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Home/ USAGES NUMERIQUES 63/ Group items tagged consommation

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Consommation collaborative : l'enjeu du financement et de la gouvernance « In... - 0 views

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    "La consommation collaborative recouvre des initiatives et projets divers ; elle propose des services pairs à pairs qui mettent en relation directement les individus entre eux, mais aussi d'autres dans lesquels les particuliers s'organisent pour la gestion de ressources communes. Les questions de la gouvernance et de la répartition de la valeur,… au sein de ces initiatives auraient pu rester non posées, mais les craintes de voir les grandes plateformes de la consommation collaborative concentrer toujours plus de valeur [1] sans que les usagers n'aient leur mot à dire amènent à s'interroger sur les modèles à l'oeuvre. Dans ce paysage collaboratif, les exemples d'initiatives plus modestes (proches de l'Economie sociale et solidaire (ESS), du type AMAP, SEL, mais aussi des supermarchés coopératifs…) ayant instauré un mode de fonctionnement coopératif ne manquent pas ; et si c'était dans ces principes de gouvernance, valeur, expérience… plus partagées que la consommation collaborative pouvait pleinement s'épanouir ?"
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Le numérique réinvente la consommation culturelle - 0 views

  • l'économie culturelle numérique apparaît de plus en plus comme un vivier d'emplois et de créations d'entreprises ; et les pratiques de consommation culturelle évoluent rapidement, liées, entre autres, à un usage généralisé d'Internet et à l'explosion des ventes des objets connectés
  • En 2013, 59% des particuliers en France ont acheté des biens ou services en ligne, contre 47% dans l'Union européenne. Habitués aux services offerts dans leurs achats numériques, les consommateurs aspirent à des prestations comparables pour leurs expériences culturelles, selon une enquête consommateurs internationale menée par Kurt Salmon, pour le Forum d'Avignon entre avril et mai 2014.
  • Le ministère de la Culture lui-même pilote de nombreux projets multimédias et des applications innovantes, comme la géolocalisation des organismes culturels, l'Atlas des patrimoines ou le portail Histoire des arts, HdA-Lab. Les groupes technologiques français ne sont pas en reste : Thales et Dassault Systèmes investissent dans la culture numérique, tandis qu'Orange a signé un contrat avec le musée Soulages de Rodez, inauguré le 30 mai 2014, et reconduit son soutien au « musée numérique » d'Agen.
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  • En effet, selon l'enquête Kurt Salmon, 68% des personnes interrogées déclarent apprécier pouvoir donner un avis à l'issue d'une visite, et 65% déclarent apprécier de pouvoir partager leur expérience avec leur communauté ou leurs amis via les réseaux sociaux.
  • Un enjeu pour les collectivités locales
  • Erasme
  • Autre expérience collaborative fondée sur le libre-échange communautaire : l'Atlasmuseum, un processus d'inventaire fondé sur la contribution des professionnels, mais aussi du public, qui répertorie les oeuvres d'art publiques, les géolocalise et les documente au sein d'un atlas wiki, mettant à disposition un vaste outil d'inventaire et de documentation de l'art public.
  • Au final, les services déployés reflètent surtout l'apparition des nouveaux comportements de néocollectionneurs. La dématérialisation du marché de l'art va bouleverser certaines pratiques...
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Les administrations devront réduire leur consommation de papier bureautique d... - 0 views

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    Je save quand même mais c'est vraiment en lien avec les usages. Moins de papier plus de sauvegarde donc plus de besoin de maîtriser les outils et d'adopter de nouvelles pratiques.
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Vers un numérique éco-responsable | efficaciTIC - 0 views

  • Le numérique recèle en effet un fort potentiel en terme d’économies d’énergie et de réduction d’émissions de CO2. Nombreux sont les secteurs d’activités qui ont vu ces dernières décennies leur structure évoluer vers des formes d’organisation moins énergivores grâce au numérique.
  • Que ce soit par la dématérialisation des échanges et des supports de communication, le télétravail ou plus récemment encore avec les smarts buildings et les smarts grids (1), les TIC (Technologies de l’Information et de la Communication) ont impulsé de nouvelles dynamiques en matière de performance environnementale. Mais quid de l’impact carbone des TIC en elles-mêmes ?
  • 13,5% de la consommation d’électricité en France et 5% des émissions de gaz à effet de serre nationales. L’expansion que connaissent les TIC entraîne à sa suite une augmentation de 10% (2) par an de la consommation électrique liée à l’activité, que ne viennent malheureusement pas compenser leur efficience énergétique en constante amélioration.
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  • Le matériel informatique est fabriqué essentiellement en Asie où la production d’électricité émet près de 10 fois plus de gaz à effet de serre qu’en France. La fabrication d’un ordinateur produit 70 fois plus de gaz à effet de serre que son utilisation pendant un an en France.
  • téléphones mobiles
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    "source Deloitte"
Documentation CD63

Consommer les données : usages, problèmes et réalités - 0 views

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    - RMLL - Web TV, juillet 2014
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Thierry Maillet : "Le numérique met fin à l'économie de la rente"Le nouvel Ec... - 0 views

  • La plateforme numérique est la réinvention de la place du marché du Moyen Age”.
  • Il pointe ainsi le “Big Data” qui menace potentiellement le libre arbitre des consommateurs
  • Ma conviction est que rien ne peut arrêter la technologie en marche et qu’il vaut mieux accompagner le mouvement plutôt que de chercher à le freiner.
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  • La technique numérique est 100 % américaine et quand elle ne l’est pas, les sociétés s’installent aux Etats-Unis, à l’instar de l’entreprise française Criteo qui est cotée à New York. Sans compter les adresses e-mail qui sont majoritairement aujourd’hui en Gmail. Une domination incroyable
  • Un site tel que Airbnb détermine la valeur de marché d’une nuit de couchage dans le monde entier. Agissant comme un formidable appel d’air, le numérique, en favorisant les rencontres entre l’offre et la demande, crée de nouveaux marchés, c’est sa force. Et derrière ces marchés créés, il y a de l’activité. Le covoiturage, l’hôtellerie à domicile, le prêt d’argent, etc. sont des exemples parmi d’autres. La place du marché numérique n’est que la réinvention du marché du Moyen Age ! Mais au passage, les places de marché bousculent l’existant. Et parfois, ce dernier n’arrive pas à suivre le mouvement. On ne compte pas le nombre d’organisations qui n’ont pas su prendre en charge par elles-mêmes les innovations dont elles connaissaient pourtant l’impact. Et qui ont disparu. Cette inertie est impressionnante. Le seul remède ? Etre en permanence réactif à son environnement.
  • La constitution de plateformes de marché, lieu de confrontation de l’offre et de la demande, est essentielle. Le numérique crée des marchés mais il peut aussi sauver des activités parce qu’il permet de retrouver des prix d’équilibre en luttant contre des phénomènes d’asymétrie d’informations.
  • La santé recèle à cet égard un potentiel d’économies considérable. Avec l’objet connecté attaché au corps humain, nous serons tous demain dans l’autoprévention des risques. Au point peut- être de devenir tous hypocondriaques ! Il y a là un gisement d’économies considérable pour l’assurance maladie et une possibilité de combler le trou de la Sécurité sociale.
  • Plus pernicieux est l’usage économique du big data en aiguillant l’individu via des logiciels de prédiction sur des consommations ciblées.
  • On est en train de lancer en France, l’association “Image & Digital” pour rapprocher les professionnels de l’image et du numérique. Ils ont tellement besoin les uns des autres ! Notre première action est la promotion d’une charte d’identification de la Méta Donnée.*
  • Le numérique modifie fondamentalement l’art d’enseigner qui devient un travail collaboratif. La relation du maître à l’élève n’est plus la même. Il n’est plus question de dicter le cours au tableau. Les élèves, chacun avec sa tablette et avec le professeur qui le guide, sont capables de trouver la solution au problème posé. Je prône 25 élèves par classe avec 25 tablettes. Et en route pour la pédagogie collaborative ! Mais le danger de laisser les adolescents seuls à passer tout leur temps sur les réseaux ne doit pas être sous-estimé
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Chers producteurs de données ouvertes, maintenant mangez les ! - 0 views

  • Il est encore difficile d’intégrer les données publiques ouvertes dans des services commerciaux tant la qualité et mise à jour des données laissent à désirer.
  • aujourd’hui l’open data représente une charge supplémentaire plutôt qu’une solution à leurs problèmes quotidiens. Lorsque les données deviennent obsolètes ou doivent être corrigées, quelqu’un doit prendre le temps de les corriger ou mettre à jour sur le circuit additionnel des données ouvertes. La vraie clé est de développer les incitations et faire en sorte que les plateformes open data soient les solutions internes. Ce qu’il manque aux administrations c’est de manger leurs propres données sur le modèle : Eat your own dogfood !
  • Si l’on veut continuer à voir les administrations françaises évoluer vers l’adaptation au contexte numérique, il va falloir qu’elles commencent à traiter les acteurs extérieurs comme les agents publics, avec le même souci d’efficacité, d’exigence qualitative et les mêmes interfaces.
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  • Quelques suggestions pour un pilote de Dogfood public Identifier les données les plus partagées entre services internes et organisations partenaires. Certaines sont probablement échangées par email, sous forme de bases de données ou parfois API sophistiqués. La méthode d’échange importe peu. Avec une équipe transversale d’agents mais également d’acteurs extérieurs réutilisateurs de données, prioriser les données pour l’ouverture. Travailler avec les agents pour créer les interfaces nécessaires à l’accès aux données. L’interface doit être conçue de manière à pouvoir être rendue publique. Lorsque les interfaces sont créées, annoncer que tous les échanges de données ne se feront plus que par ce biais. Garantissez l’accès ouvert à l’interface et à sa documentation
  • il va falloir commencer par consommer leurs propres données et donc considérer les plateformes open data comme le seul outil de circulation des flux, internes comme externes.
  • Le dogfooding (aussi appelé Eating your own dog food en anglais), traduit littéralement par « manger sa propre nourriture pour chien », est une expression désignant l’utilisation de ses propres produits et services afin de se confronter directement à ses qualités et défauts.
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     - Pratiques collaboratives, 1er oct 2014
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Influencia - Culture et numérique : une génération " e-perdue " ? - 1 views

  • Laissant leurs publics se débrouiller au risque de les insatisfaire.
  • En effet, le public exprime une ferme volonté de vivre son expérience culturelle déconnectée, refusant que l’on ressente à sa place et rejetant les distractions issues d’autres supports.
  • Et en moyenne 56% des consommateurs sont dans le même état d'esprit et ne veulent pas être "polluer"
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  • Ensuite, parce que les consommateurs sont « e-perdus ».
  • En effet, 65% souhaitent accéder à des contenus en ligne pour prolonger leur expérience mais seulement lorsqu’ils le désirent.
  • Preuve que le service n’est pas un rendez-vous ni la notion de qualité.
  • ils sont 48% à avoir du mal à identifier celles susceptibles de leur plaire
  • pas se contenter de son espace consommation ni renier ce que le numérique peut lui apporter. Mais plutôt s’inscrire dans la « Social culture » pour faciliter et offrir de façon systématique la possibilité de partager son expérience. Une fonction virale incontournable chez les moins de 25 ans pour lesquels une expérience culturelle est d’autant plus forte qu’elle est partagée. Une population en devenir et dont l'enthousiasme est à fidéliser!
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Les chiffres édifiants du surf sur internet : une pratique très très gourmand... - 0 views

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    | Archimag, 28 juillet 2014
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Une analyse critique de la "ville intelligente" - [Territoires à l'épreuve de... - 0 views

shared by gaviolig on 30 Aug 14 - No Cached
  • Avec l’individualisation et la personnalisation croissante du web 2.0, la ville intelligente peut être aussi caractérisée comme une ville centrée sur l’individu, avec une importance nouvelle prise par les déterminations sensorielles : « la ville sensuelle s’adresse tout particulièrement aux individus, ne serait-ce que parce qu’il faut les persuader de consommer. L’individu éduqué et talentueux est censé constituer le moteur de l’économie de la connaissance. Il conditionne par-dessus tout la possibilité d’un développement urbain durable. Ce dernier requiert en effet l’adhésion des individus qui doivent intérioriser les codes de conduite et les valeurs sur lesquelles reposent des pratiques comme le tri sélectif des ordures ménagères ».
  • Sans doute dans les centralités de la métropolisation « la ville sensible et sensuelle, la réalité augmentée et la géolocalisation enrichissent chaque mètre carré d’espace urbain, le dotant de nouvelles fonctionnalités et de significations inédites ». Mais, « plus qu’à une transformation de ces structures, c’est à leur réinterprétation que l’on assiste » estime l’auteur
  • C’est la conséquence de la multiplication des SIG (systèmes d’information géographique) « qui ne constituent toutefois que le versant institutionnel d’une production foisonnante ». Car cette dernière s’appuie surtout sur l’usage d’applications ouvertes (entre autres Google Maps).
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Les fermes numériques éclosent dans les campagnes françaises - 0 views

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    La Tribune.fr, 4 juillet 2014
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Utilisation des données de santé : faire au moins aussi bien que les supermar... - 0 views

  • L’objectif des producteurs et des vendeurs de biens de grande consommation est évidemment d’améliorer leur performance économique. Mais le soin minutieux qu’ils mettent à comprendre la vie complète de leurs produits ou services souligne à quel point les données qu’ils collectent sont précieuses. Par comparaison, laisser en jachère, interdire même, l’utilisation des données de santé encore beaucoup plus utiles, apparaît incompréhensible et scandaleux.
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     - iFRAP, 16 oct 2014
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