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Numérique et transformations du monde du travail : vers de nouveaux équilibre... - 1 views

  • Si les technologies de la relation sont au cœur de la crise du salariat et bouleversent en profondeur l’organisation du travail héritée de l’ère industrielle, elles ouvrent parallèlement la voie à la transformation des métiers et au développement de nouvelles formes de « faire ensemble » : en effet, ces technologies favorisent l’émergence de structures qui allient ancrage local et marchés globaux, ciblent des marchés de niche tout en reposant sur des communautés actives sur un plan mondial. De taille humaine, organisées en réseau, elles proposent des modes de fonctionnement plus collaboratifs. Au plan individuel, elles font évoluer la relation au travail, multipliant des expériences qui, dans la durée, prennent tendanciellement le pas sur les logiques de carrière.
  • Trois formes de coordination managériale se chevauchent désormais au sein des grandes entreprises : les coordinations réalisées par la hiérarchie, par le projet et en réseau. Cette hybridation perturbe les grilles de définition et d’évaluation des résultats (Mallard, 2011).
  • De la création des logiciels métiers au déploiement de l’email et de la messagerie instantanée, ces outils réclament une adaptation des salariés ; en effet, leur mauvaise maîtrise produit des effets pervers et contre-productifs, l’email en étant un exemple frappant (fragmentation des tâches, conduites compulsives, surcharge informationnelle, stress, etc.)
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  • Même si, lors de leur arrivée, les craintes liées à un usage extraprofessionnel trop important étaient fortes, on constate que les principaux usages de ces outils sont d’ordre professionnel :
  • Le nouvel environnement techno-économique a conduit à une évolution de la perception même du travail , bien que l'épanouissement dans le travail reste au centre de la construction identitaire.
  • En termes d’usages numériques, il est important de préciser que les jeunes ne représentent pas une catégorie homogène et que le discours courant sur les compétences numériques de ces « digital natives » qui importent de nouvelles pratiques dans l'entreprise ne reflète que partiellement la réalité. Un des leurres est justement d’extrapoler les compétences des étudiants qui sortent des grandes écoles sur l’ensemble de la population du même âge. Pour mieux comprendre les pratiques numériques des jeunes qui entrent sur le marché du travail, il convient de distinguer notamment les effets d’âge (la sociabilité qui décroît avec l’âge, par exemple) des effets générationnels (relatifs à de nouvelles pratiques culturelles numériques des jeunes, par exemple).
  • Parmi les pays européens, la France est celui où l’intérêt du travail est le plus marqué, mais elle est aussi le pays dans lequel les individus souhaitent qu’il prenne moins de place.
  • Il devient alors important de travailler la mise en place d’environnements susceptibles de redonner aux salariés la capacité de développer leur autonomie en situation de travail (développer leur savoir-faire, élargir leurs possibilités d’action), et, pour cela, en orchestrant des conditions organisationnelles, techniques et sociales
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    Le travail ne cesse de se réinventer sous le coup d'innovations technologiques radicales. Si l'on s'en tient au seul siècle dernier, l'apparition de la machine à vapeur à la fin du 19e siècle est à l'origine de l'ère industrielle, associée de formes et organisations totalement nouvelles de travail.
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Les collectivités investissent le financement participatif | Cap'Com - 0 views

  • Le financement participatif est un moyen de mobilisation locale mais aussi une source de financements complémentaires. Certaines collectivités créent leur propre dispositif pour contribuer à des projets locaux, d’autres utilisent des plateformes existantes pour financer leurs projets. Découvrons le crowdfunding dont la réussite dépend de la communication qui l’accompagne.
  • Le financement participatif commence à intéresser les collectivités locales. Ce mode de financement, connu aussi sous le terme anglo-saxon de crowdfunding, permettrait de soutenir, toutes initiatives confondues, plus de 60 000 projets et de récolter près de 150 millions d’euros par an.
  • En juin dernier, l’Autorité des marchés financiers et l’Autorité de contrôle prudentiel ont édité un guide du financement participatif en France. L’ordonnance 2014-559 publiée au Journal Officiel du 31 mai 2014 est venue conforter ce nouveau mode de financement en protégeant les épargnants.
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  • Mécanisme de financement innovant, il permet de récolter des fonds auprès d’un large public en vue de financer un projet via Internet. Il existe trois grandes catégories de plateformes de financement selon que celles-ci sont basées sur des dons, des prêts ou des investissements en fonds propres.
  • Un moyen de soutenir les porteurs de projets, d’animer le territoire et de renvoyer une image valorisante de la collectivité. Dès lors, la communication de la collectivité doit assurer la promotion du dispositif, faire connaître les projets et valoriser les résultats dus à l’investissement des habitants.
  • Le financement participatif se propage aussi dans le domaine de l’aménagement urbain. De nombreuses initiatives originales ont vu le jour à travers le monde. Le phénomène s’est développé en lien avec la crise économique, apparaissant comme un moyen de pallier le manque de financements publics.
  • Aider au financement d’initiatives locales en mobilisant les habitants
  • Le crowdfunding ouvre en effet des perspectives intéressantes même si les collectivités ne peuvent pas directement en profiter du fait des règles de la comptabilité publique.
  • Le financement participatif est possible dans le domaine du patrimoine où il s’apparente à une nouvelle forme de mécénat. Si les montants collectés restent modestes avec moins de 100 euros par don et environ 1 500 euros par projet en moyenne selon l’étude de Clic France, ce système permet de démocratiser le mécénat à un spectre beaucoup plus large de biens culturels
  • Faire financer les projets de la collectivité par les habitants
  • Les collectivités peuvent s’appuyer sur les plates-formes dédiées aux projets urbains qui existent dans leur pays, à l’image d’Urbankit au Chili ou de Spacehive au Royaume-Uni. Mais c’est souvent sur les plates- formes traditionnelles que se retrouvent les projets urbains.
  • Bien évidemment, l’implication des citoyens dans le financement d’un projet ne fonctionne que si la collectivité sait mobiliser sa communication. D’autant plus que la finalité de l’appel à la foule n’est pas seulement de trouver des financements complémentaires, mais c’est aussi de valoriser le dynamisme du territoire.
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Services publics numériques : les cadres de la fonction publique adorent, sou... - 0 views

  • La DISIC a entamé dans ce sens un lourd chantier de refonte des SI pour qu’ils soient interopérables, intègrent la production et donc l’utilisation de la donnée en amont et soient ouverts, via des API, ce qui renvoie au 3ème point clé identifié, “la communication des données et l’interopérabilité des systèmes entre administrations”
  • Cette évolution illustre le second point clé, “les évolutions organisationnelles associées au déploiement du numérique”, en lien avec le 4ème, “la gestion des RH : formation, montée en compétence des agents”.
  • A contrario, la réussite passe un changement de posture par rapport à l’image traditionnelle de l’administration : les agents “souhaitent ainsi inscrire leur action dans une démarche de management agile, réactive et moins hiérarchisée, qui favorisera leur participation.”
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  • Dans le même sens, “deux domaines de compétences devraient être prioritairement internalisés : la conception et la gestion de projet d’une part, la production et la gestion de contenu d’autre part. (…) Plusieurs commentaires expliquent ainsi l’échec de certains programmes de transformation numérique par une externalisation de ces activités stratégiques.”
  • Dans le même temps, ces agents sont très réticents à associer davantage la société civile et les start-ups. Le “co-design” est pourtant une méthode innovante pour améliorer le service (public) produit, dans une logique “user-centré”, testée par exemple avec la V2 de data.gouv.
  • Une structure d’accueil pour des équipes en mode « agile » : prévue pour fin 2014, cette structure permettra d’accompagner des équipes de développement agile pour qu’ils imaginent, expérimentent et déploient, en cas de succès, de nouveaux services publics numériques.”
  • Les agents sont motivés principalement par deux raisons : “la satisfaction de participer à une administration plus performante” (66%) et “la possibilité d’être en phase avec les usages et les attentes des citoyens” (57%).
  • L’envie de “communiquer avec ses collègues par des plateformes de travail collaboratives” est aussi forte, 50%, une question qui sera abordée entre autres dans le cadre de la semaine de l’innovation publique, avec une conférence sur les réseaux sociaux d’entreprise, en l’occurrence d’administration.
  • La question de la performance économique trouve un autre écho dans les craintes suscitées par le numérique chez les agents publics puisque la réduction des effectifs arrivent en seconde position avec 51%, tout juste devant une appréhension plus paradoxale vu les attentes en terme de changement de management, celle de “devoir changer ses méthodes de travail” (57%). “La crainte d’une intensification du rythme de travail, d’un empiètement de la sphère professionnelle sur la vie privée et d’un manque de maîtrise des nouveaux outils numériques, fortement évoquée dans les commentaires, peut sans doute expliquer cette contradiction”, indique l’étude.
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    - Lagazette.fr, 7 nov 2014
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Savoirs CDI: L'open data : fiche synthétique - 1 views

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    "Les data visualisations Les data visualisations ne sont pas des données : elles sont des graphiques utilisant les données pour les « mettre en scène » et permettre leur interprétation. En cela, elles sont des créations dérivées basées sur les potentiels d'exploitation de données libérées. Les utilisations afférentes peuvent aller de la plus triviale (application cartographique sur smartphone pour repérer les boulangeries plus proches ou une place de parking) aux plus élaborées (outil d'aide à la décision en matière d'immobilier, par exemple). Exemples Carte interactive des collèges "tête de réseau" concernés par le réseau d'éducation prioritaire, 2014 KelQuartier.com permet aux utilisateurs de chercher, en fonction de leurs préférences, le quartier qui leur est le plus adapté. Ont été nécessaires : des données de l'Insee comme le découpage cartographique par quartiers, la densité de commerces et services par quartier et le secteur d'activité de ces commerces et services, par exemple. les données annuelles des chiffres de l'immobilier des notaires de France. des données sur les tracés de voirie et les tracés des lignes et arrêts des transports en commun. Jeux des données disponibles sur data.gouv.fr"
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Les enjeux juridiques de la transition numérique , Le Cercle - 0 views

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    Les Echos.fr, fév 2015
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    "Un accompagnement vers la transition numérique Depuis longtemps, le droit français reconnaît plusieurs modes de dématérialisation, comme la signature électronique, l'échange de données informatisées (EDI) et surtout la reconnaissance de l'écrit électronique, mais uniquement cela. Ce droit commun a de nombreuses déclinaisons. Sont bien vite venues des dispositions relatives à l'horodatage, la lettre recommandée électronique et les contrats conclus par voie électronique. Depuis 2005, c'est le secteur public qui s'est mis à accentuer fortement cette transition numérique en rendant obligatoire la dématérialisation. La dématérialisation en droit français tire son origine de la Directive européenne datant du 13 décembre 1999, avec pour objectif de faciliter l'utilisation des signatures électroniques, elle institue un premier cadre juridique certains services de certification afin de garantir le bon fonctionnement du marché intérieur. Mais la disparité des législations nationales nécessitait de standardiser et sécuriser la transition vers le numérique. Ainsi, le règlement sur l'identification électronique et les services de confiance pour les transactions électroniques au sein du marché intérieur du 23 juillet 2014 est entré en vigueur en septembre 2014. Certaines de ses dispositions ne seront applicables qu'à compter de juillet 2016 ou attendent des textes d'application, fixant des standards technologiques. Ce règlement fixe également le cadre européen commun pour la signature électronique, le cachet électronique, l'horodatage électronique, les services d'envoi recommandé électronique, l'authentification de sites internet et les services de confiance dans les transactions électroniques."
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Ville intelligente cherche maire intelligentLe nouvel Economiste - 0 views

  • L’intelligence, avant toute chose, serait certainement de capitaliser sur ces multiples expériences afin de tirer les leçons des plus probantes comme des échecs cuisants, pour ensuite adapter des “modèles” reproductibles et adaptables. Les succès épars ne font pas une synthèse véritablement riche de sens. Or c’est pourtant bien là que se niche l’ambition ultime au service des citoyens. Comme l’explique l’un des rares pionniers dans ce domaine, André Santini, maire d’Issy-les-Moulineaux : “Il serait utile de disposer d’un “guichet” national qui conseillerait les collectivités locales sur les meilleures pratiques en la matière, en France comme à l’étranger.” Le grand observatoire capitalisant les expérimentations se fait attendre.
  • L’étape suivante passe par la coordination, le partage transversal de données, donc un certain œcuménisme technologique réclamant de la part des acteurs concernés un sens poussé du coopératif, mais surtout un chef d’orchestre en charge de faire régner l’harmonie parmi ces instrumentistes que sont les métiers de l’eau, de la sécurité, des transports, de l’énergie, de l’assainissement, etc. Ce qui nécessite à coup sûr une savante compréhension des high-tech qui ne figure pas toujours dans l’alphabet des élus, mais plus encore le sens de l’intérêt général afin de piloter des arbitrages délicats.
  • Partout, les mêmes objectifs : diminuer les dépenses, optimiser les utilisations, améliorer la qualité de vie des habitants en proposant de meilleurs services.
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  • La valeur, donc les économies comme l’efficience de ces organisations complexes, viendra essentiellement de la capacité à faire travailler ensemble des métiers “verticaux” qui jusqu’à présent s’ignoraient superbement : ceux de la sécurité, de la distribution des eaux, de l’énergie, et des différents acteurs du transport. Autant de “briques” désormais si smart pour construire les métropôles vivables de demain grâce à de multple co-constructions.
  • désiloter” des organisations structurées par grands métiers verticaux…
  • l’intelligence collective et la création coopérative peuvent être organisées et amplifiées à l’aide de la technologie. C’est cette intelligence humaine collective, couplée à l’intelligence technologique, qui permettra d’inventer la ville de demain.
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Marine Le Pen en short dans une Google Car | Thierry Keller - 0 views

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    "Le plafond de verre technologique et générationnel Car, pour le moment, ça bloque à tous les étages. La superstructure est rétive. La plupart des politiques (on l'a vu), mais aussi des entreprises, bref le « système » dans son ensemble, freinent des quatre fers. Passe encore que ces gens ne sachent pas réserver un billet de train sur Internet (ça s'apprend), mais qu'ils s'arc-boutent sur des privilèges d'un autre âge, voilà qui est plus dangereux, tout simplement parce qu'ils sont en passe de nous entraîner tous dans leur chute. Alors que nous sommes un certain nombre à proposer des solutions, alors que ça bouillonne d'idées toutes plus audacieuses les unes que les autres, alors qu'une génération est prête à prendre le pouvoir et à l'exercer sans arrière-pensée pour le bien de tous, le vieux monde n'en veut pas. Il se crispe et fait ses courses en taxi aux frais de la princesse. Il continue à croire qu'un point de croissance va créer des emplois alors que c'est tout le système qu'il faut changer. Certains pensent même que l'enjeu numéro un dans ce pays, c'est de sauver le quinquennat. La bonne blague. Ce n'est pas le quinquennat qu'il faut sauver, c'est nos fesses. Et pour ça, deux issues: soit on prend la fuite à l'étranger, soit on reste et on continue à donner des coups de tête sur le plafond de verre en espérant qu'il cède avant l'arrivée des amis de Philippot"
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Open Data : Météo-France ouvre ses modèles atmosphériques - Next INpact - 0 views

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    "téo-France a ouvert la semaine dernière de précieux jeux de données météorologiques, attendus de longue date par la communauté. L'occasion pour Next INpact d'interroger l'établissement public sur sa stratégie d'Open Data. C'est une ouverture qui laissera dubitatifs certains « puristes » de l'Open Data, mais qui contentera vraisemblablement de nombreux passionnés de météorologie. Depuis le 22 juillet, Météo-France met gratuitement à disposition trois modèles atmosphériques jusqu'ici soumis à redevance : Les données de modèle Arpège essentielles OMM Les données de modèle atmosphérique à aire limitée à haute résolution AROME Les données de modèle atmosphérique global Pour faire simple, ces modèles intègrent des centaines de millions de données nécessaires aux prévisions météorologiques. Ils se présentent comme le résultat de nombreux et vastes calculs sur l'évolution des températures, de l'humidité, de la vitesse du vent, etc. Ceux-ci sont réalisés à partir d'observations faites à des intervalles relativement courts, ce qui signifie que ces jeux de données sont actualisés plusieurs fois par jour."
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Thierry Maillet : "Le numérique met fin à l'économie de la rente"Le nouvel Ec... - 0 views

  • La plateforme numérique est la réinvention de la place du marché du Moyen Age”.
  • Il pointe ainsi le “Big Data” qui menace potentiellement le libre arbitre des consommateurs
  • Ma conviction est que rien ne peut arrêter la technologie en marche et qu’il vaut mieux accompagner le mouvement plutôt que de chercher à le freiner.
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  • La technique numérique est 100 % américaine et quand elle ne l’est pas, les sociétés s’installent aux Etats-Unis, à l’instar de l’entreprise française Criteo qui est cotée à New York. Sans compter les adresses e-mail qui sont majoritairement aujourd’hui en Gmail. Une domination incroyable
  • Un site tel que Airbnb détermine la valeur de marché d’une nuit de couchage dans le monde entier. Agissant comme un formidable appel d’air, le numérique, en favorisant les rencontres entre l’offre et la demande, crée de nouveaux marchés, c’est sa force. Et derrière ces marchés créés, il y a de l’activité. Le covoiturage, l’hôtellerie à domicile, le prêt d’argent, etc. sont des exemples parmi d’autres. La place du marché numérique n’est que la réinvention du marché du Moyen Age ! Mais au passage, les places de marché bousculent l’existant. Et parfois, ce dernier n’arrive pas à suivre le mouvement. On ne compte pas le nombre d’organisations qui n’ont pas su prendre en charge par elles-mêmes les innovations dont elles connaissaient pourtant l’impact. Et qui ont disparu. Cette inertie est impressionnante. Le seul remède ? Etre en permanence réactif à son environnement.
  • La constitution de plateformes de marché, lieu de confrontation de l’offre et de la demande, est essentielle. Le numérique crée des marchés mais il peut aussi sauver des activités parce qu’il permet de retrouver des prix d’équilibre en luttant contre des phénomènes d’asymétrie d’informations.
  • La santé recèle à cet égard un potentiel d’économies considérable. Avec l’objet connecté attaché au corps humain, nous serons tous demain dans l’autoprévention des risques. Au point peut- être de devenir tous hypocondriaques ! Il y a là un gisement d’économies considérable pour l’assurance maladie et une possibilité de combler le trou de la Sécurité sociale.
  • Plus pernicieux est l’usage économique du big data en aiguillant l’individu via des logiciels de prédiction sur des consommations ciblées.
  • On est en train de lancer en France, l’association “Image & Digital” pour rapprocher les professionnels de l’image et du numérique. Ils ont tellement besoin les uns des autres ! Notre première action est la promotion d’une charte d’identification de la Méta Donnée.*
  • Le numérique modifie fondamentalement l’art d’enseigner qui devient un travail collaboratif. La relation du maître à l’élève n’est plus la même. Il n’est plus question de dicter le cours au tableau. Les élèves, chacun avec sa tablette et avec le professeur qui le guide, sont capables de trouver la solution au problème posé. Je prône 25 élèves par classe avec 25 tablettes. Et en route pour la pédagogie collaborative ! Mais le danger de laisser les adolescents seuls à passer tout leur temps sur les réseaux ne doit pas être sous-estimé
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Blog Administration Numérique - MARKESS « - 0 views

  • indicateurs clés sur l’évolution du rôle des DSI, l’implication des différents métiers, les besoins en expertises pour aborder les nouveaux usages, la présence ou non d’élus en charge du numérique
  • Les 100 collectivités locales interrogées, par l’intermédiaire de leur DSI ou de profils en charge des questions numériques, révèlent sans conteste la montée en puissance de la collaboration des DSI avec les métiers, 69% des décideurs interrogés portant cette évolution au premier plan.
  • Juliette Baudry de la DSI Courrier du groupe La Poste est venu témoigner sur son retour d’expérience d’équipement des facteurs en terminaux mobiles dans le cadre de leurs tournées. 90 000 facteurs équipés de smartphones sont désormais en mesure d’optimiser leurs processus quotidiens (captation de signature client, flash code…) mais aussi d’envisager de nouveaux usages pour l’avenir comme la récupération de données par la photo, la relève de compteur, le paiement de livraison… en jouant le rôle de tiers de confiance pour d’autres services publics.
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  • Territoires de soins numériques : les projets de Bourgogne, Lorraine et Rhône-Alpes
  • Passer sous la barre des 20 datacenters sur les 128 recensés aujourd’hui, tel est l’objectif à 10 ans de l’Etat français. La DISIC mise sur l’existant en regroupant des ressources sur des plaques en activité avec principalement Bercy, la Défense, l’Intérieur, le regroupement entre l’Ecologie et l’Agriculture. Une économie de 30% sur un budget annuel de 80 millions d’euros est attendue. Les freins majeurs pour mettre en oeuvre ce plan de consolidation sont notamment : la mise à niveau des salles pour supporter de nouvelles infrastructures, le dégagement d’économies pour moderniser l’infrastructure, l’apprentissage par les équipes d’un nouveau métier qu’est la prestation de services auprès d’un tiers en interne. La prise en charge des applications implique de construire une offre de services comme la qualité d’hébergement, la sécurité ou encore les gestes de proximité.
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DETR : priorité à la revitalisation des centres-bourg - Localtis.info un serv... - 0 views

  • La dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR), qui s'est vu abondée de 200 millions d'euros pour 2015 (soit plus de 800 millions d'euros au total), servira à "soutenir des projets contribuant à la mise en oeuvre d'une stratégie de revitalisation et d'attractivité des centres-bourg (maintien ou reprise de commerces de proximité, équipements publics…)". C'est ce qu'indique le gouvernement dans une circulaire du 16 janvier, publiée jeudi.
  • Dans le détail, le gouvernement demande de flécher les crédits de la DETR vers des actions qui sont ressorties comme prioritaires lors des Assises de la ruralité de cet automne : mutualisation des services, accessibilité des services dans les territoires à faible densité de population (création de maisons de santé ou de maisons de services au public), transition écologique (projets permettant aux collectivités de développer une utilisation économe et efficace de toutes les ressources). Ce point faisait partie des onze actions listées par Sylvia Pinel, ministre du Logement, de l'Egalité des territoires et de la Ruralité, le 17 décembre, à l'issue de ces assises.
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Acteurs publics - 0 views

  • D’importants choix sociétaux devront être faits dans les années à venir. Pour aborder ce mouvement avec cohérence et de façon démocratique, nos dirigeants ne pourront plus appréhender le numérique par “silos”, sans se concerter avec les parties prenantes du secteur.
  • Cette concertation est justement un outil pour raccrocher les wagons, intégrer la nouvelle donne numérique dans nos législations et construire avec le plus de parties prenantes possibles des recommandations d’actions que le gouvernement pourra mobiliser à plusieurs niveaux.
  • L’utilisation des données devient un élément incontournable des stratégies des entreprises et de l’action publique. Une nouvelle culture se dessine et elle ne doit laisser personne à la marge.
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  • La démarche de coconstruction se matérialisera par des ateliers contributifs, comme nous en avons désormais l’habitude, et la plate-forme en ligne permettra d’assurer une synthèse multipartite : parlementaires, organisations professionnelles, syndicats, fédérations, start-up, entreprises, etc.
  • Mais les écosystèmes traditionnellement identifiés ne doivent pas être les seuls contributeurs, nous voulons éviter l’entre-soi. L’affaire Snowden a confirmé que le numérique est d’abord un enjeu citoyen. La plate-forme est justement là pour ouvrir le débat au grand public
  • Le Conseil a déjà impliqué plusieurs de leurs administrations, notamment la direction générale des entreprises (DGE, ex-DGCIS), la mission Etalab, en charge de l’ouverture des données publiques, la mission French Tech, ou encore la Cnil.
  • Sur la plate-forme que nous mettons en place et qui ouvrira le 4 octobre, les administrations pourront contribuer directement – en leur nom –, ce qui sera une première dans leurs pratiques et leur relation avec les citoyens.
  • Sur les sujets plus sociétaux, nous sommes en contact avec les ministères de l’Éducation nationale et de la Santé, ainsi qu’avec le ministère du Travail. Le ministère de la Justice sera mobilisé pour les volets “droits” et “libertés fondamentales” de la concertation
  • Les administrations doivent bénéficier de plus de flexibilité pour travailler avec des entreprises innovantes. Etalab pourra notamment consulter sur le projet de plan d’action français dans le cadre de l’Open Government Partnership et la transposition de la directive PSI [directive européenne du 26 juin 2013 sur la réutilisation des informations du secteur public, ndlr].
  • Le Conseil national du numérique espère que le futur projet de loi définira une neutralité du Net simple et effective. Elle est essentielle pour l’exercice de la liberté d’expression, l’accès à l’information et la liberté d’entreprendre. À l’ère des plates-formes, de nouveaux équilibres sont nécessaires entre les acteurs de la chaîne de valeur et envers les citoyens et leurs partenaires commerciaux.
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Comment la génération Z va bouleverser vos organisations « Etourisme.info Eto... - 0 views

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    "L'an dernier, à Québec, les #FQ3 s'étaient intéressés à l'accueil et à la gestion de la relation clientèle (les compte-rendus sont disponibles ici). Cette année, en Wallonie, les délégations travaillent plus particulièrement à analyser l'impact du numérique sur les ressources humaines dans les organisations touristiques. Des impacts qui peuvent se faire sentir sur les métiers, sur l'organisation de la formation professionnelle, et bien évidemment sur le management. La première journée a permis de confronter les points de vue et les situations entre les 4 pays participants. Une chose est sure : il y a beaucoup de convergences dans l'évolution des organisations touristiques. Tout le monde s'accorde à dire que des modèles sont en train de changer fondamentalement notamment en terme de Ressources Humaines.  Il a notamment été question de l'arrivée de la génération Z dans les organismes de tourisme, ou les entreprises privées. Une génération qui est née à la fin des années 90 et qui arrive sur le marché du travail.   Ce sont des enfants nés avec le numérique. Ils sont quasiment mutants dans le sens où ces technologies sont devenues une véritable extension cérébrale et physique, où on apprend à manier un écran avant de savoir ce qu'est la lecture, comme le montre cette vidéo projetée hier par Paul Arseneault."
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Inuq.fr » Blog Archive » Quelques idées sur l'identité numérique et les terri... - 0 views

  • la dimension territoriale locale est peut-être justement celle où peut se sanctuariser le plus facilement la confiance entre l’usager et la collectivité, et faire vivre la relation citoyenne. D’abord parce que traditionnellement les gens font d’abord confiance à ceux qu’ils connaissent, leur famille, leurs voisins, et leurs institutions et leurs services publics proches. Ensuite parce que c’est l’échelon qui fait vivre l’identité au quotidien. C’est là que les gens vous connaissent. On sait que l’essentiel des accidents de circulation ont lieu dans un rayon de 20 km autour de chez soi.
  • 1- Il est primordial de s’assurer de l’intégrité de ces objets eux-mêmes tout au long de leur cycle de vie. Ce qui veut dire que les opérateurs doivent disposer d’infrastructures de gestion et de contrôle capables de référencer des millions d’objets et de traiter la donnée correspondante dans des conditions de transparence.
  • La collecte d’information indispensable pour la bonne gestion des réseaux de la collectivité envahit tout l’espace, dépasse le compteur et entre dans le maison, par les objets connectés. A qui appartient cette information? Quel moyen donne-t-on à l’usager de gérer finement les autorisations qu’il donne? Par exemple, quel contrôle réel ai-je actuellement sur les informations comportementales remontées par ma box? Que se passera-t-il lorsque ma box deviendra aussi le hub de gestion de divers objets connectés chez moi?
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  • zone floue où on ne sait plus trop ce qui est de la sphère privée et de la sphère publique
  • Nous avons tous un sentiment de malaise devant le modèle de contrôle social proposé par Google, Facebook, et les autres. Savez-vous que Facebook est en train de construire un datacenter de plusieurs centaines de milliers de m2 pour stocker les données accumulées?
  • Et pourtant, il est hors de question de s’isoler des réseaux
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Transformation numérique : 44% des sociétés françaises vont vers le DevOps - JDN - 1 views

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    "Le DevOps : bras armé de la transformation numérique Pour une majorité d'acteurs français engagés dans la voie du DevOps (52%), l'élément déclencheur est sans surprise la transformation numérique. "Les projets de transformation IT se traduisent en effet par une exigence toujours plus forte des directions métiers pour disposer rapidement - et dans les temps - des solutions", précise IDC. "77% des structures que nous avons interrogées indiquent d'ailleurs qu'elles ont besoin d'accélérer le rythme de leurs déploiements." Le DevOps implique plus souvent la R&D que la production Les équipes les plus souvent impactées par une démarche de DevOps sont d'abord les études (61%) et le développement (53%), devant la production (51%). En vue de créer des ponts entre ces différents services, une très large majorité des répondants engagés dans le DevOps (71%) soulignent la place de la collaboration. "Elle est considérée comme d'autant plus importante que les entreprises tendent à faire évoluer leur modèle de Delivery, notamment via les méthodes agiles, pour permettre des changements de plus en plus rapides, à une fréquence de plus en plus élevée", commente IDC."
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La propriété intellectuelle - 0 views

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    "En réalité, ce n'est pas dans le fait de détenir l'innovation que les entreprises de l'ère digitale se différencient, mais dans le fait de la mettre en œuvre. Ces entreprises ont compris que la meilleure façon de protéger une innovation n'est plus de la breveter, mais bien de l'utiliser et de l'améliorer sans cesse. Or, quel peut être le meilleur moyen de comprendre la façon dont les innovations sont utilisées que la data ? La data - l'empreinte des utilisateurs des produits et services des entreprises - révèle comment les voitures de M. Musk sont utilisées, ce qui dysfonctionne, ce qui est apprécié. Potentiellement, c'est toute l'expérience entre le consommateur et la voiture qui peut être analysée. Il en est de même pour Facebook. En observant la façon dont sont utilisés ses réseaux sociaux, ou encore ses casques Oculus, Facebook dispose d'un laboratoire de R&D, dont l'échelle est la planète. Facebook démontre brillamment que celui qui détient la data dispose en fait d'un moyen de mettre en œuvre un état permanent d'innovation. Car c'est bien de cela qu'il s'agit."
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Consommation collaborative : l'enjeu du financement et de la gouvernance « In... - 0 views

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    "La consommation collaborative recouvre des initiatives et projets divers ; elle propose des services pairs à pairs qui mettent en relation directement les individus entre eux, mais aussi d'autres dans lesquels les particuliers s'organisent pour la gestion de ressources communes. Les questions de la gouvernance et de la répartition de la valeur,… au sein de ces initiatives auraient pu rester non posées, mais les craintes de voir les grandes plateformes de la consommation collaborative concentrer toujours plus de valeur [1] sans que les usagers n'aient leur mot à dire amènent à s'interroger sur les modèles à l'oeuvre. Dans ce paysage collaboratif, les exemples d'initiatives plus modestes (proches de l'Economie sociale et solidaire (ESS), du type AMAP, SEL, mais aussi des supermarchés coopératifs…) ayant instauré un mode de fonctionnement coopératif ne manquent pas ; et si c'était dans ces principes de gouvernance, valeur, expérience… plus partagées que la consommation collaborative pouvait pleinement s'épanouir ?"
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La fin du rêve de l'internet - Medium - A lire ailleurs - 0 views

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    "Nous sommes passés d'un internet de bout en bout (un internet décentralisé, démocratique, neutre, où l'intelligence était à chaque bout pas dans les tuyaux), à un internet de tuyaux intelligents qui permet de nouveaux modèles d'affaires, une qualité et des prix différenciés et qui enferment les gens dans des réseaux propriétaires comme ceux de Facebook, d'Androïd, d'Apple ou de TenCent (la messagerie instantanée chinoise) . Comme le disait Tim Wu, dans ce nouveau cycle, l'internet va finir par devenir l'égal de la télévision. Voici venu le temps de la centralisation, de la réglementation et de la globalisation ("le prochain milliard d'utilisateurs d'internet risque de venir d'un pays sans premier amendement, d'un pays qui ne respecte pas les droits de l'homme, peut-être même d'un pays sans procédure régulière ou sans règle de droit"). "
gaviolig

J. Marzin, DSI de l'Etat : « pour économiser, un SI unifié » - 0 views

  • e directeur de la Disic (Direction interministérielle des systèmes d’information et de communication) revient sur un décret publié au cœur de l’été visant à unifier la stratégie sur le système d’information de l’Etat. Le système et non plus les systèmes : le symbole de la volonté de rompre avec une ère où toutes les dépenses informatiques de l’Etat sont décidées ministère par ministère, sans cohérence d’ensemble
  • Pour ce faire, une vision d’ensemble DU système d’information de l’Etat s’impose.
  • Les simples règles d’interopérabilité ne suffisent pas à créer une homogénéité. Surtout dans un système où quasiment aucune administration, hormis l’administration fiscale, ne peut se prévaloir de délivrer de bout en bout un service.
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  • précédent décret régissant les systèmes d’information datait de 30 ans
  • les ministères lancent leurs projets sur la base de critères les plus homogènes possibles, critères que nous appliquons nous-mêmes quand nous examinons les projets qui nous sont soumis afin de les sécuriser.
  • système d’information global, que nous devons penser global pour agir local, rend l’optimisation possible
  • Cette stratégie est fondée sur la collaboration de trois types d’acteurs : les détenteurs de l’information au sein de l’Etat offrant des services de base, des producteurs de services à destination des citoyens et, entre les deux, toute une industrie de gestionnaires d’API protégeant les producteurs de données d’une explosion de la demande d’interfaces.
  • Au préalable, nous devrons réaliser la forge, où toutes ces API seront déposées et documentées, ainsi que la place de marché technique, permettant de retrouver rapidement les composants utiles
gaviolig

L'open-data : entre illusion démocratique et réalité territoriale. | Institut... - 0 views

  • Vers une plus grande transparence des politiques publiques ? L’ouverture des données publiques est souvent présentée par les élus et les administrations comme un vecteur d’une plus grande transparence de leurs actions et de leurs décisions. Cela pourrait constituer une réalité si l’ensemble des données produites par les collectivités et les administrations étaient mises à la disposition des citoyens.
  • L’ouverture des données publiques et la création de plateforme d’Open-Data résultent nécessairement d’une décision politique. La nature des données mises à la disposition des citoyens, tout comme la qualité des données partagées ne sont ainsi pas des choix anodins pour les collectivités territoriales et les territoires.
  • Un rapide regard porté sur les jeux de données ouverts sur la plateforme d’Open Data permet par exemple de constater que l’essentiel d’entre eux sont d’ordre statistique ou géographique. Il est ainsi relativement rare d’y retrouver des rapports d’étude ou des données sensibles sur nos territoires. L’exercice de démocratie numérique offerte par l’Open Data s’avère par conséquent relativement limité.
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  • En effet, qui est capable actuellement de comprendre un fichier Excel comportant plusieurs milliers de ligne, par exemple ? Qui est en mesure de porter un regard sur les données disponibles ?
  • L’utilisation de l’open-data à des fins citoyennes nécessite de former les habitants au traitement des données brutes, à l’analyse des données. A défaut, les collectivités pourraient organiser des ateliers open data au cours desquels les habitants pourraient analyser de manière collective des données publiques.
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