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gaviolig

Acteurs publics - 0 views

  • D’importants choix sociétaux devront être faits dans les années à venir. Pour aborder ce mouvement avec cohérence et de façon démocratique, nos dirigeants ne pourront plus appréhender le numérique par “silos”, sans se concerter avec les parties prenantes du secteur.
  • Cette concertation est justement un outil pour raccrocher les wagons, intégrer la nouvelle donne numérique dans nos législations et construire avec le plus de parties prenantes possibles des recommandations d’actions que le gouvernement pourra mobiliser à plusieurs niveaux.
  • L’utilisation des données devient un élément incontournable des stratégies des entreprises et de l’action publique. Une nouvelle culture se dessine et elle ne doit laisser personne à la marge.
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  • La démarche de coconstruction se matérialisera par des ateliers contributifs, comme nous en avons désormais l’habitude, et la plate-forme en ligne permettra d’assurer une synthèse multipartite : parlementaires, organisations professionnelles, syndicats, fédérations, start-up, entreprises, etc.
  • Mais les écosystèmes traditionnellement identifiés ne doivent pas être les seuls contributeurs, nous voulons éviter l’entre-soi. L’affaire Snowden a confirmé que le numérique est d’abord un enjeu citoyen. La plate-forme est justement là pour ouvrir le débat au grand public
  • Le Conseil a déjà impliqué plusieurs de leurs administrations, notamment la direction générale des entreprises (DGE, ex-DGCIS), la mission Etalab, en charge de l’ouverture des données publiques, la mission French Tech, ou encore la Cnil.
  • Sur la plate-forme que nous mettons en place et qui ouvrira le 4 octobre, les administrations pourront contribuer directement – en leur nom –, ce qui sera une première dans leurs pratiques et leur relation avec les citoyens.
  • Sur les sujets plus sociétaux, nous sommes en contact avec les ministères de l’Éducation nationale et de la Santé, ainsi qu’avec le ministère du Travail. Le ministère de la Justice sera mobilisé pour les volets “droits” et “libertés fondamentales” de la concertation
  • Les administrations doivent bénéficier de plus de flexibilité pour travailler avec des entreprises innovantes. Etalab pourra notamment consulter sur le projet de plan d’action français dans le cadre de l’Open Government Partnership et la transposition de la directive PSI [directive européenne du 26 juin 2013 sur la réutilisation des informations du secteur public, ndlr].
  • Le Conseil national du numérique espère que le futur projet de loi définira une neutralité du Net simple et effective. Elle est essentielle pour l’exercice de la liberté d’expression, l’accès à l’information et la liberté d’entreprendre. À l’ère des plates-formes, de nouveaux équilibres sont nécessaires entre les acteurs de la chaîne de valeur et envers les citoyens et leurs partenaires commerciaux.
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Services publics numériques : les cadres de la fonction publique adorent, sou... - 0 views

  • La DISIC a entamé dans ce sens un lourd chantier de refonte des SI pour qu’ils soient interopérables, intègrent la production et donc l’utilisation de la donnée en amont et soient ouverts, via des API, ce qui renvoie au 3ème point clé identifié, “la communication des données et l’interopérabilité des systèmes entre administrations”
  • Cette évolution illustre le second point clé, “les évolutions organisationnelles associées au déploiement du numérique”, en lien avec le 4ème, “la gestion des RH : formation, montée en compétence des agents”.
  • A contrario, la réussite passe un changement de posture par rapport à l’image traditionnelle de l’administration : les agents “souhaitent ainsi inscrire leur action dans une démarche de management agile, réactive et moins hiérarchisée, qui favorisera leur participation.”
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  • Dans le même sens, “deux domaines de compétences devraient être prioritairement internalisés : la conception et la gestion de projet d’une part, la production et la gestion de contenu d’autre part. (…) Plusieurs commentaires expliquent ainsi l’échec de certains programmes de transformation numérique par une externalisation de ces activités stratégiques.”
  • Dans le même temps, ces agents sont très réticents à associer davantage la société civile et les start-ups. Le “co-design” est pourtant une méthode innovante pour améliorer le service (public) produit, dans une logique “user-centré”, testée par exemple avec la V2 de data.gouv.
  • Une structure d’accueil pour des équipes en mode « agile » : prévue pour fin 2014, cette structure permettra d’accompagner des équipes de développement agile pour qu’ils imaginent, expérimentent et déploient, en cas de succès, de nouveaux services publics numériques.”
  • Les agents sont motivés principalement par deux raisons : “la satisfaction de participer à une administration plus performante” (66%) et “la possibilité d’être en phase avec les usages et les attentes des citoyens” (57%).
  • L’envie de “communiquer avec ses collègues par des plateformes de travail collaboratives” est aussi forte, 50%, une question qui sera abordée entre autres dans le cadre de la semaine de l’innovation publique, avec une conférence sur les réseaux sociaux d’entreprise, en l’occurrence d’administration.
  • La question de la performance économique trouve un autre écho dans les craintes suscitées par le numérique chez les agents publics puisque la réduction des effectifs arrivent en seconde position avec 51%, tout juste devant une appréhension plus paradoxale vu les attentes en terme de changement de management, celle de “devoir changer ses méthodes de travail” (57%). “La crainte d’une intensification du rythme de travail, d’un empiètement de la sphère professionnelle sur la vie privée et d’un manque de maîtrise des nouveaux outils numériques, fortement évoquée dans les commentaires, peut sans doute expliquer cette contradiction”, indique l’étude.
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    - Lagazette.fr, 7 nov 2014
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Savoirs CDI: L'open data : fiche synthétique - 1 views

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    "Les data visualisations Les data visualisations ne sont pas des données : elles sont des graphiques utilisant les données pour les « mettre en scène » et permettre leur interprétation. En cela, elles sont des créations dérivées basées sur les potentiels d'exploitation de données libérées. Les utilisations afférentes peuvent aller de la plus triviale (application cartographique sur smartphone pour repérer les boulangeries plus proches ou une place de parking) aux plus élaborées (outil d'aide à la décision en matière d'immobilier, par exemple). Exemples Carte interactive des collèges "tête de réseau" concernés par le réseau d'éducation prioritaire, 2014 KelQuartier.com permet aux utilisateurs de chercher, en fonction de leurs préférences, le quartier qui leur est le plus adapté. Ont été nécessaires : des données de l'Insee comme le découpage cartographique par quartiers, la densité de commerces et services par quartier et le secteur d'activité de ces commerces et services, par exemple. les données annuelles des chiffres de l'immobilier des notaires de France. des données sur les tracés de voirie et les tracés des lignes et arrêts des transports en commun. Jeux des données disponibles sur data.gouv.fr"
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Villes : de la connexion à l'intermodalité « InternetActu.net - 0 views

  • Evoquer les villes intelligentes, les villes durables ou les villes écologiques dessine à chaque fois une nouvelle palette d’avenir… et influe sur la manière dont elles sont conçues, construites et aménagées (le rapport est d’ailleurs le dernier d’une série de 4 : un autre s’intéresse à comment la ville est appelée à changer d’ici 50 ans, en explorant 4 scénarios : la ville de la haute technologie, la ville numérique, la ville vivable et la ville-forteresse ; un autre à l’évolution démographique des villes ; et le dernier à l’évolution architecturale des villes).
  • la ville intelligente ne peut pas être une installation clé en main, c’est-à-dire un ensemble de technologies qui, une fois déployées, fonctionneront de manière cohérente et uniforme (PlanIT prévoit même de développer son propre réseau social, indépendant de tous les réseaux sociaux existants), alors que les villes sont des produits culturels, économiques, politiques et sociaux spécifiques. Pour lui, l’individu doit être l’unité atomique des données urbaines,
  • l’enjeu repose sur le smartphone, le terminal ultime de la mobilité.
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  • En échouant à prendre une position de leader sur les applications de mobilité, les villes cèdent le terrain et les données à des entreprises privées qui ne défendent pas les mêmes intérêts qu’elles. Les conséquences ne portent pas que sur l’information de transport, estime Eric Goldwyn. Le résultat risque surtout de passer à côté d’une occasion d’améliorer le réseau de transport en le rendant plus homogène, plus unifié. Le risque est que le transport public se fragmente, que l’intermodalité, si célébrée demeure un voeu pieu, et que les villes perdent des informations précieuses sur le déplacement et donc sur l’amélioration potentielle du réseau. Eric Goldwyn fait référence aux cartes d’abonnement et aux tickets uniques qui ont beaucoup fait pour l’unification du système de transit de New York. Il suggère qu’une application intégrée permettrait à tous d’accéder bien plus simplement à un réseau de transport en commun bien plus vaste… Une application unique permettrait une meilleure gestion de l’ensemble du réseau, de mieux s’adapter aux évolutions du trafic, de mieux répondre à la demande.
  • “Les applications de transports telles qu’Uber montrent les possibilités, et elles sont grandes, mais maintenant, nous avons besoin que l’entrepreneuriat public intègre ces nouvelles technologies pour améliorer le transport public, et pas seulement le transport privé”
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Comment l'usager a changé ma fiche de poste (du droit à l'information au devo... - 0 views

  • comment et pourquoi, d’un droit à un devoir de communiquer, de l’information au dialogue, de la communication à la médiation
  • Pour communiquer, il faut mettre en relation. Pour que la relation soit juste, il faut partager l’information. Pour que l’information soit accessible, elle doit être ouverte à tous, de n’importe où, tout le temps […] Nous devons suivre un modèle sociétal où partage, transparence, interconnexion, dématérialisation et gestion durable, réseautage et interactivité sont devenus le socle du dialogue … »
  • Il y a encore quelques dizaines d’années, le communiquant public communiquait : il usait et abusait de tous les supports mis à sa disposition pour délivrer au mieux, à tous, l’information territoriale, actions et évènements, de façon unilatérale et descendante (forme contrainte par les aléas des supports papier, peu interactifs par essence vous en conviendrez).
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  • Il comprend qu’il a besoin de savoir plus pour dire plus.
  • Pour communiquer, il faut mettre en relation. Pour que la relation soit juste, il faut partager l’information. Pour que l’information soit accessible, elle doit être ouverte à tous, de n’importe où, tout le temps.
  • Dire médiation c’est faire (enfin) de la communication une mise en relation.
  • Pourtant lorsque je parle de médiation le premier frein vient de la perception du mot. « Médiation » s’entend comme aide au règlement d’un conflit. Même Larousse et Robert le disent. C’est pour dire, si je puis dire. C’est pourtant réduire le mot à un seul de ces usages et oublier son sens lorsqu’il est simplement mis au singulier :
  • Par le fait et par l’acceptation en interne que la communication sorte du cadre étriqué de la gestion des supports de communication et investisse de façon assumée le champ politico-social de la participation citoyenne. Et enfin, que la communication soit imbriquée dans la politique numérique et la gestion des systèmes d’information de la collectivité.
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Numérique et transformations du monde du travail : vers de nouveaux équilibre... - 1 views

  • Si les technologies de la relation sont au cœur de la crise du salariat et bouleversent en profondeur l’organisation du travail héritée de l’ère industrielle, elles ouvrent parallèlement la voie à la transformation des métiers et au développement de nouvelles formes de « faire ensemble » : en effet, ces technologies favorisent l’émergence de structures qui allient ancrage local et marchés globaux, ciblent des marchés de niche tout en reposant sur des communautés actives sur un plan mondial. De taille humaine, organisées en réseau, elles proposent des modes de fonctionnement plus collaboratifs. Au plan individuel, elles font évoluer la relation au travail, multipliant des expériences qui, dans la durée, prennent tendanciellement le pas sur les logiques de carrière.
  • Trois formes de coordination managériale se chevauchent désormais au sein des grandes entreprises : les coordinations réalisées par la hiérarchie, par le projet et en réseau. Cette hybridation perturbe les grilles de définition et d’évaluation des résultats (Mallard, 2011).
  • De la création des logiciels métiers au déploiement de l’email et de la messagerie instantanée, ces outils réclament une adaptation des salariés ; en effet, leur mauvaise maîtrise produit des effets pervers et contre-productifs, l’email en étant un exemple frappant (fragmentation des tâches, conduites compulsives, surcharge informationnelle, stress, etc.)
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  • Même si, lors de leur arrivée, les craintes liées à un usage extraprofessionnel trop important étaient fortes, on constate que les principaux usages de ces outils sont d’ordre professionnel :
  • Le nouvel environnement techno-économique a conduit à une évolution de la perception même du travail , bien que l'épanouissement dans le travail reste au centre de la construction identitaire.
  • En termes d’usages numériques, il est important de préciser que les jeunes ne représentent pas une catégorie homogène et que le discours courant sur les compétences numériques de ces « digital natives » qui importent de nouvelles pratiques dans l'entreprise ne reflète que partiellement la réalité. Un des leurres est justement d’extrapoler les compétences des étudiants qui sortent des grandes écoles sur l’ensemble de la population du même âge. Pour mieux comprendre les pratiques numériques des jeunes qui entrent sur le marché du travail, il convient de distinguer notamment les effets d’âge (la sociabilité qui décroît avec l’âge, par exemple) des effets générationnels (relatifs à de nouvelles pratiques culturelles numériques des jeunes, par exemple).
  • Parmi les pays européens, la France est celui où l’intérêt du travail est le plus marqué, mais elle est aussi le pays dans lequel les individus souhaitent qu’il prenne moins de place.
  • Il devient alors important de travailler la mise en place d’environnements susceptibles de redonner aux salariés la capacité de développer leur autonomie en situation de travail (développer leur savoir-faire, élargir leurs possibilités d’action), et, pour cela, en orchestrant des conditions organisationnelles, techniques et sociales
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    Le travail ne cesse de se réinventer sous le coup d'innovations technologiques radicales. Si l'on s'en tient au seul siècle dernier, l'apparition de la machine à vapeur à la fin du 19e siècle est à l'origine de l'ère industrielle, associée de formes et organisations totalement nouvelles de travail.
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Inuq.fr » Blog Archive » Quelques idées sur l'identité numérique et les terri... - 0 views

  • la dimension territoriale locale est peut-être justement celle où peut se sanctuariser le plus facilement la confiance entre l’usager et la collectivité, et faire vivre la relation citoyenne. D’abord parce que traditionnellement les gens font d’abord confiance à ceux qu’ils connaissent, leur famille, leurs voisins, et leurs institutions et leurs services publics proches. Ensuite parce que c’est l’échelon qui fait vivre l’identité au quotidien. C’est là que les gens vous connaissent. On sait que l’essentiel des accidents de circulation ont lieu dans un rayon de 20 km autour de chez soi.
  • 1- Il est primordial de s’assurer de l’intégrité de ces objets eux-mêmes tout au long de leur cycle de vie. Ce qui veut dire que les opérateurs doivent disposer d’infrastructures de gestion et de contrôle capables de référencer des millions d’objets et de traiter la donnée correspondante dans des conditions de transparence.
  • La collecte d’information indispensable pour la bonne gestion des réseaux de la collectivité envahit tout l’espace, dépasse le compteur et entre dans le maison, par les objets connectés. A qui appartient cette information? Quel moyen donne-t-on à l’usager de gérer finement les autorisations qu’il donne? Par exemple, quel contrôle réel ai-je actuellement sur les informations comportementales remontées par ma box? Que se passera-t-il lorsque ma box deviendra aussi le hub de gestion de divers objets connectés chez moi?
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  • zone floue où on ne sait plus trop ce qui est de la sphère privée et de la sphère publique
  • Nous avons tous un sentiment de malaise devant le modèle de contrôle social proposé par Google, Facebook, et les autres. Savez-vous que Facebook est en train de construire un datacenter de plusieurs centaines de milliers de m2 pour stocker les données accumulées?
  • Et pourtant, il est hors de question de s’isoler des réseaux
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Thierry Maillet : "Le numérique met fin à l'économie de la rente"Le nouvel Ec... - 0 views

  • La plateforme numérique est la réinvention de la place du marché du Moyen Age”.
  • Il pointe ainsi le “Big Data” qui menace potentiellement le libre arbitre des consommateurs
  • Ma conviction est que rien ne peut arrêter la technologie en marche et qu’il vaut mieux accompagner le mouvement plutôt que de chercher à le freiner.
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  • La technique numérique est 100 % américaine et quand elle ne l’est pas, les sociétés s’installent aux Etats-Unis, à l’instar de l’entreprise française Criteo qui est cotée à New York. Sans compter les adresses e-mail qui sont majoritairement aujourd’hui en Gmail. Une domination incroyable
  • Un site tel que Airbnb détermine la valeur de marché d’une nuit de couchage dans le monde entier. Agissant comme un formidable appel d’air, le numérique, en favorisant les rencontres entre l’offre et la demande, crée de nouveaux marchés, c’est sa force. Et derrière ces marchés créés, il y a de l’activité. Le covoiturage, l’hôtellerie à domicile, le prêt d’argent, etc. sont des exemples parmi d’autres. La place du marché numérique n’est que la réinvention du marché du Moyen Age ! Mais au passage, les places de marché bousculent l’existant. Et parfois, ce dernier n’arrive pas à suivre le mouvement. On ne compte pas le nombre d’organisations qui n’ont pas su prendre en charge par elles-mêmes les innovations dont elles connaissaient pourtant l’impact. Et qui ont disparu. Cette inertie est impressionnante. Le seul remède ? Etre en permanence réactif à son environnement.
  • La constitution de plateformes de marché, lieu de confrontation de l’offre et de la demande, est essentielle. Le numérique crée des marchés mais il peut aussi sauver des activités parce qu’il permet de retrouver des prix d’équilibre en luttant contre des phénomènes d’asymétrie d’informations.
  • La santé recèle à cet égard un potentiel d’économies considérable. Avec l’objet connecté attaché au corps humain, nous serons tous demain dans l’autoprévention des risques. Au point peut- être de devenir tous hypocondriaques ! Il y a là un gisement d’économies considérable pour l’assurance maladie et une possibilité de combler le trou de la Sécurité sociale.
  • Plus pernicieux est l’usage économique du big data en aiguillant l’individu via des logiciels de prédiction sur des consommations ciblées.
  • On est en train de lancer en France, l’association “Image & Digital” pour rapprocher les professionnels de l’image et du numérique. Ils ont tellement besoin les uns des autres ! Notre première action est la promotion d’une charte d’identification de la Méta Donnée.*
  • Le numérique modifie fondamentalement l’art d’enseigner qui devient un travail collaboratif. La relation du maître à l’élève n’est plus la même. Il n’est plus question de dicter le cours au tableau. Les élèves, chacun avec sa tablette et avec le professeur qui le guide, sont capables de trouver la solution au problème posé. Je prône 25 élèves par classe avec 25 tablettes. Et en route pour la pédagogie collaborative ! Mais le danger de laisser les adolescents seuls à passer tout leur temps sur les réseaux ne doit pas être sous-estimé
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Le numérique hors les bancs - Lagazette.fr - 0 views

  • La convention assigne quatre objectifs aux partenaires : “diffuser la culture numérique dans un cadre éducatif ouvert, en complément des actions d’enseignement et de pédagogie propres conduites par l’Education nationale ; favoriser l’accès des jeunes ruraux à la culture numérique et créer des dynamiques locales autour du numérique ; soutenir la mission de dynamisation des EPN conduite par la DUI et sa mission d’éducation au numérique ; favoriser l’émergence en milieu rural d’initiatives adossées aux nouvelles technologies.
  • Le texte insiste sur le “format ouvert et “hors programme” des sessions, menées “avec les élèves” : les communes s’organisent comme elles le souhaitent. Les animateurs pourront bénéficier de ressources en ligne et d’un accompagnement personnalisé, “notamment dans le cadre de la mise en place d’un MOOC spécificique.” Des animateurs qui ne seront pas uniquement issus des EPN.
  • “L’école forme dans un cadre théorique, avance encore Pierre Perez, secrétaire général de la DUI, cette formation est davantage orientée projet, pour des applications concrètes.” “L’école ne peut pas tout et le numérique n’est pas strictement un enjeu scolaire mais un enjeu culturel et de territoire”, poursuit encore Sébastien Côte, président de Mon Territoire Numérique.
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  • Les contours du financement de l’expérimentation  sont imprécis pour le moment : dans les attributions du comité de pilotage, on peut lire : “- discussion et proposition sur les moyens, notamment financiers, que souhaitent mettre en œuvre les Parties pour la mise en œuvre de la présente convention et des actions en découlant.” “Il n’y a pas d’enveloppe débloquée pour le moment, indique Pierre Pérez, la démarche est arrivée trop tard dans l’année, s’il y a un budget, ce sera début 2015, environ 15000 euros.” “Le coût par commune est nul et repose sur la mise à disposition gratuite de ressources (animateur EPN, ressources de l’An@é)”, indique Sébastien Côte. “
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Consommation collaborative : l'enjeu du financement et de la gouvernance « In... - 0 views

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    "La consommation collaborative recouvre des initiatives et projets divers ; elle propose des services pairs à pairs qui mettent en relation directement les individus entre eux, mais aussi d'autres dans lesquels les particuliers s'organisent pour la gestion de ressources communes. Les questions de la gouvernance et de la répartition de la valeur,… au sein de ces initiatives auraient pu rester non posées, mais les craintes de voir les grandes plateformes de la consommation collaborative concentrer toujours plus de valeur [1] sans que les usagers n'aient leur mot à dire amènent à s'interroger sur les modèles à l'oeuvre. Dans ce paysage collaboratif, les exemples d'initiatives plus modestes (proches de l'Economie sociale et solidaire (ESS), du type AMAP, SEL, mais aussi des supermarchés coopératifs…) ayant instauré un mode de fonctionnement coopératif ne manquent pas ; et si c'était dans ces principes de gouvernance, valeur, expérience… plus partagées que la consommation collaborative pouvait pleinement s'épanouir ?"
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Marine Le Pen en short dans une Google Car | Thierry Keller - 0 views

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    "Le plafond de verre technologique et générationnel Car, pour le moment, ça bloque à tous les étages. La superstructure est rétive. La plupart des politiques (on l'a vu), mais aussi des entreprises, bref le « système » dans son ensemble, freinent des quatre fers. Passe encore que ces gens ne sachent pas réserver un billet de train sur Internet (ça s'apprend), mais qu'ils s'arc-boutent sur des privilèges d'un autre âge, voilà qui est plus dangereux, tout simplement parce qu'ils sont en passe de nous entraîner tous dans leur chute. Alors que nous sommes un certain nombre à proposer des solutions, alors que ça bouillonne d'idées toutes plus audacieuses les unes que les autres, alors qu'une génération est prête à prendre le pouvoir et à l'exercer sans arrière-pensée pour le bien de tous, le vieux monde n'en veut pas. Il se crispe et fait ses courses en taxi aux frais de la princesse. Il continue à croire qu'un point de croissance va créer des emplois alors que c'est tout le système qu'il faut changer. Certains pensent même que l'enjeu numéro un dans ce pays, c'est de sauver le quinquennat. La bonne blague. Ce n'est pas le quinquennat qu'il faut sauver, c'est nos fesses. Et pour ça, deux issues: soit on prend la fuite à l'étranger, soit on reste et on continue à donner des coups de tête sur le plafond de verre en espérant qu'il cède avant l'arrivée des amis de Philippot"
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Le numérique attaque aussi la démocratie… et pas qu'à coups de tweets ! - 1 views

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    "AU-DELA DE LA RUPTURE TECHNOLOGIQUE   D'ailleurs dans l'introduction de son dernier rapport "Le numérique : jusqu'où réinventer les services publics ?" rédigé avec l'ENA et la DGAFP, (direction générale de l'administration et de la fonction publique), Eurogroup consulting prévient : "la révolution numérique va bien au-delà d'une simple rupture technologique. Elle facilite tout d'abord la régénération de l'espace publique et le renouvellement du débat démocratique, participe à la construction d'une véritable intelligence collective et tend à remplacer les hiérarchies pyramidales par une organisation en réseau.""
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Comment la génération Z va bouleverser vos organisations « Etourisme.info Eto... - 0 views

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    "L'an dernier, à Québec, les #FQ3 s'étaient intéressés à l'accueil et à la gestion de la relation clientèle (les compte-rendus sont disponibles ici). Cette année, en Wallonie, les délégations travaillent plus particulièrement à analyser l'impact du numérique sur les ressources humaines dans les organisations touristiques. Des impacts qui peuvent se faire sentir sur les métiers, sur l'organisation de la formation professionnelle, et bien évidemment sur le management. La première journée a permis de confronter les points de vue et les situations entre les 4 pays participants. Une chose est sure : il y a beaucoup de convergences dans l'évolution des organisations touristiques. Tout le monde s'accorde à dire que des modèles sont en train de changer fondamentalement notamment en terme de Ressources Humaines.  Il a notamment été question de l'arrivée de la génération Z dans les organismes de tourisme, ou les entreprises privées. Une génération qui est née à la fin des années 90 et qui arrive sur le marché du travail.   Ce sont des enfants nés avec le numérique. Ils sont quasiment mutants dans le sens où ces technologies sont devenues une véritable extension cérébrale et physique, où on apprend à manier un écran avant de savoir ce qu'est la lecture, comme le montre cette vidéo projetée hier par Paul Arseneault."
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Quand Facebook s'intéresse à l'éducation - 0 views

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    "En fait, l'idée est venue à Facebook après qu'il ait découvert les Summit Public Schools, un nouveau type d'école aux Etats-Unis qui utilise une toute nouvelle approche et qui obtient des résultats impressionnants. Ces écoles seraient classées parmi les meilleures en Californie. D'après le numéro un des réseaux sociaux, les résultats sont dus à l'approche utilisée par les Summit Public Schools. « Les cours et les évaluations sont fournis en ligne […], et les heures de cours sont réservés à des projets et des collaborations dans le monde réel qui sont dirigés par les enseignants. Deuxièmement, l'expérience d'apprentissage est complétement personnalisée pour l'étudiant et il peut avancer à son propre rythme », explique le numéro un des réseaux sociaux."
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Retour vers le futur : Email et RSE sont dans un bateau… et RSE tombe à l'eau - 0 views

  • Nous n’avons pas eu à réinventer un usage et nous avons pu faire mieux qu’avant » rappelle Marc Devillard qui active le convecteur temporel pour remonter bien avant 2011.
  • Sans doute s’agit-il d’abord d’une question de méthode et non d’outil. « Il y avait à mon sens deux façons de traiter cela. La première c’était d’aller voir les utilisateurs finaux et de comprendre ce qui expliquait cette infobésité. Puis, ensuite, de réfléchir à ce qu’il était possible d’inventer comme bon outil pour travailler à plusieurs. En partant du besoin des utilisateurs, il n’y a jamais eu besoin de coercition » assure Marc Devillard.
  • Des gens très intelligents vont encore réfléchir dans les grandes boîtes pour trouver comment rendre les utilisateurs heureux, mais ne réaliseront pas que la plupart d’entre eux sont déjà équipés de moyens collaboratifs, et pas ceux de la maison […] Les comportements collaboratifs existent déjà » martèle le patron de Motivation Factory.
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  • « La réalité c’est que le meilleur réseau social d’entreprise jusqu’à 50 personnes, c’est la machine à café. La difficulté apparaît de facto lorsqu’on a deux machines à café. A partir de là, la collaboration commence à ne plus trop bien fonctionner et il faut envisager de mettre en place un outil informatique pour pallier cette séparation physique ».
  • Et ensuite, une fois que le siège aura été forcé de constater que les usages sont déjà en place, on entrera dans une deuxième phase qui consistera à homogénéiser sans perdre trop de valeur » suggère notre expert.
Sophie Point

Le pouvoir d'agir du collectif, pour un mieux vivre ensemble | Le Club des El... - 1 views

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    Depuis quelques années, le concept d'innovation sociale est sur toutes les lèvres. Appropriée et investie par les différents acteurs publics et privés de notre société, l'innovation sociale est postulée comme un levier potentiel de solutions efficaces, justes et AlaUne_Article_AgirCollectivementdurables pour faire face aux différents maux sociaux, économiques et environnementaux que notre société rencontre. Pour autant, ce concept n'en reste pas moins flou, polysémique et jeune. A travers l'analyse d'un état de l'art de la littérature scientifique, nous vous proposons par cet article une mise en perspective critique des différents approches du concept d'innovation sociale.
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Le numérique réinvente la consommation culturelle - 0 views

  • l'économie culturelle numérique apparaît de plus en plus comme un vivier d'emplois et de créations d'entreprises ; et les pratiques de consommation culturelle évoluent rapidement, liées, entre autres, à un usage généralisé d'Internet et à l'explosion des ventes des objets connectés
  • En 2013, 59% des particuliers en France ont acheté des biens ou services en ligne, contre 47% dans l'Union européenne. Habitués aux services offerts dans leurs achats numériques, les consommateurs aspirent à des prestations comparables pour leurs expériences culturelles, selon une enquête consommateurs internationale menée par Kurt Salmon, pour le Forum d'Avignon entre avril et mai 2014.
  • Le ministère de la Culture lui-même pilote de nombreux projets multimédias et des applications innovantes, comme la géolocalisation des organismes culturels, l'Atlas des patrimoines ou le portail Histoire des arts, HdA-Lab. Les groupes technologiques français ne sont pas en reste : Thales et Dassault Systèmes investissent dans la culture numérique, tandis qu'Orange a signé un contrat avec le musée Soulages de Rodez, inauguré le 30 mai 2014, et reconduit son soutien au « musée numérique » d'Agen.
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  • En effet, selon l'enquête Kurt Salmon, 68% des personnes interrogées déclarent apprécier pouvoir donner un avis à l'issue d'une visite, et 65% déclarent apprécier de pouvoir partager leur expérience avec leur communauté ou leurs amis via les réseaux sociaux.
  • Un enjeu pour les collectivités locales
  • Erasme
  • Autre expérience collaborative fondée sur le libre-échange communautaire : l'Atlasmuseum, un processus d'inventaire fondé sur la contribution des professionnels, mais aussi du public, qui répertorie les oeuvres d'art publiques, les géolocalise et les documente au sein d'un atlas wiki, mettant à disposition un vaste outil d'inventaire et de documentation de l'art public.
  • Au final, les services déployés reflètent surtout l'apparition des nouveaux comportements de néocollectionneurs. La dématérialisation du marché de l'art va bouleverser certaines pratiques...
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La Déclaration de Lyon sur l'accès à l'information et le développement : Un d... - 0 views

  • Sur le terrain et au plan national, elle vise à soutenir les professionnels qui pourront décrire leur engagement et leur travail en matière d’informations communautaires, gouvernementales, d’alphabétisation, de services aux enfants, de TIC, etc. et à défendre le rôle crucial des services des bibliothèques pour le développement en faisant la promotion des principes de la Déclaration.
  • Elle plaide aussi en faveur d’une meilleure infrastructure en matière de technologie de l’information et de la communication pour que les avantages du développement puissent profiter à tous.  Sur cette base, la Déclaration pose :
  • la Déclaration n’est pas ancrée dans la réalité des défis actuels, elle parle d’un autre temps sans offrir un véritable projet adapté au monde des réseaux qui soit politiquement courageux, orienté sur le savoir, le partage, la créativité, les biens communs, l’innovation, tourné vers les citoyens et les communautés en action qui se ré-approprient leurs projets territoriaux en même temps que leur avenir avec les bibliothèques comme facilitatrices.
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  • Et si l’on faisait valoir que l’« information » est utilisée au sens technique désignant, d’une façon générique, le véhicule et le message, qui recouvre aussi bien les données, les codes, les contenus, les oeuvres, éditées, publiées ou non, les ressources, libres ou non, le domaine public, les biens communs, l’open access, etc. ? Seuls les spécialistes de l’information comprendront ce langage. Le parti pris pour l’« information », dans l’usage et pour les fins politiques qu’on lui destine, subira plutôt un effet de raccourci qui prêtera les services à ceux de fournisseurs d’informations gouvernementales/communautaires sans le reste, c’est-à-dire, la diversité des contenus, les oeuvres, les ressources, les biens communs informationnels, l’open access, etc., en réduisant la portée de la Déclaration.
gaviolig

Les enjeux juridiques de la transition numérique , Le Cercle - 0 views

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    Les Echos.fr, fév 2015
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    "Un accompagnement vers la transition numérique Depuis longtemps, le droit français reconnaît plusieurs modes de dématérialisation, comme la signature électronique, l'échange de données informatisées (EDI) et surtout la reconnaissance de l'écrit électronique, mais uniquement cela. Ce droit commun a de nombreuses déclinaisons. Sont bien vite venues des dispositions relatives à l'horodatage, la lettre recommandée électronique et les contrats conclus par voie électronique. Depuis 2005, c'est le secteur public qui s'est mis à accentuer fortement cette transition numérique en rendant obligatoire la dématérialisation. La dématérialisation en droit français tire son origine de la Directive européenne datant du 13 décembre 1999, avec pour objectif de faciliter l'utilisation des signatures électroniques, elle institue un premier cadre juridique certains services de certification afin de garantir le bon fonctionnement du marché intérieur. Mais la disparité des législations nationales nécessitait de standardiser et sécuriser la transition vers le numérique. Ainsi, le règlement sur l'identification électronique et les services de confiance pour les transactions électroniques au sein du marché intérieur du 23 juillet 2014 est entré en vigueur en septembre 2014. Certaines de ses dispositions ne seront applicables qu'à compter de juillet 2016 ou attendent des textes d'application, fixant des standards technologiques. Ce règlement fixe également le cadre européen commun pour la signature électronique, le cachet électronique, l'horodatage électronique, les services d'envoi recommandé électronique, l'authentification de sites internet et les services de confiance dans les transactions électroniques."
gaviolig

« Les jeunes lisent toujours, mais pas des livres » - 0 views

  • Le numérique aussi a changé notre façon de lire : les séquences de lecture des jeunes sont plus courtes, souvent liées à leurs échanges écrits sur Internet, et donc sont très liées à la sociabilité. Les choix de lecture se font en interaction avec les autres, de plus en plus par des recommandations des pairs. Or lire un livre est, par nature, une activité plutôt longue et solitaire. A l'ère du numérique, la façon dont les jeunes construisent leur approche culturelle ne va pas naturellement vers la lecture. Pourtant, certains jeunes, statistiquement plutôt les filles, se tournent de nouveau vers la lecture comme activité à contretemps et déconnectée, comme pour stopper le flux d'informations continu qui leur parvient.
  • Les 15-29 ans lisent des textos, Wikipédia, des blogs… Il y a bien des façons de lire. En réalité, on n'a jamais tant lu : des textes, des publicités, des articles, etc. Mais le goût pour la lecture de littérature baisse. Ces deux types de lectures sont différents. La lecture HTML est « additive », les liens et les articles se superposent les uns aux autres. Pour ne pas se perdre dans le flot d'informations, il faut construire une séquence de lecture. Il faut faire le tri, ne pas se perdre pour éviter la saturation informationnelle, le moment où l'on ne comprend plus rien à ce qu'on lit et où l'on tourne en rond. Ce sont des compétences très difficiles à acquérir.
  • Le smartphone est devenu le premier terminal culturel des adolescents et jeunes adultes. Les jeunes regardent toujours la télévision, mais sur leur ordinateur ou leur téléphone. Les blogs, forums et chaînes musicales remplacent les radios, qui s'écoutent en podcast. La presse également est consommée essentiellement sur Internet. Seuls les magazines spécialisés ou thématiques résistent à cette tendance, comme ceux consacrés au sport ou à un chanteur. Aujourd'hui, les premiers pourvoyeurs d'info sont les réseaux sociaux. Un adolescent que j'ai rencontré lors d'une enquête m'a dit, très justement : « S'il y avait la guerre, je l'apprendrais sur Facebook. »
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  • Comment réduire la fracture numérique d'un côté et la fracture générationnelle de l'autre ? Mettre dans les mains des plus jeunes les textes anciens qui transitent à travers les générations, mais aussi, dans l'autre sens, former les personnes âgées aux nouvelles technologies, cela permet de créer du commun, de créer du lien intergénérationnel. C'est là tout l'enjeu des nouvelles politiques culturelles.
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