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Fred L

Construire un Espace Européen de la Recherche compétitif au service de la soc... - 0 views

  •  RAPPORT
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  • Construire un Espace Européen de la Recherche compétitif au service de la société européenne décembre 2007
  • la suite de la publication du Livre Vert « l’Espace Européen de la recherche : nouvelles perspectives » du 4 avril 2007 qui « vise à lancer un vaste débat institutionnel et public en vue des initiatives pour 2008 », un travail de réflexion a été mené par le Centre d’analyse stratégique en liaison avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, afin de préparer la réponse nationale au Livre Vert. L’objet en est la construction de l’Espace Européen de la Recherche (EER) en tant que « pilier pour une société de la connaissance en Europe ».
  • « Un espace Européen de la Recherche compétitif au service de la société européenne », Jean-Louis Sangaré, Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, 8 octobre 2007
  •  Investir dans la recherche pour doper la croissance européenne », Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, Jean-Louis Sangaré, 4 septembre 2006 « Quels instruments de financements communautaires pour la recherche et l’innovation ? », Note d’analyse du Centre d’analyse stratégique, Jean-Louis Sangaré, 26 mars 2007 « (Internationalisation de la R&D des entreprises et attractivité de la France », Mohamed Harfi, Claude Mathieu et Etienne Pfister, Centre d’analyse stratégique, 25 mai 2007
  • Les trois principales recommandations de ce rapport : - Intégrer clairement dans le périmètre de l’EER à la fois la recherche publique et la recherche des entreprises ; - Construire une vision partagée de l’EER (orientations stratégiques, prospective et expertise, évaluation) pour définir avec l’ensemble des acteurs concernés, des objectifs et un pilotage communs ; - Favoriser en priorité l’excellence des chercheurs et leur mobilité ainsi que celle des autres acteurs essentiels de la RDI, dans et entre les secteurs public et privé.
  • Eléments bibliographiques
  • R&D et Innovation « Créer une Europe innovante », rapport du groupe d’experts indépendants sur la R&D et l’innovation, Esko Aho, janvier 2006 « Mettre le savoir en pratique : une stratégie d’innovation élargie pour l’UE », communication de la Commission européenne au Conseil, au Parlement européen, au Comité économique et social européen et au Comité des régions, COM(2006)502 final, 2006
  •  En bref
  • Chiffres clés « Chiffres clés 2007 pour la science, la technologie et l’innovation : vers un espace européen de la connaissance », Eurostat
  • Le partage des connaissances « Améliorer les transferts de connaissance entre les organismes de recherche et les entreprises à travers l’Europe : vers l’innovation ouverte », communication de la Commission européenne, COM(2007)182 et documents de travail des services SEC(2007)449, 4 avril 2007 : http://ec.europa.eu/invest-in-research/pdf/com2007182_fr.pdf
François Bertrand

Retranscription de notre débat avec Robert Boyer (Autisme-Economie.org) - 0 views

  • Ce n’est donc pas dans le secteur marchand que les NTIC vont apporter un changement important. En revanche, d’importantes évolutions sont à attendre dans les administrations publiques qui, fondamentalement traitent de l’information et jusqu’à présent n’ont pas mis à profit le potentiel offert par les TIC.
    • François Bertrand
       
      Clair !
  • Au demeurant les modalités institutionnelles de réalisation de ce modèle ne sont pas claires ; l’alternative entre une marchandisation totale ou une mutualisation dépendra de la capacité des groupes sociaux à défendre un financement sur fonds publics et à ne pas céder à la croyance en l’efficacité absolue du marché, alors que pour la production des biens publics on connaît de longue date les limites de ce mécanisme. L’un des attraits de ce modèle est de pouvoir constituer un modèle universel de développement, avec comme principe fondateur l’accès aux biens premiers que sont l’école, la connaissance, la santé, comme le propose Amartya Sen. C’est un modèle de développement très différent du modèle dominant aujourd’hui, qui est fondé sur l’extension du libre-échange.
  • dans quelle mesure l’infrastructure technologique vous semble-t-elle déterminante, dans l’histoire économique ? en particulier, le développement aujourd’hui des nouvelles technologies vous semble-t-il porteur de gratuité et d’une subversion de la logique marchande traditionnelle ? (bref, quel regard portez-vous sur les théories du capitalisme cognitif ?)
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  • Le keynésianisme comme pratique, mais pas comme idéologie, n’est pas mort pour celles des économies qui ont les moyens de décider de façon autonome leur politique. Le problème de la France est que ses élites interprètent comme un dépérissement général de l’État sa perte d’efficacité et l’incapacité à le réformer. Alors que dans beaucoup d’autres pays, y compris en Europe bien sûr, comme au Danemark, en Suède, aux Pays-Bas, l’État joue un rôle déterminant dans la redistribution du revenu, la couverture sociale et le droit du travail, et plus généralement dans la renégociation des compromis institutionnalisés. Finalement, on peut dire que l’État est plus présent que jamais…à l’époque même d’un libéralisme encore triomphant.
  • Autrement dit, la technologie est fille des compromis institutionnalisés aboutissant, soit du rapport capital-travail (pour l’organisation du travail), soit des rapports de concurrence (pour les brevets). Bien sûr, une fois qu’une innovation est faite par une firme et dans un pays, elle se propage ensuite par le jeu de la concurrence à l’échelle nationale et internationale, mais elle ne conditionne jamais complètement les solutions adoptées.
  • On peut illustrer cette thèse par un exemple, en partant d’un titre issu de l’hebdomadaire The Economist : « l’Internet va faire advenir le marché parfait », par exemple parce qu’il permettra un mécanisme d’enchère en temps réel et surtout réduira les asymétries d’information. Or, si l’on étudie l’usage d’Internet aujourd’hui chez deux grandes firmes automobiles, Toyota et Ford, on constate qu’elles utilisent l’outil Internet dans des sens très différents, correspondant à des stratégies de profit contrastées (cf. Robert Boyer, Michel Freyssenet, 2000 « Les systèmes productifs », Repères, La découverte, Paris).
  • Toyota s’en sert pour faire le co-développement de ses nouveaux modèles en un temps deux fois plus faible que les constructeurs américains, grâce au développement simultané de la conception via l’Internet. Les gains correspondants sont partagés en fonction d’une règle négociée sur une période pluriannuelle.
  • Ford utilise, lui, l’Internet pour extraire tout le surplus de ses sous-traitants de premier rang, exacerbant la concurrence entre eux, puisque Internet lui permet de comparer en permanence les prix proposés par chacun. Autrement dit, Toyota l’utilise pour optimiser le temps de création de ses produits alors que Ford cherche à maximiser la rente qu’il extrait de ses sous-traitants, pour réduire au mieux les coûts de production.
  • partir de la même technologie, on aboutit ainsi à deux modèles productifs très différents, qui reposent chacun sur un principe d’efficacité différent. Contrairement à ce que l’on aurait pu attendre, ce n’est pas le modèle productif reposant sur l’optimisation du surplus (celui de Ford) qui s’avère le plus performant. Actuellement, Toyota réussit une meilleure combinaison du nouvel outil technologique que constitue l’Internet avec les rapports sociaux existants, c’est-à-dire un compromis salarial en vertu duquel on ne licencie pas les salariés, et le rapport de sous-traitance bâti sur le principe du donnant-donnant.
  • En conclusion, il apparaît clairement que la technologie est relativement neutre par rapport aux choix sociaux. Les travaux de Pascal Petit depuis trente ans sont très éclairants à ce sujet : l’hypothèse d’exogénéité de la technique, si commode pour la théorie néoclassique, n’est pas fondée et obscurcit les degrés de liberté ouverts aux choix organisationnels et de société.
  • Ainsi, les nouvelles technologies ne conduisent pas par elle-même à la gratuité et à la subversion de la logique marchande : encore faut-il que des acteurs s’en emparent pour faire prévaloir un tel modèle. Dès lors, c’est un discours en fait idéologique, qui présente comme inévitables les contraintes technologiques. Plusieurs solutions sont souvent envisageables face à la même pression concurrentielle.
    • François Bertrand
       
      Robert Boyer fait partie des économistes "hétérodoxes", tout comme Orléan et Amable dont je n'en finis pas de lire le bouquin. En général, ils ont des thèse qui concluent que les marchés ne sont pas efficaces sans une bonne dose d'institutions (je caricature un peu).
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    Réflexions de l'économiste Robert BOYER en 2004 sur le potentiel d'innovation que recèle la nouvelle économie, en marge d'une analyse retour sur la théorie de la régulation
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    Réflexions de l'économiste Robert BOYER en 2004 sur le potentiel d'innovation que recèle la nouvelle économie, en marge d'une analyse retour sur la théorie de la régulation
François Bertrand

SLR - L'Association finlandaise TUTKAS - 0 views

  • L’Association finlandaise TUTKAS a été fondée dans les années 70, constituée dès le départ de membres du Parlement et de scientifiques, avec l’objectif avéré de renforcer et de développer les contacts entre scientifiques et représentation nationale (députés). Les relations avec le Parlement, et les initiatives à entreprendre de concert ont donné lieu à différentes réunions, enquêtes et rapports dans les années 80. C’est en 1992 que le Parlement a adopté une proposition, à l’initiative de TUTKAS, d’inviter le gouvernement à publier, à chaque échéance électorale, càd. tous les 4 ans, un Rapport blanc sur l’avenir de la recherche en Finlande à chaque échéance électorale.
  • Suite à la présentation de ce 1er Rapport blanc en 1994, le Parlement finlandais crée son Comité pour le Futur.
  • TUTKAS a soutenu pas à pas les enquêtes destinées à ce rapport, de même qu’elle a inspiré, en tant que regroupement informel de scientifiques plus encore que comme association officielle, différentes initiatives concernant les relations entre Sciences, éducation et société.
Fred L

Remise du rapport de Christian Philip sur les partenariats Universités-Grande... - 0 views

  • Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, a reçu le rapport de Christian Philip, professeur à l'Université Lyon III, sur les partenariats à construire entre les universités et les Grandes Ecoles. Il propose de créer des classes préparatoires aux Grandes Ecoles dans les universités,  et d'accroitre les partenariats au sein des parcours (master, doctorat et recherche), en encourageant par exemple la co-diplomation. Afin de faciliter leur mise en place, le rapport préconise d'inscrire ces partenariats dans le cadre des Pôles de recherche et d'enseignement supérieur.
    • Fred L
       
      Déjà sur le blog avant sa parution officielle !
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    Il est sorti
Fred L

rapport CAS compétitivité entreprises françaises - Recherche Google - 0 views

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    Un rapport déjà ancien (1994) mais éléments théoriques sur la compétitivité et analyse de la diversité des entretreprises françaises intéressant
Fred L

Le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007 - 0 views

  • Le 26 septembre 2006, le Forum économique mondial (FEM) a diffusé le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007.(
  • Pour ce faire, les auteurs se servent de plus de 100indicateurs pour faire une évaluation détaillée des conditions économiques de 125 pays et ils classent ces derniers selon leur compétitivité.
  • Le présent document examine brièvement la méthode utilisée dans le rapport du FEM. Il présente ensuite certains des principaux résultats obtenus par le Canada pour ce qui est de la compétitivité globale et dans le domaine de la technicité des entreprises, de l’innovation et de l’infrastructure. Le document se termine par une brève évaluation schématique du classement établi par le FEM.
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  • L’ICM donne un aperçu des facteurs que le FEM considère comme les moteurs essentiels de la productivité et de la compétitivité, et il les regroupe en neuf piliers indépendants : Institutions Infrastructure Macroéconomie Santé et enseignement primaire Enseignement supérieur et formation Efficacité du marché Préparation technologique Technicité des entreprises Innovation
  • Afin d’évaluer la compétitivité de certains pays, le FEM utilise un «indice de compétitivité mondiale» (ICM) comme outil principal. (5) On calcule l’ICM pour 125 pays et celui-ci va de 2,5, niveau le plus bas (Angola), à 5,81, niveau le plus élevé (Suisse).
  • Les piliers sont organisés en trois sous-indices, chacun étant indispensable à un stade de développement particulier [d’un pays] : a) le sous-indice des exigences de base regroupe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur les facteurs (institutions, infrastructure, macroéconomie, santé et enseignement primaire); b) le sous-indice des optimiseurs d’efficacité englobe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’efficacité (enseignement supérieur et formation, efficacité du marché, préparation technologique); c) le sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité englobe tous les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’innovation (technicité des entreprises, innovation).(7)
  • Même si tous les pays sont classés en fonction de ces trois sous-indices, la méthode de l’ICM repose sur le principe selon lequel les «facteurs d’innovation et de technicité» ont une importance particulière pour l’évaluation des pays développés
  • Tableau 1 : Classement général selon l’ICM (10)
  • Pour ce qui est du sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité, le Canada se classe aussi au 16e rang (voir le tableau 2) et aussi derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 4; Japon, 1; Allemagne, 3; R.-U., 10; France, 13).
  • le Canada est devancé par des partenaires plus petits, mais apparemment plus concurrentiels (Suisse, 2; Suède, 5; Finlande, 6; Danemark, 7; Israël, 8; Taïwan, 9; Pays-Bas, 11; Belgique, 14; Singapour, 15).
  • Selon le rapport du FEM, le Canada occupe le 16e rang au classement général de l’ICM (voir le tableau 1), derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 6; Japon, 7; Allemagne, 8; R.-U., 10). Le Canada est aussi devancé par la Suisse (1), la Finlande (2), la Suède (3), le Danemark (4), Singapour (5), les Pays-Bas (9), la Norvège (12), Taïwan (13), l’Islande (14) et Israël (15). Toutefois, le Canada se classe mieux que d’autres économies importantes (France, 18;Australie, 19; Inde, 43; Chine, 54; Mexique, 58; Russie, 62; Brésil, 66). 
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    Mesure de la compétitivité : méthode du Forum Economique Mondiale (FEM)
François Bertrand

Syntec Informatique appelle à une politique industrielle du logiciel européen - 0 views

  • Reste qu’entre ces résistances dans la recherche publique et l’absence quasi totale de prise en considération de l’édition logicielle à destination des entreprises dans le plan numérique 2012 d’Eric Besson, secrétaire d’Etat à l’économie numérique, la France ne semble pas vraiment avoir pris la mesure des enjeux. Ce que confirme à demi mot Pascal Rialland, l’autre co-président du comité Editeurs de Syntec Informatique, selon qui « dans le rapport Numérique 2012 d’Eric Besson on a le sentiment d’une sous représentation de la valeur stratégique du logiciel ». Celui qui est également Directeur général de SAP en France regrette que « les propositions soient surtout orientées vers l’utilisateur final mais pas vraiment sur l’industrie. On oublie surtout les logiciels d’entreprise qui pourtant génèrent trois fois plus de chiffre d’affaires que le logiciel de jeux qui a la part belle dans le rapport. Un point d’autant plus important que ce déficit industriel se double d’un déficit dans les usage des entreprises de l’Hexagone par rapport à leurs concurrents à l’international ».
François Bertrand

2009/01/12 > BE Royaume-Uni 92 > Le Royaume-Uni publie le premier rapport ann... - 0 views

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    comme source d'inspiration : en général, les rapports britanniques sont bien écrits.
Fred L

Rapport d'innovation de courts circuits: les nouvelles utopies d'aujourd'hui ... - 0 views

  • Rapport d'innovation de courts circuits: les nouvelles utopies d'aujourd'hui
Fred L

Rapport_Ailleret.pdf (Objet application/pdf) - 0 views

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    Un rapport finalement très classique dans la forme
Micheline LIAGRE

rapport sachwald open innovation et politique publique.pdf - Google Documents - 0 views

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    ouvrage inéressant produit par Frédérique SACHWALD sur les réseaux mondiaux d'innovation ouverte et leurs rapports avec la politique publique
Fred L

Recherche et Droits d'Auteur - 0 views

  • Les chercheurs, individuellement, n'ont aucun poids devant les éditeurs, et toute forme de résistance individuelle risque de se payer à titre personnel par un nombre réduit de publications, et donc une carrière handicapée. La meilleure défense de leur droits serait donc que l'administration préserve l'intérêt public (comme le fait déjà l'administration U.S.) en limitant le droit des chercheurs à céder l'exclusivité de leurs publications. L'auteur a proposé à l'INRIA d'adopter la position suivante: «Les droits d'auteur des articles appartiennent aux auteurs. Cependant, la production d'articles scientifiques, de rapports de recherche et de rapports techniques est l'une des missions essentielles de l'INRIA. Par conséquent, l'INRIA se réserve le droit de diffuser les travaux effectués dans l'institut selon toutes modalités qu'il estimera utiles à l'accomplissement de ses missions.» Une telle rédaction n'enlève en fait aucun droit aux auteurs, mais leur permet de garder, au travers de leur institution, la libre disposition de leurs écrits indépendamment de toute pression extérieure. On peut espérer que, à terme, une telle politique encouragera une distribution électronique ouverte, et la continuation du libre accès aux rapports techniques de toutes les institutions scientifiques, accès que l'on voit plutôt se restreindre à l'heure actuelle sous la pression des éditeurs, au moins en ce qui concerne la forme numérisée qui devient prévalante.
François Bertrand

Les deux volets de la compétitivité - CONJONCTURE ECONOMIQUE POLITIQUE ECONOM... - 0 views

  • celui de la Commission pour la libération de la croissance française, présidée par Jacques Attali, et le rapport d'étape de la mission L'Europe dans la mondialisation, que Christine Lagarde et Xavier Bertrand m'ont chargé de conduire
  • Il n'en reste pas moins qu'en ce qui concerne la France, les analyses convergent. Une bonne part des prescriptions de la commission Attali - notamment celles portant sur l'éducation, l'enseignement supérieur, la recherche, l'innovation, la mobilité du capital humain, l'accompagnement social des mutations... - relèvent de la stratégie européenne lancée à Lisbonne en mars 2000.
  • Le rapport d'étape sur le prochain cycle 2008-2010 de la stratégie de Lisbonne qui vient d'être remis aux pouvoirs publics (www.minefe.gouv.fr) analyse ce retard français par rapport aux objectifs de Lisbonne et aux performances européennes, et recommande son rattrapage en sélectionnant quelques axes prioritaires de réforme plus amplement développés et complétés par la commission Attali.
François Bertrand

CAS : Diagnostic stratégique France 2025 - 0 views

  •  
    Rapport du CAS - avril 2008 voir en particulier la partie "création, R&D et innovation" (fichier 3)
François Bertrand

Une stratégie européenne pour la mondialisation - 0 views

  •  
    Rapport de la mission "l'Europe dans la mondialisation" Laurent Cohen-Tanugi avril 2008
Fred L

2008/05/23 > BE Japon 482 > Nouveau rapport disponible au téléchargement : "L... - 0 views

  • Nouveau rapport disponible au téléchargement : "La gouvernance de la recherche publique au Japon en 2008"
  • Les autorités japonaises ont fait dans les années 1990 le constat que la connaissance, et non plus le couple capital-travail, était devenue le moteur de la croissance de l'économie mondiale et que sa maîtrise était un facteur crucial de compétitivité. Elles se sont engagées, en partenariat avec le secteur privé, dans une course de longue haleine visant à faire de l'Archipel une grande puissance en matière de recherche et développement.
  • Les dépenses publiques et privées en R&D sont en croissance continue depuis 1994 et ont atteint 3,62% du PIB en 2006 (avec une répartition de 18% pour les dépenses publiques et 82% pour les dépenses privées) : c'est le troisième taux le plus élevé au monde (après la Suède et la Finlande), dans un pays qui représente la deuxième économie mondiale.
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  • Ce rapport rappelle brièvement l'organisation du système de recherche au Japon.
François Bertrand

Le rapport de François d'Aubert et la disparition de fait des établissements ... - 0 views

    • François Bertrand
       
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  • Quelle est la nouvelle conception du partenariat entre les organismes nationaux de recherche et les universités prétendument « autonomes » ? Le rapport de François d'Aubert
    • François Bertrand
       
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  • Voir aussi nos notes précédentes : «  Vers une délocalisation générale de la recherche scientifique française et européenne ?  » (11 mars 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  Création d'un Institut européen d'innovation et de technologie et casse programmée du CNRS français  » (12 mars 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  Délocalisations, recherche scientifique et propagande politique  » (13 mars 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  « Réforme » du CNRS et de l'INSERM, interdisciplinarité et perspectives de cloisonnement de la recherche française  » (29 mars 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  Les missions du CNRS et l'interview de Catherine Bréchignac du 2 avril  » (3 avril 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  L'interdisciplinarité du CNRS et l'interview de Catherine Bréchignac du 2 avril  » (7 avril 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  L’avenir du CNRS et la « réforme » de Sarkozy et Pécresse (I)  » (13 avril 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/...   Indépendance des Chercheurs  http://www.geocities.com/indep_chercheurs http://fr.blog.360.yahoo.com/indep_chercheurs http://science21.blogs.courrierinternational.com
    • François Bertrand
       
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  • Il ne semble pas qu'il ait été tenu compte des avertissements formulés dans l'article du 11 avril d'Albert Fert et Yves Laszlo quant aux dangers que comportent la stratégie de transfert pur et simple des moyens du CNRS et d'autres EPST vers les universités, et la surestimation des capacités potentielles de ces dernières. Bien au contraire, les recommandations de François d'Aubert vont dans le sens d'une accélération du processus. A terme, il s'agit également de privatiser les universités françaises, mais cette aventure risque d'ouvrir la voie à un rachat par des holdings financiers d'autres pays, voire même par des universités étrangères qui disposent de fonds propres suffisants.
François Bertrand

CONFIDENTIEL. Partenariats universités - grandes écoles : le pré-rapport Phil... - 0 views

  • Le pré-rapport, dans une version en date de la mi-septembre qu’Educpros s’est procurée, s’avère plutôt favorable aux universités.
  • expérimenter la création de classes préparatoires au sein de l’université
François Bertrand

SYMPA : le nouveau rapport sur l'allocation des moyens aux universités a été ... - 0 views

  • Le dispositif Sympa se donne ainsi pour objectifs de « restaurer une plus grande équité entre les universités » et d'« inciter ces dernières à davantage d'efficience dans l'utilisation des moyens ».
  • Distinguer le financement de la formation du financement de la recherche Ce rapport distingue, en premier lieu, le financement de la formation "qui jusqu'à présent ne faisait pas l'objet d'un financement qualitatif", du financement de la recherche "dont le financement s'inscrit d'ores et déjà dans un processus de performance» (contrairement à la dotation globale du dispositif San Remo) et prône une corrélation entre financement et performance.
  • Pour la formation, 90% du financement seraient ainsi alloués en fonction de l'activité et 10% des crédits de formation seraient évalués au titre de la performance, contre 3 % actuellement. En ce qui concerne la recherche, déjà financée à hauteur de 20% sur la base d'objectifs contractualisés, cette part pourrait être de 30% dès 2009, et à terme, atteindre 50%.
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  • Les critères de performance devraient également reposer sur les efforts des universités à garantir aux étudiants un « taux d’insertion professionnelle à six mois puis à trois ans » en considérant, entre autre, la poursuite d'étude. "Le niveau de salaire ou le statut de cadre" pourraient aussi faire parti de ces critères. Et c'est sur ces derniers points que le bas blesse puisque selon certains syndicats étudiants ces critères défavoriseraient particulièrement les universités de Sciences humaines, dont certaines se disent inquiètes quant à leur avenir.
  • Les premières estimations évaluent le coût du rééquilibrage entre 270 et 500 millions d'euros (hors coûts associés).
  • Accès direct au rapport: http://www.senat.fr/rap/r07-382/r07-382.html.
François Bertrand

OECD : Open Innovation in Global Networks - 0 views

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    Encore un bon rapport... Il rejoint sur pas mal de point nos observations
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