ; - Construire une vision partagée de l’EER (orientations stratégiques, prospective et expertise, évaluation) pour définir avec l’ensemble des acteurs concernés, des objectifs et un pilotage communs ; - Favoriser en priorité l’excellence des chercheurs et leur mobilité ainsi que celle des autres acteurs essentiels de la RDI, dans et entre les secteurs public et privé.
  • Eléments bibliographiques
  • R&D et Innovation « Créer une Europe innovante », rapport du groupe d’experts indépendants sur la R&D et l’innovation, Esko Aho, janvier 2006 « Mettre le savoir en pratique : une stratégie d’innovation élargie pour l’UE », communication de la Commission européenne au Conseil, au Parlement européen, au Comité économique et social européen et au Comité des régions, COM(2006)502 final, 2006
  •  En bref
  • Chiffres clés « Chiffres clés 2007 pour la science, la technologie et l’innovation : vers un espace européen de la connaissance », Eurostat
  • Le partage des connaissances « Améliorer les transferts de connaissance entre les organismes de recherche et les entreprises à travers l’Europe : vers l’innovation ouverte », communication de la Commission européenne, COM(2007)182 et documents de travail des services SEC(2007)449, 4 avril 2007 : http://ec.europa.eu/invest-in-research/pdf/com2007182_fr.pdf
Fred L

Internationalisation de la R&D des entreprises et attractivité de la France -... - 0 views

  • DOCUMENT RESUMÉ
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  • DOCUMENT
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  • Internationalisation de la R&D des entreprises et attractivité de la France
  • juin 2007
  • Cette analyse appréhende l’importance et les caractéristiques du processus d’internationalisation de la recherche et développement (R&D) des entreprises. Elle mesure l’attractivité de la France en matière de R&D, comparée aux autres pays de l’OCDE.
  • RESUMÉ
François Bertrand

OECD : China is now a global R&D player, but needs further reform to foster domestic in... - 0 views

  • China spends as much as Germany on R&D, and accounts for a similar share in worldwide S&T publications
  • Yet China lags in innovation capability and performance compared to OECD countries with similar R&D investment
  • Foreign investment in R&D has grown very rapidly in recent years and plays a significant role in China’s national innovation system.
Fred L

Site de l'EIRMA / Pdf = the Future of innovation - 0 views

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    Home page de l'EIRMA Voir le PDF "The Future of innovation" qui est une compil des interviews des Directeurs R&D des grosses boites qui cotisent à l'EIRMA Confirme largement notre approche tout en la précisant Il serait par ailleurs intéressant de rencontrer le patron de la R&D d'IBM à ZURICH (exemple de reconversion réussi du Hard vers le Soft). Voir aussi les idées du représentant de NOKIA
Fred L

BRUEGEL.ORG - POLICY BRIEFS - 0 views

  • Policy Brief 2008/03 Europe's R&D: Missing the Wrong Targets? This Policy Brief address two challenges: First, Europe is failing to live up to the target set in the Lisbon agenda to increase public and private-funded investment in R&D to 3 percent of GDP. Can Europe catch up? Second, since countries have different industrial specialisations, do targets for business funded R&D investment make any economic sense? [download the report] THE AUTHOR Bruno van Pottelsberghe [meet Bruno] POLICY BRIEFS A Tail of Two Countries[read it] Europe's R&D: Missing the Wrong Targets?[read it] Is Structural Spending on Solid Foundations?[read it] Financing Europe's Fast Movers[read it] Why Europe is not Carbon Competitive[read it] Why Reform Europe's Universities?[read it] Is Europe Ready for a Major Banking Crisis?[read it] Global Imbalances: Time for Action[read it] A Better Globalisation Fund[read it] Global Governance: An Agenda for Europe[read it] A Primer on Innovation and Growth[read it] Single Market Trails Home Bias[read it] Farewell National Champions[read it] Welcome to Europe[read it] Last Exit to Lisbon[read it] The Euro: Only for the Agile[read it] Global Current Account Imbalances: How to Manage the Risk for Europe[read it] Globalisation and the Reform of European Social Models[read it] Bruegel Rue de la Charité 33 B-1210 Brussels Belgium +32 2 227 4210 info@bruegel.org
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    Document cité par Antoine MASSON MESR 19/6/8 Diagnostic intéressant et synthétique de la stratégie de Lisbonne
François Bertrand

Korean economy to run on new growth engines - 0 views

  • The New Growth Engines Initiative reported their plan to the president of Korea, Lee Myung-bak on Sept. 22.
  • the initiative has selected 22 projects in six areas - energy and environment, transportation systems, new information technology, new integrated industries, bio-industry and knowledge-based services.
  • However, the growth of the Korean economy has been relatively slow during the last decade because it is facing strong international challenges. Industry leaders are struggling to develop the new "Blue Ocean" in the years to come. Unemployment among the younger generation is serious, and the proportion of retirees has become bigger. Another challenge is the global warming and energy shortage problem.
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  • If the market can autonomously create new business, there is no need for the government to lead the industrial plan. In this regard, most developed countries support only R&D and development of human resources. However, this strategy is not always the best for developing countries, where the market does not have the capability of innovation. Even the United States is now experiencing the need of appropriate government control to secure the nearly collapsed financial sector and deeply depressed industries. At this stage, the Korean government has decided to motivate new industries which have good potential for growth, but may not grow unless the government intentionally nurtures R&D, cultivates initial-stage market growth, deregulates constraints and provides well-prepared human resources.
  • By Nam-pyo SuhPresident, Korea Advanced Institute of Science and Technology
  • The NGE Initiative is composed of 360 non-governmental experts from various industries, research institutions and universities.
  • Even though the R&D portion of 5 percent in government spending is one of the highest in the world, it is still less than one-tenth of the United States. So Korea has to select and concentrate on promising industries, considering what industries it is best at developing.
  • The 22 projects selected in six areas are as follows. 1) Energy and environment
  • Emission-free clean coal
  • how to remove the emission of carbon dioxide
  • Ocean-originated bio-fuel
  • Solar cells
  • Carbon sequestration and reuse
  • Fuel cell power generation
  • Nuclear power plant
  • Transportation systems
  • Green cars: The main enabler of a green car is the plug-in hybrid electrical vehicle which uses both batteries and a combustion engine. The electricity can be recharged at home. However, in Korea, most cars cannot be parked in personal spaces. Establishing public charging infrastructure is an additional challenge. The electricity for urban electrical vehicles may be supplied from underground wires without physical contact.
  • Shipbuilding and ocean systems
  • 3) New IT
  • mobile harbor technology
  • System semiconductors
  • Displays
  • Next-generation mobile telecommunications
  • LED lighting
  • RFID/USN: RFID and the Ubiquitous Sensor Network is a revolutionary instrument for next-generation logistics management. However, the chip price is still too expensive to justify its application. So government should apply the RFID/USN in the public sector to create the new standard and the market for mass production and cost reduction.
  • 4) New integrated industries
  • Robots
  • New materials and nanotechnology
  • IT-enabled products and processes: Korea is the leader in IT infrastructure.
  • 5) Bio-industry
  • Convergence of telecommunication and broadcasting:
  • 6) Knowledge-based services
  • Software
  • Healthcare:
  • Design:
  • Cultural contents
  • New medicine and medical equipment
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    Nam-pyo Suh
François Bertrand

Research and development in East Asia | Rising in the East | The Economist - 0 views

  • TO SEE the geography of the technology industry, crack open an Apple iPhone. Although the firm that sells it is American, it provides none of the physical innards. The components are almost entirely Asian: the screen is mostly from Japan, the flash memory from South Korea, and it was assembled in China. Apple’s contribution is the design and software—and, importantly, integrating the innovations of others.
  • The most impressive growth has been in South Korea. In 2007 Samsung spent more on R&D than IBM. The company has jumped to second place in the number of patents granted by America’s patent office (just behind IBM); a decade earlier it was not even in the top ten. South Korean firms spend more on R&D as a percentage of sales (6.5%) than European and Japanese firms (around 5%), and are catching up with American ones (about 8%). South Korea now has more high-tech researchers than Britain and Germany.
  • The starkest shifts are in computer services and manufacturing, where the roles of America and East Asia have diverged dramatically. The amount that American firms spend on research in computer services as much as trebled over the past decade. Japanese and South Korean firms, meanwhile, spend hardly anything developing services, and prefer to concentrate on more tangible, if less lucrative, hardware.
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  • Even the topology of the internet itself is looking less American. In 1999 around 90% of Asia’s international internet traffic passed through America; in 2008 the share dropped to 54%, according to TeleGeography, a telecoms-research firm. It is yet another example of how the technology industry, once dominated by America, is becoming truly global in nature.
François Bertrand

PWC : Pharma 2020 : virtual R&D, which path will you take - 0 views

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    Un document prospectif sur la R&D dans le domaine de la pharmacie
Fred L

IsraelValley | EDITO: EXCLUSIF FRANCE ISRAËL - QUESTIONS A DOMINIQUE. KLEIN -... - 0 views

  • Troisième question CCFI : la France et Israël se positionnent sur le créneau high-tech et innovation, y a-t-il une complémentarité suffisante entre les deux pays, comment mieux faire ? DK : Dans le domaine de la R&D des programmes bilatéraux existent depuis plusieurs années. Ils sont pilotés par OSEO du côté français et OCS (Office of Chief Scientist) institution équivalente du côté israélien. 6 à 8 projets sont retenus chaque année et aucun n’est refusé pour manque de crédits disponibles. Des équipes françaises et israéliennes coopèrent au sein de programme R&D lancés pas l’Union Européenne. En 2008, la Mission Economique a pris l’initiative de créer, dans le domaine des biotechnologies et en marge d’un grand salon international qui se tient annuellement en Israël : BioMed, des rencontres entre les 7 pôles de compétitivité français du domaine santé et des grandes universités israéliennes principalement représentées par leurs responsables de transfert de technologie. Cela étant, tout ceci reste modeste par rapport à ce qui est fait entre Israël et les Etats Unis (financement trois fois plus important en matière de R&D). Depuis longtemps les entreprises américaines sont à la recherche des capacités d’innovation qui existent dans les universités et les start ups israéliennes et les entreprises innovantes israéliennes s’intéressent au marché des USA (70 sociétés israéliennes cotées au NASDAQ contre 6 françaises !). Comme précédemment une plus grande présence des responsables de l’innovation français en Israël devrait conduire à des résultats sensiblement meilleurs. Propos recueillis pas Jacques Beer-Gabel, administrateur de la CCFI
Fred L

Free et Orange : l'innovation en débat - Les Numériques - 0 views

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    Innovation vs R&D, techno vs Services, Fourniture d'accès vs Fourniture de services
Fred L

La recherche partenariale au service de l'innovation dans les PME - 0 views

  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
  • Seule l’innovation ouverte est de nature à assurer à notre tissu industriel un avantage concurrentiel et à garantir les emplois d’aujourd’hui et de demain.
  • Pour répondre au mieux à ces enjeux économiques et sociétaux, l’Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie (ACFCI) et l’Association des instituts Carnot ont décidé d’unir leurs forces et leur action en faveur des PME/PMI.
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  • Grâce à la convention cadre, signée le 1er octobre entre les deux organismes, une série d’actions déclinables et adaptables au cas par cas au niveau local entre les partenaires de chaque réseau va s’engager au profit de la recherche partenariale entre laboratoires publics et PME/PMI.
  • Les partenaires se fixent comme objectifs de :promouvoir l’offre de recherche des instituts Carnot en assurant dans le réseau consulaire sa promotion auprès des PME et en relayant l’information sur leur offre de compétences au profit desentreprises (moyens de tests et d’essais, expertise, transfert de technologies...)valoriser les actions des C(R)CI : l’AiCarnot informera et sollicitera la participation des instituts Carnot aux actions et projets des C(R)CI dans les domaines de l’innovation, de la propriété industrielle, du montage de partenariats de recherche et du transfert de technologies,participer aux programmes européens de R&D. Pour ce qui concerne les C(R)CI, le Réseau « Enterprise Europe Network » d’appui à l’innovation permettra d’identifier les programmes les plus pertinents.
  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
François Bertrand

01net. - Le gouvernement investit dans le développement des nanotechnologies - 0 views

  • Car après l'inauguration des locaux du nouveau centre R & D de Yahoo! dans la capitale iséroise par la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, ce fut au tour du Premier ministre de visiter la région et plus particulièrement le pôle de compétitivité Minalogic.
  • En complément, le Premier ministre a également dévoilé l'intention de l'Etat de débloquer 565 millions d'euros supplémentaires pour la filière nano-électronique française. Des fonds qui iront pour les deux tiers à Grenoble pour le financement du programme industriel et de R & D soutenu par IBM et ST Microelectronics, Crolles 3. Un projet pour lequel les investissements privés devraient atteindre 2,5 milliards d'euros et déboucher sur la création de 650 emplois spécialisés, précise l'Associated Press.
  • Enfin, François Fillon a expliqué avoir donné consigne à la Caisse des dépôts et consignations (CDC) d'augmenter ses investissements dans les fonds de capital-risque avec un objectif revendiqué : permettre aux entreprises les plus innovantes de rester en France et de leur éviter de s'adosser pour des raisons financières à des groupes industriels étrangers.
Fred L

Elargir le crédit d'impôt recherche à toute l'innovation - SCIENCES ET TECHNO... - 0 views

  • dans l'esprit de nombreux patrons de petites et moyennes entreprises, la définition de la recherche est trop élitiste en France. Avec un écho récurrent : « Je ne serai aidé que si je développe une technologie. »
  • Comme le constate sur le terrain Mathieu Defresne, délégué innovation d'Oséo dans le réseau Nord-Pas-de-Calais :  « Pour les dirigeants de PME, l'innovation concerne d'abord Airbus ou les entreprises de biotechnologies, mais il y a aussi dans la région beaucoup de sociétés de mécanique, de textile ou d'agroalimentaire qui sont plus traditionnelles. »
  • « les difficultés à bien identifier les dépenses éligibles de la R&D poussent les sociétés à étendre le champ d'application à d'autres types d'activités innovantes, même si elles ne sont pas technologiques »
  • ...3 more annotations...
  • « Cette approche donne un effet booster sur la créativité sans se sentir limité. »
  • « Il y a aussi de la matière grise et de l'innovation dans le design et le service qu'il ne faut pas négliger »
  • « élargir les actions éligibles au CIR renforcerait cet instrument d'attractivité de notre territoire, qui a déjà ralenti le phénomène de délocalisation des centres de R&D »
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    Un CIR élargie pour une vision élargie de l'innovation
Marjolaine Grisard

ifri - 0 views

  • 04/03/2004 Conférence en partenariat avec l'Association Nationale de la Recherche Technique (ANRT). La recherche et l'innovation en Corée et les possibilités de partenariats technologiques avec des entreprises coréennes. La Corée, membre de l'OCDE depuis 1996, a gagné le pari du développement! Elle doit désormais affronter le défi de l'entrée dans l'économie du savoir et passer d'une croissance fondée sur l'imitation à une croissance tirée par l'innovation alors que la Chine émerge comme un concurrent redoutable. La Corée investit fortement en R&D et dans les infrastructures de l'économie numérique. Pays le plus connecté en haut débit, elle souhaite devenir un des premiers centres d'activités de R&D en Asie. Très désireuse de renforcer les coopérations scientifiques et technologiques internationales, elle offre des opportunités de partenariat intéressantes. Des obstacles demeurent cependant.
François Bertrand

CAS : Diagnostic stratégique France 2025 - 0 views

  •  
    Rapport du CAS - avril 2008 voir en particulier la partie "création, R&D et innovation" (fichier 3)
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